Lacaton & Vassal, prix Pritzker : "Arrêtez de démolir !"

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  • เผยแพร่เมื่อ 26 มี.ค. 2021
  • La plus importante distinction du monde de l'architecture a été décernée à des Français pour la troisième fois. Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, les nouveaux lauréats, viennent échanger sur leur travail qui place l'habitant au cœur de la pensée du bâtiment.
  • ภาพยนตร์และแอนิเมชัน

ความคิดเห็น • 6

  • @davidpesce7350
    @davidpesce7350 3 ปีที่แล้ว +2

    Le gros problème de beaucoup d'immeubles (y compris récent) c'est l'isolation phonique qui est souvent oubliée. Cette isolation pourrait être faite avec l'isolation thermique sauf qu'actuellement, on privilégie fiscalement l'isolation par l'extérieur.

  • @luc.dupont
    @luc.dupont 2 หลายเดือนก่อน

    Je pense que vos invités ne répondent pas à la question anthropologique de l'habitat, et qu'ils se positionnent comme architectes, qui seraient mandatés pour savoir comment il faut loger les habitants, penser à leur place.
    Malheureusement, beaucoup de bâtiments construits depuis longtemps, depuis que la liberté individuelle de construire n'existe plus, devraient être détruits, si nous en avions le courage. Ces ensembles "inhumains" continuent d'ailleurs à se propager partout, en Asie, au Moyen-Orient... Un homme honnête et courageux sait qu'il faut détruire les barres et les tours, qui créent des conditions misérables d'être au monde.
    Il n'est pas possible de faire de l'architecture sans questionner le système économique et social dans lequel nous sommes. Et dans votre émission, je n'entends rien là-dessus !
    La condition anthropologique de l'homme est de construire sa maison. Pas d'être dépendant d'un architecte qui pensera à sa place et organisera son espace de vie... Un architecte n'a comme seul intérêt, éventuellement, d'être celui qui transmet des techniques de construction que les autres ne connaissent pas (encore)...
    Je suis architecte, et j'ai arrêté cette pratique, car les conditions d'un exercice honnête de ce métier n'existent plus chez nous.

  • @GuyLouisMorel
    @GuyLouisMorel 3 ปีที่แล้ว +3

    Je ne pense pas que ces deux chanceux habiteraient dans ces tours des années 60. Meme rénovés ces immeubles restent des cages à lapins entassées les unes sur les autres. Les architectures inhumaines doivent être détruites pour laisser la place à des immeubles plus petits, de tailles humaines.

    • @birchlog8266
      @birchlog8266 3 ปีที่แล้ว +6

      Oui mais d'accord, mais on aura pas les ressources pour faire ça, on peut faire des immeubles mais avec des logements plus grands, et des jardins en contrebas, l'étalement urbain nuit à la vegetalisation, si il ne nuit pas à la végétalistion alors il nuit aux terres agricoles de par l'expansion urbaine.

    • @davidpesce7350
      @davidpesce7350 3 ปีที่แล้ว +1

      ​@@birchlog8266 Tout à fait et en plus du grignotage des terres agricoles, on peut parler de l'allongement des distances parcourues et du coût d'entretien des zones pavillonnaires. La fiscalité ne reflète pas ce problème qu'il devient urgent de prendre en compte. Une solution serait de rééquilibrer la fiscalité en ayant une taxation en fonction de la surface de sol occupée.

    • @sapere7
      @sapere7 3 ปีที่แล้ว

      @@davidpesce7350 Vos avez tous les deux raison car vos arguments sont complémentaires mais le rêve pavillonnaire reste prégnant dans une bonne partie de la population pour qui vos arguments restent , hélas, secondaires. Un peu à l’image de la nécessité de la réduction de la population par le contrôle de la natalité... pour beaucoup ce sont des arguments dont ils n’ont jamais ou presque jamais entendu parler, ils préfèrent la promiscuité dans des espaces exigus au fait d’avoir un ou deux enfant en moins. L’équation n’est pas simple car il est difficile d’accéder et transformer les désirs profonds des êtres en ce qui concerne la façon dont il se voient faire famille et habiter. Des arguments raisonnables restent accessible qu’à des personnes déjà averties.