Tu as oublié de préciser qu'il faut participer à des concours et essayer d'être classé dans les 3 premiers voilà. C'est faisable si vous avez de l'ambition et surtout si vous savez travaillez en autodidacte. 😜
Non, il ne "faut" pas participer à des concours. Par exemple, je n'en ai jamais fait. Je conseillerai aux lycéens d'y participer pour l'expérience de découvrir des maths d'un plus haut niveau et se préparer un peu à ce qu'ils vont voir dans le supérieur. En outre, c'est un plus dans leur dossier. Ensuite, "être classé dans les 3 premiers". Déjà, on parle de classé dans quelle matière ? Majorer l'histoire-géo ne va pas vous aider beaucoup à être accepté en MP2I... Mais surtout, le taux de sélectivité dépend de chaque lycée... Si un lycéen postule pour Louis-Le-Grand, être major de classe est une condition nécessaire, mais pas suffisante. Mais pour la très grande majorité des autres prépas, c'est largement suffisant. C'est bien d'avoir un objectif, mais gardez en tête que l'acceptation en prépa dépend de beaucoup de critères… Il faut principalement faire des vœux diversifiés (prépa, fac, but, école d'ingé...) et voir ce que ça donne ensuite. Pour travailler en autodidacte, il n'y a pas besoin. Suivez les cours de vos enseignants et ça sera déjà pas mal ! Même si, bien sûr, plus vous faites de maths, plus votre prof de maths de l'année prochaine sera content ^^.
Bonjour et merci pour toutes ces vidéos qui nous éclairent suffisamment sur la filière mp2i. Il y a un point que je n'ai toujours pas compris. C'est la grande différence entre le nombre de candidats qui reçoivent une proposition d'admission et le nombre de places disponibles. Par exemple le Lycée Clémenceau offrait 48 places en mp2i sur Parcoursup en 2021 contre 165 candidats ayant reçu une proposition d'admission. Merci d'avance pour votre temps.
Salut et merci pour ce gentil commentaire. Concernant ta question, l'année dernière les réponses des formations aux candidats sur Parcoursup était le 27 mai. Donc le 27 mai, les 48 premiers sur la liste d'attente de Clemenceau ont reçu une proposition d'admission. Mais tout ces 48 n'ont pas accepté, parce que certains ont été accepté dans d'autres formations ailleurs qu'ils préféraient. Ainsi, si sur ces 48, admettons 20 ont accepté tout de suite, Clemenceau a alors proposé 28 places aux suivants, etc. Alors finalement, Clemenceau a proposé à 165 candidats de rejoindre sa filière :).
Merci pour l'information ! Et en effet, la gestion des désistements (gdd) permet, à condition d'être patient, de pouvoir recevoir une proposition d'admission jusqu'à mi-septembre.
Merci beaucoup pour la vidéo, ça aide à se situer, je voulais aussi te demander ce que tu penses de la place de "l'évolution dans le temps" , est ce qu'une grande augmentation des notes en terminale change quelque chose si la première n'était pas très bonne ?
Salut, pour te donner une idée, sur les 48 que nous étions, 8 ou 9 ont eu mention bien au bac et le reste TB. Pour des notes plus précises, c'est compliqué parce que ça dépend des années et des dossiers reçus.
Salut ! Ca dépend ce que tu appelles "un très bon dossier". Pour te donner une idée, j'ai eu 17,18 au bac. Globalement on était tous dans les premiers dans les matières scientifiques, mais certains pêchaient un peu plus dans les matières dites littéraires.
Salut j’ai une question c’était pour savoir si de mauvaises notes en première (surtout premier semestre ) avec une petite hausse au second semestre sont un fardeau dans mon dossier maigres une très bonne année de terminale (c’est à dire les notes de premières ont elles plus d’importance que celles en terminale même si je pense que terminale est plus importante merci d’avance
Salut ! Désolé de te répondre un peu tard. Les notes de terminale importent plus, parce que c'est ce qui se rapproche le plus de ce que tu vas voir dans le supérieur. Après, comme toujours sur ParcourSup, on ne peut pas savoir à l'avance.
@@NaradaMaugin Je suis le premier de ma classe avec 19 de moy en terminale ( c'est pas pour me vanter juste pour contextualiser ) mais j'ai 11 à l'écrit et 19 à l'oral à l'épreuve anticipée de français. Du coup est-ce que le 11 réduira beaucoup mes chances d'être accepté dans un prépa prestigieuse ( comme Saint louis/ Henri IV ....) ? Ça me stresse bcp
@@MroueYoussef Tu as un peu moins de chance forcément, mais tes notes sont très bonnes et le 19 à l'oral compense beaucoup imo. Ma réponse sera peut-être frustrante, mais personne ne peut prédire avec certitude si tu seras, ou non, accepté. Il faut que tu postules et tu verras bien... Regarde les moyennes au bac des différents admis dans le supérieur pour te donner une idée plus précise.
Il n'y a pas UNE prépa MP2I qui aurait le même niveau de sélectivité. Il y en a une petite trentaine en France avec des taux d'accès divers. D'où l'importance de faire des vœux variés pour maximiser ses chances d'être admis.
Merci beaucoup c'est intéressant le vidéo Y-a-t-il beaucoup d'étudiants étrangers en PCSI Clémenceau ? Je suis au Sénégal, et je veux faire les prépa en PCSI
Salut, beaucoup je ne sais pas. Dans ma classe en MP2I, il y en avait 4 je crois venant de l'étranger. Dans tous les cas, ton dossier sera étudié, ne t'en fais pas pour cela.
Merci pour cette vidéo super intéressante ! Je souhaite également intégrer une prépa MP2I à Paris. Cependant, je suis en première et 👀en français j'ai 12 car j'ai un mauvais prof qui note mal et qui considère que 13 est excellent mais en prépa l'excellence ne se situe pas à 13 😂 alors qu'au premier trimestre j'avais 10.75 avec comme appréciation : Travail très sérieux, tu penses qu'avec cela j'ai des chances d'être admis à Paris malgré cette moyenne en français (j'ai 16 partout hormis le français et 19 dans mes spe) ? 😅
Salut et merci ! Il y a des prépas de sélectivité différentes à Paris. J'imagine que tu parles de prépa comme Louis-le-Grand ou Saint-Louis ? Les prépas regardent les appréciations, moyenne de classe, rang dans la classe et vont regarder tes notes au bac de français. Autant d'éléments qui permettent de tempérer la note brute :). Dans tous les cas, continue à travailler et n'hésite pas à passer des concours (concours général, TFJM...), c'est beaucoup apprécier des prépas.
Pour l'instant j'ai passé les olympiades de maths et j'ai pas pu participer au concours kangourou (mon bac blanc était à la même heure 🥲) j'essaierai de participer au concours général l'année prochaine aussi mais merci du conseil !! 🙂
Et sinon il y a la meilleur école d’ingénieurs français au monde, l’EPFL (top15) loin devant l’X (top60). 5.000 élèves ingénieurs français sont sur un campus de rang international à Lausanne pour un coût de scolarité de 1600 euros/an. L’admission se fait avec un bac mention TB et 16/20 minimum en maths et physique puis un rythme intense en première année qui va crescendo pendant 5 ans, loin des deux années de prépa. suivies de trois années de fêtes et autres activités associatives à la française une fois intégré l’école du concours réussi !
L'EPFL est un choix très plébiscité par les français oui et pour de bonnes raisons. Mais dans ces bonnes raisons, je ne vois pas bien les classements... ils sont mieux placés parce qu'il y a juste plus d'étudiants et de profs. De manière générale, les classements ne disent rien sur la qualité de ta formation : les cours, les profs, les autres étudiants, l'administration... Par exemple, qu'en venant de France et en étant très bon élève, il y a un risque important de redoubler sa première année (voir plus). D'autre part, le coût de la vie est bien plus chère en Suisse que si tu vas dans la fac du coin. Voilà, c'est juste pour tempérer ton message, mais j'ai un ami qui y est en M2 en y ayant fait toute sa scolarité et qui est très content.
@@NaradaMaugin Je crains que tes informations ne soient en grande partie erronées. Avant de développer, je citerai donc l’interview du 5 septembre 2023 d’Eric Labaye président à date de l’X et de l’Institut Polytechnique (X, ENSTA, ENSAE, Télécom Paris, Télécom SudParis) qui reconnaît lui-même que l’EPFL et le MIT sont le modèle à suivre ! Eric Labaye : « La création d’IP Paris a été annoncée par le Président de la République en octobre 2017 avec l’ambition de faire de ce nouvel établissement un MIT ou un EPFL à la française. » (Source site de l’école Polytechnique) Sauf à être fou, cet homme ne fait que dire tout haut ce que tout l’enseignement supérieur français sait mais souhaite cacher aux lycéens pour préserver un système français obsolète basé les CPGE. Concernant le taux de passage direct de première en deuxième année à l’EPFL, il va de 32% en génie électrique et électronique à 51% en génie civil/architecture (2022) et augmente en intégrant les redoublants ou les changements de section qui ne sont pas pris en compte dans ces chiffres. Je ne dispose pas des chiffres intégrant ces deux catégories. Ce que ton ami en M2 te confirmera aussi, parce que les Français qui en parlent le plus n’ont souvent jamais mis les pieds à l’EPFL, c’est que le redoublement/l’abandon est lié à deux causes principales : 1/ D’abord les Suisses titulaires de la maturité fédérale (équivalent du bac) peuvent s’inscrire dans n’importe quelle école fédérale Suisse (c’est la loi) sans niveau minimum (donc l’équivalent d’un bac à 10/20 en France). En règle générale, beaucoup de ces profils faibles ne « survivent » pas au premier semestre de l’EPFL, abandonnent très vite devant le niveau d’études ou vont à la mise à niveau du deuxième semestre pour avoir possiblement le droit de redoubler. 2/ Pour les Français, il faut être organisé et autonome pour tenir 14 semaines très intensives de cours tout en découvrant pour certains la gestion de la vie courante (courses, lessives, obligations administratives…) et ne pas céder à une liberté nouvelle dans une ville agréable, Lausanne, loin du cocon familiale avec ses règles et un cadre confortable sans intendance. Cette catégorie de bacheliers français, cependant excellents, est celle concernée par la mise à niveau (MAN du deuxième semestre de la première année avec un niveau à atteindre pour avoir seulement le droit de redoubler !), celle qui n’aura pas validé la première année et sera autorisée à redoubler et celle de ceux qui quitteront l’EPFL lors de cette première année. Pour les bacheliers français qui sont sérieux, autonomes et organisés, le passage en deuxième année se fait sans souci, encore plus avec les nouveaux critères d’admissions pour septembre 2024 qui sont semblables au top 10 des meilleures prépas françaises. Concernant les cours, les profs et les autres étudiants, toutes ces informations sont accessibles sur le site de l’EPFL et dans les rapports annuels de l’école. Par exemple, toutes les nominations des professeurs ainsi que leurs CV, leurs cours et leurs publications sont accessibles à n’importe qui sur epfl.ch. > à propos > facts ou dans la rubrique corps professoral. Tu constateras que le corps professoral est de niveau international avec une grille de rémunération identique au MIT (X3 par rapport à Polytechnique) avec en plus la qualité de vie en Suisse à Lausanne. Mais ces mêmes professeurs sont évalués et notés à la fin de chaque semestre par les élèves avec éventuellement une intervention administrative en cas de mauvais retour, ce qui est inimaginable en France. Cela garantit une excellence pédagogique reconnue dans les écoles fédérales suisses. Quant au coût de la scolarité en Suisse, (hors boursier) il est très raisonnable avec une chambre en résidence universitaire à partir de 530 euros (tout compris, dont assurance et abonnement internet) souvent moins cher que les grandes villes universitaires en France et des frais de scolarité autour de 1.600 euros/an à comparer pour les écoles/universités équivalentes, aux 30.000£/an en Angleterre ou au 60.000$/an dans le top 10 américain et avec un bachelor souvent en 4 ans et non en 3 comme à l’EPFL. Reste le coût de la nourriture qui, il est vrai, est beaucoup plus cher qu’en France. Mais ton ami en M2 te confirmera que beaucoup d’élèves (surtout de la région Grand-Est, Auvergne-Rhône-Alpes et IDF - avec le TGV direct Paris-Lausanne - qui rentrent souvent toutes les semaines ou les quinzaines) reviennent à l’EPFL avec une deuxième valise de nourriture française ! Un élève français dans ce cas de figure peut s’en sortir avec un budget sur 10 mois de l’ordre de 10 à 12keuros/an (frais de transport inclus). Et un peu plus cher pour les Bretons ou les Basques. J’indique 10 mois, car on peut sous-louer légalement sa chambre ou son studio universitaire à,partir de 3 mois d’ancienneté en passant par le gestionnaire universitaire, tout en gardant le bénéfice de récupération automatique de la chambre après les vacances d’été ou un échange universitaire. Trois remarques complémentaires : 1/ il est très facile d’obtenir un prêt étudiant pour sa scolarité à partir du moment où l’on est admis à l’EPFL. 2/ avec des salaires de sortie d’EPFL entre 85 et 135keuros/an, il est très rapide de rembourser ce prêt. 3/ il y a foultitude de petits jobs proposés par l’EPFL sur le campus aux élèves qui le souhaitent, sur une base moyenne de 25CHF/heure et dans la limite de 15 heures/semaine pour les étrangers, mais sans limite en revanche pendant les vacances. Cela permet de disposer d’un budget complémentaire intéressant quand on fait ne serait-ce que 4 à 6 heures par semaine. Enfin, concernant le mythe des mauvais classement en raison de la petite taille des écoles française, pourquoi donc CalTech (avec moitié moins d’étudiant que l’X) est-elle dans le top 10 mondial ! Ces classements, certainement perfectibles, sont étonnement reconnus partout dans le monde, sauf en France, où pourtant l’on considère fiable le classement de « L’étudiant » pourtant juge et partie en tant qu’organisateur de salons et vendeurs d’espaces publicitaires en tous genres aux dites écoles d’ingénieurs ! Cherchez l’erreur. Pour conclure, la supercherie française est de continuer à tout communiquer sur la difficulté d’admission dans une école où s’ensuivent trois années de « club méd » associatif et autres soirées arrosées, là où partout ailleurs seule compte l’excellence de sortie des élèves au bout de cinq ans : Imperial College, Delft TU, MIT, EPFL/ETHZ, Oxbridge, TU Munich, Stanford, CalTech… Tu pourras à ce titre trouver un excellent article dans le supplément Campus du journal Le Monde daté du 1er décembre 2023. PS : je mets « Ulm » à part, justement parce qu’après le concours et sur la base d’un effort en continu pendant toute leur scolarité, ces génies scientifiques continuent de « bûcher » pendant trois ou quatre ans, comme à l’EPFL. Un élève ingénieur français lui aura connu, pour 97% d’entre eux, son pic de performance et d’apprentissage en fin de CPGE ! Les 3% restant étant ceux qui souvent continuent à travailler après l’admission pour un double-diplôme comme celui EPFL/X, EPFL/Centrale-Supélec ou encore EPFL/Isae-Supaéro ! Mille excuses de cette longue réponse, mais il me semblait important de t’apporter toutes ces précisions. Bon vent et beaucoup de réussite dans tes études !
Salut ! On ne se mettra pas d'accord sur les classements qui sont, hélas, capitaux pour nos gouvernements depuis 15 ans. Je t'invite à lire la page Wikipédia du classement de Shangai si tu veux : fr.wikipedia.org/wiki/Classement_acad%C3%A9mique_des_universit%C3%A9s_mondiales_par_l%27universit%C3%A9_Jiao_Tong_de_Shanghai#Critiques Concernant le reste, je n'ai pas grand-chose à compléter par rapport à mon message précédent. Mais ton message donnera surement des infos intéressantes aux lycéens qui le liront :).
@@NaradaMaugin Bonsoir, concernant les classements internationaux je te donne raison pour partie, mais à ce moment là il faut arrêter de les prendre en exemple pour les CPEG ECG car ils sont favorables à HEC, l’INSEAD et autres écoles de commerce ! De même quel crédit accorder au Figaro et à L’étudiant pour leurs classements qui servent pourtant de référence aux grandes écoles d’ingénieurs françaises, alors même que ces journaux sont de gros supports publicitaires pour les-dites écoles d’ingénieurs ? Question rigueur et probité on repassera. Mon constat est simplement que l’EPFL laisse une vraie chance de se révéler à tout ceux qui ont un niveau académique minimum et souvent des talents dont se contrefiche le système français et ParcourSup (par exemple au hasard, un bon niveau aux échecs, excellente base pour les domaines mathématiques et informatiques 😉 ! Je l’ai aussi vécu à titre personnel). Ces talents sont mis dans des conditions d’études très confortables en Suisse et avec les meilleurs professeurs internationaux possibles, mais l’obligation d’une grosse charge de travail pendant 5 ans. Et ce n’est pas en prépa même à LLG ou H4 que l’on aura jamais un Clément Pit-Claudel ou un Alessandro Chiesa pourtant professeurs en première ou deuxième année à Lausanne…
Merci pour toutes ces infos, ça aide à y voir plus clair !
Avec plaisir 🙂
Merci pour cette vidéo
Tu as oublié de préciser qu'il faut participer à des concours et essayer d'être classé dans les 3 premiers voilà. C'est faisable si vous avez de l'ambition et surtout si vous savez travaillez en autodidacte. 😜
Non, il ne "faut" pas participer à des concours. Par exemple, je n'en ai jamais fait. Je conseillerai aux lycéens d'y participer pour l'expérience de découvrir des maths d'un plus haut niveau et se préparer un peu à ce qu'ils vont voir dans le supérieur. En outre, c'est un plus dans leur dossier.
Ensuite, "être classé dans les 3 premiers". Déjà, on parle de classé dans quelle matière ? Majorer l'histoire-géo ne va pas vous aider beaucoup à être accepté en MP2I... Mais surtout, le taux de sélectivité dépend de chaque lycée... Si un lycéen postule pour Louis-Le-Grand, être major de classe est une condition nécessaire, mais pas suffisante. Mais pour la très grande majorité des autres prépas, c'est largement suffisant.
C'est bien d'avoir un objectif, mais gardez en tête que l'acceptation en prépa dépend de beaucoup de critères… Il faut principalement faire des vœux diversifiés (prépa, fac, but, école d'ingé...) et voir ce que ça donne ensuite.
Pour travailler en autodidacte, il n'y a pas besoin. Suivez les cours de vos enseignants et ça sera déjà pas mal ! Même si, bien sûr, plus vous faites de maths, plus votre prof de maths de l'année prochaine sera content ^^.
Bonjour et merci pour toutes ces vidéos qui nous éclairent suffisamment sur la filière mp2i.
Il y a un point que je n'ai toujours pas compris. C'est la grande différence entre le nombre de candidats qui reçoivent une proposition d'admission et le nombre de places disponibles.
Par exemple le Lycée Clémenceau offrait 48 places en mp2i sur Parcoursup en 2021 contre 165 candidats ayant reçu une proposition d'admission.
Merci d'avance pour votre temps.
Salut et merci pour ce gentil commentaire.
Concernant ta question, l'année dernière les réponses des formations aux candidats sur Parcoursup était le 27 mai. Donc le 27 mai, les 48 premiers sur la liste d'attente de Clemenceau ont reçu une proposition d'admission. Mais tout ces 48 n'ont pas accepté, parce que certains ont été accepté dans d'autres formations ailleurs qu'ils préféraient. Ainsi, si sur ces 48, admettons 20 ont accepté tout de suite, Clemenceau a alors proposé 28 places aux suivants, etc.
Alors finalement, Clemenceau a proposé à 165 candidats de rejoindre sa filière :).
Réponse claire et limpide.
Merci infiniment.
Si ça peut apporter quelque chose, le « réel » rang du dernier appelé à LLG c’est 159! Voilà
Merci pour l'information ! Et en effet, la gestion des désistements (gdd) permet, à condition d'être patient, de pouvoir recevoir une proposition d'admission jusqu'à mi-septembre.
Merci beaucoup pour la vidéo, ça aide à se situer, je voulais aussi te demander ce que tu penses de la place de "l'évolution dans le temps" , est ce qu'une grande augmentation des notes en terminale change quelque chose si la première n'était pas très bonne ?
Le programme de terminale se rapproche plus de la prépa que celui de première : une dynamique ascendante sera donc forcément apprécié.
@@NaradaMaugin merci bcp
il faut quel moyenne a peu près pour intégrer Clémenceau en mp2i ? (selon les notes qu'avaient tes camarades de ta promo au lycée)
Salut, pour te donner une idée, sur les 48 que nous étions, 8 ou 9 ont eu mention bien au bac et le reste TB. Pour des notes plus précises, c'est compliqué parce que ça dépend des années et des dossiers reçus.
Bonjour,
Quelles étaient vos moyennes à vous ? (sans être indiscret) Clemenceau est assez sélectif vous deviez avoir un très bon dossier…
Salut !
Ca dépend ce que tu appelles "un très bon dossier". Pour te donner une idée, j'ai eu 17,18 au bac. Globalement on était tous dans les premiers dans les matières scientifiques, mais certains pêchaient un peu plus dans les matières dites littéraires.
Salut j’ai une question c’était pour savoir si de mauvaises notes en première (surtout premier semestre ) avec une petite hausse au second semestre sont un fardeau dans mon dossier maigres une très bonne année de terminale (c’est à dire les notes de premières ont elles plus d’importance que celles en terminale même si je pense que terminale est plus importante merci d’avance
Salut ! Désolé de te répondre un peu tard. Les notes de terminale importent plus, parce que c'est ce qui se rapproche le plus de ce que tu vas voir dans le supérieur. Après, comme toujours sur ParcourSup, on ne peut pas savoir à l'avance.
Faites vous des séances individuelles d’orientation + aide pour parcoursup?
Salut ! Je n'ai jamais fait ça, et je ne me prétends pas du tout expert de l'orientation, mais si tu as des questions, j'y répondrai avec joie.
@@NaradaMaugin Je suis le premier de ma classe avec 19 de moy en terminale ( c'est pas pour me vanter juste pour contextualiser ) mais j'ai 11 à l'écrit et 19 à l'oral à l'épreuve anticipée de français. Du coup est-ce que le 11 réduira beaucoup mes chances d'être accepté dans un prépa prestigieuse ( comme Saint louis/ Henri IV ....) ? Ça me stresse bcp
@@MroueYoussef Tu as un peu moins de chance forcément, mais tes notes sont très bonnes et le 19 à l'oral compense beaucoup imo.
Ma réponse sera peut-être frustrante, mais personne ne peut prédire avec certitude si tu seras, ou non, accepté. Il faut que tu postules et tu verras bien...
Regarde les moyennes au bac des différents admis dans le supérieur pour te donner une idée plus précise.
@@NaradaMaugin d’accord merci beaucoup pour votre réponse
Je sais que la prépa mp2i c'est une prépa très sélectives.
Il n'y a pas UNE prépa MP2I qui aurait le même niveau de sélectivité. Il y en a une petite trentaine en France avec des taux d'accès divers.
D'où l'importance de faire des vœux variés pour maximiser ses chances d'être admis.
Merci beaucoup
Avec plaisir !
Bonjour
Les absences sont-ils pris au sérieux ?
Je ne pense pas que ce soit très bien vu. Après, cela dépend de leur nombre...
Merci beaucoup c'est intéressant le vidéo
Y-a-t-il beaucoup d'étudiants étrangers en PCSI Clémenceau ?
Je suis au Sénégal, et je veux faire les prépa en PCSI
Salut, beaucoup je ne sais pas. Dans ma classe en MP2I, il y en avait 4 je crois venant de l'étranger. Dans tous les cas, ton dossier sera étudié, ne t'en fais pas pour cela.
@@NaradaMaugin d'accord merci beaucoup
Salut, tu es dans quelle prépa s’il te plaît ??
Salut, je suis au lycée Clemenceau à Nantes.
Merci pour cette vidéo super intéressante ! Je souhaite également intégrer une prépa MP2I à Paris. Cependant, je suis en première et 👀en français j'ai 12 car j'ai un mauvais prof qui note mal et qui considère que 13 est excellent mais en prépa l'excellence ne se situe pas à 13 😂 alors qu'au premier trimestre j'avais 10.75 avec comme appréciation : Travail très sérieux, tu penses qu'avec cela j'ai des chances d'être admis à Paris malgré cette moyenne en français (j'ai 16 partout hormis le français et 19 dans mes spe) ? 😅
Salut et merci !
Il y a des prépas de sélectivité différentes à Paris. J'imagine que tu parles de prépa comme Louis-le-Grand ou Saint-Louis ?
Les prépas regardent les appréciations, moyenne de classe, rang dans la classe et vont regarder tes notes au bac de français. Autant d'éléments qui permettent de tempérer la note brute :).
Dans tous les cas, continue à travailler et n'hésite pas à passer des concours (concours général, TFJM...), c'est beaucoup apprécier des prépas.
Pour l'instant j'ai passé les olympiades de maths et j'ai pas pu participer au concours kangourou (mon bac blanc était à la même heure 🥲) j'essaierai de participer au concours général l'année prochaine aussi mais merci du conseil !! 🙂
C'est à peu près pareil pour les prepa ecg
Oui j'imagine ! Tu es en ECG ?
Et sinon il y a la meilleur école d’ingénieurs français au monde, l’EPFL (top15) loin devant l’X (top60). 5.000 élèves ingénieurs français sont sur un campus de rang international à Lausanne pour un coût de scolarité de 1600 euros/an. L’admission se fait avec un bac mention TB et 16/20 minimum en maths et physique puis un rythme intense en première année qui va crescendo pendant 5 ans, loin des deux années de prépa. suivies de trois années de fêtes et autres activités associatives à la française une fois intégré l’école du concours réussi !
L'EPFL est un choix très plébiscité par les français oui et pour de bonnes raisons. Mais dans ces bonnes raisons, je ne vois pas bien les classements... ils sont mieux placés parce qu'il y a juste plus d'étudiants et de profs. De manière générale, les classements ne disent rien sur la qualité de ta formation : les cours, les profs, les autres étudiants, l'administration... Par exemple, qu'en venant de France et en étant très bon élève, il y a un risque important de redoubler sa première année (voir plus).
D'autre part, le coût de la vie est bien plus chère en Suisse que si tu vas dans la fac du coin.
Voilà, c'est juste pour tempérer ton message, mais j'ai un ami qui y est en M2 en y ayant fait toute sa scolarité et qui est très content.
@@NaradaMaugin Je crains que tes informations ne soient en grande partie erronées.
Avant de développer, je citerai donc l’interview du 5 septembre 2023 d’Eric Labaye président à date de l’X et de l’Institut Polytechnique (X, ENSTA, ENSAE, Télécom Paris, Télécom SudParis) qui reconnaît lui-même que l’EPFL et le MIT sont le modèle à suivre !
Eric Labaye : « La création d’IP Paris a été annoncée par le Président de la République en octobre 2017 avec l’ambition de faire de ce nouvel établissement un MIT ou un EPFL à la française. »
(Source site de l’école Polytechnique)
Sauf à être fou, cet homme ne fait que dire tout haut ce que tout l’enseignement supérieur français sait mais souhaite cacher aux lycéens pour préserver un système français obsolète basé les CPGE.
Concernant le taux de passage direct de première en deuxième année à l’EPFL, il va de 32% en génie électrique et électronique à 51% en génie civil/architecture (2022) et augmente en intégrant les redoublants ou les changements de section qui ne sont pas pris en compte dans ces chiffres. Je ne dispose pas des chiffres intégrant ces deux catégories.
Ce que ton ami en M2 te confirmera aussi, parce que les Français qui en parlent le plus n’ont souvent jamais mis les pieds à l’EPFL, c’est que le redoublement/l’abandon est lié à deux causes principales :
1/ D’abord les Suisses titulaires de la maturité fédérale (équivalent du bac) peuvent s’inscrire dans n’importe quelle école fédérale Suisse (c’est la loi) sans niveau minimum (donc l’équivalent d’un bac à 10/20 en France). En règle générale, beaucoup de ces profils faibles ne « survivent » pas au premier semestre de l’EPFL, abandonnent très vite devant le niveau d’études ou vont à la mise à niveau du deuxième semestre pour avoir possiblement le droit de redoubler.
2/ Pour les Français, il faut être organisé et autonome pour tenir 14 semaines très intensives de cours tout en découvrant pour certains la gestion de la vie courante (courses, lessives, obligations administratives…) et ne pas céder à une liberté nouvelle dans une ville agréable, Lausanne, loin du cocon familiale avec ses règles et un cadre confortable sans intendance. Cette catégorie de bacheliers français, cependant excellents, est celle concernée par la mise à niveau (MAN du deuxième semestre de la première année avec un niveau à atteindre pour avoir seulement le droit de redoubler !), celle qui n’aura pas validé la première année et sera autorisée à redoubler et celle de ceux qui quitteront l’EPFL lors de cette première année.
Pour les bacheliers français qui sont sérieux, autonomes et organisés, le passage en deuxième année se fait sans souci, encore plus avec les nouveaux critères d’admissions pour septembre 2024 qui sont semblables au top 10 des meilleures prépas françaises.
Concernant les cours, les profs et les autres étudiants, toutes ces informations sont accessibles sur le site de l’EPFL et dans les rapports annuels de l’école.
Par exemple, toutes les nominations des professeurs ainsi que leurs CV, leurs cours et leurs publications sont accessibles à n’importe qui sur epfl.ch. > à propos > facts ou dans la rubrique corps professoral. Tu constateras que le corps professoral est de niveau international avec une grille de rémunération identique au MIT (X3 par rapport à Polytechnique) avec en plus la qualité de vie en Suisse à Lausanne. Mais ces mêmes professeurs sont évalués et notés à la fin de chaque semestre par les élèves avec éventuellement une intervention administrative en cas de mauvais retour, ce qui est inimaginable en France. Cela garantit une excellence pédagogique reconnue dans les écoles fédérales suisses.
Quant au coût de la scolarité en Suisse, (hors boursier) il est très raisonnable avec une chambre en résidence universitaire à partir de 530 euros (tout compris, dont assurance et abonnement internet) souvent moins cher que les grandes villes universitaires en France et des frais de scolarité autour de 1.600 euros/an à comparer pour les écoles/universités équivalentes, aux 30.000£/an en Angleterre ou au 60.000$/an dans le top 10 américain et avec un bachelor souvent en 4 ans et non en 3 comme à l’EPFL. Reste le coût de la nourriture qui, il est vrai, est beaucoup plus cher qu’en France. Mais ton ami en M2 te confirmera que beaucoup d’élèves (surtout de la région Grand-Est, Auvergne-Rhône-Alpes et IDF - avec le TGV direct Paris-Lausanne - qui rentrent souvent toutes les semaines ou les quinzaines) reviennent à l’EPFL avec une deuxième valise de nourriture française ! Un élève français dans ce cas de figure peut s’en sortir avec un budget sur 10 mois de l’ordre de 10 à 12keuros/an (frais de transport inclus). Et un peu plus cher pour les Bretons ou les Basques. J’indique 10 mois, car on peut sous-louer légalement sa chambre ou son studio universitaire à,partir de 3 mois d’ancienneté en passant par le gestionnaire universitaire, tout en gardant le bénéfice de récupération automatique de la chambre après les vacances d’été ou un échange universitaire.
Trois remarques complémentaires :
1/ il est très facile d’obtenir un prêt étudiant pour sa scolarité à partir du moment où l’on est admis à l’EPFL.
2/ avec des salaires de sortie d’EPFL entre 85 et 135keuros/an, il est très rapide de rembourser ce prêt.
3/ il y a foultitude de petits jobs proposés par l’EPFL sur le campus aux élèves qui le souhaitent, sur une base moyenne de 25CHF/heure et dans la limite de 15 heures/semaine pour les étrangers, mais sans limite en revanche pendant les vacances. Cela permet de disposer d’un budget complémentaire intéressant quand on fait ne serait-ce que 4 à 6 heures par semaine.
Enfin, concernant le mythe des mauvais classement en raison de la petite taille des écoles française, pourquoi donc CalTech (avec moitié moins d’étudiant que l’X) est-elle dans le top 10 mondial !
Ces classements, certainement perfectibles, sont étonnement reconnus partout dans le monde, sauf en France, où pourtant l’on considère fiable le classement de « L’étudiant » pourtant juge et partie en tant qu’organisateur de salons et vendeurs d’espaces publicitaires en tous genres aux dites écoles d’ingénieurs ! Cherchez l’erreur.
Pour conclure, la supercherie française est de continuer à tout communiquer sur la difficulté d’admission dans une école où s’ensuivent trois années de « club méd » associatif et autres soirées arrosées, là où partout ailleurs seule compte l’excellence de sortie des élèves au bout de cinq ans : Imperial College, Delft TU, MIT, EPFL/ETHZ, Oxbridge, TU Munich, Stanford, CalTech…
Tu pourras à ce titre trouver un excellent article dans le supplément Campus du journal Le Monde daté du 1er décembre 2023.
PS : je mets « Ulm » à part, justement parce qu’après le concours et sur la base d’un effort en continu pendant toute leur scolarité, ces génies scientifiques continuent de « bûcher » pendant trois ou quatre ans, comme à l’EPFL. Un élève ingénieur français lui aura connu, pour 97% d’entre eux, son pic de performance et d’apprentissage en fin de CPGE ! Les 3% restant étant ceux qui souvent continuent à travailler après l’admission pour un double-diplôme comme celui EPFL/X, EPFL/Centrale-Supélec ou encore EPFL/Isae-Supaéro !
Mille excuses de cette longue réponse, mais il me semblait important de t’apporter toutes ces précisions. Bon vent et beaucoup de réussite dans tes études !
Salut ! On ne se mettra pas d'accord sur les classements qui sont, hélas, capitaux pour nos gouvernements depuis 15 ans. Je t'invite à lire la page Wikipédia du classement de Shangai si tu veux : fr.wikipedia.org/wiki/Classement_acad%C3%A9mique_des_universit%C3%A9s_mondiales_par_l%27universit%C3%A9_Jiao_Tong_de_Shanghai#Critiques
Concernant le reste, je n'ai pas grand-chose à compléter par rapport à mon message précédent. Mais ton message donnera surement des infos intéressantes aux lycéens qui le liront :).
@@NaradaMaugin Bonsoir, concernant les classements internationaux je te donne raison pour partie, mais à ce moment là il faut arrêter de les prendre en exemple pour les CPEG ECG car ils sont favorables à HEC, l’INSEAD et autres écoles de commerce ! De même quel crédit accorder au Figaro et à L’étudiant pour leurs classements qui servent pourtant de référence aux grandes écoles d’ingénieurs françaises, alors même que ces journaux sont de gros supports publicitaires pour les-dites écoles d’ingénieurs ? Question rigueur et probité on repassera.
Mon constat est simplement que l’EPFL laisse une vraie chance de se révéler à tout ceux qui ont un niveau académique minimum et souvent des talents dont se contrefiche le système français et ParcourSup (par exemple au hasard, un bon niveau aux échecs, excellente base pour les domaines mathématiques et informatiques 😉 ! Je l’ai aussi vécu à titre personnel). Ces talents sont mis dans des conditions d’études très confortables en Suisse et avec les meilleurs professeurs internationaux possibles, mais l’obligation d’une grosse charge de travail pendant 5 ans.
Et ce n’est pas en prépa même à LLG ou H4 que l’on aura jamais un Clément Pit-Claudel ou un Alessandro Chiesa pourtant professeurs en première ou deuxième année à Lausanne…
@@NaradaMaugin PS : et tu m’enlèveras pas de la tête que l’EPFL aurait pu être une ouverture Alapine pour toi ! Je n’ai pas résisté, pardonne moi 😉…