Je suis d’accord que ça dépend des jeux ; j’ai pu avoir une grande tolérance à la frustration en faisant le 100% de Celeste (hors golden berries) et de Hollow Knight, mais avec Sekiro j’ai plus de mal… J’ajoute que cette tolérance à la frustration dépend aussi de votre état mental du moment ! J’ai justement lancé Sekiro à un moment où peut-être j’aurais souhaité un peu plus d’indulgence de la part d’un jeu, mais je compte réessayer dans quelques mois, au cas où ça résonne mieux avec mon humeur. Excellente vidéo encore. Cette série de l’avent est un régal !
Là où j'ai trouvé en Sekiro un défi parfait pour moi alors que j'ai abandonné Céleste (malgré les aides de jeu). C'est sans doute parce que, là où recommencer, analyser et observer un boss ne me dérange pas trop une fois passé la phase "il est cheaté, ils ont pris de la drogue les développeurs", sur un jeu de plateforme j'ai plus de mal à m'adapter parce que j'ai l'impression de devoir tout réapprendre à chaque tableau. Avec Celeste j'ai voulu du challenge, mais sans forcément avoir les capacités motrice et cognitive de franchir ce challenge. Pour triompher de Sekiro, personnellement, j'ai souvent regardé des vidéos/regardé mon ex coloc galéré pour étudier les patterns sans avoir à agir moi-même.
La difficulté, c'est vraiment difficile à doser. Parce que l'équilibre dépend effectivement des attentes en matière de frustration des joueurs mais aussi de leur capacités (moins de skill = plus de frustration) et du type de jeu ( dans un tetris, ne pas arriver à passer un niveau invite forcément à essayer de se dépasser. Dans un jeu plus narratif, c'est ne pas parvenir à avoir la suite de l'histoire). Ce qui revient à la question de bien cibles son public 😊
C'est exactement comme tu dis, si j'ai l'impression d'être l'auteur de mes échecs comme de mes réussites, si j'ai l'impression que mes défaites sont justes et m'appartiennent alors je vais aller au bout d'un jeu difficile. J'ai terminé tous les Souls auquel j'ai joué, même s'il y a des choses qui me soulaient. Par contre je n'ai pas terminé Elden Ring, je suis au dernier boss et avec mon arme à deux mains j'ai l'impression de taper un mur qui ne réagi pas à mes attaques. --- J'ai terminé Sekiro, j'ai terminé tous les The Surge (même s'il faut bien admettre que le 2 est plus facile que le 1). Comme tu le dis c'est aussi un équilibre avec les récompenses, si au bout d'un niveau dantesque j'ai juste une tape sur l'épaule ou pire, j'ai réussi le niveau mais dans le scénario ça me met une cinématique pour me dire que j'ai perdu quand même, ça va me gaver. --- En bref, excellente vidéo. On est vraiment gâtés en cette fin d'année, merci de prendre soin de tes F'UXos ! 😀
J'ai peu d'endurance à la friction. Je joue en mode histoire et cherche vite les soluces aux enigmes. Quand je dépasse un truc qui a était difficile je suis soulagée de plus avoir à faire ce truc qui est dur pour moi, je suis dans le mood "plus jamais ça".
Vraiment une super série que je kiffe suivre quotidiennement, bravo ! Personnellement je n'aime pas du tout la difficulté, je suis plutôt un joueur qui cherche la découverte et la nouveauté, j'adore découvrir des boucles de nouvelles boucles de gameplay, de nouvelles histoires, mais pas du tout refaire plein de fois la même chose pour avancer 😅
Un ami m'a fait découvrir le jeu Hollow knight ! J'ai eu beaucoup de mal à accrocher, mais après avoir battu un des premiers boss, j'ai eu ce sentiment d'accomplissement lié à la difficulté qui m'a fait finalement faire toutes les fins du jeu 🎉 ! Super concept de calendrier de l'avent 😊
J'ai l'impression d'avoir découvert le goût de la difficulté technique avec Céleste, et de lavoir confirmé avec Hades ! C'était hyper satisfaisant pour moi de monter la température pour aucune autre raison que le challenge personnel.
Ça c'est un sujet que je ne vois pas assez ! La tolérance à la frustration est variable, elle dépend de la période de ta vie. Il faut rencontrer le bon jeu au moment ou tu est disposé la l'aimer. En ce moment c'est une période compliquée, j'ai besion d'immersion et de challenge pour ne pas avoir la disponibilité mentale de penser au reste, mais j'ai pas besoin de me faire rouler dessus aussi à l'écran... Il y a un équilibre à trouver.
Je suis pas un grand fan des jeux difficiles. Mais je me suis un jour donné le défi de terminer Céleste et quel jeu ! Il est difficile, chaque tableau est un défi, mais il n'est pas punitif, revenant au début du tableau. A chaque tableau, j'avais l'impression que ça serait impossible. Puis tu testes une fois, 2 fois, plusieurs fois. Et tu finis pas te dire que c'est faisable. Et qu'il suffit de réussir une seule fois. J'ai donc persévérer et ça fait partie du message du jeu. J'ai eu une satisfaction énorme de réussir et c'est ce genre de jeu qui nous permettent d'avoir l'impression de ne pas être aussi nul qu'on le pense, et comme quoi, quand on se donne les moyen, c'est possible pour tout le monde. c'est sûrement ce sentiment qui est assez jouissif : réussir un défi
J'aime la difficulté quand il s'agit de reflexion et de se creuser les meninges. S'il s'agit de difficulté basé sur du réflexe au frame perfect, du par coeur, ou de l'utra rapidité, cela ne m'interesse pas. 🤗
J'étais un joueur très peureux pendant mon enfance. Si quelque chose risquait de me faire perdre de la vie, j'arrêtais. (Zelda A Link To The Past trop dur pour moi quand j'étais enfant, je restais dans le village xD) Puis j'ai joué à Four Swords sur GBA avec mon père et ça m'a beaucoup aidé. Les Game Over étaient une manière d'aller plus loin la prochaine fois. Et le fait d'avoir fini le jeu ensemble reste un moment inoubliable ! Je me suis remis à ALTTP 10 ans plus tard, et je l'ai fini ! Commencé à 7 ans, fini à 17. Un peu comme la pub le montre xD
En tant que joueuse (relativement 'périodique" dans mon temps et mon investissement), j'ai commencé à vraiment jouer à 9 ans sur ma DS. Mais bien vite j'ai fini très jeune ado sur des jeux comme Undertale, Celeste, Hollow Knight. J'en ai objectivement vraiment fini aucun, mais je les ai poncé jusqu'au bout de ma satisfaction, et je peux encore relancer les 2 derniers aujourd'hui sans problème. C'est ces jeux qui m'ont appris à jouer donc aujourd'hui, je n'ai aucun scrupule à lancer un jeu dur ou à partir dans des challenges imprévus (bonjour Stardew Valley et sa complétion en soit pas "dure" en terme de skill, mais qui demande énormément d'investissement et de maîtrise du jeu). Dans les premiers jeux, j'accepte la difficulté car j'obtiens quelque chose, souvent un bout de l'histoire ou la suite du jeu. Sur Hollow Knight, je n'ai jamais fait le panthéon car ça ne m'offrait rien dans l'histoire, ou alors j'en avais déjà connaissance, donc je m'en fichais de le finir (peut-être qu'en relançant le jeu des années après, je pourrais y prendre plaisir, mais pas à 12-13 ans mdr). Sur Stardew, c'est plus le fait comme toi de jouer avec en coop qui justifie que je m'investisse autant afin d'accomplir de simple défis ou succès. J'ai plus de mal avec la difficulté gratuite ou injustifiée en revanche
Après il y a des jeux qui propose de la difficulté en plus du jeu de base qui est simple par exemple A hat in time j'ai fini le jeu à 100% en 10h-20h si tu prends ton temps mais les développeurs ont rajouté un DLC qui permet de refaire des niveaux avec un pick de difficulté bien plus élevé ce qui donne le 110% donc la difficulté peut être aussi un bonus pour les joueurs qui sont véritablement investie dans le jeu. hâte de suivre les autres jours de ce super calendrier
salut j'ai découvert ta chaîne y'a peu et j'aime bien ! bon courage pour ta série de vidéos, perso j'ai toujours eu du mal avec la difficulté, même sur minecraft j'ai jamais fait une aventure survie ou je tue l'ender dragon sans activer les cheats ou me give des trucs parceque j'ai la flemme etc. en gros ca me soule d'etre mentalement faible et de jamais me donner la force de surmonter une épreuve, mais je crois que je suis comme ça et puis c'est tout tant pis lol
J'adore la difficulté quand elle repose seulement sur un aspect de capacité. Ce que je veux dire c'est que dans les soulsborne ou encore des jeux à la Céleste, si on rate c'est notre faute (ou quand j'étais plus jeune les Pokemon explorateur). Il y a d'autres jeux ou je tolère moins la difficulté (je pense très fort à certains jeux qui auraient gagné les game awards en 2015 en full fraude) car je n'ai pas l'impression que l'échec vient de moi mais plus de la complexité à faire ce qu'on veut avec notre avatar. Ici la difficulté ne devient que frustration et rompt l'immersion au lieu de la renforcer.
J'ai beaucoup d'endurance pour contre cette friction, c'est pour ça que j'aime beaucoup Rain world mais qu'il est vraiment pas pour tout le monde. La satisfaction de comprendre et de savoir survivre dans ce jeux est incroyable (Même si c'est passé par un nombre incalculable de mort) ! Pourtant certain jeux comme Dark souls 2 génère beaucoup plus de friction d'une manière peux agréable donc j'ai abandonné alors que j'ai fait le 1 et 3 ! (Pareille pour Sekiro mais je re tenterais un jours !)
Je suis comme toi, je tolère mal la difficulté, parce que techniquement c'est pas ce que je recherche dans un jeu le challenge, mais si c'est en coop, je peut négocier avec mon ras le bol qui me ferais lâcher comme pour Serkiro ou le 1er Dark Soul. C'est comme ça que j'ai finis Cuphead avec un pote en coop intégral et la c'est passé crème, parce que lui c'est un vrais try hardeur qui était tout le temps la a dire "encore" :D
La difficulté doit aussi s'adapter selon le moment du jeu, ca doit se compliquer au fur et à mesure avec des pics pour les boss, mais ca pose ce problème : si on délaisse le jeu pendant plusieurs semaines avant de s'y remettre et qu'on n'y arrive plus on risque de l'abandonner totalement, Ou alors il faut des jeux prévus pour les petites sessions mais moins exigents
Je n'avais pas pour habitude de mourir dans les jeux sauf challenge imposé. Depuis que j'ai platiné elden ring début d'année, je me suis mis comme objectif de platiner tous les souls (sauf demon's souls parce que ps3 ou ps5), et depuis, cette frustration positive est clairement devenue un critère que je recherche lorsque je me lance dans un jeu. Les jeux de fromsoftware m'ont clairement appris à relever des défis corsés, où seul le joueur est maître d'arrêter ou de faire face. C'est pour cette raison que j'aime de moins en moins les jeux à la difficulté "artificielle", les ennemis avec juste plus de pv et plus de dégâts arbitrairement. La difficulté devrait être imposée par les mécaniques et non les stats selon moi. Désolé pour ce pavé César, mais étant désormais fuxos et voyant la qualité de ton travail, ça me semble juste de répondre à tes interrogations ! Continue.
J'aime le die and retry, mais je n'aime pas devoir me casser la tête longtemps sur des situations complexes (et bizarrement, je viens de poncer Satisfactory ahah)
Je suis pas un grand fan de la difficulté en general et encore moins de la compétition, par contre me challenger moi même quand je suis d'humeur sur un jeu que j aime tout particulièrement, ca peut m'arriver, mais dans l'ensemble la facilité me convient car même comme ca je ne parviens pas à arriver à jouer à autant de jeux que j aimerai, faute de temps ou d'énergie
Perso, ça dépend, j'ai besoin de me retrouver dans le gameplay et dans l'ambiance pour accepter la difficulté d'un titre. J'ai passé des heures sur Cuphead et sur Balatro à poncer le 100%, mais j'ai activé le mode assistance en moins d'une heure sur Another crab's treasure (j'ai pris le gun pour le boss final). Et comme dit ailleurs dans les commentaires, le mood du moment a sa part d'importance :)
Jadore la difficulté et ca m'attire bc, j'ai même essayé. Jsais pas gerer la frustration, j'arrive à rien 😅 GeoDash, DS, Celeste, HK... je frustration et je ragequit.
Perso j'ai commencé les jeux vidéos il y a 30 ans (j'avais 3 ans...), et l'esprit de compétition s'est fortement développé au point où lorsque j'étais ado, je ne jouais qu'à des jeux multijoueurs dont l'objectif était pour moi d'être dans le top du classement mondial, à chaque fois. Avec le temps je me suis calmé sur la compétition, par contre hors de question de jouer à un jeu facile, ça m'ennuie totalement, et si le jeu ne requiert pas une exigeance, j'ai l'impression de perdre mon temps, j'ai évidemment fait tous les Souls, dernièrement j'ai fait The Last of Us 1 et 2 en Réaliste, et quelle expérience ! Surtout le 2 qui propose une IA très au point. Je dirais que pour les joueurs pour moi, le pire, ce sont les difficultés artificielles, les jeux qui pour devenir difficile, ajoutent des PV x2 aux ennemis, plutôt que de réellement les rendre plus intéressants, on a vraiment l'impression d'être pris pour des débiles avec ce genre d'ajustements.
Je trouve ça passionnant de lire le rapport que chacun d'entre vous avez avec la difficulté. Ça permet de voir les choses différemment. Merci pour ça ! Et la vidéo de demain risque de t'intéresser vu ce que tu dis !
Personnellement j'aime la difficulté pour plusieurs raisons. Pour l'immersion dans le jeu : la ou une difficulté élevée me pousse à prendre chaque combat au sérieux et une erreur peut être fatale, en prenant pour exemple mes nombreuses saves sur Skyrim que je fais toujours en difficulté max. Également pour le côté dépassement de soi : réussir à terminer un jeu difficile peut me donner l'impression d'avoir grandi et m'ouvre de nouveaux horizons comme lorsque j'ai fini elden ring qui était mon premier souls de fromsoftware, j'ai vu les portes des dark souls d'ouvrir devant moi alors que je pensais être incapable de jouer à ces jeux avant. Et je me suis lancé dans elden ring en ayant joué à d'autre souls like plus "simples" avant pour la même raison. Enfin une troisième raison, c'est plus pour le côté challenge de me dire que j'ai fini tel ou tel jeu dans la difficulté max, comme sur Baldur's Gate 3 que je n'ai pas encore réussi a terminé en mode honor, mais je vais persévérer !
J'accepte beaucoup plus facilement la difficulté hardcore dans des jeux 2D à la maniabilité et à l'information pafaites (Celeste, Super Meat Boy, Dead Cells etc.) que dans des jeux 3D comme Dark Souls ou la maniabilité est plus molle et la caméra pas toujours bien placée. Seules exceptions : Ninja Gaiden et God of War, où j'ai pris beaucoup de plaisir à affronter Sigrund pendant des heures et des heures.
Je remarque que ma tolérance à la friction/difficultés varie beaucoup selon les périodes de ma vie Si jai beaucoup de temsp à dédier aux jeu/ si je taff pas mal, fatigue et peu d'énergie mentale dokc juste envie de chiller et pas de recommencer 20 fois un niveau
Pour moi c'est lié au type de jeu. Un jeu où il faut réfléchir pour trouver la solution, oui. Un jeu de réflexes, non. Aussi, en général je déteste à peu près tous les boss fights parce que le pic de difficulté implique que tout ce que tu as fait avant était trivial et donc en gros ça ne servait à rien.
Du coup quand ma fille de 12 ans me dit que j'ai du flow c'est que je suis engageant 😎, bon par contre quand je suis en claquette chaussettes en revenant du basket j'ai plus de flow 😥
Format sympa sur un sujet toujours aussi important La difficulté est pour moi très importante. Certes, elle doit être équilibrée, mais c'est surtout ce qui me fait tenir quand je joue. Ce qui me tient concentré. Sinon, si je désactive le cerveau pour jouer, je finis par rien ressentir, mon temps de jeu devient donc un gâchis, une expérience parfaitement oubliable. Bon, je peux aussi être concentré par le level design, la musique, le gameplay, la direction artistique. Mais la difficulté est ce qui me pousse à m'améliorer. C'est grâce aux jeux qu'aujourd'hui à mon travail, je maîtrise les outils et donne des conseils à mes collègues, alors que je suis le dernier arrivé Mais plutôt qu'être meilleur que "les autres" (dont je n'ai rien à f...), je préfère être meilleur que moi même Faites attention au verglas ! Bye
Perso le seul jeux plutôt difficile que j’ai fait c’est hollow knight. J’ai aimé le challenge que le jeux m’a offert mais il faut que le challenge me donne une récompense à la fin, à savoir un bout de l’histoire ( en plus de la satisfaction d’avoir surmonté une épreuve difficile ). J’ai finit le jeux à 110% il ne me restait plus que le Panthéon 5 à faire mais il me prenait beaucoup de temps que je connaissais déjà la fin secrète qu’il y avait en le battant alors j’ai arrêté les jeux jugeant qu’il m’avait assez diverti ( et j’en avait un peu plein le cul aussi je ne vais pas mytho 😅)
Le concept de flow est intéressant mais il a ses limites quand on part du principe que tout les jeux n'ont pas pour ambitions de challenger ou ne sont pas apprecier pour leur challenge comme les wholesome game. En vrai c'est surtout une question de proposition ludique et qu'est ce qu'on recherche comme expérience . Tant que le challenge est juste j'ai une tolérance extrême (j'ai bloqué 3j sur le boss final de shadow of erd tree l'esprit apaisé)
Personnellement je suis un gros rageux mais impossible de lacher le jeu sans avoir tué ce boss de mort ou avoir passé ce niveau infernal. Je le prends un peu à cœur, comme si j'avais quelque chose à prouver. Mais j'aime bien ça (ma famille un peu moins) et je prends mon pied sur Returnal (enfin quand j'y arrive)
Zéro tolérance à la difficulté en jeu, ma vie est suffisamment challengeante comme ça pour que je n'ai pas besoin de catharsiser ce sentiment dans mes loisirs. Je viens dans les jeux pour le "sense of wonder" correspondant au rasa sanskrit d'émerveillement, pour en prendre plein les yeux et explorer des univers riches en lore et en rebondissements donc toujours avec une soluce ou des cheat codes. Je suis extrêmement frustré que les jeux au lore mythologique, comme les souls par exemple, ne disposent pas d'un mode exploration "safe". Je ne me suis jamais autant amusé sur Skyrim ou Fallout 4 qu'en Godmode et je me suis mis à The Forest uniquement quand j'ai appris qu'il disposait d'un mode "pacifique". Je ne suis surement pas le persona du gamer type, mais j'aimerais un peu plus d'inclusivité de la part des dévs ;).
Pareil je tolere bien plus la difficulté quand c'est en coop, quand je joue seule ca me gave vite et je vois pas l'intérêt. J'aurais clairement pas eu le même fun sur Dark Souls 3 et Elden Ring si y'avait pas eu mes potes pour faire des conneries et mourir avec moi. Aussi ma ressource temps est vraiment limitée maintenant que j'ai un enfant alors euh me buter sur Malenia pendant 2 semaines parce que j'ai 1h de dispo le soir, non en fait la giga flemme ( OK en vrai je l'ai un peu fait ) ( Et je l'ai pas battue ) ( deg )
Pour moi non, j'aime un jeu surtout qui me fait passer un bon moment avec une histoire qui me parle, voilà pourquoi j'aime autant farming simulator, qu'un souls j'ai préféré bloodborn que elden ring et j'aime autant un jeux lego qu'u n jeux difficile Pour moi ka difficulté n'est pas primordiale, elden ring que jj'ai terminé mais ou Je me suis moins amusé qu'un jeux lego et dire que je l'ai terminé ne m'apporte ruen personnellement
5:01 - Pour le 6eme** jour du calendrier de l'avent
(Not me qui essaie de skipper un jour du calendrier inconsciemment 😅)
1:18 "Comment la friction peut elle générer de la friction dans un jeu. Pourquoi plus c'est dur, plus c'est jouissif." Le contexte, le CONTEXTE
Je suis d’accord que ça dépend des jeux ; j’ai pu avoir une grande tolérance à la frustration en faisant le 100% de Celeste (hors golden berries) et de Hollow Knight, mais avec Sekiro j’ai plus de mal… J’ajoute que cette tolérance à la frustration dépend aussi de votre état mental du moment ! J’ai justement lancé Sekiro à un moment où peut-être j’aurais souhaité un peu plus d’indulgence de la part d’un jeu, mais je compte réessayer dans quelques mois, au cas où ça résonne mieux avec mon humeur.
Excellente vidéo encore. Cette série de l’avent est un régal !
Là où j'ai trouvé en Sekiro un défi parfait pour moi alors que j'ai abandonné Céleste (malgré les aides de jeu). C'est sans doute parce que, là où recommencer, analyser et observer un boss ne me dérange pas trop une fois passé la phase "il est cheaté, ils ont pris de la drogue les développeurs", sur un jeu de plateforme j'ai plus de mal à m'adapter parce que j'ai l'impression de devoir tout réapprendre à chaque tableau. Avec Celeste j'ai voulu du challenge, mais sans forcément avoir les capacités motrice et cognitive de franchir ce challenge.
Pour triompher de Sekiro, personnellement, j'ai souvent regardé des vidéos/regardé mon ex coloc galéré pour étudier les patterns sans avoir à agir moi-même.
Ce format est trop bien, c'est cool d'avoir des petites vidéos régulièrement 👌
La difficulté, c'est vraiment difficile à doser. Parce que l'équilibre dépend effectivement des attentes en matière de frustration des joueurs mais aussi de leur capacités (moins de skill = plus de frustration) et du type de jeu ( dans un tetris, ne pas arriver à passer un niveau invite forcément à essayer de se dépasser. Dans un jeu plus narratif, c'est ne pas parvenir à avoir la suite de l'histoire). Ce qui revient à la question de bien cibles son public 😊
C'est exactement comme tu dis, si j'ai l'impression d'être l'auteur de mes échecs comme de mes réussites, si j'ai l'impression que mes défaites sont justes et m'appartiennent alors je vais aller au bout d'un jeu difficile. J'ai terminé tous les Souls auquel j'ai joué, même s'il y a des choses qui me soulaient. Par contre je n'ai pas terminé Elden Ring, je suis au dernier boss et avec mon arme à deux mains j'ai l'impression de taper un mur qui ne réagi pas à mes attaques.
---
J'ai terminé Sekiro, j'ai terminé tous les The Surge (même s'il faut bien admettre que le 2 est plus facile que le 1).
Comme tu le dis c'est aussi un équilibre avec les récompenses, si au bout d'un niveau dantesque j'ai juste une tape sur l'épaule ou pire, j'ai réussi le niveau mais dans le scénario ça me met une cinématique pour me dire que j'ai perdu quand même, ça va me gaver.
---
En bref, excellente vidéo.
On est vraiment gâtés en cette fin d'année, merci de prendre soin de tes F'UXos ! 😀
J'ai peu d'endurance à la friction. Je joue en mode histoire et cherche vite les soluces aux enigmes. Quand je dépasse un truc qui a était difficile je suis soulagée de plus avoir à faire ce truc qui est dur pour moi, je suis dans le mood "plus jamais ça".
Vraiment une super série que je kiffe suivre quotidiennement, bravo !
Personnellement je n'aime pas du tout la difficulté, je suis plutôt un joueur qui cherche la découverte et la nouveauté, j'adore découvrir des boucles de nouvelles boucles de gameplay, de nouvelles histoires, mais pas du tout refaire plein de fois la même chose pour avancer 😅
Un ami m'a fait découvrir le jeu Hollow knight ! J'ai eu beaucoup de mal à accrocher, mais après avoir battu un des premiers boss, j'ai eu ce sentiment d'accomplissement lié à la difficulté qui m'a fait finalement faire toutes les fins du jeu 🎉 ! Super concept de calendrier de l'avent 😊
J'ai l'impression d'avoir découvert le goût de la difficulté technique avec Céleste, et de lavoir confirmé avec Hades ! C'était hyper satisfaisant pour moi de monter la température pour aucune autre raison que le challenge personnel.
Ça c'est un sujet que je ne vois pas assez !
La tolérance à la frustration est variable, elle dépend de la période de ta vie. Il faut rencontrer le bon jeu au moment ou tu est disposé la l'aimer.
En ce moment c'est une période compliquée, j'ai besion d'immersion et de challenge pour ne pas avoir la disponibilité mentale de penser au reste, mais j'ai pas besoin de me faire rouler dessus aussi à l'écran... Il y a un équilibre à trouver.
Hyper intéressant, je l'avais pas vu sous cet angle la
Je suis pas un grand fan des jeux difficiles.
Mais je me suis un jour donné le défi de terminer Céleste et quel jeu !
Il est difficile, chaque tableau est un défi, mais il n'est pas punitif, revenant au début du tableau.
A chaque tableau, j'avais l'impression que ça serait impossible. Puis tu testes une fois, 2 fois, plusieurs fois.
Et tu finis pas te dire que c'est faisable. Et qu'il suffit de réussir une seule fois.
J'ai donc persévérer et ça fait partie du message du jeu.
J'ai eu une satisfaction énorme de réussir et c'est ce genre de jeu qui nous permettent d'avoir l'impression de ne pas être aussi nul qu'on le pense, et comme quoi, quand on se donne les moyen, c'est possible pour tout le monde.
c'est sûrement ce sentiment qui est assez jouissif : réussir un défi
Mon souvenir de la découverte du try hare c'est Darksiders 1 sur 360 a la grande époque, quelle satisfaction !
J'aime la difficulté quand il s'agit de reflexion et de se creuser les meninges. S'il s'agit de difficulté basé sur du réflexe au frame perfect, du par coeur, ou de l'utra rapidité, cela ne m'interesse pas. 🤗
Oui c’est ça ! C’est pareil ! Je me demandais pourquoi j’étais nul a dark soul c’est sûrement pour ça
Merci de parler de la notion de game flow
J'étais un joueur très peureux pendant mon enfance. Si quelque chose risquait de me faire perdre de la vie, j'arrêtais. (Zelda A Link To The Past trop dur pour moi quand j'étais enfant, je restais dans le village xD)
Puis j'ai joué à Four Swords sur GBA avec mon père et ça m'a beaucoup aidé. Les Game Over étaient une manière d'aller plus loin la prochaine fois. Et le fait d'avoir fini le jeu ensemble reste un moment inoubliable !
Je me suis remis à ALTTP 10 ans plus tard, et je l'ai fini ! Commencé à 7 ans, fini à 17. Un peu comme la pub le montre xD
En tant que joueuse (relativement 'périodique" dans mon temps et mon investissement), j'ai commencé à vraiment jouer à 9 ans sur ma DS. Mais bien vite j'ai fini très jeune ado sur des jeux comme Undertale, Celeste, Hollow Knight. J'en ai objectivement vraiment fini aucun, mais je les ai poncé jusqu'au bout de ma satisfaction, et je peux encore relancer les 2 derniers aujourd'hui sans problème. C'est ces jeux qui m'ont appris à jouer donc aujourd'hui, je n'ai aucun scrupule à lancer un jeu dur ou à partir dans des challenges imprévus (bonjour Stardew Valley et sa complétion en soit pas "dure" en terme de skill, mais qui demande énormément d'investissement et de maîtrise du jeu). Dans les premiers jeux, j'accepte la difficulté car j'obtiens quelque chose, souvent un bout de l'histoire ou la suite du jeu. Sur Hollow Knight, je n'ai jamais fait le panthéon car ça ne m'offrait rien dans l'histoire, ou alors j'en avais déjà connaissance, donc je m'en fichais de le finir (peut-être qu'en relançant le jeu des années après, je pourrais y prendre plaisir, mais pas à 12-13 ans mdr). Sur Stardew, c'est plus le fait comme toi de jouer avec en coop qui justifie que je m'investisse autant afin d'accomplir de simple défis ou succès. J'ai plus de mal avec la difficulté gratuite ou injustifiée en revanche
Après il y a des jeux qui propose de la difficulté en plus du jeu de base qui est simple par exemple A hat in time j'ai fini le jeu à 100% en 10h-20h si tu prends ton temps mais les développeurs ont rajouté un DLC qui permet de refaire des niveaux avec un pick de difficulté bien plus élevé ce qui donne le 110% donc la difficulté peut être aussi un bonus pour les joueurs qui sont véritablement investie dans le jeu. hâte de suivre les autres jours de ce super calendrier
On est gâté 🥰
salut j'ai découvert ta chaîne y'a peu et j'aime bien ! bon courage pour ta série de vidéos, perso j'ai toujours eu du mal avec la difficulté, même sur minecraft j'ai jamais fait une aventure survie ou je tue l'ender dragon sans activer les cheats ou me give des trucs parceque j'ai la flemme etc. en gros ca me soule d'etre mentalement faible et de jamais me donner la force de surmonter une épreuve, mais je crois que je suis comme ça et puis c'est tout tant pis lol
J'adore la difficulté quand elle repose seulement sur un aspect de capacité. Ce que je veux dire c'est que dans les soulsborne ou encore des jeux à la Céleste, si on rate c'est notre faute (ou quand j'étais plus jeune les Pokemon explorateur). Il y a d'autres jeux ou je tolère moins la difficulté (je pense très fort à certains jeux qui auraient gagné les game awards en 2015 en full fraude) car je n'ai pas l'impression que l'échec vient de moi mais plus de la complexité à faire ce qu'on veut avec notre avatar. Ici la difficulté ne devient que frustration et rompt l'immersion au lieu de la renforcer.
Merci pour la vidéo, chaque concept est passionnant ! (je copie ce nouveau message, mais ça ne change pas grand chose ;)
le like et le commentaire pour le référencement lààààà I DO MY PART
J'ai beaucoup d'endurance pour contre cette friction, c'est pour ça que j'aime beaucoup Rain world mais qu'il est vraiment pas pour tout le monde. La satisfaction de comprendre et de savoir survivre dans ce jeux est incroyable (Même si c'est passé par un nombre incalculable de mort) ! Pourtant certain jeux comme Dark souls 2 génère beaucoup plus de friction d'une manière peux agréable donc j'ai abandonné alors que j'ai fait le 1 et 3 ! (Pareille pour Sekiro mais je re tenterais un jours !)
Je suis comme toi, je tolère mal la difficulté, parce que techniquement c'est pas ce que je recherche dans un jeu le challenge, mais si c'est en coop, je peut négocier avec mon ras le bol qui me ferais lâcher comme pour Serkiro ou le 1er Dark Soul. C'est comme ça que j'ai finis Cuphead avec un pote en coop intégral et la c'est passé crème, parce que lui c'est un vrais try hardeur qui était tout le temps la a dire "encore" :D
"mes Fuxos" lmao
La difficulté doit aussi s'adapter selon le moment du jeu, ca doit se compliquer au fur et à mesure avec des pics pour les boss,
mais ca pose ce problème : si on délaisse le jeu pendant plusieurs semaines avant de s'y remettre et qu'on n'y arrive plus on risque de l'abandonner totalement,
Ou alors il faut des jeux prévus pour les petites sessions mais moins exigents
Je n'avais pas pour habitude de mourir dans les jeux sauf challenge imposé. Depuis que j'ai platiné elden ring début d'année, je me suis mis comme objectif de platiner tous les souls (sauf demon's souls parce que ps3 ou ps5), et depuis, cette frustration positive est clairement devenue un critère que je recherche lorsque je me lance dans un jeu. Les jeux de fromsoftware m'ont clairement appris à relever des défis corsés, où seul le joueur est maître d'arrêter ou de faire face. C'est pour cette raison que j'aime de moins en moins les jeux à la difficulté "artificielle", les ennemis avec juste plus de pv et plus de dégâts arbitrairement. La difficulté devrait être imposée par les mécaniques et non les stats selon moi.
Désolé pour ce pavé César, mais étant désormais fuxos et voyant la qualité de ton travail, ça me semble juste de répondre à tes interrogations ! Continue.
Encore une très bonne vidéo.
J'adore faire certains jeux en very very ultra hard :D
Je cautionne !
Big Up à mes compatriotes S4do-m4so :D
Bises :)
J'aime le die and retry, mais je n'aime pas devoir me casser la tête longtemps sur des situations complexes (et bizarrement, je viens de poncer Satisfactory ahah)
Hades... Les rogue lite/like ❤
Je ne pensais pas devenir fan de ce genre.
Dead cells aussi j'ai bcp aimé, The Darkest Dongeon... Loop Hero
Je suis pas un grand fan de la difficulté en general et encore moins de la compétition, par contre me challenger moi même quand je suis d'humeur sur un jeu que j aime tout particulièrement, ca peut m'arriver, mais dans l'ensemble la facilité me convient car même comme ca je ne parviens pas à arriver à jouer à autant de jeux que j aimerai, faute de temps ou d'énergie
Perso, ça dépend, j'ai besoin de me retrouver dans le gameplay et dans l'ambiance pour accepter la difficulté d'un titre. J'ai passé des heures sur Cuphead et sur Balatro à poncer le 100%, mais j'ai activé le mode assistance en moins d'une heure sur Another crab's treasure (j'ai pris le gun pour le boss final).
Et comme dit ailleurs dans les commentaires, le mood du moment a sa part d'importance :)
Jadore la difficulté et ca m'attire bc, j'ai même essayé. Jsais pas gerer la frustration, j'arrive à rien 😅 GeoDash, DS, Celeste, HK... je frustration et je ragequit.
Perso j'ai commencé les jeux vidéos il y a 30 ans (j'avais 3 ans...), et l'esprit de compétition s'est fortement développé au point où lorsque j'étais ado, je ne jouais qu'à des jeux multijoueurs dont l'objectif était pour moi d'être dans le top du classement mondial, à chaque fois. Avec le temps je me suis calmé sur la compétition, par contre hors de question de jouer à un jeu facile, ça m'ennuie totalement, et si le jeu ne requiert pas une exigeance, j'ai l'impression de perdre mon temps, j'ai évidemment fait tous les Souls, dernièrement j'ai fait The Last of Us 1 et 2 en Réaliste, et quelle expérience ! Surtout le 2 qui propose une IA très au point. Je dirais que pour les joueurs pour moi, le pire, ce sont les difficultés artificielles, les jeux qui pour devenir difficile, ajoutent des PV x2 aux ennemis, plutôt que de réellement les rendre plus intéressants, on a vraiment l'impression d'être pris pour des débiles avec ce genre d'ajustements.
Je trouve ça passionnant de lire le rapport que chacun d'entre vous avez avec la difficulté. Ça permet de voir les choses différemment. Merci pour ça ! Et la vidéo de demain risque de t'intéresser vu ce que tu dis !
Personnellement j'aime la difficulté pour plusieurs raisons. Pour l'immersion dans le jeu : la ou une difficulté élevée me pousse à prendre chaque combat au sérieux et une erreur peut être fatale, en prenant pour exemple mes nombreuses saves sur Skyrim que je fais toujours en difficulté max. Également pour le côté dépassement de soi : réussir à terminer un jeu difficile peut me donner l'impression d'avoir grandi et m'ouvre de nouveaux horizons comme lorsque j'ai fini elden ring qui était mon premier souls de fromsoftware, j'ai vu les portes des dark souls d'ouvrir devant moi alors que je pensais être incapable de jouer à ces jeux avant. Et je me suis lancé dans elden ring en ayant joué à d'autre souls like plus "simples" avant pour la même raison. Enfin une troisième raison, c'est plus pour le côté challenge de me dire que j'ai fini tel ou tel jeu dans la difficulté max, comme sur Baldur's Gate 3 que je n'ai pas encore réussi a terminé en mode honor, mais je vais persévérer !
J'accepte beaucoup plus facilement la difficulté hardcore dans des jeux 2D à la maniabilité et à l'information pafaites (Celeste, Super Meat Boy, Dead Cells etc.) que dans des jeux 3D comme Dark Souls ou la maniabilité est plus molle et la caméra pas toujours bien placée. Seules exceptions : Ninja Gaiden et God of War, où j'ai pris beaucoup de plaisir à affronter Sigrund pendant des heures et des heures.
Je remarque que ma tolérance à la friction/difficultés varie beaucoup selon les périodes de ma vie
Si jai beaucoup de temsp à dédier aux jeu/ si je taff pas mal, fatigue et peu d'énergie mentale dokc juste envie de chiller et pas de recommencer 20 fois un niveau
Pour moi c'est lié au type de jeu.
Un jeu où il faut réfléchir pour trouver la solution, oui.
Un jeu de réflexes, non.
Aussi, en général je déteste à peu près tous les boss fights parce que le pic de difficulté implique que tout ce que tu as fait avant était trivial et donc en gros ça ne servait à rien.
Je comprends, tellement ! Le nombre de fois moi où je m'entends dire à voix haute "ah bah ça se sent que les dev voulaient pas que je finisse le jeu!"
Du coup quand ma fille de 12 ans me dit que j'ai du flow c'est que je suis engageant 😎, bon par contre quand je suis en claquette chaussettes en revenant du basket j'ai plus de flow 😥
Format sympa sur un sujet toujours aussi important
La difficulté est pour moi très importante. Certes, elle doit être équilibrée, mais c'est surtout ce qui me fait tenir quand je joue. Ce qui me tient concentré. Sinon, si je désactive le cerveau pour jouer, je finis par rien ressentir, mon temps de jeu devient donc un gâchis, une expérience parfaitement oubliable. Bon, je peux aussi être concentré par le level design, la musique, le gameplay, la direction artistique. Mais la difficulté est ce qui me pousse à m'améliorer. C'est grâce aux jeux qu'aujourd'hui à mon travail, je maîtrise les outils et donne des conseils à mes collègues, alors que je suis le dernier arrivé
Mais plutôt qu'être meilleur que "les autres" (dont je n'ai rien à f...), je préfère être meilleur que moi même
Faites attention au verglas ! Bye
Merci pour ce commentaire hyper intéressant ! Tu joues à quels jeux par pure curiosité ?
Perso le seul jeux plutôt difficile que j’ai fait c’est hollow knight. J’ai aimé le challenge que le jeux m’a offert mais il faut que le challenge me donne une récompense à la fin, à savoir un bout de l’histoire ( en plus de la satisfaction d’avoir surmonté une épreuve difficile ). J’ai finit le jeux à 110% il ne me restait plus que le Panthéon 5 à faire mais il me prenait beaucoup de temps que je connaissais déjà la fin secrète qu’il y avait en le battant alors j’ai arrêté les jeux jugeant qu’il m’avait assez diverti ( et j’en avait un peu plein le cul aussi je ne vais pas mytho 😅)
Dommage que si peu de monde joue à GTFO, il a beaucoup de potentiel ce jeu
Tellement ! Mais je pense qu'ils ont perdu beaucoup de monde à la beta
Le concept de flow est intéressant mais il a ses limites quand on part du principe que tout les jeux n'ont pas pour ambitions de challenger ou ne sont pas apprecier pour leur challenge comme les wholesome game.
En vrai c'est surtout une question de proposition ludique et qu'est ce qu'on recherche comme expérience .
Tant que le challenge est juste j'ai une tolérance extrême (j'ai bloqué 3j sur le boss final de shadow of erd tree l'esprit apaisé)
Personnellement je suis un gros rageux mais impossible de lacher le jeu sans avoir tué ce boss de mort ou avoir passé ce niveau infernal. Je le prends un peu à cœur, comme si j'avais quelque chose à prouver. Mais j'aime bien ça (ma famille un peu moins) et je prends mon pied sur Returnal (enfin quand j'y arrive)
GTFO WHEN ??
Le mec est partout haha
Zéro tolérance à la difficulté en jeu, ma vie est suffisamment challengeante comme ça pour que je n'ai pas besoin de catharsiser ce sentiment dans mes loisirs. Je viens dans les jeux pour le "sense of wonder" correspondant au rasa sanskrit d'émerveillement, pour en prendre plein les yeux et explorer des univers riches en lore et en rebondissements donc toujours avec une soluce ou des cheat codes. Je suis extrêmement frustré que les jeux au lore mythologique, comme les souls par exemple, ne disposent pas d'un mode exploration "safe". Je ne me suis jamais autant amusé sur Skyrim ou Fallout 4 qu'en Godmode et je me suis mis à The Forest uniquement quand j'ai appris qu'il disposait d'un mode "pacifique". Je ne suis surement pas le persona du gamer type, mais j'aimerais un peu plus d'inclusivité de la part des dévs ;).
Pareil je tolere bien plus la difficulté quand c'est en coop, quand je joue seule ca me gave vite et je vois pas l'intérêt. J'aurais clairement pas eu le même fun sur Dark Souls 3 et Elden Ring si y'avait pas eu mes potes pour faire des conneries et mourir avec moi. Aussi ma ressource temps est vraiment limitée maintenant que j'ai un enfant alors euh me buter sur Malenia pendant 2 semaines parce que j'ai 1h de dispo le soir, non en fait la giga flemme ( OK en vrai je l'ai un peu fait ) ( Et je l'ai pas battue ) ( deg )
Hahaha, lire ton commentaire me fait remonter des PTSD de sa phrase en boucle (et je l'ai que vu en stream donc je compatis)
Pour moi non, j'aime un jeu surtout qui me fait passer un bon moment avec une histoire qui me parle, voilà pourquoi j'aime autant farming simulator, qu'un souls j'ai préféré bloodborn que elden ring et j'aime autant un jeux lego qu'u n jeux difficile
Pour moi ka difficulté n'est pas primordiale, elden ring que jj'ai terminé mais ou Je me suis moins amusé qu'un jeux lego et dire que je l'ai terminé ne m'apporte ruen personnellement