Ils demandent des réponses, encore et encore, À chaque pas, je traîne leurs doutes, leur décor. Devoir prouver ma valeur à chaque battement, Mais mon silence devient mon seul commandement. Toujours jugé, mis sur la balance, Chaque mot que je dis devient une offense. Ils veulent des raisons, des aveux, des preuves, Mais à force de céder, mon âme s’émeut. Je suis pas un esclave de leur méfiance, Ma route est tracée, j'avance en silence. Chaque question est une chaîne, une entrave, Mais je brise leurs fers, mon esprit reste brave. Devoir tout le temps me justifier, C’est un poids que je refuse de porter. Ils ne voient pas, ils ne savent pas, La force qu’il faut pour rester là. Je suis fatigué de leurs jugements, Ma vérité n’a pas besoin d’amendements. Levez vos regards, laissez-moi respirer, Je ne suis pas ici pour vous plaire à jamais. Des regards qui pèsent, des soupirs enchaînés, Chaque geste est scruté, chaque mot est pesé. Ils veulent que je rende des comptes, encore, Mais ma vie n’est pas un procès, ni un rapport. Je fais ce que je peux, et parfois plus encore, Mais leur méfiance érode tout mon effort. Quand est-ce que ça cesse ? Quand est-ce qu’ils comprendront ? Que leur validation n’est qu’un faux pardon. Devoir tout le temps me justifier, C’est un poids que je refuse de porter. Ils ne voient pas, ils ne savent pas, La force qu’il faut pour rester là. Je suis fatigué de leurs jugements, Ma vérité n’a pas besoin d’amendements. Levez vos regards, laissez-moi respirer, Je ne suis pas ici pour vous plaire à jamais. Des éclats de lumière, une flamme qui s’éveille, Dans le feu de leurs questions, je forge mes merveilles. Leur doute est un vent, mais je suis l’orage, Je gravis leurs montagnes, je brûle leur mirage. Devoir tout le temps me justifier, C’est un poids que je refuse de porter. Ils ne voient pas, ils ne savent pas, La force qu’il faut pour rester là. Je suis fatigué de leurs jugements, Ma vérité n’a pas besoin d’amendements. Levez vos regards, laissez-moi respirer, Je ne suis pas ici pour vous plaire à jamais. À chaque justification, je perds une partie, Mais ma voix demeure, même dans l’oubli. Alors écoutez bien, ce sera mon dernier mot : Je ne suis pas à vous, je vis pour mes idéaux.
Ils demandent des réponses, encore et encore,
À chaque pas, je traîne leurs doutes, leur décor.
Devoir prouver ma valeur à chaque battement,
Mais mon silence devient mon seul commandement.
Toujours jugé, mis sur la balance,
Chaque mot que je dis devient une offense.
Ils veulent des raisons, des aveux, des preuves,
Mais à force de céder, mon âme s’émeut.
Je suis pas un esclave de leur méfiance,
Ma route est tracée, j'avance en silence.
Chaque question est une chaîne, une entrave,
Mais je brise leurs fers, mon esprit reste brave.
Devoir tout le temps me justifier,
C’est un poids que je refuse de porter.
Ils ne voient pas, ils ne savent pas,
La force qu’il faut pour rester là.
Je suis fatigué de leurs jugements,
Ma vérité n’a pas besoin d’amendements.
Levez vos regards, laissez-moi respirer,
Je ne suis pas ici pour vous plaire à jamais.
Des regards qui pèsent, des soupirs enchaînés,
Chaque geste est scruté, chaque mot est pesé.
Ils veulent que je rende des comptes, encore,
Mais ma vie n’est pas un procès, ni un rapport.
Je fais ce que je peux, et parfois plus encore,
Mais leur méfiance érode tout mon effort.
Quand est-ce que ça cesse ? Quand est-ce qu’ils comprendront ?
Que leur validation n’est qu’un faux pardon.
Devoir tout le temps me justifier,
C’est un poids que je refuse de porter.
Ils ne voient pas, ils ne savent pas,
La force qu’il faut pour rester là.
Je suis fatigué de leurs jugements,
Ma vérité n’a pas besoin d’amendements.
Levez vos regards, laissez-moi respirer,
Je ne suis pas ici pour vous plaire à jamais.
Des éclats de lumière, une flamme qui s’éveille,
Dans le feu de leurs questions, je forge mes merveilles.
Leur doute est un vent, mais je suis l’orage,
Je gravis leurs montagnes, je brûle leur mirage.
Devoir tout le temps me justifier,
C’est un poids que je refuse de porter.
Ils ne voient pas, ils ne savent pas,
La force qu’il faut pour rester là.
Je suis fatigué de leurs jugements,
Ma vérité n’a pas besoin d’amendements.
Levez vos regards, laissez-moi respirer,
Je ne suis pas ici pour vous plaire à jamais.
À chaque justification, je perds une partie,
Mais ma voix demeure, même dans l’oubli.
Alors écoutez bien, ce sera mon dernier mot :
Je ne suis pas à vous, je vis pour mes idéaux.