Le totalitarisme mou est déjà là, triomphant. Le niveau de réflexion critique semble catastrophique chez les Millenials. Dès lors qu'un schéma de réflexion s'éloigne des Leitmotiv du tout venant, la masse des spectateurs choisit, au mieux, le bégaiement et l'incapacité à gérer l'émotion, et très souvent l'ostracisme de la personne ou du groupe jugé idéologiquement suspect (car perçu comme étrange, bizarre, puisque non Mainstream, en fait trop challengeant intellectuellement). On fait douter les jeunes, on les rend complètement dépendants des réflexes du prêt-à-penser. Il y a, à la base de la crise morale et philosophique, avant tout un manque d'intelligence émotionnelle face aux grands sujets de notre époque (et même par rapport aux sujets triviaux du quotidien).
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Le totalitarisme mou est déjà là, triomphant. Le niveau de réflexion critique semble catastrophique chez les Millenials. Dès lors qu'un schéma de réflexion s'éloigne des Leitmotiv du tout venant, la masse des spectateurs choisit, au mieux, le bégaiement et l'incapacité à gérer l'émotion, et très souvent l'ostracisme de la personne ou du groupe jugé idéologiquement suspect (car perçu comme étrange, bizarre, puisque non Mainstream, en fait trop challengeant intellectuellement).
On fait douter les jeunes, on les rend complètement dépendants des réflexes du prêt-à-penser. Il y a, à la base de la crise morale et philosophique, avant tout un manque d'intelligence émotionnelle face aux grands sujets de notre époque (et même par rapport aux sujets triviaux du quotidien).