Changer les règles du jeu : la mixité à l'école

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  • เผยแพร่เมื่อ 21 ต.ค. 2024
  • Dans les cours d’écoles, le plus souvent les garçons sont maîtres des terrains de sport tandis que les filles restent cantonnées aux jeux plus calmes, en périphérie. Et dans les cours d’EPS, c’est pareil : alors même que garçons et filles sont mélangé·es depuis des décennies, la mixité ne suffit toujours pas à transcender les différences genrées.
    Quand et comment la mixité s’est-elle mise en place à l’école en France ? Pourquoi les stéréotypes de genre persistent-ils, voire s'accentuent-ils dans les cours d’EPS, malgré la mixité ? Comment créer des environnements scolaires plus inclusifs et équitables ?
    Pour explorer ces enjeux, Laurène Daycard s'entretient avec Loïc Szerdahelyi, maître de conférences en STAPS à l’Université Claude Bernard Lyon 1, membre du conseil scientifique de l’Institut du Genre et auteur de la thèse « “Femmes d’action”. Parcours d’enseignantes d’EPS en France, des recrutements séparés à la mixité des concours (1941-1989) » (2014). Selon lui, il est essentiel de dépasser la binarité fille-garçon pour promouvoir une véritable égalité de genre.
    RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ENTRETIEN
    Retrouvez toutes les ressources citées à l’adresse www.binge.audi...
    CRÉDITS
    Faire Genre est un podcast co-produit par Binge Audio et l’Institut du Genre. Préparation et animation de l’entretien : Laurène Daycard. Prise de son : Paul Bertiaux. Réalisation : Thomas Plé. Direction de production : Albane Fily. Production : Camille Khodor & Naomi Titti. Édition : Paloma Tisaire & Naomi Titti. Composition musicale : Alexandre Delmaere. Identité graphique : Upian.

ความคิดเห็น • 1

  • @actusclimat4717
    @actusclimat4717 หลายเดือนก่อน

    Wow un échange très intéressant à écouter ! Je me sens plus légitime dans mon sentiment de mal aise lorsque j'étais avec les mecs en sport, tout étais très brutal et violent. Alors que les filles étaient beaucoup plus effacées, et créaient des bulles hermétique d'entre filles (peut être pour se protéger justement). Les sports de contact étaient un supplice en tant que mec parce qu'il y avais une telle brutalité entre tout le monde et je détestais donner des coups -peur de faire mal, de déranger- que ça me mettais en contradiction puisque pour exister j'étais obligé de faire comme les autres. Et avoir sa place en tant que joueur aussi comme tout le monde nous donne des coups tout le temps, et a une agressivité que je trouv.ais effrayante (encore plus lorsque j'étais plus jeune) ; je finissais par m'effacer aussi. Un très beau lieu de reproduction des violences, le sport à l'école...