La Poudre - Sophie Fontanel

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  • เผยแพร่เมื่อ 21 ต.ค. 2024
  • Découvrez le vingtième épisode du podcast La Poudre, dans lequel Lauren Bastide s'entretient avec Sophie Fontanel. Cette vidéo a été diffusée dans le cadre du cycle d'événements La Poudre replay en partenariat avec les cinémas mk2. Veuillez nous excuser pour les coquilles dissimulées dans les sous-titres :)
    Sophie Fontanel est une autrice, journaliste et influenceuse française née à Paris en 1962. Son roman « Une apparition » (2017), relate l’expérience qui a suivi sa décision de ne plus se teindre les cheveux. Elle est suivie par plus de 215 000 personnes sur Instagram, où elle publie de nombreux posts la mettant en scène. Diplômée de lettres, Sophie Fontanel écrit d’abord pour de nombreux médias tels que Les Matins de Paris avant de devenir rédactrice en chef de Cosmopolitan. Elle publie son premier roman en 1995, « Sacré Paul » pour lequel elle reçoit le prix du premier roman avant de devenir animatrice à « Nulle part ailleurs » sur Canal +. Cette expérience lui inspirera le sujet de son deuxième roman, « Le plus jeune métier du monde », en 1999. Elle entre ensuite au magazine ELLE, où elle est grand reporter puis rédactrice en chef de la mode avant de quitter sa rédaction le 1er avril 2015. Elle écrit aujourd’hui une chronique hebdomadaire pour Le Nouvel Observateur intitulée « La mode pour tous ». Sophie Fontanel est une autrice prolifique qui a écrit 15 romans, dont « Grandir » publié en 2010 aux éditions Robert Laffont et salué du prix « Le Prince-Maurice » du roman d’amour, et « L’Envie » un livre sur l’abstinence sexuelle vendu à plus de 150 000 exemplaires.
    Dans cet épisode de La Poudre, Sophie Fontanel raconte son enfance dans le 16ème arrondissement de Paris et le sentiment d’être des « surclassé·e·s » sociaux, l’impact de l’exil de ses grands-parents, qui ont fui le génocide arménien, sur son enfance (10:45), le viol qu’elle a subi dans son adolescence et qui a bouleversé à jamais sa vie sexuelle (18:55), ses années passées à travailler dans la presse féminine sans jamais en véhiculer les diktats (31:24), son sentiment de n’appartenir à aucun bord sexuel (37:36). Sophie lit un passage de son roman « Grandir » et raconte sa mère (45:27), les doubles standards qui accompagnent la vieillesse des femmes et celles des hommes (50:42) et sa rencontre avec son utérus (58:33).
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ความคิดเห็น • 11

  • @stc.9276
    @stc.9276 3 ปีที่แล้ว +7

    Merci pour ce subtile et tendre moment.... Merveilleuse Sophie, l'élégance, le charme, la vivacité d'esprit réunis en un personnage inspirant et qui fait un bien fou !! Interview menée avec bcp de délicatesse.... Je regrette que ce soit déjà terminé.... Merci encore.

  • @indesophie404
    @indesophie404 3 ปีที่แล้ว +5

    Bravo à Lauren Bastide pour cet interview. Et merci à Sophie Fontanel pour avoir partagé ses moments, ses sentiments et son regard.

  • @kattail1429
    @kattail1429 3 ปีที่แล้ว +4

    Quelle lucidité et quelle facilité à parler de soi (pour une femme) et de ses drames personnels. C'est impressionnant !

  • @mia_choi
    @mia_choi 3 ปีที่แล้ว

    Merci bcp pour le sous titre !

  • @julietted.2951
    @julietted.2951 3 ปีที่แล้ว +1

    C'est un joli moment et de véritables échanges entre femmes au sujet des relations hommes et femmes aussi.

  • @glot4561
    @glot4561 3 ปีที่แล้ว +3

    J'aime bien votre podcast !

  • @noraiza1072
    @noraiza1072 3 ปีที่แล้ว +1

    Elle est géniale cette femme
    Trop cool
    Je la découvre
    Merci

  • @rlv2409
    @rlv2409 ปีที่แล้ว

    Géniale !

  • @marinaklein8557
    @marinaklein8557 3 ปีที่แล้ว

    Can someone please tell me the name of the song at the intro?

  • @nnae4323
    @nnae4323 11 หลายเดือนก่อน

    Que j'aime cette femme

  • @better.call.pauline
    @better.call.pauline 3 ปีที่แล้ว +4

    Je ne comprends pas comment on peut se considérer féministe en tant que journaliste de Elle. C'est un magazine dont les valeurs implicites sont profondément rattachées au patriarcat, qui défend, de par les thématiques abordées, cette idée que les femmes devraient impérativement prendre soin d'elles, cuisiner, soigner leur intérieur, etc. Ce sujets, mode, déco, cuisine, raisonnent en moi comme des présupposés auxquels on me rattache parce que je suis une femme, alors que je n'aime pas spécialement le shopping, ne m'intéresse ni à la mode, ni à la cuisine ou à la déco. Je préfère mille fois lire des magazines de science et je m'intéresse à des activités plutôt connotées comme "masculines". J'avoue ne pas comprendre quand l'invitée dit "je suis un peu androgyne". Pour ma part, ça ne me viendrait jamais à l'esprit, au grand JAMAIS, d'écrire dans un magazine féminin. Rien que d'ouvrir une page de Elle me donne la nausée tant le contenu me rappelle tous les amalgames auxquels je fais face au quotidien. Comment peut-on se dire androgyne et se jeter à corps perdu dans cette fabrique à préjugés sexistes que sont les journaux féminins ?
    Ne faudrait-il pas, s'il l'on souhaite abolir les diktats liés à l'apparence et j'en passe, boycotter les journaux féminins ? Ils sont les premiers à nous casser les ovaires avec des images photoshopées, des pubs pour des produits antirides, des conseils de régime et j'en passe... Il me semble que ces journaux perdurent non en raison des injonctions patriarcales des hommes mais de notre porte monnaie. La déconstruction, il me semble, passe la remise en question de notre consommation culturelle !