Le Morvan, un lieu sur le toit du monde ! Oui, le connaitre est essentiel dans nos vies, y vivre est constructif et significatif. On ne vient pas en Morvan, "on ne naît pas en Morvan par Hasard", me dit un jour de l' an 2000 le rédacteur en chef de "Vent du Morvan". Je peux humblement témoigner de ce que peut apporter cette région, ses habitants, cette "biosphère" extrêmement vivante. Il est bien agréable de constater l' ouvrage de Ghislaine et Christian, en tous points. "Les Morvan" sont denses et multiples, aussi riches les uns les autres, la terre parle, elle exulte ce qui existe de plus précieux sur terre, et tant de l' impalpable qui surgit dans nos vies à chaque carrefour ! C' est en Morvan que je jouai la première fois " Sati" au piano, pour mon fils né en 2003 à Autun, sous le mont Beuvray couronné de chaumes...Saint Léger 1er évêque d' Autun y imprima un je ne sais quoi de profond et de passionné, chaque pierre en parle, chaque linteau, Fût-ce celui d' Ève (musée Rolin) à qui Gislebertus redonna vie pour l' éternité, dans le tympan originel et primitif de la cathédrale Saint Lazare d' Autun, la première fille de la Major Ecclesia de Cluny. Il est bon de le rappeler, notre histoire architecturale dans son fondement à la conscience de l' être, du "soin à l' autre", commence à Autun.....regardez donc enfin la direction que prit ce vaisseau de pierre du renouveau roman ! tracez de la règle et du compas, et vous comprendrez ce que signifie vivre en Morvan, à Autun. La vielle à roue y résonne de par les monts et vallées et dévale sans jamais mourir, au gré de l' Yonne qui prend sa source sous le mont Beuvray, à Glux en Glenne, formant Settons, et Pannecière !, à deux pas de villapourçon et Saint Léger de Fougeret. La Gravelle est puissante et imprègne nos devenirs à un tel point, c' est peu de le dire ! C' est en Morvan que j' obtins mes premiers lauriers d' artisan graveur, dans les maquis de "Dun les Places" , où l' amitié dans ce qu' elle a de plus noble, me fut offerte, encore et encore, et comme nulle part ailleurs je dois le dire. Oui, ce qu' il y a de plus beau en Morvan et dans sa lisière (le Morvan rayonne tant), sont ses être endémiques, ses paysans dont parle Émile Guillaumin et dont l' épouse en était native, (paysan écrivain) de son Ygrande magnifique, 10 kms à vol d' oiseau en bourbonnais....( la vie d' un simple). Je les ai connu ces êtres beaux et doux, au regard de biche, tendres et timides, alors que leur noblesse empli l' espace. Pour moi, ils s' appelaient principalement Pierre et Marie, et lorsque dans ma longère Morvandiote de Mazille à Isenay, il faisait froid, se furent eux qui m' apportèrent quelques précieuses cordes de vrai bois bien sec....m' apprirent a composer un enduit naturel, à préserver mes tomettes ou remuer la paille de ma grange...et avec le sourire...comme jamais...Aussi Saint-Péreuse me fût d' un bienfait constructif, pensez donc, un atelier et un logis pour le prix de trois salades, oui, je peux encore en témoigner. Certains Maires sont d' une exemplaire paternité, fraternité, merci Alain !. C' est donc en Morvan que je devins père, j' habitais en Nièvre en lisière de "Château", mais naître en Morvan était essentiel et incontournable, donc, notre fils naquit à Autun, l' une des trois plus belles ville de la Gaule, il est bon de le rappeler aussi. Et toute sa jeune vie en fût marquée comme rare, tant au niveau de l' intelligence logico mathématique que celle du coeur...un parcours digne de celui de Marcel Pagnol.....Un honneur pour nous, mais aussi pour le Morvan. Naître sous la cathédrale, dans le triangle Autun Vézelay Saint-Péreuse est sans égal. Nous vivions dans un bardeau de signifiances, de bénédictions, et d' attentions. Oui l' altruisme est une composante fondamentale de la nature Morvandiote, et les êtres d' adoption qui ont contribué à cette vivance récement, et ont bien mérité d' être cités, reconnus, honorés. C' est aussi du Morvan, en compagnie de mes collègues de Saône et Loire, qu' un beau jour de 2002, je faisais salon au carrousel du Louvre, le Salon du patrimoine, s' il en est...Et j' y étais l' unique graveur sur verre de France....Oui c' est aussi cela le Morvan, à chaque croisement la rencontre est assurée, une main puissante veille et accomplit. C' est aussi en Morvan, et dans la proximité de Beaune, que s' inscrit en moi, le métier de peintre copiste, et surtout la réalité des primitifs Flamands ( Rogier Van der Weyden), notre histoire...Nicolas Rolin, Guigone de Salins....les Hospices de Beaune, mais aussi le maître de Moulins rappelez vous ! Lorsque en 2011, j' achevai la rédaction de mon ouvrage à propos des arts et métiers, et de la filiation père fils, ("Un Berger"), je sus garder et faire fleurir un long passage, fort et émouvant, concernant ce Morvan, où nous naissons tous. ( je pense aussi à ce cher Jean Noël d' Avalon.), une icone du "Don" et de la main tendue. Une bien belle revanche aux temps anciens et difficiles des nourrices, mais guère différent d' ailleurs, si les Français savaient ! et je dois dire qu' il n' y a pas de hasard en ce lieu béni, car , par aventure, je devins ( peut on dire malgré soi) le défenseur de l' enfance, de la précocité intellectuelle....un sujet qui a tant besoin d' être défendu, dans notre belle et pauvre France. Oui on devient Morvandiau sans y être né, pour ce qui me concerne, et s' il fallait choisir entre ma Charente ancestrale, celle de mes parents, mon Mercantour de jeunesse et ce Morvan familial et filial, je ne saurais le faire; dans tous les cas ce sont des lieux de prédilection. J' ai peint le Morvan, j' ai dessiné ses demeures et châteaux, chaumières et torrents,....et j' ai écrit ses gens, ses habitants à chacun plus beaux les uns que les autres, J' ai eu grand honneur à vivre le Morvan et en devenir un acteur représentatif. Lorsque je quittai le Morvan, contraint et forcé, ( je m' en serait bien passé), ce fut pour habiter Lourdes, et accomplir ce que j' avais appris en Morvan. Montez donc sur la colline de Saint Léger, et vous y découvrirez un de ces trésors comme nulle part ailleurs, et là pour le coût, une main belle et bien faite de par nature vous montrera la direction et le pourquoi; c' est une des humbles merveilles du "petit patrimoine rural", presque inconnue de nos jours, une merveille est toujours humble, et qu'il est bon, je pense de rendre à la connaissance du bon peuple Morvandiau....un renouveau pour Ève Goë de Henri Vincenot, qui écrivait pour nous autres , en chemin...:
Le Morvan, un lieu sur le toit du monde ! Oui, le connaitre est essentiel dans nos vies, y vivre est constructif et significatif. On ne vient pas en Morvan, "on ne naît pas en Morvan par Hasard", me dit un jour de l' an 2000 le rédacteur en chef de "Vent du Morvan". Je peux humblement témoigner de ce que peut apporter cette région, ses habitants, cette "biosphère" extrêmement vivante. Il est bien agréable de constater l' ouvrage de Ghislaine et Christian, en tous points. "Les Morvan" sont denses et multiples, aussi riches les uns les autres, la terre parle, elle exulte ce qui existe de plus précieux sur terre, et tant de l' impalpable qui surgit dans nos vies à chaque carrefour ! C' est en Morvan que je jouai la première fois " Sati" au piano, pour mon fils né en 2003 à Autun, sous le mont Beuvray couronné de chaumes...Saint Léger 1er évêque d' Autun y imprima un je ne sais quoi de profond et de passionné, chaque pierre en parle, chaque linteau, Fût-ce celui d' Ève (musée Rolin) à qui Gislebertus redonna vie pour l' éternité, dans le tympan originel et primitif de la cathédrale Saint Lazare d' Autun, la première fille de la Major Ecclesia de Cluny. Il est bon de le rappeler, notre histoire architecturale dans son fondement à la conscience de l' être, du "soin à l' autre", commence à Autun.....regardez donc enfin la direction que prit ce vaisseau de pierre du renouveau roman ! tracez de la règle et du compas, et vous comprendrez ce que signifie vivre en Morvan, à Autun. La vielle à roue y résonne de par les monts et vallées et dévale sans jamais mourir, au gré de l' Yonne qui prend sa source sous le mont Beuvray, à Glux en Glenne, formant Settons, et Pannecière !, à deux pas de villapourçon et Saint Léger de Fougeret. La Gravelle est puissante et imprègne nos devenirs à un tel point, c' est peu de le dire !
C' est en Morvan que j' obtins mes premiers lauriers d' artisan graveur, dans les maquis de "Dun les Places" , où l' amitié dans ce qu' elle a de plus noble, me fut offerte, encore et encore, et comme nulle part ailleurs je dois le dire. Oui, ce qu' il y a de plus beau en Morvan et dans sa lisière (le Morvan rayonne tant), sont ses être endémiques, ses paysans dont parle Émile Guillaumin et dont l' épouse en était native, (paysan écrivain) de son Ygrande magnifique, 10 kms à vol d' oiseau en bourbonnais....( la vie d' un simple). Je les ai connu ces êtres beaux et doux, au regard de biche, tendres et timides, alors que leur noblesse empli l' espace. Pour moi, ils s' appelaient principalement Pierre et Marie, et lorsque dans ma longère Morvandiote de Mazille à Isenay, il faisait froid, se furent eux qui m' apportèrent quelques précieuses cordes de vrai bois bien sec....m' apprirent a composer un enduit naturel, à préserver mes tomettes ou remuer la paille de ma grange...et avec le sourire...comme jamais...Aussi Saint-Péreuse me fût d' un bienfait constructif, pensez donc, un atelier et un logis pour le prix de trois salades, oui, je peux encore en témoigner. Certains Maires sont d' une exemplaire paternité, fraternité, merci Alain !.
C' est donc en Morvan que je devins père, j' habitais en Nièvre en lisière de "Château", mais naître en Morvan était essentiel et incontournable, donc, notre fils naquit à Autun, l' une des trois plus belles ville de la Gaule, il est bon de le rappeler aussi. Et toute sa jeune vie en fût marquée comme rare, tant au niveau de l' intelligence logico mathématique que celle du coeur...un parcours digne de celui de Marcel Pagnol.....Un honneur pour nous, mais aussi pour le Morvan. Naître sous la cathédrale, dans le triangle Autun Vézelay Saint-Péreuse est sans égal. Nous vivions dans un bardeau de signifiances, de bénédictions, et d' attentions. Oui l' altruisme est une composante fondamentale de la nature Morvandiote, et les êtres d' adoption qui ont contribué à cette vivance récement, et ont bien mérité d' être cités, reconnus, honorés.
C' est aussi du Morvan, en compagnie de mes collègues de Saône et Loire, qu' un beau jour de 2002, je faisais salon au carrousel du Louvre, le Salon du patrimoine, s' il en est...Et j' y étais l' unique graveur sur verre de France....Oui c' est aussi cela le Morvan, à chaque croisement la rencontre est assurée, une main puissante veille et accomplit. C' est aussi en Morvan, et dans la proximité de Beaune, que s' inscrit en moi, le métier de peintre copiste, et surtout la réalité des primitifs Flamands ( Rogier Van der Weyden), notre histoire...Nicolas Rolin, Guigone de Salins....les Hospices de Beaune, mais aussi le maître de Moulins rappelez vous !
Lorsque en 2011, j' achevai la rédaction de mon ouvrage à propos des arts et métiers, et de la filiation père fils, ("Un Berger"), je sus garder et faire fleurir un long passage, fort et émouvant, concernant ce Morvan, où nous naissons tous. ( je pense aussi à ce cher Jean Noël d' Avalon.), une icone du "Don" et de la main tendue. Une bien belle revanche aux temps anciens et difficiles des nourrices, mais guère différent d' ailleurs, si les Français savaient ! et je dois dire qu' il n' y a pas de hasard en ce lieu béni, car , par aventure, je devins ( peut on dire malgré soi) le défenseur de l' enfance, de la précocité intellectuelle....un sujet qui a tant besoin d' être défendu, dans notre belle et pauvre France. Oui on devient Morvandiau sans y être né, pour ce qui me concerne, et s' il fallait choisir entre ma Charente ancestrale, celle de mes parents, mon Mercantour de jeunesse et ce Morvan familial et filial, je ne saurais le faire; dans tous les cas ce sont des lieux de prédilection. J' ai peint le Morvan, j' ai dessiné ses demeures et châteaux, chaumières et torrents,....et j' ai écrit ses gens, ses habitants à chacun plus beaux les uns que les autres, J' ai eu grand honneur à vivre le Morvan et en devenir un acteur représentatif.
Lorsque je quittai le Morvan, contraint et forcé, ( je m' en serait bien passé), ce fut pour habiter Lourdes, et accomplir ce que j' avais appris en Morvan. Montez donc sur la colline de Saint Léger, et vous y découvrirez un de ces trésors comme nulle part ailleurs, et là pour le coût, une main belle et bien faite de par nature vous montrera la direction et le pourquoi; c' est une des humbles merveilles du "petit patrimoine rural", presque inconnue de nos jours, une merveille est toujours humble, et qu'il est bon, je pense de rendre à la connaissance du bon peuple Morvandiau....un renouveau pour Ève Goë de Henri Vincenot, qui écrivait pour nous autres , en chemin...:
Le Morvan, vous ouvrez votre porte, et déjà vous voyagez !
Le Morvan : 💚
+Pascale LUSE :)
3eme E-D 👋🏽
Et B pour le coup 💀
yo
Salut tes macoumè?😄 pcq moi…😏😏
yo les 3eme c
tg