Well, there's certainly more than one way to play this piece, as is often the case. Midori's reading, for example, is a tad cooler and more technically restrained (and it's also uploaded here). This gentleman's is more passionate and technically flat-out, and I feel BOTH approaches work because each violinist is being true to her/his artistic nature. The video of this live performance is quite fine, but I can't help feeling that, although Poulenc makes the piano part prominent - as in the Frank Sonata and most of Beethoven's for this pairing - the keyboard is just a hair over-miked here. Nonetheless, this is pleasurable listening of a very accomplished performance. Thank you, Lithiuania, for bringing us these great musicians.
I believe you're correct. Poulenc wrote this in 1942-43, and revised several years later - 1949, if memory serves. So yes, this later-excised passage appearing in an older version - particularly in an older music library and/or in distant country - is quite possible. Moreover, some musicians believe it's interesting to hear, once in a while, a composer's original version of a piece that was later revised. (Poulenc's second thoughts were usually better, in my view.)
@@Mezzotenor I actually like the older version( since I started practice without knowing there was two version co-exist, and after awhile of practicing my hear kinda get used to the old one), and comparing the two version in score, the part that’d been "revised" doesn’t really make sense to me... it seems Poulenc just simply deleted some part in the revised version in order to make the piece shorter?( I am guessing).
C'est en présence de leur chef qu'ils prennent la parole les blancs. ils sont toujours tout doux. ils demandent aux autres d'insulter et les blancs ils regardent la personne qui se fait insulter, et il tient la personne qui insulte en imitant les gens qui les ont racketer en tant que blanc. le blanc imite son agresseur pour s'attaquer à son ami. et il envoi son agresseur vers son ami. il veut savoir ce qui peut inciter son agresseur à s'attaquer à son ami. il regarde son ami qui se fait agresser, il dit c'est pas à ma place, c'était à toi qu'il ciblait. c'est ça la défense des blancs contre le terrorisme, les blancs d'Accenture, ils étaient proxénètes les arabes pour les français, maintenant ils s'attaquent aux français, comme ça se fait, il faut creuser dans le fond, ils veulent une fille mieux, j'ai ma collaboratrice d'Accenture. C'est comme que la hiérarchie blanche sauve sa peau. les blancs ont jamais accepté d'être aidé, ils ont toujours dit : on est des voleurs, on volait chez toi, tu te démerdes.
le garçon blanc quand il a peur de moi, il tremble, quand la menace est passé, il dit avec des gestes incestueux : t'es ma petite soeur. quand il prend la parole, c'est dire : on a jamais dit qu'on était des saints, on est en faute, évidemment, nos problèmes, c'est ceux qui nous agressent, il va regarder qui a été le plus sympa avec lui, le garçon blanc, il va dire à ses vrais agresseurs : c'est lui (l'ami sympa) qui nous agresse. c'est lui qui faut agresser, pas moi, les blancs, c'est toujours la même chose.
One of the best sonatas of the 20th century. Bravo!
One can really sense the range of emotions the composers must have been experiencing in 1942 when he wrote this. Such passion and commitment!
Uncompromising, passionate performance. Thank you!
The Performance meets the geniality level of Poulenc opus
This is amazing! My favorite violin and piano sonata! It’s so expressive, catchy, and capricious.
Love the bravado demonstrated in this interpretation.Thank you both.
mercurial Poulenc :) thanks for posting... bravo!
Poulenc should be played with a sense of "capricious danger" like he is demostrating here! Bravo👏👏👏
Simply superb!
I really love this version!!!
Its so charming, edgy and dangerous! Like the French!
Musique brillante brillamment servie. Le second mouvement est sublime.
I need a love button! BRAVO!!!! Encore et encore et encore.......
Well this is a gutsy performance for sure. I like it!
Best Mvt. 3 I've heard, imo
Fantastico!!!!:
Well, there's certainly more than one way to play this piece, as is often the case. Midori's reading, for example, is a tad cooler and more technically restrained (and it's also uploaded here). This gentleman's is more passionate and technically flat-out, and I feel BOTH approaches work because each violinist is being true to her/his artistic nature. The video of this live performance is quite fine, but I can't help feeling that, although Poulenc makes the piano part prominent - as in the Frank Sonata and most of Beethoven's for this pairing - the keyboard is just a hair over-miked here. Nonetheless, this is pleasurable listening of a very accomplished performance. Thank you, Lithiuania, for bringing us these great musicians.
as a pianist, I disagree :D
Bravo..!
Amazing 💥👏
Bravo!👍👍👍
16:03 and later what is that?!?!?? A few bars in the Piano and violin I have never heard, and not in the score...interesting! Some earlier edition??
I believe you're correct. Poulenc wrote this in 1942-43, and revised several years later - 1949, if memory serves. So yes, this later-excised passage appearing in an older version - particularly in an older music library and/or in distant country - is quite possible. Moreover, some musicians believe it's interesting to hear, once in a while, a composer's original version of a piece that was later revised. (Poulenc's second thoughts were usually better, in my view.)
@@Mezzotenor I actually like the older version( since I started practice without knowing there was two version co-exist, and after awhile of practicing my hear kinda get used to the old one), and comparing the two version in score, the part that’d been "revised" doesn’t really make sense to me... it seems Poulenc just simply deleted some part in the revised version in order to make the piece shorter?( I am guessing).
le blanc, quand y a un problème, il a les larmes aux yeux.
6:40
Bravi !!!!!!!!!
They added a bunch of stuff at rehearsals 11+12+16... Is there 2 versions?
man, the piasnist looks like Tom Cruise 17:28 :)))))
anyway , great play by both !!!!!
ils étaient en guerre contre moi les blancs. là, Olivia Jehan, elle me dit : t'es blanc, t'es avec nous. je sais ce qu'ils ont à me parler.
Les embrouilles de provinces.
quand il est en situation de faiblesse l'homme, il fixe toujours des femmes bien qu'il voulait voler, il fixe dans les yeux pour demander de la pitié.
Une mère reproche à sa fille, d'avoir qu'une fille dans sa colonie.
C'est en présence de leur chef qu'ils prennent la parole les blancs. ils sont toujours tout doux. ils demandent aux autres d'insulter et les blancs ils regardent la personne qui se fait insulter, et il tient la personne qui insulte en imitant les gens qui les ont racketer en tant que blanc. le blanc imite son agresseur pour s'attaquer à son ami. et il envoi son agresseur vers son ami. il veut savoir ce qui peut inciter son agresseur à s'attaquer à son ami. il regarde son ami qui se fait agresser, il dit c'est pas à ma place, c'était à toi qu'il ciblait. c'est ça la défense des blancs contre le terrorisme, les blancs d'Accenture, ils étaient proxénètes les arabes pour les français, maintenant ils s'attaquent aux français, comme ça se fait, il faut creuser dans le fond, ils veulent une fille mieux, j'ai ma collaboratrice d'Accenture. C'est comme que la hiérarchie blanche sauve sa peau. les blancs ont jamais accepté d'être aidé, ils ont toujours dit : on est des voleurs, on volait chez toi, tu te démerdes.
le garçon blanc quand il a peur de moi, il tremble, quand la menace est passé, il dit avec des gestes incestueux : t'es ma petite soeur. quand il prend la parole, c'est dire : on a jamais dit qu'on était des saints, on est en faute, évidemment, nos problèmes, c'est ceux qui nous agressent, il va regarder qui a été le plus sympa avec lui, le garçon blanc, il va dire à ses vrais agresseurs : c'est lui (l'ami sympa) qui nous agresse. c'est lui qui faut agresser, pas moi, les blancs, c'est toujours la même chose.
tu dis rien ?
ce que je trouve bizarre dans l'homme blanc, c'est qu'il tient pas à sa mère et ses filles, il les tripote devant tout le monde.