Je suis toujours frappée par le fait (sur les plateaux de France Inter, notamment) que lors des plages musicales, le/la journaliste rompt avec la personne présente, ne la regarde plus, plonge dans ses notes le plus souvent. C'est d'autant plus frappant sur un plateau traitant du rapport entre le journaliste et son sujet, et d'autant plus encore quand le "sujet interviewé" ne la quitte pas des yeux, en l'occurrence. Ici, ça met d'autant plus en exergue la rareté d'une Florence Aubenas et la référence qu'elle représente dans cette profession.
Je suis toujours frappée par le fait (sur les plateaux de France Inter, notamment) que lors des plages musicales, le/la journaliste rompt avec la personne présente, ne la regarde plus, plonge dans ses notes le plus souvent. C'est d'autant plus frappant sur un plateau traitant du rapport entre le journaliste et son sujet, et d'autant plus encore quand le "sujet interviewé" ne la quitte pas des yeux, en l'occurrence. Ici, ça met d'autant plus en exergue la rareté d'une Florence Aubenas et la référence qu'elle représente dans cette profession.
Magnifique leçon de journalisme !