Il y eût un précédent, environ 25 ans avant la Révolution française, ce fut la nation corse qui, sous l'impulsion de son chef, Pasquale Paoli, accorda, la première en Europe, l'égalité des droits et la pleine citoyenneté au Juifs dont le "Père de la patrie" avait fait venir dans l'île quelques familles de Livourne et de Padoue pour t développer le commerce. À quelques insulaires ultra-catholiques qui s'en offusquaient, Paoli avait fait cette réponse superbe, en Italien, langue écrite et savante de l'île à l'époque, dans le texte : "In Corsica, la libertà non si confessa e non consulta l'Inquisizione". Inutile de traduire je pense.
un grand respect car La Corse a été le premier territoire du monde à se doter d'une constitution écrite, en 1755 sous l'impulsion de Pasquale Paoli, constitution qui a d'ailleurs très clairement inspiré la Constitution Américaine, dont de nombreux passages sont identiques. Pasquale Paoli, un tres grand homme visionnaire de l histoire de l humanité, trop méconnu helas.
N'exagérons rien, @@vidadcedora2329 , la figure de Pasquale Paoli était certes bien connue et célébrée dans les 13 colonies, futurs États-Unis d'Amérique, durant la période précédant immédiatement la guerre d'indépendance, en particulier grâce au véritable best-seller que fut, à l'époque, le livre de James Boswell, "An account of Corsica - Memories of Pasquale Paoli", mais, par-contre, on n'a retrouvé absolument aucune référence à notre Constitution corse de 1755 dans les travaux préparatoires de la Constitution fédérale américaine de 1787. Cela-dit, une piste reste à explorer, celle des échanges d'idées qui auraient ou s'opérer dans le cadre des travaux des loges maçonniques, car aussi bien Pasquale Paoli que les pères fondateurs de la nation américaine, notamment Benjamin Franklin et Thomas Jefferson, habitués de la loge des neuf muses à Londres, celle de Paoli, très liée à la loge des neufs sœurs à Paris, celle du marquis de La Fayette, étaient tous francs-maçons. Et puis, on sait que Pasquale Paoli et Thomas Jefferson ont aimé la même femme, Maria Cosway née Hartfield, artiste britannique née et élevée à Florence.
Il n'y a pas de "génocide" à Gaza, les mots ayant un sens précis, mais une guerre difficile menée contre un ennemi fanatique et sans scrupules qui n'hésite pas à se planquer derrière et sous sa propre population civile dont il se sert comme d'un "bouclier humain", lui ayant notamment toujours interdit l'accès à son vaste réseau de tunnels souterrains édifié grâce au détournement massif de l'aide internationale à Gaza et strictement réservé à ses tueurs, ayant tout fait pour entraver son évacuation vers la frontière égyptienne pourtant demandée par Tsahal avant-même le déclenchement de son offensive terrestre, y compris par des exécutions sommaires dont j'ai vu des images en novembre dernier sur le portable de l'un de mes frères de loge dont la fille vit à Tel-Aviv et se cachant aujourd'hui au beau milieu des réfugiés entassés à Rafah. Si vous voulez vraiment aider les Gazaouis, demandez donc aux dirigeants du Hamas et à leurs troupes de libérer sains et saufs les derniers otages qu'ils détiennent, de sortir de leurs trous les mains en l'air et de se rendre. Auriez vous qualifié de "génocide" les bombardements alliés systématiques des villes allemandes et les exactions de l'armée soviétique contre les populations civiles allemandes durant les dernières années de la seconde guerre mondiale, pourtant comptables d'infiniment plus de victimes civiles qu'il n'y en a jamais eues à Gaza ? évidemment non ce fut simplement la guerre totale voulue par les nazis et retombant sur leur pays, de même que ce qui se passe à Gaza est la guerre totale voulue par le Hamas le 7 octobre dernier et retombant sur sur le peuple qu'il prétend représenter et défendre mais dont il est, en réalité, le pire des bourreaux. D'ailleurs, les gens du Hamas ne sont pas autre-chose que les héritiers idéologiques et politiques directs de Mohamed Hadj Amine al-Husseini, grand mufti de Jérusalem, ordonnateur des tous premiers massacres de cette interminable "guerre de cent ans", les pogroms sanglants comptables de quelques centaines de victimes qui caractérisèrent les deux grandes révoltes arabes de la Palestine sous mandat britannique dans l'entre-deux-guerres, celle de 1929 et celle de 1936 à mars 1939, pogroms auxquels font d'ailleurs sinistrement écho ceux du 7 octobre dernier, et dont on connaît le rôle de collaborateur zélé de l'Allemagne nazie qu'il joua ensuite durant la seconde guerre mondiale.
Il y eût un précédent, environ 25 ans avant la Révolution française, ce fut la nation corse qui, sous l'impulsion de son chef, Pasquale Paoli, accorda, la première en Europe, l'égalité des droits et la pleine citoyenneté au Juifs dont le "Père de la patrie" avait fait venir dans l'île quelques familles de Livourne et de Padoue pour t développer le commerce. À quelques insulaires ultra-catholiques qui s'en offusquaient, Paoli avait fait cette réponse superbe, en Italien, langue écrite et savante de l'île à l'époque, dans le texte : "In Corsica, la libertà non si confessa e non consulta l'Inquisizione". Inutile de traduire je pense.
un grand respect car La Corse a été le premier territoire du monde à se doter d'une constitution écrite, en 1755 sous l'impulsion de Pasquale Paoli, constitution qui a d'ailleurs très clairement inspiré la Constitution Américaine, dont de nombreux passages sont identiques. Pasquale Paoli, un tres grand homme visionnaire de l histoire de l humanité, trop méconnu helas.
N'exagérons rien, @@vidadcedora2329 , la figure de Pasquale Paoli était certes bien connue et célébrée dans les 13 colonies, futurs États-Unis d'Amérique, durant la période précédant immédiatement la guerre d'indépendance, en particulier grâce au véritable best-seller que fut, à l'époque, le livre de James Boswell, "An account of Corsica - Memories of Pasquale Paoli", mais, par-contre, on n'a retrouvé absolument aucune référence à notre Constitution corse de 1755 dans les travaux préparatoires de la Constitution fédérale américaine de 1787. Cela-dit, une piste reste à explorer, celle des échanges d'idées qui auraient ou s'opérer dans le cadre des travaux des loges maçonniques, car aussi bien Pasquale Paoli que les pères fondateurs de la nation américaine, notamment Benjamin Franklin et Thomas Jefferson, habitués de la loge des neuf muses à Londres, celle de Paoli, très liée à la loge des neufs sœurs à Paris, celle du marquis de La Fayette, étaient tous francs-maçons. Et puis, on sait que Pasquale Paoli et Thomas Jefferson ont aimé la même femme, Maria Cosway née Hartfield, artiste britannique née et élevée à Florence.
Et aujourd'hui melanch est antisémite.
Oui, mais tout en se réclamant de Robespierre, est-il encore républicain, c'est à dire universaliste et laïc ?
Vous faites quand un reportage sur Robespierre et les victimes du genocide juif à Gaza ?
Il n'y a pas de "génocide" à Gaza, les mots ayant un sens précis, mais une guerre difficile menée contre un ennemi fanatique et sans scrupules qui n'hésite pas à se planquer derrière et sous sa propre population civile dont il se sert comme d'un "bouclier humain", lui ayant notamment toujours interdit l'accès à son vaste réseau de tunnels souterrains édifié grâce au détournement massif de l'aide internationale à Gaza et strictement réservé à ses tueurs, ayant tout fait pour entraver son évacuation vers la frontière égyptienne pourtant demandée par Tsahal avant-même le déclenchement de son offensive terrestre, y compris par des exécutions sommaires dont j'ai vu des images en novembre dernier sur le portable de l'un de mes frères de loge dont la fille vit à Tel-Aviv et se cachant aujourd'hui au beau milieu des réfugiés entassés à Rafah. Si vous voulez vraiment aider les Gazaouis, demandez donc aux dirigeants du Hamas et à leurs troupes de libérer sains et saufs les derniers otages qu'ils détiennent, de sortir de leurs trous les mains en l'air et de se rendre. Auriez vous qualifié de "génocide" les bombardements alliés systématiques des villes allemandes et les exactions de l'armée soviétique contre les populations civiles allemandes durant les dernières années de la seconde guerre mondiale, pourtant comptables d'infiniment plus de victimes civiles qu'il n'y en a jamais eues à Gaza ? évidemment non ce fut simplement la guerre totale voulue par les nazis et retombant sur leur pays, de même que ce qui se passe à Gaza est la guerre totale voulue par le Hamas le 7 octobre dernier et retombant sur sur le peuple qu'il prétend représenter et défendre mais dont il est, en réalité, le pire des bourreaux. D'ailleurs, les gens du Hamas ne sont pas autre-chose que les héritiers idéologiques et politiques directs de Mohamed Hadj Amine al-Husseini, grand mufti de Jérusalem, ordonnateur des tous premiers massacres de cette interminable "guerre de cent ans", les pogroms sanglants comptables de quelques centaines de victimes qui caractérisèrent les deux grandes révoltes arabes de la Palestine sous mandat britannique dans l'entre-deux-guerres, celle de 1929 et celle de 1936 à mars 1939, pogroms auxquels font d'ailleurs sinistrement écho ceux du 7 octobre dernier, et dont on connaît le rôle de collaborateur zélé de l'Allemagne nazie qu'il joua ensuite durant la seconde guerre mondiale.