Quand vous parlez de Cartoons, il y a un cartoon ou la chanteuse touche la main du loup qui s'illumine comme une grosse ampoule. C'est très agréable de sortir régulièrement de la séquence pour voir d'autres films.
Bravo et merci pour cette analyse passionnante de Vertigo! J'avoue qu'en tant que simple cinéphile, et passionné, entre autres, par Hitchcock, je n'y aurais pas vu toutes ces subtilités interprétatives (et peu importe que certaines soient peut-être discutables, c'est un point de vue, avec ce que ça comporte nécessairement de subjectif, et c'est justement ce qui en fait tout l'intérêt), ni ces précisions plus "techniques" concernant les cadrages, les contre plans ou fondus enchainés, etc, bref tout ce qui concerne le savoir faire et la mise en œuvre d'un cinéaste. Et Dieu sait qu'Hitchcock était un maître en la matière. Le plaisir que procure ce genre d'analyse est qu'il permet de voir et revoir un tel film avec un autre regard, de peut-être même le voir "autrement", là où la technique justement rejoint l'émotion, et où tous les non-dits sont éclairés par l'image et le moindre détail. J'ai moi même le projet de préparer une analyse d'un autre genre, centrée principalement sur la musique de Bernard Hermann dans ce film (entre autres) à l'intention de mes élèves en composition pour l'image. C'est ainsi, au cours de mes recherches, que je suis tombé sur votre étude lumineuse...! Vous êtes vous même cinéaste? Je pense qu'à terme, et si ça parait faisable matériellement, ça pourrait être intéressant, même dans le cadre d'une étude plus spécifiquement musicale, d'avoir pour les apprentis compositeurs au cinéma, le point de vue plus strictement cinématographique de quelqu'un comme vous. Sous forme d'intervention ponctuelle ou autre à préciser. Mais c'est une autre histoire. Bien à vous.
Hitchcock avait deja abordé ca dans fenetre sur cour, je pense que c'est une des partie de la grande obsession d'hitchcock : le voyeurisme, comme si le spectateur regardait un film representant un personnage de fiction "regarder un film", encore une sensation de vertige tiens !
Bonne analyse ...un peu longue parfois mais vous prêtez à Hitchcock des intentions qu'il n'a sans doute jamais eues ! ( ex : la distance entre les voitures ...le Golden Gate qui relie les vivants et les morts ...)
C'est une séquence sur le regard, mais j'ai du mal avec cette idée de cinéma dans le cinéma pour ce film là, je trouve que c'est une idée trop contemporaine (en sous texte je veux dire, par rapport à des films qui en parlent directement comme les Ensorcelés). Quand vous parlez de Cary Grant dans « La Mort aux Trousses », je pense que c'est surtout parce que c'est un enfant, et non un homme impuissant, un enfant qui va devenir un homme à la fin du film, rattaché à sa mère, il va s'émanciper.
Superbe analyse ! De la sortie du film à maintenant (2023) je n'ai jamais dévié de ce que vous mettez si habilement en lumière !
Merci pour cette magnifique analyse qui dévoile les structures psychologiques qui sous-tendent au film et au réalisateur. Un grand plaisir à regarder.
Cette vidéo va probablement sauver mon semestre ! J'avais quelques éléments d'analyse, mais votre vidéo m'a éclairée ! Merci beaucoup !
Merci beaucoup !! une analyse excellente et une aide très précieuse pour mes cours de cinéma
je vous remercie beaucoup!
Quand vous parlez de Cartoons, il y a un cartoon ou la chanteuse touche la main du loup qui s'illumine comme une grosse ampoule. C'est très agréable de sortir régulièrement de la séquence pour voir d'autres films.
Bravo ! Superbe belle analyse...merci.
Passionnant. A noter que l'eau, dans laquelle Madeleine se noie, est de couleur verte. Ce n'est certainement pas un hasard.
Entendu parlé du spoil?
Bravo et merci pour cette analyse passionnante de Vertigo! J'avoue qu'en tant que simple cinéphile, et passionné, entre autres, par Hitchcock, je n'y aurais pas vu toutes ces subtilités interprétatives (et peu importe que certaines soient peut-être discutables, c'est un point de vue, avec ce que ça comporte nécessairement de subjectif, et c'est justement ce qui en fait tout l'intérêt), ni ces précisions plus "techniques" concernant les cadrages, les contre plans ou fondus enchainés, etc, bref tout ce qui concerne le savoir faire et la mise en œuvre d'un cinéaste. Et Dieu sait qu'Hitchcock était un maître en la matière. Le plaisir que procure ce genre d'analyse est qu'il permet de voir et revoir un tel film avec un autre regard, de peut-être même le voir "autrement", là où la technique justement rejoint l'émotion, et où tous les non-dits sont éclairés par l'image et le moindre détail.
J'ai moi même le projet de préparer une analyse d'un autre genre, centrée principalement sur la musique de Bernard Hermann dans ce film (entre autres) à l'intention de mes élèves en composition pour l'image. C'est ainsi, au cours de mes recherches, que je suis tombé sur votre étude lumineuse...!
Vous êtes vous même cinéaste?
Je pense qu'à terme, et si ça parait faisable matériellement, ça pourrait être intéressant, même dans le cadre d'une étude plus spécifiquement musicale, d'avoir pour les apprentis compositeurs au cinéma, le point de vue plus strictement cinématographique de quelqu'un comme vous. Sous forme d'intervention ponctuelle ou autre à préciser. Mais c'est une autre histoire. Bien à vous.
Merci pour cette analyse passionnante !
Excellente analyse. Impatient de découvrir la prochaine!
Hitchcock avait deja abordé ca dans fenetre sur cour, je pense que c'est une des partie de la grande obsession d'hitchcock : le voyeurisme, comme si le spectateur regardait un film representant un personnage de fiction "regarder un film", encore une sensation de vertige tiens !
Bonne analyse ...un peu longue parfois mais vous prêtez à Hitchcock des intentions qu'il n'a sans doute jamais eues ! ( ex : la distance entre les voitures ...le Golden Gate qui relie les vivants et les morts ...)
fascinante analyse
Encore une analyse passionnante ! Merci ! : )
vertige de la maison du docteur Edwards ou de Marnie aussi.
C'est une séquence sur le regard, mais j'ai du mal avec cette idée de cinéma dans le cinéma pour ce film là, je trouve que c'est une idée trop contemporaine (en sous texte je veux dire, par rapport à des films qui en parlent directement comme les Ensorcelés). Quand vous parlez de Cary Grant dans « La Mort aux Trousses », je pense que c'est surtout parce que c'est un enfant, et non un homme impuissant, un enfant qui va devenir un homme à la fin du film, rattaché à sa mère, il va s'émanciper.
Merci ! :)
Eh bien, merci beaucoup .
Je veut la film
vous ne pouvez pas traduire en espagnol?. merci beaucoup
Notre niveau en Espagnol est bien insuffisant pour pouvoir se permettre une traduction de cette analyse ...