Une forme particulièrement sournoise de discrimination, c'est la discrimination soit-disant positive. Interdire à certaines personnes l'accès à certains postes, certaines formations, sur base de leur appartenance ethnique, c'est du racisme incontestable, mais qui a au moins le "mérite" d'être assumé donc facilement identifiable et condamnable. Favoriser ces mêmes personnes, même si elles sont incompétentes, pas faites pour ce qu'on leur propose, sur le seul critère de leur race ou de leur genre, c'est aussi du racisme mais beaucoup plus sournois car enrobé de fausse vertu et de beaucoup de bonne conscience. Et puis, un autre effet insidieux de la discrimination positive, c'est finalement sous-entendre que les minorités ethniques sont des idiots qui seraient incapables d'intégrer les grandes universités, d'avoir de bons jobs... si on ne les favorisait pas. Ca aussi c'est très raciste, et particulièrement dévalorisant pour ceux parmi ces minorités qui ont réussi par leur travail et leurs compétences. C'est pourquoi la discrimination positive est actuellement une forme de racisme des plus dangereuses et destructrices pour la société.
Toute discrimination est une inégalité, mais toute inégalité n’est pas forcément une discrimination1. Les discriminations s’opposent au principe fondamental de l’égalité des droits entre les citoyens1
Aujourd'hui ce n'est pas la bonne question, car dans cette société qu'on nous prépare, tout le monde sait ce qu'est une discrimination, en revanche il faudrait à présent se demander qu'est ce qui ne relève pas d'une discrimination dans une société pleurnicharde où tout le monde se sent, se dit discriminé et victime. J'ai appris il y a quelques jours que désormais les jeunes femmes (filles) se sentaient micro-agressées (car à présent il existe des microagressions, on n'arrête plus le progrès et notre ancienne secrétaire d'État sous Sarkozy ne me démentirait pas.) donc, disais-je nos jeunes femmes se sentent à présent micro-agressée lorsqu'un homme les complimente sur leur beauté ou leur tenue vestimentaire. Eh oui messieurs, vous voilà prévenu : Complimenter une femme, aujourd'hui, est considéré dorénavant comme une micro-agression, sexiste, une approche ringarde d'un autre siècle, faisant référence à la galanterie de grand-père, n'était rien d'autre qu'une manifestation machiste et dominatrice du "fameux" PATRIARCAT et donc perçue comme sexiste, dixit la personne qui tenait ce genre de propos (sociologue) tout de même... hein...! tention..., c'est pas n'importe qui ; et bien entendu, approuvé également par nos néoféministes qui ne manquent jamais de dézinguer le Mâle dominant 😂. Par conséquent, ce genre de compliment dit de "drague lourde" - je vous jure que je n'invente rien : " tu es très jolie dans ta robe " ou encore "t'as d'beaux yeux tu sais" pour faire référence à une célèbre réplique cinématographique de Gabin = drague lourde 😮 et risque désormais de vous faire passer au mieux pour un gros lourdingue, un ringard d'un autre siècle qu'il faudra vite rééduquer, ou au pire, pour un macho sexiste et harceleur qu'il faudra poursuivre en justice. Ouah...!!! Moi, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je crois qu'on est mal barré. Qu'avec ce genre de vision de la société, des nouveaux critères de nos rapports humains et notamment homme femme, cette génération que j'appelle génération Ouin-ouin, de pleurnichards victimaires, vos histoires de discrimination, ça va bien trop loin et ça va tous nous rendre dingue et névrotique.
Je comprends ce que tu veux dire. C'est dingue de se faire traiter d'agresseur alors que tu te présentes avec les meilleures intentions du monde ! D'un autre côté... Si tu veux vraiment qu'on prenne ton compliment pour une référence à Gabin, adresse-le à une femme de plus de soixante an, ça doit être la bonne génération pour faire mouche.
Mon pauvre ami, ce ne doit pas être évident de vivre si loin de ton époque, si peu conscient des nouveaux enjeux, si attaché à tes traditions et à ton statut d'homme privilégié. Car les choses vont bouger, que tu le veuilles ou non, et il serait bien plus agréable pour toi d'accompagner le mouvement que de le subir. Je précise que je suis un homme, hétéro, ni castré ni soumis, juste heureux de vivre dans une société où les "gros lourdingues ringards d'un autre siècle" non conscients d'alimenter un système oppressif vont avoir de moins en moins de place, et c'est tant mieux !
@@myriamydri5148 la réplique de Gabin à laquelle je fais référence est bien entendu à prendre au deuxième degré ; mais savez-vous encore ce qu'est le deuxième degré, vous, les jeunes générations... Un compliment est un compliment et il faut le prendre comme tel, même si la personne qui vous l'adresse ne vous plaît pas ; auquel cas, vous le lui faites signifier et vous le rembarrez... point. Il n'y a que s'il devient trop insistant, et cache mal ses véritables intentions ; c'est là que ce compliment n'en est plus un et se transforme en une arme qui vous rend vulnérable. C'est là qu'il devient dangereux, auquel cas, il ne s'agit même plus de parler d'une micro-agression, mais de violence. Mais imaginons le cas ou la personne qui vous aborde vous plaise et que ses intentions soient "pures". Ce, pourrait-il aussi que vous vous sentiez micro-agressée et fuyez à toute jambe, ou plus prosaïquement bien que vous trouviez sa drague désuète (t'as de beaux yeux, tu sais), ou d'une banalité affligeante : "il m'a dit que je suis belle" comme chante Patricia Kaas ; vous consentiez à ses avances en tout bien tout honneur of course…! Par ailleurs, je trouve sidérant cette nouvelle génération, et leur arrogance de toujours trouver le passé ringard, horrible, et cette façon de signifier à toutes personnes lui appartenant qu'elles sont, elles aussi, ringardes et dépassées, avec tellement de délicatesse. Car si de ma génération, faire un compliment n'était pas perçu comme une insulte ; je me demande comment appelez-vous ce genre de phrase - je vous cite : " Si tu veux vraiment qu'on prenne ton compliment pour une référence à Gabin, adresse-le à une femme de plus de soixante an, ça doit être la bonne génération pour faire mouche." Jadis, chez les personnes bien éduquées, cela s'appelait de la goujaterie. De mon époque, on aurait appelé cela une vacherie. Aujourd'hui devrais-je me sentir, oh my god, "micro-agressé" par votre façon peu élégante de me rappeler que je ne suis plus très jeune. Et donc, devrais-je venir pleurnicher sur les plateau TV - comme le font ces nouvelles féministes - contre les discriminations d'âgisme ?
@@christopheseignez4921 Je vous remercie pour votre lourdingue attention de me signifier que je ne suis plus jeune et par votre condescendance : "mon pauvre ami" et aussi "si peu conscient". j'ai adoré ! Mais soit... devrais-je me plaindre dans une de ces associations contre les discriminations d'avoir été "micro- agressé" par vos écrits, ou bien plus intelligemment, en lieux et place de mes pleurnicheries, vous remettre à votre place. Parfois, il faut aussi savoir se remettre en question. Vous mélangez tout, la domination masculine n'a rien à voir ici avec le privilège de la drague. Faudra quand même m'expliquer en quoi je suis lourdingue si je complimente une femme, ma femme ou ma fille lorsque je la trouve jolie et (ou) je lui signifie qu'elle est belle dans sa nouvelle robe, son nouveau jeans ou encore avec sa nouvelle coupe de cheveux. On nage ici en plein délire. On peut trouver maladroit, naïve, lourde certains hommes dans leur approche avec les femmes, et faire la différence d'avec ceux qui sont vraiment plus qu'insistant jusqu'au point du non-retour de ce qui est entendable et acceptable. Ici, dans cette quête de l'offense, cela devient de plus en plus obsessionnel et névrotique et déviera nécessairement sur la détestation de l'autre. Ça ne peut pas en être autrement. Je ne m'étonne plus qu'avec de tels raisonnements, tant de jeunes gens s'inscrivent sur des réseaux sociaux et autres sites de rencontres pour trouver l'âme sœur. Si dès le moindre regard, le moindre compliment, la personne qui les reçoit part en courant et crie à l'agression. car c'est bien de cela dont il s'agit ici, on ne parle même pas de drague lourde ou trop entreprenante, mais simplement de compliment. En fait, ce qui dérange ces féministes, c'est pas tant le compliment en soi que le fait de qui peut se permettre de le faire. Du coup, on ringardise le compliment, mais pire encore, on le détourne et celui-ci devient une insulte, une agressivité. Mais la vraie raison, celle qui se cache vraiment derrière, c'est surtout que c'est une exclusivité de genre, un privilège masculin ; le voilà le coupable démasqué. Ça leur est insupportable. Et donc, plutôt que de savourer le compliment qu'on leur fait, ces jusqu'au-boutiste préfèrent parler de micro-agression, d'offense. C'est toujours chez elles cette même obsession d'égalitarisme. Moi, je serai d'elles, je chercherai plutôt à faire accepter qu'une femme puisse en faire autant, ça ça serait une réelle conquête féministe, intelligente : empreinte de modernité et de progrès. Pour quelqu'un d'un autre siècle, ne trouvez-vous pas que je suis extrêmement large et ouvert d'esprit...
C très bien monter j’ai bien compris mrc
Une forme particulièrement sournoise de discrimination, c'est la discrimination soit-disant positive.
Interdire à certaines personnes l'accès à certains postes, certaines formations, sur base de leur appartenance ethnique, c'est du racisme incontestable, mais qui a au moins le "mérite" d'être assumé donc facilement identifiable et condamnable. Favoriser ces mêmes personnes, même si elles sont incompétentes, pas faites pour ce qu'on leur propose, sur le seul critère de leur race ou de leur genre, c'est aussi du racisme mais beaucoup plus sournois car enrobé de fausse vertu et de beaucoup de bonne conscience.
Et puis, un autre effet insidieux de la discrimination positive, c'est finalement sous-entendre que les minorités ethniques sont des idiots qui seraient incapables d'intégrer les grandes universités, d'avoir de bons jobs... si on ne les favorisait pas. Ca aussi c'est très raciste, et particulièrement dévalorisant pour ceux parmi ces minorités qui ont réussi par leur travail et leurs compétences.
C'est pourquoi la discrimination positive est actuellement une forme de racisme des plus dangereuses et destructrices pour la société.
Toute discrimination est une inégalité, mais toute inégalité n’est pas forcément une discrimination1. Les discriminations s’opposent au principe fondamental de l’égalité des droits entre les citoyens1
comme disait Coluche, nous sommes tous égaux, mais pour les noirs...
Aujourd'hui ce n'est pas la bonne question, car dans cette société qu'on nous prépare, tout le monde sait ce qu'est une discrimination, en revanche il faudrait à présent se demander qu'est ce qui ne relève pas d'une discrimination dans une société pleurnicharde où tout le monde se sent, se dit discriminé et victime.
J'ai appris il y a quelques jours que désormais les jeunes femmes (filles) se sentaient micro-agressées (car à présent il existe des microagressions, on n'arrête plus le progrès et notre ancienne secrétaire d'État sous Sarkozy ne me démentirait pas.) donc, disais-je nos jeunes femmes se sentent à présent micro-agressée lorsqu'un homme les complimente sur leur beauté ou leur tenue vestimentaire.
Eh oui messieurs, vous voilà prévenu : Complimenter une femme, aujourd'hui, est considéré dorénavant comme une micro-agression, sexiste, une approche ringarde d'un autre siècle, faisant référence à la galanterie de grand-père, n'était rien d'autre qu'une manifestation machiste et dominatrice du "fameux" PATRIARCAT et donc perçue comme sexiste, dixit la personne qui tenait ce genre de propos (sociologue) tout de même... hein...! tention..., c'est pas n'importe qui ; et bien entendu, approuvé également par nos néoféministes qui ne manquent jamais de dézinguer le Mâle dominant 😂.
Par conséquent, ce genre de compliment dit de "drague lourde" - je vous jure que je n'invente rien : " tu es très jolie dans ta robe " ou encore "t'as d'beaux yeux tu sais" pour faire référence à une célèbre réplique cinématographique de Gabin = drague lourde 😮 et risque désormais de vous faire passer au mieux pour un gros lourdingue, un ringard d'un autre siècle qu'il faudra vite rééduquer, ou au pire, pour un macho sexiste et harceleur qu'il faudra poursuivre en justice.
Ouah...!!! Moi, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je crois qu'on est mal barré. Qu'avec ce genre de vision de la société, des nouveaux critères de nos rapports humains et notamment homme femme, cette génération que j'appelle génération Ouin-ouin, de pleurnichards victimaires, vos histoires de discrimination, ça va bien trop loin et ça va tous nous rendre dingue et névrotique.
Je comprends ce que tu veux dire. C'est dingue de se faire traiter d'agresseur alors que tu te présentes avec les meilleures intentions du monde ! D'un autre côté... Si tu veux vraiment qu'on prenne ton compliment pour une référence à Gabin, adresse-le à une femme de plus de soixante an, ça doit être la bonne génération pour faire mouche.
Mon pauvre ami, ce ne doit pas être évident de vivre si loin de ton époque, si peu conscient des nouveaux enjeux, si attaché à tes traditions et à ton statut d'homme privilégié. Car les choses vont bouger, que tu le veuilles ou non, et il serait bien plus agréable pour toi d'accompagner le mouvement que de le subir.
Je précise que je suis un homme, hétéro, ni castré ni soumis, juste heureux de vivre dans une société où les "gros lourdingues ringards d'un autre siècle" non conscients d'alimenter un système oppressif vont avoir de moins en moins de place, et c'est tant mieux !
@@myriamydri5148 la réplique de Gabin à laquelle je fais référence est bien entendu à prendre au deuxième degré ; mais savez-vous encore ce qu'est le deuxième degré, vous, les jeunes générations...
Un compliment est un compliment et il faut le prendre comme tel, même si la personne qui vous l'adresse ne vous plaît pas ; auquel cas, vous le lui faites signifier et vous le rembarrez... point. Il n'y a que s'il devient trop insistant, et cache mal ses véritables intentions ; c'est là que ce compliment n'en est plus un et se transforme en une arme qui vous rend vulnérable. C'est là qu'il devient dangereux, auquel cas, il ne s'agit même plus de parler d'une micro-agression, mais de violence.
Mais imaginons le cas ou la personne qui vous aborde vous plaise et que ses intentions soient "pures". Ce, pourrait-il aussi que vous vous sentiez micro-agressée et fuyez à toute jambe, ou plus prosaïquement bien que vous trouviez sa drague désuète (t'as de beaux yeux, tu sais), ou d'une banalité affligeante : "il m'a dit que je suis belle" comme chante Patricia Kaas ; vous consentiez à ses avances en tout bien tout honneur of course…!
Par ailleurs, je trouve sidérant cette nouvelle génération, et leur arrogance de toujours trouver le passé ringard, horrible, et cette façon de signifier à toutes personnes lui appartenant qu'elles sont, elles aussi, ringardes et dépassées, avec tellement de délicatesse.
Car si de ma génération, faire un compliment n'était pas perçu comme une insulte ; je me demande comment appelez-vous ce genre de phrase - je vous cite : " Si tu veux vraiment qu'on prenne ton compliment pour une référence à Gabin, adresse-le à une femme de plus de soixante an, ça doit être la bonne génération pour faire mouche."
Jadis, chez les personnes bien éduquées, cela s'appelait de la goujaterie. De mon époque, on aurait appelé cela une vacherie. Aujourd'hui devrais-je me sentir, oh my god, "micro-agressé" par votre façon peu élégante de me rappeler que je ne suis plus très jeune. Et donc, devrais-je venir pleurnicher sur les plateau TV - comme le font ces nouvelles féministes - contre les discriminations d'âgisme ?
@@christopheseignez4921 Je vous remercie pour votre lourdingue attention de me signifier que je ne suis plus jeune et par votre condescendance : "mon pauvre ami" et aussi "si peu conscient". j'ai adoré !
Mais soit... devrais-je me plaindre dans une de ces associations contre les discriminations d'avoir été "micro- agressé" par vos écrits, ou bien plus intelligemment, en lieux et place de mes pleurnicheries, vous remettre à votre place. Parfois, il faut aussi savoir se remettre en question.
Vous mélangez tout, la domination masculine n'a rien à voir ici avec le privilège de la drague. Faudra quand même m'expliquer en quoi je suis lourdingue si je complimente une femme, ma femme ou ma fille lorsque je la trouve jolie et (ou) je lui signifie qu'elle est belle dans sa nouvelle robe, son nouveau jeans ou encore avec sa nouvelle coupe de cheveux. On nage ici en plein délire. On peut trouver maladroit, naïve, lourde certains hommes dans leur approche avec les femmes, et faire la différence d'avec ceux qui sont vraiment plus qu'insistant jusqu'au point du non-retour de ce qui est entendable et acceptable. Ici, dans cette quête de l'offense, cela devient de plus en plus obsessionnel et névrotique et déviera nécessairement sur la détestation de l'autre. Ça ne peut pas en être autrement.
Je ne m'étonne plus qu'avec de tels raisonnements, tant de jeunes gens s'inscrivent sur des réseaux sociaux et autres sites de rencontres pour trouver l'âme sœur. Si dès le moindre regard, le moindre compliment, la personne qui les reçoit part en courant et crie à l'agression. car c'est bien de cela dont il s'agit ici, on ne parle même pas de drague lourde ou trop entreprenante, mais simplement de compliment.
En fait, ce qui dérange ces féministes, c'est pas tant le compliment en soi que le fait de qui peut se permettre de le faire. Du coup, on ringardise le compliment, mais pire encore, on le détourne et celui-ci devient une insulte, une agressivité. Mais la vraie raison, celle qui se cache vraiment derrière, c'est surtout que c'est une exclusivité de genre, un privilège masculin ; le voilà le coupable démasqué. Ça leur est insupportable. Et donc, plutôt que de savourer le compliment qu'on leur fait, ces jusqu'au-boutiste préfèrent parler de micro-agression, d'offense.
C'est toujours chez elles cette même obsession d'égalitarisme.
Moi, je serai d'elles, je chercherai plutôt à faire accepter qu'une femme puisse en faire autant, ça ça serait une réelle conquête féministe, intelligente : empreinte de modernité et de progrès. Pour quelqu'un d'un autre siècle, ne trouvez-vous pas que je suis extrêmement large et ouvert d'esprit...