22 mars 1962 : Attentat contre le colonel Mohand-u-l'Hadj

Le 22 mars 1962 : Trois jours après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu entre l’Armée de Libération Nationale et l’armée française, le colonel Mohand-u-l’Hadj, chef de la wilaya III, escorté par un groupe de maquisards, en route vers son village à Bouguène pour se recueillir sur la tombe de sa femme décédée une semaine plutôt, tombe dans une embuscade. Les tireurs n’étaient pas des soldats ennemis, mais des membres de l’ALN. Bavure des djounouds ou attentat prémédité ?
Si Ouali AIT-AHMED, ancien officier de l'ALN, secrétaire général adjoint du PC de la wilaya III, et actuel secrétaire général de lONM de Tizi-Ouzou, présent aux côtés du colonel, nous raconte l’événement.

[@alinuernberg8399]

S'il vous plaît....mettez des sous-titres pour que nous (qui ne parlons pas kabyle) puissions comprendre ce témoignage sur l'attaque (ou la bavure) contre la vie du colonel Mohand Oul Hajj ! ... Cela nous concerne tous Algeriens, et merci d'avance !

[@Gharanagh]

Nous les kabyle nous comprenont et nous parlons parlons arabe même si c est pas notre langue c est à vous de faire un effort pour comprendre la langue originel de l Algérie monsieur

[@kabylieindependante4902]

​@@Gharanagh vivement l'indépendance de la Kabylie nous parents sont mort pour la liberté et la dignité depuis l'indépendance on vit dans une république arabe, ni le droits de l'homme ni respect .

[@maoua8322]

La Kabylie a été saignée