Encore un super tutoriel Jean Marie 👍 Merci pour partager vos compétences, nous on est plus que preneur. Ah oui ce serait super une suite de tutoriel sur le multipiste Brauer. Merci
Bonjour, Merci pour cette vidéo très instructive et très bien présentée. A retenir : bien déterminé son objectif et ensuite les moyens pour y arriver. C'est simple mais on l'oublie tellement souvent. Merci encore. Pascal
Super technique, une piste compressée pour la profondeur et l'autre non pour les transitoires! Ça marche très bien! Merci beaucoup pour l'astuce! On peut aussi modeler les sons des pistes 1 et 2 différemment (si on utilise un synthé comme serum par exemple) pour optimiser les sons des pistes 1 et 2!
merci 1000 fois franchement un tres belle decouverte cette chaine t es génial enfin un gars qui fait la lumiere sur certains petits détails qui font la difference vraiment genial
Bonjour je découvre votre chaîne très bonne vidéo, je ne connaissais pas du tout la méthode brauer, je n'arrive pas vraiment a saisir comment cela fonctionne pour les voix ... Si il y a plusieurs voix différentes il faut faire des automations? Peut-être qu'une vidéo sur le sujet serait intéressante Merci
Salut Eric. Intéressant comme question. Il s'agit ici de compression parallèle bien sûr. Ce qu'il y a d'intéressant ici, est que cette technique est une conséquence de la "surcompression" du premier appareil. En d'autre terme, c'est l'objectif final qui est au premier plan. C'est ça l'important.
@@tatoomandarine8024 Sauf que je n'ai pas compris quelle est la "mauvaise" approche. Il est erroné de dire que l'approche indiquée au départ de la vidéo est mauvaise, elle ne sert pas le même but. L'approche compression parallèle sert la sustain et la réduction de dynamique, alors que l'approche du départ de la vidéo permet de sculpter les transitoires et non pas seulement la sustain. On a vraiment l'impression dans votre vidéo qu'il n'y a que la compression parallèle et rien d'autre. Très étrange vraiment. J'ai par contre beaucoup aimé les discussions sur la fin sur les compressions de bus, ce qui me fait encore une fois vraiment tiquer sur le titre de "mauvaise" compressions.
Bravo Jean-Marie !!! Très didactique comme à l'accoutumée !!! J'appellerais ça (de mon humble point de vue) un genre de compression parallèle à l'envers !!! :):):)
Salut Stan, C'est de la compression parallèle. Mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'elle est la conséquence directe du premier compresseur. On ne fait pas de la comp // pour faire de la comp //. 😁
@@tatoomandarine8024 Hélas, je ne suis pas au fait de toutes ces subtilités ! Sinon je serais à ta place et toi à la mienne ! La question reste : quelle légitimité doit nous amener ou non à pratiquer la comp parallèle. Subjectif j’imagine, en dépit des constantes qui s’imposent au vu de tel ou tel contexte ? J'ai vu une vidéo par le "gars du Grand Nord" justement sur la légitimité d’appliquer la comp parallèle. Sa conclusion étant (en gros) : ça dépend de chacun !!! Je passe donc mon temps à essayer de débrouiller le terrain. En général je re-regarde vidéos et tutos jusqu’au mal de crâne. Et n’en retire que très peu de choses. C’est l'expérience, et seulement l'expérience qui fait la différence. N'est-ce pas ??? Mes 20 ans de scène et studio en tant que zicos et chanteur ne m’ont jamais amené à me préoccuper de ces aspects, encore plus lorsqu’il m’est arrivé d’enregistrer 2 fois avec des grosses pointures. Mais la technologie change et permet, sinon de la magie, d’accéder à des applications qu’il était impossible d’imaginer il y a 30 ans. Depuis un an que je me suis collé à la pratique home studio, je ne suis pas mécontent du résultat. Grâce à toi entre autre. Un grand merci donc. :):):)
@@stanlekozak3309 je pense que le meilleur conseil, qu’il rabâche a juste titre, est de s’éloigner de la technique et n’avoir en tête que les objectifs. Autrement dit tous les tutos qui te font mal au crânes te donnent des skills techniques, mais sont souvent contre-productifs dans le sens où on se perd vite en conjecture. Ici par exemple il montre qu’avec cette technique tu récupères la queue de la caisse claire (profondeur du son), d’une manière plus propre qu’en utilisant une room. Sauf qu’évidemment c’est à toi de juger si c’est nécessaire. Tous les drums kit et tous les mix auxquels tu seras confrontés ne justifieront pas que tu en es besoin. C’est toute la difficulté du métier. Faire du processing systématique n’a aucun sens, l’exercice est plutôt de savoir reconnaître de quoi tu as besoin et dans quel contexte : pour cela le meilleur exercice reste d’analyser des morceaux, avec l’expérience tu te rends compte que c’est comme des recettes en cuisine. Je vis du métier depuis une 15aines d’années et je n’ai pas fini d’apprendre. Je suis souvent dépité par le nombre de tutos sur TH-cam qui ne sont jamais expliqués en contexte et qui sont plus contre productifs qu’autre chose. Cette chaîne est une des rares à toujours rappeler le contexte et c’est comme ça qu’on apprend quand on est assistant en studio. Pour la petite histoire, tous les jeunes qui débarquent en studio nous parlent des supers techniques qu’ils ont appris de TH-cam. C’est bien mais en général on doit tout déconstruire, parce que la plupart du temps ils vont utiliser 5 plugs là où il aurait suffit d’un peu de sat sur le gain de la console, ça en dit long…
@@moana-gamba T'as bougrement raison mon ami ! Je suis un jeune de 56 balais ayant à peu près autant de pelles pour ramasser les déchets. J'ai fait 20 ans de scène et de studio entre 1985 et 2005. Là, j'apprends lentement (et sûrement) à me mettre de l'autre côté de la barrière pour mes besoins persos et je ne suis pas mécontent de mon apprentissage. Par ailleurs, depuis l'avènement du net, je me méfie royalement des poncifs qui essaiment sur la toile et prends mes sources avec un œil circonspect dans tout ce fatras logorrhéique (pour ne pas dire diarrhéique). Autrement dit, mon expérience de la vie m'a appris à déceler la branlette (à savoir la confusion entre rhétorique et sophistique) de ce qui s'impose comme un fondement digne de ce nom, dans le domaine qui nous occupe comme dans les autres. T'as bougrement raison concernant les gens qui rivalisent d'inventivité pour montrer qu'ils ont les plus grosses couilles du monde !!! La question en suspens étant : "jusqu'où s'arrêteront-ils ?"
Avec l'édition et l'arrangement on a une beaucoup plus grande fenêtre de tir pour arranger les problèmes de dynamique et de profondeur sans pour autant compresser à pouvoir je préfère aborder les choses de cet maniere ...
Cette vidéo est très intéressante, mais en ce qui me concerne, plus particulièrement sur un malaise que j'éprouve à l'écoute de beaucoup de mixes actuels. Non que j'ai une dent particulière contre la « méthode Brauer » ni la compression parallèle, qu'il m'arrive d'utiliser de temps à autre (tout comme en cuisine, aucune recette n'est mauvaise à priori), mais le souci de cette recette particulière, surtout appliquée un peu partout et malheureusement souvent à la truelle et sans discernement, c'est qu'elle aboutit à des mixes sur-compressés qui ne respirent plus, et particulièrement fatigants à l'écoute. Je pense qu'il est essentiel pour un bon mix de rester autant que possible dans un « réalisme acoustique » à peu près cohérent. Bien sûr, il va bien de soi qu'on ne mixera pas de la même façon de la musique classique ou du Jazz comme on mixe du Rock du Rap ou de la Techno. Ce que j'entends par « réalisme acoustique », relève plus volontiers d'une boussole qui est quand même d'une grande aide afin de ne pas tomber dans des excès qui peuvent un temps sembler flatteurs, mais qui en réalité desservent souvent une œuvre musicale sous prétexte de modernité. Il y a quantité de mixes datant des années 60, 70 ou 80 qui sonnent encore fabuleusement bien aujourd'hui sans avoir eu besoin d'être passés aux stéroïdes. En outre, on l'oublie souvent, mais un mixage doit avant tout servir une composition, un artiste, et il sera d'autant plus facile d'arriver à un résultat top si chacune des étapes théoriques est respectée : 1) Une bonne composition. La bonne musique c'est avant tout du talent (voire du génie), et ça aucun ingénieur du son même le meilleur du monde ne pourra sauver une œuvre médiocre. 2) Un bon arrangement. Remarque similaire que pour le point n°1. Le meilleur arrangeur du monde ne pourra pas non plus faire de miracles si la compo est pourrie à la base. 3) Qualité de la prise de son des divers instruments : des prises de son soignées, avec de bons micros, de bons préamps (par forcément les plus chers, mais surtout ADAPTÉS au travail que l'on veut faire), cela épargnera toujours énormément de travail en aval. 4) Mesure et pertinence dans les traitements sur les divers instruments seulement S'ILS SONT NÉCESSAIRES (tourner les boutons en vain n'est pas utile) avec une égalisation et/ou une compression respectueuse des timbres (surtout si l'on travaille avec des instruments acoustiques). Un arrangement bien conçu doit déjà « sonner » sur une simple mise à plat. 5) Ne pas hésiter à "bouger les tirettes" et "suivre" les instruments selon les besoins du mix plutôt que de compresser comme une brute pour "niveler". Un bon mix doit non seulement être bien équilibré en fréquences (qualité et propreté des graves, médiums chaleureux, aigus clairs et bien définis mais non agressifs), mais aussi avoir de la dynamique et encore une fois avoir une intention qui suive l'esprit de la compo. 6) Sobriété des compressions de bus et autres traitements de premastering sans vouloir chercher un niveau de sortie de cheval à tout prix (de toutes façons, bourrer comme un âne ne sert à rien, tous les sites de streaming et les radios utilisent aussi des nivelages et compressions automatiques). Le "loudness war" a fait énormément de dommages sur pas mal de mixes !
Ah je savais pas que c'était Brower qui avait inventé la parallèle compression!?.. Après je trouve personnellement la compression c'est un faux sujet si la source a assez de dynamique et de profondeur il en aurait pas besoin théoriquement Il y a plein de grands ingénieurs son américains qui mix sans quasiment aucune compression...
Encore un super tutoriel Jean Marie 👍
Merci pour partager vos compétences, nous on est plus que preneur.
Ah oui ce serait super une suite de tutoriel sur le multipiste Brauer.
Merci
L'une des très rare Vraie Chaine francophone sur le sujet.
Bravo !
Merci Jean-Marie, pour ton travail et ta contribution à démocratiser le sujet. Plein de merci du 93 ✌
Très interressant et compréhensible merci !
Superbe tuto ... Merci!
Bonjour,
Merci pour cette vidéo très instructive et très bien présentée.
A retenir : bien déterminé son objectif et ensuite les moyens pour y arriver.
C'est simple mais on l'oublie tellement souvent.
Merci encore.
Pascal
Merci à vous
Super technique, une piste compressée pour la profondeur et l'autre non pour les transitoires! Ça marche très bien! Merci beaucoup pour l'astuce!
On peut aussi modeler les sons des pistes 1 et 2 différemment (si on utilise un synthé comme serum par exemple) pour optimiser les sons des pistes 1 et 2!
merci 1000 fois franchement un tres belle decouverte cette chaine t es génial enfin un gars qui fait la lumiere sur certains petits détails qui font la difference vraiment genial
Un grand merci !
Rooo mais c'est génial !!!
J'espère que mon ordi va suivre 😅
Franchement une vidéo exceptionnelle pour les gens connaisseurs. Merci pour le partage.
Cool tuto merci........
Bonjour je découvre votre chaîne très bonne vidéo, je ne connaissais pas du tout la méthode brauer, je n'arrive pas vraiment a saisir comment cela fonctionne pour les voix ... Si il y a plusieurs voix différentes il faut faire des automations? Peut-être qu'une vidéo sur le sujet serait intéressante
Merci
Intéresant. Mais en quoi est-ce différent de ce qu'on appelle la compression parallèle ?
Salut Eric. Intéressant comme question. Il s'agit ici de compression parallèle bien sûr. Ce qu'il y a d'intéressant ici, est que cette technique est une conséquence de la "surcompression" du premier appareil. En d'autre terme, c'est l'objectif final qui est au premier plan. C'est ça l'important.
@@tatoomandarine8024 Sauf que je n'ai pas compris quelle est la "mauvaise" approche. Il est erroné de dire que l'approche indiquée au départ de la vidéo est mauvaise, elle ne sert pas le même but. L'approche compression parallèle sert la sustain et la réduction de dynamique, alors que l'approche du départ de la vidéo permet de sculpter les transitoires et non pas seulement la sustain. On a vraiment l'impression dans votre vidéo qu'il n'y a que la compression parallèle et rien d'autre. Très étrange vraiment. J'ai par contre beaucoup aimé les discussions sur la fin sur les compressions de bus, ce qui me fait encore une fois vraiment tiquer sur le titre de "mauvaise" compressions.
Bravo Jean-Marie !!! Très didactique comme à l'accoutumée !!! J'appellerais ça (de mon humble point de vue) un genre de compression parallèle à l'envers !!! :):):)
Salut Stan,
C'est de la compression parallèle. Mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'elle est la conséquence directe du premier compresseur. On ne fait pas de la comp // pour faire de la comp //. 😁
@@tatoomandarine8024 Hélas, je ne suis pas au fait de toutes ces subtilités ! Sinon je serais à ta place et toi à la mienne ! La question reste : quelle légitimité doit nous amener ou non à pratiquer la comp parallèle. Subjectif j’imagine, en dépit des constantes qui s’imposent au vu de tel ou tel contexte ? J'ai vu une vidéo par le "gars du Grand Nord" justement sur la légitimité d’appliquer la comp parallèle. Sa conclusion étant (en gros) : ça dépend de chacun !!! Je passe donc mon temps à essayer de débrouiller le terrain. En général je re-regarde vidéos et tutos jusqu’au mal de crâne. Et n’en retire que très peu de choses. C’est l'expérience, et seulement l'expérience qui fait la différence. N'est-ce pas ??? Mes 20 ans de scène et studio en tant que zicos et chanteur ne m’ont jamais amené à me préoccuper de ces aspects, encore plus lorsqu’il m’est arrivé d’enregistrer 2 fois avec des grosses pointures. Mais la technologie change et permet, sinon de la magie, d’accéder à des applications qu’il était impossible d’imaginer il y a 30 ans. Depuis un an que je me suis collé à la pratique home studio, je ne suis pas mécontent du résultat. Grâce à toi entre autre. Un grand merci donc. :):):)
@@stanlekozak3309 je pense que le meilleur conseil, qu’il rabâche a juste titre, est de s’éloigner de la technique et n’avoir en tête que les objectifs.
Autrement dit tous les tutos qui te font mal au crânes te donnent des skills techniques, mais sont souvent contre-productifs dans le sens où on se perd vite en conjecture.
Ici par exemple il montre qu’avec cette technique tu récupères la queue de la caisse claire (profondeur du son), d’une manière plus propre qu’en utilisant une room. Sauf qu’évidemment c’est à toi de juger si c’est nécessaire. Tous les drums kit et tous les mix auxquels tu seras confrontés ne justifieront pas que tu en es besoin. C’est toute la difficulté du métier. Faire du processing systématique n’a aucun sens, l’exercice est plutôt de savoir reconnaître de quoi tu as besoin et dans quel contexte : pour cela le meilleur exercice reste d’analyser des morceaux, avec l’expérience tu te rends compte que c’est comme des recettes en cuisine.
Je vis du métier depuis une 15aines d’années et je n’ai pas fini d’apprendre. Je suis souvent dépité par le nombre de tutos sur TH-cam qui ne sont jamais expliqués en contexte et qui sont plus contre productifs qu’autre chose. Cette chaîne est une des rares à toujours rappeler le contexte et c’est comme ça qu’on apprend quand on est assistant en studio.
Pour la petite histoire, tous les jeunes qui débarquent en studio nous parlent des supers techniques qu’ils ont appris de TH-cam. C’est bien mais en général on doit tout déconstruire, parce que la plupart du temps ils vont utiliser 5 plugs là où il aurait suffit d’un peu de sat sur le gain de la console, ça en dit long…
@@moana-gamba T'as bougrement raison mon ami ! Je suis un jeune de 56 balais ayant à peu près autant de pelles pour ramasser les déchets. J'ai fait 20 ans de scène et de studio entre 1985 et 2005. Là, j'apprends lentement (et sûrement) à me mettre de l'autre côté de la barrière pour mes besoins persos et je ne suis pas mécontent de mon apprentissage. Par ailleurs, depuis l'avènement du net, je me méfie royalement des poncifs qui essaiment sur la toile et prends mes sources avec un œil circonspect dans tout ce fatras logorrhéique (pour ne pas dire diarrhéique). Autrement dit, mon expérience de la vie m'a appris à déceler la branlette (à savoir la confusion entre rhétorique et sophistique) de ce qui s'impose comme un fondement digne de ce nom, dans le domaine qui nous occupe comme dans les autres. T'as bougrement raison concernant les gens qui rivalisent d'inventivité pour montrer qu'ils ont les plus grosses couilles du monde !!! La question en suspens étant : "jusqu'où s'arrêteront-ils ?"
Avec l'édition et l'arrangement on a une beaucoup plus grande fenêtre de tir pour arranger les problèmes de dynamique et de profondeur sans pour autant compresser à pouvoir je préfère aborder les choses de cet maniere ...
Cette vidéo est très intéressante, mais en ce qui me concerne, plus particulièrement sur un malaise que j'éprouve à l'écoute de beaucoup de mixes actuels. Non que j'ai une dent particulière contre la « méthode Brauer » ni la compression parallèle, qu'il m'arrive d'utiliser de temps à autre (tout comme en cuisine, aucune recette n'est mauvaise à priori), mais le souci de cette recette particulière, surtout appliquée un peu partout et malheureusement souvent à la truelle et sans discernement, c'est qu'elle aboutit à des mixes sur-compressés qui ne respirent plus, et particulièrement fatigants à l'écoute.
Je pense qu'il est essentiel pour un bon mix de rester autant que possible dans un « réalisme acoustique » à peu près cohérent. Bien sûr, il va bien de soi qu'on ne mixera pas de la même façon de la musique classique ou du Jazz comme on mixe du Rock du Rap ou de la Techno. Ce que j'entends par « réalisme acoustique », relève plus volontiers d'une boussole qui est quand même d'une grande aide afin de ne pas tomber dans des excès qui peuvent un temps sembler flatteurs, mais qui en réalité desservent souvent une œuvre musicale sous prétexte de modernité. Il y a quantité de mixes datant des années 60, 70 ou 80 qui sonnent encore fabuleusement bien aujourd'hui sans avoir eu besoin d'être passés aux stéroïdes.
En outre, on l'oublie souvent, mais un mixage doit avant tout servir une composition, un artiste, et il sera d'autant plus facile d'arriver à un résultat top si chacune des étapes théoriques est respectée :
1) Une bonne composition. La bonne musique c'est avant tout du talent (voire du génie), et ça aucun ingénieur du son même le meilleur du monde ne pourra sauver une œuvre médiocre.
2) Un bon arrangement. Remarque similaire que pour le point n°1. Le meilleur arrangeur du monde ne pourra pas non plus faire de miracles si la compo est pourrie à la base.
3) Qualité de la prise de son des divers instruments : des prises de son soignées, avec de bons micros, de bons préamps (par forcément les plus chers, mais surtout ADAPTÉS au travail que l'on veut faire), cela épargnera toujours énormément de travail en aval.
4) Mesure et pertinence dans les traitements sur les divers instruments seulement S'ILS SONT NÉCESSAIRES (tourner les boutons en vain n'est pas utile) avec une égalisation et/ou une compression respectueuse des timbres (surtout si l'on travaille avec des instruments acoustiques).
Un arrangement bien conçu doit déjà « sonner » sur une simple mise à plat.
5) Ne pas hésiter à "bouger les tirettes" et "suivre" les instruments selon les besoins du mix plutôt que de compresser comme une brute pour "niveler". Un bon mix doit non seulement être bien équilibré en fréquences (qualité et propreté des graves, médiums chaleureux, aigus clairs et bien définis mais non agressifs), mais aussi avoir de la dynamique et encore une fois avoir une intention qui suive l'esprit de la compo.
6) Sobriété des compressions de bus et autres traitements de premastering sans vouloir chercher un niveau de sortie de cheval à tout prix (de toutes façons, bourrer comme un âne ne sert à rien, tous les sites de streaming et les radios utilisent aussi des nivelages et compressions automatiques). Le "loudness war" a fait énormément de dommages sur pas mal de mixes !
Merci à toi jean marie, pourais tu nous donner,s'il te plaît , les composantes de ces fameux buss a,b etc... Merci
www.mbrauer.com/q-a
puis section "Multibuss Compression in a nutshell" ainsi que "ABCD Calibration Setup"
Ah je savais pas que c'était Brower qui avait inventé la parallèle compression!?..
Après je trouve personnellement la compression c'est un faux sujet si la source a assez de dynamique et de profondeur il en aurait pas besoin théoriquement
Il y a plein de grands ingénieurs son américains qui mix sans quasiment aucune compression...
Vive la compression parallèle.
Bah c’est pas ce qu’on appelle la compression parallèle cette technique !?