Parentalité : les jeux vidéo sont-ils des jeux comme les autres ?
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- เผยแพร่เมื่อ 2 มิ.ย. 2015
- La question de la semaine - 001 : Les jeux vidéo sont-ils des jeux comme les autres ?
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Je me permet d'ajouter qu'en plus de développer la rapidité du click, qui n'est certes pas une compétence spécialement utile dans la vie, les "jeux de guerre" aident aussi à développer la rapidité de réaction dans des situations inattendues, mais aussi la planification stratégique. (Et la coopération ou le travail d'équipe, pour peu que les autres membres de l'équipe soient enclins à travailler ensemble plutôt que de courir partout pour tuer des adversaires et récolter des points en solo)
Oh mon Dieu ! Une vidéo d'éducation sur les jeux vidéos qui sait de quoi elle parle, apportez moi une table que je la renverse !
Très bonnes vidéos qui donne beaucoup d'idées et de points de vue. Merci !
C'est une excellente vidéo qui explique parfaitement d'où vient le plaisir de rester sur un jeu. L'élément majeur que je retiens ici c'est que le jeu ne culpabilise pas le joueur mais lui dit simplement "essaye encore" sans impatience.
Parents Connectes Ca fait partie de l'attrait évidemment, mais ce n'est pas tout. Il y a aussi la sensation de pouvoir et l'activation des mécanismes de récompense, comme mentionné dans la vidéo; mais pour aller plus loin, je pourrais dire qu'un jeu suffisamment travaillé et de suffisamment bonne qualité devient une OEUVRE DE FICTION. Comme un livre ou un film, on trouve des personnages, des lieux, des ambiances et des évènements dont on garde un bon souvenir et dans lesquels on a envie de se replonger.
Parfois, il faut rajouter à cela une grande complexité et un vaste monde à découvrir, et si c'est le cas, alors l'addiction n'est pas loin.
Bonjour Isabelle, je vous adore et essaie de suivre vos recommandations. C'est très difficile. Je perds souvent le moral, pleure de ne pas y arriver. 😔😢
Merci interessant.
merci beaucoup je ne ses pas quoi faire pour vous remerci
maintement j´ai compris pourquoi je ne travail pas au cour.
ah... mais dès que l'on touche aux jeux vidéo et à la télévision, les esprits s'échauffent... vous êtes déjà vous demandé pourquoi une telle virulence ??
deux grands maux du siècle....
Analyse extrêmement maladroite, on sent que le sujet n'est clairement pas maitrisé. En temps que joueur, je me sens plus qu'infantilisé par ce genre de regard malveillant porté par des pseudo-analystes comportementalistes qui n'ont jamais réellement approché l'objet vidéo-ludique. Il existe moult titres qui ont une portée bien plus importante que ce que vous laissez entendre, à égal impact avec le cinéma.
+ChocNourrice Effectivement, c'est un regard très lointain sur la cible... Un jeu donne du pouvoir, mais fait aussi réfléchir, émerveille, ouvre aux autres, donne de meilleurs réflexes, rend éventuellement serviable ou peut apaiser. Il y a tellement plus que les jeux de guerre que relaient de façon privilégiée la presse, mais aussi Madame Filliozat, ce qui me surprend et me peine un peu venant d'elle. Il y a des jeux qui ont coloré mon expression artistique, des jeux d'une beauté tellement intense que j'en ai pleuré, même sans qu'il y ait de mots (le fameux Journey). Le pouvoir du jeu vidéo, contrairement à un film ou même un livre, c'est que nos actions ont des conséquences, nous sommes impliqués (jeux à choix de plus en plus nombreux, visual novels...), nous co-créons notre part d'histoire et c'est ce que l'on fait aussi dans la réalité: composer avec les situations, les autres, gérer sa frustration, développer de la tenacité dans ce qui nous plaît, découvrir nos valeurs... on peut extrapoler longtemps, car le jeu vidéo se rapproche souvent du jeu de rôle et non de quelque chose de passif. Les jeux vidéos sont un exutoire silencieux et sans morale ? Hormis les jeux de panpan (et encore), qui sont loin d'être la majorité du jeu vidéo, on nous place souvent face aux conséquences de nos choix. Pas un simple "c'est bien" "c'est mal" infantilisant, culpabilisant, "comme les parents sont tentés de le faire", mais le fait de se rendre compte de l'effet boule de neige, de ce que ça occasionne sur ce et ceux qui nous entoure. J'aime les jeux vidéos, j'ai d'excellents souvenirs en famille (et oui surprise, ce ne sont pas que les enfants qui y jouent, et je parle de ma propre enfance il y a plus de 20 ans, pas des jeunes parents actuels un peu "geek"), avec mes amis sur les jeux vidéos, j'y rencontre beaucoup de personnes car des réseaux se créent (les sites, les chasseurs de trophées, Twitch, qui ouvre également à la musique, à l'art graphique...), et ça ne m'a pas empêché de jouer dans la campagne, de faire beaucoup de sports différemment, d'avoir des amis dans ma rue, d'avoir toujours développé mon dessin, mon écriture et mon amour de la lecture. Stop à la diabolisation, aux interprétations erronées le nez sur le coin du tableau général, avec tout le respect que je vous dois, revoyez votre copie, Madame Filliozat...
Votre Analyse des jeux vidéo et de leurs pseudo défauts et qualités, est d'une incroyable pauvreté. On se demande même si vous avez bien compris les neuro-sciences dont vous vous inspirer pour vos pseudos conseils en éducation.
"Les Jeux de Guerre donnent la capacité à cliquer", Mais qu'est ce que c'est que cette analyse ? Et les petits soldats en plastique ou voiture, çà leur apprend quoi ? A faire toucher 2 morceaux de plastique entre eux ?
Mais quel Amateurisme ! Et surtout quelle blague !
Pour votre information, un jeu de guerre ne consiste pas à tirer aux Hasards et donc de cliquer au hasard pour toucher ses ennemies, il faut anticiper les déplacements, il faut anticiper le type d'arme que l'on possède, il faut anticiper ses propre déplacement, il faut également anticiper la dynamique et physique du moteur du jeu. Pouvez vous nous faire une analyse Neurologique de tout ces éléments et revenir nous dire que les enfants n'apprennent qu'a "Cliquer" ?
De plus, vous nous dites que tout enfants préfèrent jouer avec ses parents, et encore une fois affirmation dogmatique, dont j'attend encore les preuves. Les enfants ont ils le droit d'avoir leurs préférences ? Ou selon vous, tous les enfants n'aiment pas certaines choses et donc aiment également les mêmes choses ?
Vous parlez du sentiment de pouvoir, a bon ? Un enfant de 5 ans sait ce que c'est "Le Pouvoir" ? "selon wikipedia, Le pouvoir est proche de la question de la possibilité. Si l'on n'a pas la capacité, on ne peut pas. On ne peut que si personne ne nous nous entrave le chemin. Si on est paralysé par la peur, on est dans l'impossibilité. Il y a donc un ensemble de conditions pour avoir le pouvoir, c'est-à-dire avoir la possibilité de faire quelque chose."
Selon vous un Enfant (avant 12 ans) aurait la capacité de distinguer seul, ce dont il es capable de faire ? Et de ce fait, il se sentirait limité par ses parents, et donc prendrait un plaisir immense à jouer aux jeux vidéo qui lui donnerai se sentiment de plein pouvoir ? Vous nous parlez d'un Adolescent là, pas d'un enfant de 7 ans ou alors démontrer nous le développement cognitif qui ferait qu'un enfant de 7 ai ce genre de raisonnement psychologique.
Les Jeux vidéo sont une expérience sensorielle particulièrement intense, qui ne ressemble à rien autre, il y a une histoire, un univers comme dans les livres, un film, il y a des la possibilité d'en découvrir d'avantage, l'univers est évolutif et non figé, de quoi stimulé la curiosité déjà très forte chez les enfants, de plus l'enfant à la possibilité d'interagir, d'explorer par ses propres actions, il y découvre le principe de cause à effet, Pour y arriver l'enfant doit apprendre et développer des compétences cognitives et physique. Imaginez juste une seconde, l'effet de ce type d'expérience sur un cerveau en pleine évolution, c'est tout juste phénoménal ! Même les adultes depuis 5 ans, qui ont découverts pour beaucoup les jeux vidéo sur leur téléphone, s'y mettent, alors pour un cerveau don la dominante est d'apprendre, comme le cerveau des enfants imaginez l'impact !
L'addiction est un mot fourre tout pour ne pas dire " je sais pas m'occuper de mon enfant, donc il est addict ! ". Les addictions sont des pathologies cérébrales définies par une dépendance à une substance ou une activité, avec des conséquences délétères. Ce mot ne s'utilise pas à la légère, et vous même vous l’utilisez comme si de rien n'était, comme si un enfant qui joue 3 heures par jour était comparable à l'addiction d'un drogué à la cocaïne ! Si l'enfants joue 3 heures c'est qu'on l'a laisser le faire, et pour que cela s’arrêtent, il faut lui mettre une limite, a mince ! Vous n'aimez pas les limites ! Zut ! que fait on ?
Selon vous, il faut lui proposer une alternative aussi bien voir meilleur que les jeux vidéo ? C'est comme dire à un enfant, le monopolie c'est mieux que les jeux vidéo, et c'est comme ça ! pour tout le monde ! et si l'enfant préfère les jeux vidéo au monopolie ? Non, selon vous, jouer avec ses parents c'est mieux ! D'autant plus, que vous avez la naiveté de dire : "Faites une cabane avec lui et vous verrez il adorera" ! Quelle naïveté ! Un parent qui a délaissé sont enfants, le laissant jouer 3 heures par jour aux jeux vidéos, va en regardant votre vidéo se transformer en un clin d’œil en un parent sympatique, à l'écoute, chaleureux, fun youpi !
Pour améliorer la relation avec ses enfants, il est nécessaire d’améliorer la relation avec soi même, mais pour cela, il faut déjà arrêter de remettre la faute sur des choses fausses, comme les jeux vidéos, la télé, ou même l'enfant, il faut aussi arrêter de croire que cela se résous par des actions simplistes de dire mécaniquement des phrases ou juste de les emmener en foret.
Cela est de la mauvaise foi, avant de réparer une fenêtre, il faut déjà faire le constat qu'elle est cassé.
Un parent qui laisse ses enfants faire des activités de manière excessive quel qu’elle soi, il doit faire le bon diagnostic sur lui même afin de changer et agir efficacement. Mais rejeter la faute aux jeux vidéo, à la télé, à l'école, blablabla...