Comment sortir de la dépendance affective - Cristina Marques
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- เผยแพร่เมื่อ 3 ส.ค. 2016
- Livre de Cristina : goo.gl/k5dqQP
L'amour peut être exaltante, surtout au début d'une relation. Tout ce que vous rencontrez avec votre partenaire est tellement nouveau et dans l'ensemble étonnant et vous pensez que rien ne peut aller mal.
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S1E6-La quête du bonheur-Dépendance affective avec Cristina Marques - แนวปฏิบัติและการใช้ชีวิต
Pour moi c’est la meilleure psy du web cette femme est extraordinaire elle est une parfaite pédagogue aussi je lui ai proposé un jour de traduire ses vidéos en arabe le monde arabe aurait besoin de ses conseils ❤❤
Merci, je ressentais réellement une panique immense à l'idée qu'il me quitte, qu'il se détourne de moi, qu'il me rejette, qu'il m'abandonne, qu'il ne m'aime plus. Que notre présent devienne passé, que tout ce que j'avais enfin espéré allait disparaître, comme si je ne le méritais pas. Je ne pouvais pas kiffer ma vie comme ça, j'allais forcément payer une dette pour cette chance. Et ce qui était vraiment étrange, c'est que la plupart de mes amies avaient peur que leur mec les trompe, draguent, séduisent les autres filles, ne s'engagent pas, ne veulent pas s'installer ensemble, avoir des enfants et se marier. Beaucoup se sont faites tromper, ou humilier par leurs mecs qui ne pouvaient pas s'empêcher de séduire. Elles me disaient que j'avais vraiment de la chance d'avoir un mec aussi responsable, mâture et sérieux. J'avais le mec qui ne me tromperait pas. Et c'est vrai qu'à l'inverse de mes amies j'étais très tranquille par rapport à ça, je ne suis pas jalouse, je lui faisais confiance, je trouvais impossible qu'il me trahisse aussi bassement. Par contre, j'avais la peur sourde et douloureuse qu'un jour il ne m'aime plus et m'abandonne. Pour moi c'était inévitable car je n'étais pas assez bien. Mon frère avait beau me répéter que j'étais bien plus belle que lui, bien plus intelligente, bien plus cultivée, bien plus entourée, bien plus sympa et agréable. Il me disait que c'était lui qui avait de la chance que je sois toujours amoureuse. Je n'en revenais pas, c'était moi l'arnaque, la faible, la fragile, la moins bien. Je ne me suis pas rendue compte que cette boule de peur dans mon ventre est apparue en parallèle de la souffrance ressentie dans ma relation. Lui qui était parfait, mon idéal absolu, même son prénom, sa date de naissance, notre rencontre magique, son physique, tout était aligné, c'était forcément lui mon âme soeur. Je l'avais trouvé, enfin, il m'avait trouvé et j'avais dit oui. Pour la première fois j'étais en couple, pour la première fois on m'aimait vraiment et pas juste pour le sexe. Mais j'avais tellement peur de perdre cette chance, que je n'ai pas vu son changement de comportement à lui, je mettais toujours ces abus sur le compte de la fatigue, du travail, de ses problèmes avec son père. Mais plus le temps passait, plus il devenait distant, blessant, égoïste, froid. Il me repoussait de plus en plus souvent, même pour les câlins, j'avais l'impression de ne plus être désirable. Je ne comprenais plus rien, et il me répétait qu'il m'aimait comme un fou alors que dans les actes, j'étais plutôt transparente, toujours en second plan, toujours rabaissée et infantilisée. Puis il a commencé à être violent, à m'étouffer, me pousser dans les escaliers avec mes affaires en pleine nuit avec des hurlements tout ça parce que je m'étais plainte qu'on ne faisait plus l'amour. Il jetait des assiettes pleines de bouffe au mur, il arrachait les poignées de porte quand j'essayais de m'enfermer, il me jetait des cigarettes allumées au visage, me jetait par terre et m'insultait avec des "salopes" et "putes". Sans jamais avoir d'excuses et de remises en question derrière. Il s'enfermait dans un silence plein de mépris pendant des semaines en faisant comme si je n'existais plus et refusant tout dialogue. Je finissais par partir chez une copine en espérant qu'il se rende compte qu'il m'avait fait beaucoup de mal et qu'il me devait des excuses, mais c'était toujours moi qui finissait par me traîner et à m'excuser de l'avoir rendu violent. J'ai ressenti plusieurs fois un immense malaise face à cette violence et cette non prise de conscience, face à cette casi schizophrénie de comportements, pouvant passer du calme et de la tendresse à de la rage et des menaces physiques, en une seule seconde. Au bout de 4 ans j'étais devenue une sorte de petite fille en alerte, toujours à courir et à craindre son arrivée le soir, dans quelle humeur il allait être, avec la certitude que ce ne serait pas assez bien selon lui et qu'il allait me faire des reproches. Je ne savais pas faire les courses, pas faire un budget, pas organiser un weekend, pas tenir mon appartement parce que je ne voulais pas faire le ménage comme lui le voulait. Il contrôlait tout en me faisant passer pour la potiche et la sans cervelle avec des soupirs, des moqueries, des accès d'autorité humiliantes, je devais en permanence me justifier comme une gamine pour entendre des "oh mais tu es si susceptible, putain mais je peux jamais rien te dire, mais remets-toi en question ma vieille". J'ai eu des problèmes de digestion chroniques, je suis allée voir une psy pour mes crises d'angoisse et ma fatigue inexpliquée, et plus j'allais mal, plus il rayonnait en me disant de rester coucher et de ne pas aller travailler. Il était comme un espèce de père et moi sa fille, dans les moments de calme, il aimait me coiffer, parfois m'habiller, me laver, me donner la fourchette. Il s'occupait de moi comme si j'avais 5 ans, à la fois dans des gestes de couple pas vraiment normaux et dans une autorité très parentifiée. Je devais à la fois être à sa disposition comme une infirmière à son service, et à la fois, lui "foutre la paix". Il était très distant et donnait très peu. Je sentais que ce n'était pas de l'amour, mais autre chose. Après une énième scène d'une très grande violence digne d'un schizophrène où il m'a poussé subitement contre tous les murs et jeté par terre, il m'a hurlé que j'étais une malade mentale et que j'allais finir seule dans un asile avant de se ruer sur moi et de chercher à m'étouffer. C'était comme si j'étais sortie de mon corps et ne ressentais plus rien, je levais les bras vers lui comme une enfant en larmes et essayait de me relever en le suppliant et il ne faisait que me repousser sans cesse. A la fin, je suis devenue hystérique, folle de rage, je lui donnais des coups de pied pour qu'il se dégage de moi, je hurlais de me laisser, je sortais mes doigts comme des griffes et le suppliait dans des cris d'arrêter. Et subitement, comme s'il ouvrait les yeux, il s'est redressé et m'a caressé les cheveux "mais enfin mon amour respire, tu es en train de t'étouffer, souffle mon coeur, souffle.." Il avait repris sa voix de gentil papa inquiet qui s'inquiétait pour sa poupée. "C'est pas possible de se mettre dans des états pareils mon amour, on ne peut vraiment pas avoir de discussions d'adultes avec toi." J'ai su à ce moment-là qu'il avait vraiment un problème psy. Il me faisait peur. Le lendemain en trouvant les poignées à terre il n'avait pas souvenir de les avoir arraché, comme s'il n'avait pas pris conscience de ces agissements. Je suis allée me réfugier chez mon frère qui est tombé des nus et m'a dit de le quitter sinon il allait lui casser la gueule. Je suis rentrée chez moi, il a fait comme si je n'étais pas là, quand j'ai voulu discuter avec lui, il m'a regardé avec une sorte de peur mélangé à du défis. Je lui ai dit qu'on ne pouvait pas continuer comme ça, qu'il avait promis de ne plus jamais lever la main sur moi et qu'il avait recommencé. Il m'a tout de suite coupé avec agacement et m'a dit "Si tu comptes me quitter alors tout ça ne sert plus à rien." 3 jours plus tard il me faisait une déclaration d'amour, 4 jours plus tard je lui organisais un anniversaire surprise (qu'il avait ordonné), et 7 jours plus tard en rentrant du travail il m'a quitté comme ceci : "Je ne te supportes plus dans tous les détails de ta personnalité, j'ai essayé mais je n'en peux plus d'essayer, ta famille prend trop de place et tu ne penses qu'à toi. Tu ne m'apportes plus rien, j'ai envie de vivre autre chose. L'amour ça ne sert à rien, ce n'est que la cerise sur le gâteau, mais moi je n'ai pas de gâteau, mon assiette est vide." Il m'a dit avant de me planter sur le trottoir qu'il était possible qu'il me recontacte dans quelques mois s'il se rendait compte qu'il s'était trompé. Je me suis écroulée et j'ai sombré dans une énorme dépression, j'ai tout raconté à mes proches qui sont tombés des nus (surtout les femmes), et mon père a eu la mauvaise idée de lui écrire et de le menacer s'il décidait de revenir vers moi après tout ce qu'il m'avait fait subir en violence émotionnelle et physique. Mon père s'en était toujours méfié. Je ne sais pas si c'était un PN, je ne le saurais sans doute jamais, mais je n'ai jamais autant souffert, autant fait semblant devant mes amies et ma famille de vivre une relation parfaite, j'étais très malheureuse, malade et angoissée, mais quelqu'un m'avait choisi moi et c'était toujours mieux que de me retrouver moi et ma solitude. Aujourd'hui je combat cette dépendance affective mais je ne sais pas quand je pourrais ré-aimer et faire de nouveau confiance...
Merci. Je suis en plein dedans . Encore une fois. Mais voilà cette fois-ci , je décide de le faire face ! Je suis mon propre château fort ! Je suis mon propre cadeau , l'amour est en moi et rien ni personne ne peut combler ce vide ulusoire qui est en moi . Du coup j'en profite pour faire un gros travail sur moi-même en effet ! Et assumer surtout tout ce que j'essaie de fuir dans ma vie à vouloir m'accrocher ou contrôler cette relation qui m'échappe !
Première phobie dont je fais face ,c'est ma phobie administrative ! Et aussi je décide de mieux prendre soin de moi et accomplir peu à peu tout ce que je désirais accomplit et que je repoussais à plus tard ! C'est du pure bonheur quand on arrive où j'en suis . Je ressent encore ce manque cette fragilité mais en travaillant dessus je décide de prendre le contrôle de ma vie . Je suis libre et l'autre aussi est libre de moi . Enfin je m'assume et c'est juste beau . Merci pour votre témoignage . Tout à commencé en effet quand j'ai réalisé que toutes les relations merdiques que j'avais dans ma vie étaient un prétexte pour fuire cetre peur et souffrance en moi dont j'ai décidé une bonne fois pour toute d'affronter . I gate power . Je goûte à mon plein potentiel et c'est trop kiffant tantôt flippant tantôt jouissant . Merci beaucoup
merci Christina je me retrouve dans votre parcoursje viens de quitter cette personne une durée de relation toxique de 15 ans encore merci votre vidéo est encourageante
Merci merci Cristina j ai adoré vos vidéos j aimerai bien assister àvos confirence je vous adore
Quelle belle âme remplie de sagesse ! Merci beaucoup Cristina 🙏💙✨ Soyez bénie ! Vous êtes si claire et cohérente... je vais plus vous découvrir encore et encore ;) Merci pour l’avoir invité ! Tellement de richesses !
Merciii oui moi aussi chanter danser.
Moi aussi blessure d abandon
Un vide enfant je me sentais très seule oui isolement
Merci mille fois ,Je trouve tout ça merveilleux que maintenant vous êtes nombreux à travailler sûr ce sujet. Même je suis pleinement de dans et la cherche à quitter. De plus il me trompe sans cesse jusqu'à le trouver face à face , et je arrive pas à quitter. J'aimerais savoir "est ce que la personne est née perverse narcissique où elle le devient .Et si elle le devient ;elle le devient de sa propre gré où elle ne se rend pas ?
Un grand merci vous m'avez ouvert les yeux.
Je ne comprenais pas pourquoi même en couplé je dépendait bcp de mon partenaire. Ça peut dire combien de temps le sevrage?
Je viens de me séparer mais j'ai peur de passer à autre chose j'ai peur qu'il va retrouver une autre femme, comme si je me disait qui sans lui je finirais seule.
On dit que ceux qui en parles ont vécu la chose serais tu concerne Cristina on dit qu on ne rencontre pas qqun par hasard il y a une leçon à apprendre
J'adore Cristina quelles mines d'or mais je ne comprends pas une information précise la vous dites que la personne aux comportements pn reproduira les mêmes comportements avec toutes les personnes et dans votre conférence de jeudi vous dites que le pn se comportera différemment en fonction des personnes rencontrées. Mais vous êtes une génie et magicienne
Bonjour je suis avec une femme depuis 3 ans on ces déjà séparé 3 fois des fois j'ai l'impression que se n'es pas de l'amour mais de la dépendance ?
Merci et si on etais deux dans la dépendance affective a une periode moi je suis encore mais elle non j'ai l'impression quelle et perverse avec le temps ca fait 6 an qu'on et ensemble elle ma quitté 20 fois je lui et toujours couru apres elle a eu une relation une semaine apres m'avoir quitté et me la annoncé en souriant en voulant me faire du mal et le pire c'est que je suis retourné avec je sais pu quoi penser j'ai la boule au ventre depuis 1 ans je l'aime énormément malheureusement
Merveilleux
J' ai perdu la femme que j' aime. Toute relation amoureuse débouche sur la dépendance affective ?, à ce moment là. Personnellement je souffre de la séparation d' avec ma femme. Mais je n' arrive pas à placer le concept de dépendance affective sur cette relation. Pour moi elle était tout. Nous étions un pour la vie. Résultat :' Notre famille a implosé. Avec une adolescente de dix sept ans qui souffre de cette situation. J' aurais aimé que ma femme me dise clairement que çà n' allait plus. Un grand gâchis, que ce manque de communication. Elle a préféré rompre à distance. Est ce vraiment honnête ? J' aurais mis toute mon énergie pour sauver notre couple. Merci
Bonjour je suis dependante affective j etais avec un manipulateur pendant 4 ans et depuis 3 mois qu il m a quitte . Je souffre mais je suis en train de me reconstruire grace a. Vos capsules je voudrais savoir s il risque de revenir vers moi maintenant que je suis en train de me detacher malgre moi. Car c est pour mon bien.
Patricia Benhaïm.Bonjour
J aimerais savoir où vous en êtes aujourd'hui, si possible?Je suis dans votre cas Aujourd hui, une année après vous. C est vraiment pas facile de sortir de cette dépendance. Un peu comme le fumeur et sa cigarette...MERCI
Comment allez vous?
Cette femme est sûrement douée, mais dire qu elle veut aider les femmes par conviction c est fort, quand je vois ses tarifs. La souffrance est une marché fructueux, 165 e consultation dites urgente, 120 e la consultation d 1 h par téléphone... whaouuuuu . Et les femmes qui n'ont. Pas les moyens? Je suis outrée de mettre en avant votre amour des autres et voir le tarif de vos consultations.