Les promesses, les aléas et les incertitudes sont chemin de la vie, je dirais que comme toute les vingtaine/ trentaine d'années une parti de la dite jeunesse ( toujours en partant de sa propre date de naissance ) prend son indépendance du cocon famille pour du travail ou de la liberté vers les villes et dans le même temps des amoureux de la ville qui aspire à de la verdure vienne faire leur remake des Ingalls, par ce fait la dite jeunesse ne disparaît jamais . Je n'ai pas connu la grande vie du village, les lieux de rencontre ou les supérettes étaient tous fermés, les chemins silencieux, les préaux de sapins étaient même inconnus de certains qui avaient connu cette fameuse période, les étaient vides et c'est vrais beaucoup de vide . Mais cela ne m'a jamais dérangé, c'est même de passionnant souvenir que je garde en mémoire . Aujourd'hui je fais partie de cette dite jeunesse qui s'envole vers les villes et à ce même moment d'autre reviennent au village et monte des associations et des lieux de vie, a voir et a mangé alors je pense que tout est subjectif selon les besoins de chacun selon son temps de vie . La ville comme le village peut-être un luciférienne comme arthurienne . Durant les quinze dernières années jais côtoyer de multiples villes européennes et j'en ai vu des horreurs, de la misère très bien ficelé et du bonheur dans l'humiliation, quelque choses de dure que je n'avais jamais observé auparavant dans les ruelles de pavé de mon petit village . Aujourd'hui j'ai conscience que le village m'a protégé de certain évènements qui arrivent trop souvent beaucoup trop tôt, tout en me bloquant la réalité de plein d'autres, que ce soit de la compréhension des comportements humains ou des choses à faire pour ne pas trop galérer dans la vie genre comme passé son permis ( lol ) Je laisse les incertitudes a ceux qui pense avoir tout fait, tout essayé sans jamais avoir dépassé la barrière de sa propriété privé, il y a eu et il y aura des aires de lucifer et des aires d'Arthur sur nos villes et nos villages c'est l'histoire de la vie, de nos vie, de ta vie, des vie et d'une seule dans la multitude de vie . C'est la bataille intérieure du contentement contre le désir .
@@Damelila1925 Wow, ce que tu as écrit là. Merveilleuse description de votre jeunesse. J'ai aussi grandi dans le village. A 16 ans je suis allée pour la première fois en ville 👉Karlsruhe, si on peut appeler ça une ville🤪, mon premier cours de danse, la danse est ensuite devenue ma passion pendant presque 5 ans. Aller à la discothèque, etc. Mais je n’ai jamais été attiré par la ville. Tout était trop serré pour moi là-bas. Au village, je respire un peu d'air. Et d'une manière ou d'une autre, je me sens à l'aise ici même si je n'aime pas beaucoup les villageois😅. En tant qu'Italien, même après 62 ans, je me sens toujours comme un étranger ici en Germanie. Ciao ✌️ ✌️…..et une autre traduction en anglais au cas où Google tout gâcherait encore Wow, what you wrote there. Wonderful description of your youth. I also grew up in a village. When I was 16, I went to the city for the first time 👉Karlsruhe, if you can call it a city🤪, my first dance class, dancing became my passion for almost 5 years. Disco visits, etc. But I was never drawn to the city. Everything was too cramped for me there. In the village I get air to breathe. And somehow I feel at home here, even if I don't like the villagers very much😅. As an Italian, even after 62 years, I still feel like a foreigner here in Germania. Ciao ✌️
@@YeLLGoYeLLGo Quand je dit que j'ai rejoint la ville, je parle de la ou il y a des lignes bus et des zone commerciale mais sa reste un village, grand.
un avenir incertain pour tous les villages👌🎧✨🤍💫ciao DameLila
Les promesses, les aléas et les incertitudes sont chemin de la vie, je dirais que comme toute les vingtaine/ trentaine d'années une parti de la dite jeunesse ( toujours en partant de sa propre date de naissance ) prend son indépendance du cocon famille pour du travail ou de la liberté vers les villes et dans le même temps des amoureux de la ville qui aspire à de la verdure vienne faire leur remake des Ingalls, par ce fait la dite jeunesse ne disparaît jamais .
Je n'ai pas connu la grande vie du village, les lieux de rencontre ou les supérettes étaient tous fermés, les chemins silencieux, les préaux de sapins étaient même inconnus de certains qui avaient connu cette fameuse période, les étaient vides et c'est vrais beaucoup de vide .
Mais cela ne m'a jamais dérangé, c'est même de passionnant souvenir que je garde en mémoire .
Aujourd'hui je fais partie de cette dite jeunesse qui s'envole vers les villes et à ce même moment d'autre reviennent au village et monte des associations et des lieux de vie, a voir et a mangé alors je pense que tout est subjectif selon les besoins de chacun selon son temps de vie .
La ville comme le village peut-être un luciférienne comme arthurienne .
Durant les quinze dernières années jais côtoyer de multiples villes européennes et j'en ai vu des horreurs, de la misère très bien ficelé et du bonheur dans l'humiliation, quelque choses de dure que je n'avais jamais observé auparavant dans les ruelles de pavé de mon petit village .
Aujourd'hui j'ai conscience que le village m'a protégé de certain évènements qui arrivent trop souvent beaucoup trop tôt, tout en me bloquant la réalité de plein d'autres, que ce soit de la compréhension des comportements humains ou des choses à faire pour ne pas trop galérer dans la vie genre comme passé son permis ( lol )
Je laisse les incertitudes a ceux qui pense avoir tout fait, tout essayé sans jamais avoir dépassé la barrière de sa propriété privé, il y a eu et il y aura des aires de lucifer et des aires d'Arthur sur nos villes et nos villages c'est l'histoire de la vie, de nos vie, de ta vie, des vie et d'une seule dans la multitude de vie .
C'est la bataille intérieure du contentement contre le désir .
@@Damelila1925 Wow, ce que tu as écrit là. Merveilleuse description de votre jeunesse. J'ai aussi grandi dans le village. A 16 ans je suis allée pour la première fois en ville 👉Karlsruhe, si on peut appeler ça une ville🤪, mon premier cours de danse, la danse est ensuite devenue ma passion pendant presque 5 ans. Aller à la discothèque, etc. Mais je n’ai jamais été attiré par la ville. Tout était trop serré pour moi là-bas. Au village, je respire un peu d'air. Et d'une manière ou d'une autre, je me sens à l'aise ici même si je n'aime pas beaucoup les villageois😅. En tant qu'Italien, même après 62 ans, je me sens toujours comme un étranger ici en Germanie. Ciao ✌️
✌️…..et une autre traduction en anglais au cas où Google tout gâcherait encore
Wow, what you wrote there. Wonderful description of your youth. I also grew up in a village. When I was 16, I went to the city for the first time 👉Karlsruhe, if you can call it a city🤪, my first dance class, dancing became my passion for almost 5 years. Disco visits, etc. But I was never drawn to the city. Everything was too cramped for me there. In the village I get air to breathe. And somehow I feel at home here, even if I don't like the villagers very much😅. As an Italian, even after 62 years, I still feel like a foreigner here in Germania. Ciao ✌️
@@YeLLGoYeLLGo Quand je dit que j'ai rejoint la ville, je parle de la ou il y a des lignes bus et des zone commerciale mais sa reste un village, grand.