Bonjour Il y a 2 écoles de pensée pour le nourrissement des abeilles à l’automne. La très grande majorité des apiculteur, nourrice avec du sirop de sucre blanc. La raison est que les abeilles sont confinés dans leur ruche pendant des mois au Québec. Si nous leur laissions du miel, elles accumuleraient, énormément de déjections dans leur intestin. Les abeilles ne font jamais leurs besoins dans la ruche. Elles ont donc besoin d’une période plus chaude pour sortir se nettoyer, ce qui est très limitant au Québec. Le sirop de sucre blanc, n’apporte que de l’énergie pour qu’elle garde leur chaleur dans la ruche pendant l’hiver.
Vraiment intéressant, mais j'aurais une question pour Mélissa. Quand elle dit que les apiculteurs hivernisent les abeilles avec du sirop fait à partir de sucre blanc, sachant que vous pourriez faire un autre épisode sur l'impact du sucre blanc sur l'environnement, ne serait-ce pas mieux de les hiverner avec leur propre miel? Connaissons-nous la proportion des abeilles à miel dans les pollinisateurs au Québec? Serions-nous capable de s'en priver? Merci! Beau sujet!
Bonjour Il y a 2 écoles de pensée pour le nourrissement des abeilles à l’automne. La très grande majorité des apiculteur, nourrice avec du sirop de sucre blanc. La raison est que les abeilles sont confinés dans leur ruche pendant des mois au Québec. Si nous leur laissions du miel, elles accumuleraient, énormément de déjections dans leur intestin. Les abeilles ne font jamais leurs besoins dans la ruche. Elles ont donc besoin d’une période plus chaude pour sortir se nettoyer, ce qui est très limitant au Québec. Le sirop de sucre blanc, n’apporte que de l’énergie pour qu’elles gardent leur chaleur dans la ruche pendant l’hiver. Je ne connais pas la proportion d’abeilles à miel dans les pollinisateurs au Québec. Cependant il serait très difficile de nous en passer présentement. Il y a plusieurs cultures qui nécessitent les abeilles à miel pour polliniser, comme le bleuet, et la canneberge, par exemple. Les superficies sont tellement énormes que les pollinisateurs indigènes sont insuffisants.
![🌴 [Yves Darricau] Des arbres pour le futur](http://i.ytimg.com/vi/iriUAeU4MUQ/mqdefault.jpg)
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Bonjour
Il y a 2 écoles de pensée pour le nourrissement des abeilles à l’automne. La très grande majorité des apiculteur, nourrice avec du sirop de sucre blanc. La raison est que les abeilles sont confinés dans leur ruche pendant des mois au Québec. Si nous leur laissions du miel, elles accumuleraient, énormément de déjections dans leur intestin. Les abeilles ne font jamais leurs besoins dans la ruche. Elles ont donc besoin d’une période plus chaude pour sortir se nettoyer, ce qui est très limitant au Québec. Le sirop de sucre blanc, n’apporte que de l’énergie pour qu’elle garde leur chaleur dans la ruche pendant l’hiver.
Vraiment intéressant, mais j'aurais une question pour Mélissa. Quand elle dit que les apiculteurs hivernisent les abeilles avec du sirop fait à partir de sucre blanc, sachant que vous pourriez faire un autre épisode sur l'impact du sucre blanc sur l'environnement, ne serait-ce pas mieux de les hiverner avec leur propre miel? Connaissons-nous la proportion des abeilles à miel dans les pollinisateurs au Québec? Serions-nous capable de s'en priver?
Merci! Beau sujet!
Bonjour
Il y a 2 écoles de pensée pour le nourrissement des abeilles à l’automne. La très grande majorité des apiculteur, nourrice avec du sirop de sucre blanc. La raison est que les abeilles sont confinés dans leur ruche pendant des mois au Québec. Si nous leur laissions du miel, elles accumuleraient, énormément de déjections dans leur intestin. Les abeilles ne font jamais leurs besoins dans la ruche. Elles ont donc besoin d’une période plus chaude pour sortir se nettoyer, ce qui est très limitant au Québec. Le sirop de sucre blanc, n’apporte que de l’énergie pour qu’elles gardent leur chaleur dans la ruche pendant l’hiver.
Je ne connais pas la proportion d’abeilles à miel dans les pollinisateurs au Québec. Cependant il serait très difficile de nous en passer présentement. Il y a plusieurs cultures qui nécessitent les abeilles à miel pour polliniser, comme le bleuet, et la canneberge, par exemple. Les superficies sont tellement énormes que les pollinisateurs indigènes sont insuffisants.