@@suzypaton1597 Surcouf était un corsaire pas un pirate. C'est un peu comme mercenaire et terroriste, ce n'est pas la même chose. Le corsaire est un civil combattant pour le royaume, indépendamment de l'armée mais avec une autorisation.
Ah ah j'adore cette ambiance dans la taverne. Ce franc parlé et cet humour "corsaire" Exactement cette même ambiance que je décris dans mon livre. Extrait : Elle s’installa à une table, dans le recoin de l’entrée afin de faire remarquer sa présence. - Et jeunot, que veux-tu boire ? Emilie leva les yeux. Une grosse femme brune et bouclée avait posé ses deux mains sur sa table. Son corsage blanc maculé de taches de bière et de vin ne suffisait pas à retenir l’épouvantable et énorme poitrine de la bonne femme. Emilie en rougit, gênée par les ardeurs provocantes de cette tenancière. - Alors jeunot, on rougit, on est gêné ? Faut pas allons donc. T’as décidé d’vivre chez les marins, va falloir t’y habituer ptit gars. Bon alors, y veux boire quoi, un verre de lait ah ah ah. Emilie avait l’impression d’avoir à faire à une sorcière qui voulait l’empoisonner. Elle s’essaya à prendre une voix roque et grave. - Un vin, un vin chaud s’il vous plait. - Le ptit amour veux un vin chaud.Ben allons pour un vin chaud. Et un vin chaud Pierrot, gueula la tenancière. Un vacarme du feu de dieu troubla le silence matinal de la taverne lorsqu’une ribambelle de marins y entra en gueulant une chanson paillarde. - Rosalie, à boire ! cria l’un d’eux. - Et qu’ca saute ! bougonna un autre - Du rhum, du rhum à flot, ajouta un troisième L’un d’entre eux était flanqué de vêtements un peu plus raffinés. Il s’approcha de la tenancière - Oh Rosalie, ma Rosalie, que ton sourire et jolie. - Ah ce srait ti pas mon beau capitaine Ranneque qui vient me voire avant sa traversée, répondit la tenancière. Le capitaine Ranneque lui tira sa révérence en disant : - Ouep, pour vous servir ma jolie. - Ben dis donc, t’as pas peur qu’ton bateau coule avec un équipage pareil ? - Ah ah, c’est quand ils sont à jeun qu’ils sont dangereux chéri. Ils sraient capables d’aller en Corse plutôt que dmener la barque cap aux Caraibes. Allez sert nous encore. Le capitaine s’approcha de la table d’Emilie en titubant. - Et toi gamin, t’as l’air bien surpris. On t’entend pas là bon dieu. T’es assis là, sur ta petite table, avec ta petite frimousse. Allons mon gars, ti voudrais pas que jte paye un coup à boire par hasard ? Allez ma belle Rosalie, sert lui un verre de Rhum et qu’il s’amuse ce jeunot ! Emilie fut prise d’amusement, elle tenait là sa chance de devenir membre de l’équipage du capitaine Ranneque. Et qui plus est, il partait aux Caraibes et l’équipage était assez saoul pour ne pas remarquer qu’elle était une fille. Elle se gratta la gorge et prit sa voix la plus roque : - Capitaine, jdemande pas la charité,alors ! Elle se gratta la tête comme un vulgaire pouilleux. Alors ben, justement, jcherche du boulot, alors, ben alors si vous pouviez m’embarquer, ben jpense jferai un bon mousse msieur, capitaine. - Ah ah, le gamin veut embarquer, ca sprendrai ti pas pour un ptit homme cgosse là ? Ranneque approcha sa grosse figure prés de celle d’Emilie en rétorquant : Et tes parents, ils en pensent quoi ? - Ben jsuis orphelin en fait, et suis sans le sou. - Ah, juste comme nous tous, aller engagé gamin. Et ton prénom au juste c’est quoi ? Emilie hésita un instant avant de répondre : - Ben celui que vous voudrez capitaine. - Ah il a tout compris ce ptit matelot, gamin ca te vas bien. Allez gamin embarquons, la mer n’attend pas. Présentation du roman ici : th-cam.com/video/UDnn1tMmVxA/w-d-xo.html et là : fr.ulule.com/sept-mers/
Wlusek Sylvain Tu l'as vu et revu, revu, la tu nous apprend rien. Ce n'est pas un film de fiction mais bien un documentaire qui retrace plus ou moins des faits réels. Ce qu'on voudrait lire de toi, c'est des informations en plus sur cette histoire.
au 18 eme sciècle es malouin (marchand ,armateur de saint Malo) faisais commerce de tenture dans les mer du sud (cote pacifique appartement au espagnole) il échangé leur cargaison directement contre des barettes d'argent ou de la poudre d'or, un commerce juteux (ref :de la Marc). l'olonais n'est pas devenu pirate, le traité de pai entre la France est l'espagne est arrivé en 1710 environs , il était mort depuis longtemps.
@@dondonaldth lol quelle rapport avec la gauche !!! Ah mais oui avec ton raisonnement d inculte condescendant tu a vu les noms, et bim ton cerveau à répondu bêtement, hum ça c'est des gens de gauche !! Enfin bref, oui gros dur qui de sa chambre fait le mec, et ont voit ton courage derrière ton ordinateur, dans ta chambre, sous un pseudo !!! Juste ça ont voit ton courage !!! Et je parle même pas de ton raisonnement paternaliste de beauf ! Gro dur des bacs à sable !
POur une fois un documentaire plus profond qu'il n'en a l'air
@@suzypaton1597 Et toi tu viens d'où, qu'on rigole ?
@@allenstanford1379 rigole sans le savoir c'est aussi drôle hahaha :))
@@suzypaton1597 Surcouf était un corsaire pas un pirate. C'est un peu comme mercenaire et terroriste, ce n'est pas la même chose. Le corsaire est un civil combattant pour le royaume, indépendamment de l'armée mais avec une autorisation.
@@lezero2969 t 'es encore à disneyland toé ://
@@suzypaton1597 toi aussi pour croire que les pirates c'était juste des tueur x) , ta cru que pirate des caraïbes c'était la réalité x)
Intéressant
Ah ah j'adore cette ambiance dans la taverne. Ce franc parlé et cet humour "corsaire" Exactement cette même ambiance que je décris dans mon livre. Extrait :
Elle s’installa à une table, dans le recoin de l’entrée afin de faire remarquer sa présence.
- Et jeunot, que veux-tu boire ?
Emilie leva les yeux. Une grosse femme brune et bouclée avait posé ses deux mains sur sa table. Son corsage blanc maculé de taches de bière et de vin ne suffisait pas à retenir l’épouvantable et énorme poitrine de la bonne femme. Emilie en rougit, gênée par les ardeurs provocantes de cette tenancière.
- Alors jeunot, on rougit, on est gêné ? Faut pas allons donc. T’as décidé d’vivre chez les marins, va falloir t’y habituer ptit gars. Bon alors, y veux boire quoi, un verre de lait ah ah ah.
Emilie avait l’impression d’avoir à faire à une sorcière qui voulait l’empoisonner. Elle s’essaya à prendre une voix
roque et grave.
- Un vin, un vin chaud s’il vous plait.
- Le ptit amour veux un vin chaud.Ben allons pour un vin chaud. Et un vin chaud Pierrot, gueula la tenancière.
Un vacarme du feu de dieu troubla le silence matinal de la taverne lorsqu’une ribambelle de marins y entra en
gueulant une chanson paillarde.
- Rosalie, à boire ! cria l’un d’eux.
- Et qu’ca saute ! bougonna un autre
- Du rhum, du rhum à flot, ajouta un troisième
L’un d’entre eux était flanqué de vêtements un peu plus raffinés. Il s’approcha de la tenancière
- Oh Rosalie, ma Rosalie, que ton sourire et jolie.
- Ah ce srait ti pas mon beau capitaine Ranneque qui vient me voire avant sa traversée, répondit la tenancière.
Le capitaine Ranneque lui tira sa révérence en disant :
- Ouep, pour vous servir ma jolie.
- Ben dis donc, t’as pas peur qu’ton bateau coule avec un équipage pareil ?
- Ah ah, c’est quand ils sont à jeun qu’ils sont dangereux chéri. Ils sraient capables d’aller en Corse plutôt que dmener la barque cap aux Caraibes. Allez sert nous encore.
Le capitaine s’approcha de la table d’Emilie en titubant.
- Et toi gamin, t’as l’air bien surpris. On t’entend pas là bon dieu. T’es assis là, sur ta petite table, avec ta petite frimousse. Allons mon gars, ti voudrais pas que jte paye un coup à boire par hasard ? Allez ma belle Rosalie, sert lui un verre de Rhum et qu’il s’amuse ce jeunot !
Emilie fut prise d’amusement, elle tenait là sa chance de devenir membre de l’équipage du capitaine Ranneque. Et qui plus
est, il partait aux Caraibes et l’équipage était assez saoul pour ne pas remarquer qu’elle était une fille. Elle se gratta la gorge et prit sa voix la plus roque :
- Capitaine, jdemande pas la charité,alors ! Elle se gratta la tête comme un vulgaire pouilleux. Alors ben, justement, jcherche du boulot, alors, ben alors si vous pouviez m’embarquer, ben jpense jferai un bon mousse msieur, capitaine.
- Ah ah, le gamin veut embarquer, ca sprendrai ti pas pour un ptit homme cgosse là ?
Ranneque approcha sa grosse figure prés de celle d’Emilie en rétorquant : Et tes parents, ils en pensent quoi ?
- Ben jsuis orphelin en fait, et suis sans le sou.
- Ah, juste comme nous tous, aller engagé gamin. Et ton prénom au juste c’est quoi ?
Emilie hésita un instant avant de répondre :
- Ben celui que vous voudrez capitaine.
- Ah il a tout compris ce ptit matelot, gamin ca te vas bien. Allez gamin embarquons, la mer n’attend pas.
Présentation du roman ici :
th-cam.com/video/UDnn1tMmVxA/w-d-xo.html
et là :
fr.ulule.com/sept-mers/
Très bon !
J’ai pas lu.
Saint Malo a aussi participé au commerce vers la Mer du Sud
Grossier, mais amusant.
super yoopi
déjà vu et re re re vu vu vu vu vu !
Wlusek Sylvain Tu l'as vu et revu, revu, la tu nous apprend rien. Ce n'est pas un film de fiction mais bien un documentaire qui retrace plus ou moins des faits réels. Ce qu'on voudrait lire de toi, c'est des informations en plus sur cette histoire.
au 18 eme sciècle es malouin (marchand ,armateur de saint Malo) faisais commerce de tenture dans les mer du sud (cote pacifique appartement au espagnole) il échangé leur cargaison directement contre des barettes d'argent ou de la poudre d'or, un commerce juteux (ref :de la Marc). l'olonais n'est pas devenu pirate, le traité de pai entre la France est l'espagne est arrivé en 1710 environs , il était mort depuis longtemps.
St Malo, ville la plus riche d'Europe ?
riche en gros de nouritures et de matieres etc
horreur des mois en mer quelle courage
Moi c'est l hygiène qui m aurait me plus gêné
C'étaient pas les fragilo-gauchistes d'aujourd'hui c'est certain.
@@dondonaldth lol quelle rapport avec la gauche !!! Ah mais oui avec ton raisonnement d inculte condescendant tu a vu les noms, et bim ton cerveau à répondu bêtement, hum ça c'est des gens de gauche !! Enfin bref, oui gros dur qui de sa chambre fait le mec, et ont voit ton courage derrière ton ordinateur, dans ta chambre, sous un pseudo !!! Juste ça ont voit ton courage !!! Et je parle même pas de ton raisonnement paternaliste de beauf ! Gro dur des bacs à sable !
je sais comment faire pour trouver le trésors de la buse , mais je ne sais pas comment le trouver.
ça veux rien dire çe que tu dis
T’es pas le lampadaire le plus éclairé de la rue.