Cornélius Castoriadis : "La démocratie n'existe pas !"

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  • เผยแพร่เมื่อ 7 มิ.ย. 2022
  • Cornélius Castoriadis - Entretien : Post-scriptum sur l'insignifiance dans "Là bas si j'y suis" avec Daniel Mermet sur France Inter (1996)

ความคิดเห็น • 6

  • @sebastiencertenais8604
    @sebastiencertenais8604 ปีที่แล้ว +5

    La vérité, dis moi non ce qu'Il me plaît à entendre mais la cause. Merci à Daniel, le passeur, du temps d'un France Inter libre et à tous nos libres penseurs !

  • @etiennemaillet3834
    @etiennemaillet3834 9 หลายเดือนก่อน +3

    Castoriadis se méprend à plusieurs reprises : nous n’avons aucune preuve qu’Athènes eût inventé l’élection, puisque nous n’avons retrouvé aucune autre constitution grecque autre que celle d’Athènes. Par ailleurs, dès le paléolithique, on a trace de regroupements humains, où peut-être se décidait par le vote (acclamatoire, par exemple) la guerre, ou plus tard le roi, cette dernière modalité étant fort connue.
    Par ailleurs, à Athènes, les magistratures tirées au sort étaient d’une part spécialisées, d’autre part relativement modeste quant aux responsabilités et pouvoirs confiés (la police des marches par exemple). C’était réellement le stratège élu - Périclès le fut réélu et de maintint quarante ans - qui dirigeait la cité, comme l’admet Thucydide. Or - vice principiel de la démocratie élective - l’argent tenait une large part dans cette élection (via par exemple la mistos : défraiement pour la participation à la boulè) ou encore le financement des déficits publics. La « démocratie athénienne » connaissait donc bien des défauts qui percluent nos « démocraties » contemporaines. La « démocratie » athénienne ne signale donc rien autre chose que l’invention d’un système permettant aux oligarchies de se départager, comme ce fut le cas aussi à Florence ou Venise qui élisaient leur premier magistrat.
    Mais le plus grave défaut de Castoriadis est de ne rien proposer - à part une évanescente révolution -, aucune solution, aucune architecture institutionnelle pour approfondir la démocratie. Dans « Tirage au sort et imparfaites démocratie, aux Editions Yves Michel », je montre comment le tirage au sort non seulement répond aux vœux du présent, s’ancre profondément dans les modes de fonctionnement sous-jacent des systèmes complexes vivants ou non (système immunitaire, génétique...). Mais il a surtout l’avantage de briser les dynamiques oligarchiques. Tout en restant attentif à l’acceptabilité de cette proposition, j’avance une proposition simple : ainsi le vote est devenu un credo, une croyance. Il est difficile de lutter contre un credo. Voilà pourquoi le vote reste admissible quand un petit nombre ayant une connaissance personnelle des candidats les élisent en connaissance de cause ; il est à rejeter, pour lui préférer le tirage au sort, quand le très grand nombre élit la minorité ou la personne investies de pouvoirs considérables : assemblées législatives).
    Castoriadis comprend que l’implosion - toujours en cours - du bloc « socialiste » prive les gens de tout rêve, de tout espoir. C’est son tort de ne rien proposer. On n’agit qu’en vue d’un objectif désirable : le tirage au sort, dès lors qu’il est fondé en « nature », strictement encadré, constitue une telle utopie réaliste.

    • @belliebellie8006
      @belliebellie8006 4 หลายเดือนก่อน

      Je reprend le texte d'une personne qui nous exorte à reflechir sur le RIC
      Qu'en pensez-vous ?
      LE CALENDRIER DES RIC (Référendum d'Initiative Citoyenne)
      J'estime que la question de la fixation du calendrier des RIC est d'une grande importance. Aussi je propose que les sessions de RIC se tiennent le dernier dimanche de mars, le dernier dimanche de juin, le dernier dimanche de septembre et le dernier dimanche de décembre. Puisqu'est légitime la tenue de RIC communaux, départementaux, régionaux et nationaux (y compris le RIC constituant) il y aura au maximum seize RIC par an et au minimum zéro répartis dans quatre sessions qui auront lieu aux dates susmentionnées. Ainsi, lors de chaque session il y aura au minimum zéro RIC et au maximum quatre (*). Si nous décidons que le seuil de déclenchement d'un RIC national comme le RIC constituant est de 700 000 pétitionnaires, une pétition pour la tenue d'un RIC constituant ayant recueilli 730 405 signatures permettra la tenue de ce RIC constituant, par exemple, le dernier dimanche de mars et la pétition pour un autre RIC national ayant recueilli 720 210 signatures autorisera la tenue de ce second RIC national le dernier dimanche de juin. La même règle sera appliquée pour les trois autres échelons administratifs. Il va de soi que le nombre de signatures à recueillir pour les échelons communal, départemental et régional sera proportionnel au nombre d'habitants respectifs de ces différentes communautés administratives et variera donc d'une commune à l'autre, d'un département à l'autre et d'une région à l'autre. Si, par exemple, deux RIC et non quatre ont lieu dans une commune lors de la session des RIC du dernier dimanche de septembre, cela signifiera soit que deux propositions de RIC n'auront pas encore recueilli le nombre suffisant de signatures permettant la tenue de ces RIC, soit que les citoyens n'auront pas jugé nécessaire la tenue de ces RIC et n'auront donc pas entrepris une campagne de récolte de signatures, ou bien encore l'une et l'autre de ces deux éventualités.
      (*) Chacun de ces quatre RIC se subdivise en RIC législatif, abrogatoire, révocatoire, veto, etc. Le RIC constituant est l'une des subdivisions du seul RIC national.

  • @mohamedzebdji-ru6re
    @mohamedzebdji-ru6re 17 วันที่ผ่านมา

    Peut etre plus je n etais pas la

  • @mohamedzebdji-ru6re
    @mohamedzebdji-ru6re 17 วันที่ผ่านมา

    Y avait 3 esclave par electeur

  • @mohamedzebdji-ru6re
    @mohamedzebdji-ru6re 17 วันที่ผ่านมา

    C est impossible monsieur rene Guénon l a clairement explique et vous en avez certainement pas la primeur