Qu’est-ce qu’il y a de breton à Nantes ?
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- เผยแพร่เมื่อ 14 ต.ค. 2024
- La ville de Nantes, en Loire-Atlantique, a encore de nombreux liens avec la Bretagne même si elle n'en fait plus partie depuis 1941. Et pour cause : pendant des siècles, Nantes a été une place forte en Bretagne, tant au niveau politique qu'au niveau économique.
Nantes fut même le lieu de séjour principal des ducs de Bretagne, comme l'atteste le célèbre château des ducs.
Aujourd'hui, il subsiste quelques empreintes de ce passé breton.
On n'efface pas 1 500 années de liens comme ça !
Partez à la découverte de ces traces bretonnes dans notre vidéo.
Nantes est toujours en Bretagne même si elle n'est pas dans la région administrative parisienne créée en 1956 qui a usurpé le nom de Bretagne.
Si tout le monde pouvait avoir se raisonnement :(. Malheureusement le découpage économique a fait énormément de mal.
Nantes n'est pas dans la région administrative qui s'intitule "Région Bretagne" mais fait effectivement toujours partie de la Bretagne et les dictionnaires et encyclopédies ne le démentent pas.
Nantes a depuis toujours appartenu à la Bretagne au sens historique. Seules les raisons administratives (de moins d'un siècle) ont eu raison de ce rattachement ! Qu'on nous rende ce qui est légitime. Un point c'est tout.
Aucun doute, Nantes est et sera toujours en Bretagne !
Il sont ou les bretons il pèse pas dans la vie politique a Nantes
Nantes est une ville bretonne et elle doit revenir à la Bretagne et réparé cette injustice des jacobins de Paris qu'on fait....
Faux! la ville de Nantes n'est plus en Bretagne depuis 1941, dites-vous? De quel droit proférez-vous une telle contre-vérité? D'une part, Nantes est toujours en Bretagne historique, d'autre part la Région Bretagne administrative actuelle, excluant le pays nantais, n'existe comme entité politique que depuis 1972. Jamais les Bretons n'ont été consulté sur cette partition inadmissible. C'est un déni de démocratie. Un point c'est tout!
La constitution ne prévoit pas de vote pour la découpe des collectivités territoriales. Un référendum n'est pas possible : seule une consultation peut être entreprise. Le processus régional lancé après 1848 a vu Nantes se détacher des départements bretons en retard économique pour les futures capitales des DPL... L'acte de naissance des PDL est le décret du 28 septembre 1938. Mais il y eut des précédents dans d'autres domaines : comme la réorganisation des PTT en 1932 qui met Nantes dans un Val de Loire. C'est l'établissement public régional qui est créé en 1972, mais depuis le décret du 28 novembre 1956 les circonscriptions sont définies et les missions dépassent l'aspect économique. Cf. l'analyse Labasse Jean. La portée géographique des programmes d'action régionale français. In: Annales de Géographie, t. 69, n°374, 1960. pp. 371-393.
Subscribed! Bien vidéo (#^.^#)
J'ai déjà été à Nantes plusieurs fois
Et ??
@@MH456-même question...et???et alors? Nantes, 44, Loire-Armorique Na! 😅
En réponse à de nombreux commentaires : l' actuelle Loire-Atlantique (44) était la Loire-Inférieure (44) , douloureuse amputation du régime de Vichy . Aucun politique, au pouvoir,depuis la libération n'a remis ce département à sa place: en Bretagne ! Comme le chante Gilles Servat...de Fougères à Clisson ( frontières naturelles ). Et pour Nulliette d'Art magnet : une chanson c'est musique + paroles . Si une chanson vous dégoûte, nul détail ; pour vous la musique folklorique irlandaise et donc dégoûtante. Lorient, et tous les participants du festival, réveillez-vous devant la bêtise insultante . Pensée lacs irlandais, tribu de Dana ,et même Susana et sa gaïta ( Seivane ,bien sûr 😅 ) . De nouveau : Nantes ,en Bretagne, département 44 Loire-Armorique !
Le mythe vychiste est entretenu par les militants de l'Emsav qui comptent, et ils ont raison, sur la paresse du quidam qui n'ira pas vérifier. Ce reportage me paraissait douteux et a titillé ma curiosité. 10 mois de recherches plus tard sur Nantes dans le processus de régionalisation : cette propagande vole en éclat. Dès la RF l'ensemble breton disparaît avec la fin des Provinces. Dans la construction régionale, qui fut d'abord économique, dès la seconde moitié du XIXe Nantes incline vers les futures capitale des PDL et affronte Rennes. Cela s'accélèrent dès 1919 avec les GIR de Clémentel. Les administrations dans leurs découpages précèdent l'Etat dans les années 30. Les noms des régions, dont les Pays de la Loire, sont créés en 1938. Mais la guerre éclate. Pétain déclare en juillet 40 vouloir restaurer les Provinces avec à leur tête l'équivalent de "grands seigneurs". Il nomme la commission Romier à cette fin. Les discussions, où il s'exprime pour une Bretagne à cinq, s'éternisent sous la rivalité Nantes-Rennes. En attendant, pour palier aux urgences, le pouvoir des préfectures est élargi en juin 41 pour leur confier la gestion du ravitaillement et des pouvoirs de police : notamment la surveillance des conseillers généraux. Ces préfectures sont des organes centraux qui n'ont rien à voir avec le processus de régionalisation. L'ordonnance du 8 août 1944 annule lois et décrets de Vichy : on en revient à la situation de 39 et les découpages déjà dans les cartons. Le processus de régionalisation reprend toujours dans l'idéal sans-culotte, qui commanda déjà à la création des départements : sortir des archaïsmes du droit du sang et du sol qui a maintenu l'aristocratie et ses privilèges, prévenir son retour par la création d'institutions démocratiquement élus s'appuyant sur les villes pour diffuser les besoins en aménagement et de modernisation. La compromission du PNB pendant l'Occupation a fini de convaincre des conservateurs comme De Gaulle de la nécessité de sortir des archaïsmes identitaires : il était favorable au Provinces et une Bretagne à cinq, mais en fut dissuadé par Debré.
Ridicule de penser que Nantes n'est pas breton
Nantes a beau se revendiquer bretonne, l'architecture ne trompe pas, elle est bien plus proche des pays de la Loire.
C'est pas une revendication, c'est un fait historique.
Mais non c'est pas l'architecture qui définit un territoire sinon ça va être le bordel
Ah bon l architecture de la Mayenne et de la Vendée sont similaires selon vous ??
S'il est indêniable que l'on observe à Nantes une alliance tuffaut-granit il faut remarquer qu'il y a mpins de bâti en granite à Rennrs qu' à Nantes. Le sillon de Bretagne qui prolonge les Menezioú Du et les landes de Lanvaux traverse Nantes et la Loire.
@@cadarn7582 Remarque intéressante car elle témoigne que l'identité est une construction sociale où chacun projette ses sensibilités. Ainsi pour vous c'est l'architecture, et ma foi : pourquoi pas !
Enfin on dit nante en Bretagne
Bretagne indépendante
Vive le guinadou et le Bro gozh ma zadou
AUREVOIR la france
Wsh détend toi.
@@imlost3900 je suis calme mes on serait mieux sans la France qui nous a envahi depuis 500 ans
@@roadblock4893 même chose pour l'Alsace, non au colonialisme
@@gamermapper l'Alsace le pays basque la corse guyane Guadeloupe Martinique si on si on se met touse on peut faire changer les choses
Il est dommage de résumer la riche histoire de Nantes qu'à sa fibre bretonne, tandis que sa fondation est gallo-romaine et que jusqu'à sa conquête, par la force, tous ces siècles sont occultés alors qu'ils ont façonné aussi la ville. On peut se demander aussi si les turpitudes aristocratiques des comtes et ducs étaient partagés par la population nantaise dont le bassin de vie était sommes toutes plus restreint, nonobstant les marins. La fameuse duchesse n'eut pas de scrupules à envoyer des mercenaires espagnoles lever des impôt ms impayés... Ces nobles étaient plus préoccupés par leur héritage familial que par le bien du quidam. Le château de François fut d'ailleurs débarrassé de ses gueux pour les réaménagements de la Duchesse... La notion de capitale est également discutable puisque durant le moyen âge les cours sont itinérantes et les capitales avec, de fait. Au mieux peut-on valider les années Mercoeur durant la Sainte-Ligue. Que ce soient à la lecture des chroniques de Pierre Le Baud ou bien des archives de la fin XIXe s. sur l'exode rural des bretons vers Nantes : le moins que l'on puisse affirmer est que le sentiment de partager la même identité chez les nantais avec les bretons bretonnants est loin d'être un long fleuve tranquille ...
Les Britophones sont plus nombreux à Nantrs wu'à Rennes. Beaucoup d'entre eux se trouvaient à Chantenay oú se trouve l'êglise Ste Anne. Un Chevalier germanium revenant de Jerusalem au 14ème siècle constatait que la langue bretonne y êtait pratiquée ce qui luo a d'ailleurs permis d' écrire un miniglossaire: son nom ,Von Harff.
En fait la separation du département de l'actuelle L.A. du reste de la Bretagne est une dêcision politique des gouvernements de Paris qui veulent à tout prix empêcher ce qu!'ils craignent: une Bretagne autonome comme le sont la Catalogne ou le Pays de Galles (Nantes jumelée à Caerdiff). Les actuelles tentatives de refaire l"histoire en utilisant constamment le vocable "ligérien" seront vouées à l' échec.
RE' ZO RE.
@@ayangdidi5524 Ne doutons pas effectivement que Diwan ait pu faire recettes à Nantes d'une gentrification qui bat son plein, et d'une immigration de moins en moins bien digérée, poussant à l'entre-soi.
Concernant von Harff : magnifique exemple d'extrapolation sous le prisme de préoccupations contemporaines. D'abord, son voyage date de 1499 et non du XIVe siècle. Ensuite, il relève la présence du breton à Nantes, ce que personne ne met en doute. Certainement à la faveur de la rencontre d'un tenant du breton de Guérande, pourquoi pas originaire du lieu, il retranscrit avec les fautes de son oreille allemande 46 mots bretons dans ses notes. Il faut savoir qu'un individu lambda pratique 3000 mots en moyenne. Pourtant, depuis cette modeste liste von Harff, les nationalistes bretons ont fait de Nantes une ville brittophone… Je vous laisse apprécier l'épaisseur du corpus de cette thèse. De l'autre côté, on observe un puissant État breton, de langue administrative française, des archives en français, et des ducs ne parlant pas un mot de breton. Pierre Le Baud écrira la première histoire des bretons non en latin mais en français. Sont-ils moins bretons pour autant ? Bien sûr que non. Nantes est alors ville tournée vers son hinterland, largement en lien avec la baie de Bourgneuf, et dispose d'un commerce aux mains de bien des étrangers, anglais, castillans, français… pour être dans une situation de carrefour à la faveur de son fleuve et de ses affluents. Est-il alors si extraordinaire, nonobstant ses origines gallo-romaines, des brittophones vécus comme des conquérants, et ce cosmopolitisme de ville commerciale, que la langue majoritaire y fut celle la plus pratique pour les échanges ? Pourquoi refuser à Nantes son originalité ?
Votre réflexe illustre la politisation de la langue, tout à fait contemporaine. Il s'agit sous prétexte de sauvegarde culturelle de se servir du breton comme la France usa du français pour son assimilation, quitte à gommer les particularismes locaux et à tordre le bras à l'histoire au profit d’un Roman Régional qui commence non par “nos ancêtres les gaulois” mais par une autre et similaire fadaise : “nos ancêtres les celtes”.
Vous avez tout à fait raison sur la présence bretonne à Chantenay et quartier Sainte Anne. Mais celle-ci n'a rien à voir avec le duché et la Province. Il s'agit de familles venues s'installer à la faveur de l'exode rural au XIXe siècle. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les nantais n'ont guère apprécié ces nouveaux venus. On peut même parler de racisme et de traite (mot employé par le journal Le Phare). Pour illustrer, voici le rapport Auguste Chérot de 1851. Il est alors adjoint au maire de Nantes : www.persee.fr/doc/genes_1155-3219_1996_num_24_1_1406 Je vous laisse juger la violence. Il faudra attendre l'entre-deux-guerres pour que les bretons s'assimilent et, revanche, bretonnisent Nantes grâce à deux mouvements : le régionalisme, et au sein duquel le maurrassien dont sortiront Mordrel, Marchal Morvan créateur du Gwen ha du. Le second sera l'influence de l'Eglise qui s'emparera des mythes celtes et se mettra à faire des messes en breton pour flatter l'égo ouvrier et l'arracher du marxisme.
Dès lors, brocarder les manipulations de l'Etat français, fussent-elles réelles, en faisant des bretons et de Nantes pauvres victimes politiquement handicapées et naïves : c'est une ineptie. Chacun a joué ses cartes. L'aristocratie bretonne au XIXe, certainement pas en reste niveau cynisme, opta pour la carte Eglise et joua de sa paysannerie, en plein conflit pour la laïcité. Le mouvement nationaliste s'est ensuite embourbé dans l'illusion de l'espoir autonomiste via les nazis. Deux pans qui ont effectivement poussé la République à se méfier un tantinet. Doit-on lui en vouloir ?
Aujourd'hui c'est très différent. Le mouvement se love dans la sociale démocratie libérale européenne contre les États souverains. L'ethnorégionalisme est un outil d'affaiblissement des États au service d'un capitalisme de plus en plus dérégulateur. De fait, le projet de financement principal de l'autonomie bretonne, outre les subsides réclamées à Paris, vise à capter les flux mondiaux via les ports, à commencer par Nantes-Saint-Nazaire. Et là je ne fais que citer le colloque de Carhaix. Cela ne changera rien pour le modeste, sinon qu'il se rassure par un entre-soi bon teint et l'espoir (vain) qu'aux défaillances de l'Etat français à le protéger des risques sociaux et de la mondialisation, se substitue une protection locale… En revanche pour le patronat local, c'est tout bénef : la perspective de devenir potentats locaux, de vendre encore plus de l'estampille BZH, fut-il made China… l'enjeu est appétissant. Bien sûr, on habille tout cela de sauvegarde culturelle, de démocratie délocalisée, et autre langue de bois…
Moi qui suis amoureux de patrimoine et d’histoire, j’ai pu jauger l’épaisseur de l’argument ces dernières semaines. Manifestations et campagne de presse calomnieuse à Bouvron contre le Maire pour un pan de mur XVe et son linteau de cheminée parce qu’appartenant à une villégiature de campagne d’un secrétaire de duc. Parcontre, la destruction de sites gallo-romains, autrement plus rares et intéressants, à quelques mètres à peine, n’a pas fait arquer le moindre sourcil chez les identitaires… Si ce billet n’était déjà trop long, je vous conterai bien aussi les projets BZH-Disney de Philippe Abjean qui n’hésita pas à tolérer qu’on abîme motte féodale pour le parking de sa Vallée des Saints… Un roman, régional, à lui tout seul.
@@Maagus Erreur en effet sur la date du passage de Von Harff à Nantes. A noter que je n 'en ai pas dêduit que TOUTE LA POPULATION DE NANTES de l'époque parlait Brehoneg.
Il n'en reste pas moins que
@@ayangdidi5524 Pas moins que ? Qu'il y avait des bretonnants à Nantes ? Evidemment. Tout comme il y avait des anglophones et des castillans. Mas la majorité de la ville était de langue gallèse et française : pourtant en 2017, on a mis non des panneaux bilingues français/gallo (pourquoi pas pour le sport) mais français/breton. Ah ben là ça change tout, on n'est plus du tout dans la dimension patrimoniale mais politicienne...
@@Maagus ...que la lecture de votre longue argumentation donne à penser que l'essentiel est dénigrer la cause bretonne . Que vous le vouliez ou non elle existe et ses défenseurs sont nombreux. Ajoutons qu' il est parfaitement justifié de lutter contre la gouvernance autocratique et jacobine française. L' état nation serait-il le stade indépensable de la gouvernance politique ? On peut en douter quand on constate ses échecs patents , dans les excolonies françaises rien qu' en Afrique. Le système fédéral aurait certainement amené moins de dégats. La pensée politique française se résume à " Ein Land, Eine Sprache, Ein Folk, Ein Führer".
RE 'ZO RE.
Il faut les occuper les stagiaires... Désolé mais j'ai plus d'émotion quand je regarde la carte postale d'un patelin que je ne connais même pas. Tellement surfait!
Un jour en Bretagne, le lendemain en Pays de la Loire, ça mange à tous le râteliers selon l'importance des subventions à ramasser... De toute façon, il n'y a plus rien de breton à Nantes...
Nantes n'a pas vraiment choisi de quitter la Bretagne, le reste du département avec.
Et plus rien de breton a Nantes ? C'est pour ça qu'il y a des cours de Breton/Gallo a Nantes, le château des ducs de Bretagne, etc...
70 ans de découpage ne suffisent pas à effacer plus d'un siècle de faits historiques.
Mais elle est bretonne
Plus rien de breton à Nantes, quelle belle idiotie! Je rappelle que ce n'est pas seulement Nantes/Naoned qui est bretonne, mais que la Loire-Atlantique toute entière, y compris le sud de la Loire (Pays de Retz), l'est également, et ceci depuis presque douze siècles. Et que depuis 1973, le département entier a voté à maintes reprises, à une écrasante majorité (entre 70 et 75%) à sa réintégration, désir partagé dans les mêmes proportions par la Bretagne "administrative".
@@todslaughter2 naoned est bretonne
"Les pays de la Loire" : belle invention pour affaiblir la Bretagne . Rappelons tout de même un fait : 2 de ses départements ne sont pas riverains de la Loire( Mayenne-Sarthe). En fait charcuterie inadmissible et antidémocratique avec un seul but: empêcher la Bretagne de constituer une entité autonome viable à l'échelle européenne.
La Bretagne était un duché, donc une entité politique (comme la France de nos jours, nommée Gallia jusqu'au 17ème siècle sur les cartes ..) , et non une entité ethno linguistique comme les bretons [identitaires] ineptes le croient.
En effet les patronymes bretons représentent entre 5% et 10% des patronymes en pays Gallo (moitié Est de la Bretagne) dont le pays nantais (on en retrouve plus sur les côtes de la haute-Bretagne (pays Gallo) [comme dans le pays de Guérande] qu'à l'intérieur des terres [sauf enclaves ethno linguistique, comme Guéméné-Penfao] , comme pour les noms normands).
C'est vérifiable dans nos vielles Pages Banches, à y regarder les trombinoscopes dans vos entreprises, ceux des équipes municipales ou de votre équipe locale préférée.
Nantes a été tardivement choisi (15ème siècle) par la famille ducale de Bretagne comme dit ici, et l'a été parce que point fort des fameuses " Marches de Bretagne ", étant une vieille cité gallo-romaine (celles de la tribu gauloise armoricaine des namnètes), qui avait moult atouts stratégiques et économiques (avec la Loire et la proximité de l'Anjou, de la Vendée, et la présence de vigne gallo-romaine).
En effet, en pays bretonnant (brittophone) = basse-Bretagne (moitié ouest de la Bretagne, entièrement péninsulaire), nul ville de poids (quasi que des villages) , les villes importantes se trouvant tous, à l'époque, à l'Est (Rennes, Nantes, Saint-Malo).
Braucoup d'erreurs historiques et...d'orthogtaphe dans cette argumentation biaisée. Carhaix (Vorgium) êtait un centre important . Avant de s'installer à demeure à Nantes sous Jean IV la Cour ducale- tout comme la royauté française et leurs semblables en Europe était de fait itinerante se déplaçant entre autres à Suscinio. Ce n'est qu'à partir de Louis XIII que la Cour de France occupât le Louvre.
La consommation d'alcool ? :-))
Quoi ils a problèmes
C'est a ça qu'on reconnaît des vrais Bretons 💪🏼🍺