Je suis le marginal, au fond de la salle, Invisible, mais jamais banal. À contre-courant, je trace ma voie, Loin des foules, loin des lois. Ils chuchotent, me pointent du doigt, Mais leur monde carré n’est pas pour moi. Je préfère l’ombre à leur lumière, Un pas de côté, loin de leurs prières. Leur système me presse, mais je tiens bon, Je suis le grain de sable dans leurs rouages béton. Regarde-moi bien, je suis hors des rangs, Un électron libre dans ce monde étouffant. Je suis le marginal, le hors-piste, Dans leur symphonie, je joue une autre liste. Au fond de la salle, je tiens ma place, À contre-courant, je brise leur glace. Je suis le marginal, libre et entier, Dans leur océan, je suis la marée. Leurs règles, leurs normes, je les évite, Je suis l’exception, leur monde m’irrite. Ils courent tous après les mêmes rêves, Mais moi, je danse au bord de la grève. La solitude, je l’ai faite mienne, Elle ne me pèse pas, elle m’emmène. Chaque regard hostile, je l’esquive, Je suis marginal, mais toujours en vie. Je suis le marginal, le hors-piste, Dans leur symphonie, je joue une autre liste. Au fond de la salle, je tiens ma place, À contre-courant, je brise leur glace. Je suis le marginal, libre et entier, Dans leur océan, je suis la marée. Ce n’est pas un choix, c’est une nécessité, Refuser d’être un pion dans leur société. Je trace mon chemin, seul mais sincère, Un marginal qui respire un air plus clair. Je suis le marginal, le hors-piste, Dans leur symphonie, je joue une autre liste. Au fond de la salle, je tiens ma place, À contre-courant, je brise leur glace. Je suis le marginal, libre et entier, Dans leur océan, je suis la marée. Au fond de la salle, je reste debout, Marginal, mais vrai jusqu’au bout.
Je suis le marginal, au fond de la salle,
Invisible, mais jamais banal.
À contre-courant, je trace ma voie,
Loin des foules, loin des lois.
Ils chuchotent, me pointent du doigt,
Mais leur monde carré n’est pas pour moi.
Je préfère l’ombre à leur lumière,
Un pas de côté, loin de leurs prières.
Leur système me presse, mais je tiens bon,
Je suis le grain de sable dans leurs rouages béton.
Regarde-moi bien, je suis hors des rangs,
Un électron libre dans ce monde étouffant.
Je suis le marginal, le hors-piste,
Dans leur symphonie, je joue une autre liste.
Au fond de la salle, je tiens ma place,
À contre-courant, je brise leur glace.
Je suis le marginal, libre et entier,
Dans leur océan, je suis la marée.
Leurs règles, leurs normes, je les évite,
Je suis l’exception, leur monde m’irrite.
Ils courent tous après les mêmes rêves,
Mais moi, je danse au bord de la grève.
La solitude, je l’ai faite mienne,
Elle ne me pèse pas, elle m’emmène.
Chaque regard hostile, je l’esquive,
Je suis marginal, mais toujours en vie.
Je suis le marginal, le hors-piste,
Dans leur symphonie, je joue une autre liste.
Au fond de la salle, je tiens ma place,
À contre-courant, je brise leur glace.
Je suis le marginal, libre et entier,
Dans leur océan, je suis la marée.
Ce n’est pas un choix, c’est une nécessité,
Refuser d’être un pion dans leur société.
Je trace mon chemin, seul mais sincère,
Un marginal qui respire un air plus clair.
Je suis le marginal, le hors-piste,
Dans leur symphonie, je joue une autre liste.
Au fond de la salle, je tiens ma place,
À contre-courant, je brise leur glace.
Je suis le marginal, libre et entier,
Dans leur océan, je suis la marée.
Au fond de la salle, je reste debout,
Marginal, mais vrai jusqu’au bout.