Le titre m'a interpellé, j'ai écouté. D'abord je me suis dit qu'il faut peut être arrêter de se poser tant de questions et de chercher des réponses a des questions qui n'ont pas lieu d'être. Mais en fait j'ai compris que ce que je vivais n'était pas la norme chez la femme. Moi, 40 ans, ronde, mariée, deux enfants, en couple avec le seul et unique homme de ma vie (nous sommes ensemble depuis nos 15 ans), je peux dire que je suis épanouie sexuellement. Je prends plaisir à chaque fois ou presque. Nous faisons l'amour une a plusieurs fois par semaine, parfois rien une semaine mais bon c'est comme ça, pas de pression. Et pas de scénario identique. Effectivement, nous sommes arrivés à un équilibre au niveau du "partage de domination" (je ne sais plus le terme exact abordé) mais j'ai bien dit "nous en sommes arrivés". Car notre sexualité a traversée plusieurs phases dans notre vie de couple et nous en sommes là peut être parce-que nous n'avons pas lâché quand ça allait moins bien, parce que l'amour est plus fort que la sexualité et cet amour nous a permis de traverser les périodes plus difficiles. Je précise que nous n'avons jamais consulté, que les choses se sont toujours faites sans trop exprimer de mots, mais avec beaucoup d'attention a l'autre, de la bienveillance et de l'amour. Donc aujourd'hui, a l'heure où les individus se posent bcp de questions, n'est il pas temps de vivre un "nous" plutôt que de réfléchir à un "je" ? Prenez une feuille, un crayon, vous avez 4 heures 😂
Très beau messages, qui donne espoirs, je n'ai jamais eu d'ami(e) s d'enfance ni d'amour d'adolescents, je n'ai connue que des gens toxique et profiteur, mais je garde espoir, surtout quand je vois de beau messages comme celui-ci😊😊😊.
@@DRmisse merci, ça me touche bcp et je vous souhaite de trouver la personne qui vous corresponde. Gardez l'espoir c'est lui qui anime chacun de nous, seul ou en couple.
Éduquée à la nécessité d'une sexualité "fréquente" , "créative" , "nécessaire" , "de circonstance" par la société au travers des magazines, romans, film, salons érotiques, etc : j'ai mis de longs mois à accepter que le désir et l'amour de mon compagnon ne s'exprime pas forcément par un rapport sexuel, et surtout la pénétration ! La première fois qu'il m'a fait un cunnilingus et que le rapport s'est arrêté là (on avait pas trop le temps non plus, il fallait se préparer pour un rdv), j'en ai pleuré... pour moi "il fallait" qu'il me pénètre et jouisse, même si c'était juste 3 aller-retours. Juste un cunni, c'était "incomplet" dans ma représentation d'un rapport sexuel, alors même que j'ai toujours trouvé normal de faire juste une fellation. Résultat, du conditionnements social/pornographique évidemment. Au fur et à mesure j'ai accepté qu'il embrasse, masse, ou caresse mon corps en étant nus chacun, sans pour autant que cela ne débouche forcément sur un rapport. J'ai accepté que les caresses lui procure davantage du plaisir de type "bien-être" et non sexuel. C'est un "lover" , un sensuel très peu sexuel...exactement comme il me l'avait décrit dès notre 1er rdv. Ses précédentes compagnes n'ont pas reussi à s'y faire, et on finit par le tromper. Je ne les jugerais pas, au contraire je les plains avec le recul, car c'est effectivement très compliqué de se défaire des injonctions/normes/modes qui influencent notre rapport au sexe.
Merci pour ce magnifique podcast qui fait du bien ! Je suis ravie d'entendre (pour la deuxième fois en peu de temps) parler du rapport Hite, cela me met en action pour aller me le procurer. Je trouve dommage de parler de domination alternée et de "circulation du pouvoir" ; malgré la volonté de proposer une alternative à ce mécanisme de domination (qui est très bien décrit dans votre podcast), les mots choisis font qu'on reste encore dans son arène ! Par expérience, un rapport égalitaire et équitable dans les rapports intimes et sexuels est possible ! Et si on introduisait la notion de jeu sexuel - comme Alexandre Lacroix le mentionne - , sans qu'il n'y ait cette notion de domination? Parfois, griffer est une manière de toucher son ou sa partenaire, de sentir la peau de l'autre sous ses ongles. Ce n'est pas nécessairement un signe de domination. Je suis médiatrice sensorielle, et je suis pour une éducation sensorielle sexuelle, pour accompagner les partenaires à trouver, , seul·e ou ensemble, des manières de naviguer dans les plaisirs intimes et sexuels. A les trouver par elles-mêmes et eux-mêmes, grâce à des explorations sensorielles et à la libération de la parole. Car nous sommes tous et toutes uniques, et nos sources de plaisir ne sont pas les mêmes ! Certain·es seront excité·es par les mots de l'autre, par les gémissements de leur partenaire, par le niveau sonore. D'autres verront leur niveau d'excitation grimper au moment où ils/elles sentiront l'odeur de la transpiration de leur partenaire... Parler à son ou sa partenaire, pendant l'acte, ou après ou avant, c'est pour moi la meilleure manière d'être à l'écoute, plutôt que cet état "de vigilance", qui, s'il est trop exacerbé, peut amener une artificialité dans les rapports. Les explorations sensorielles sont multiples ! Les différentes manières de se toucher ; avec quelles parties de notre corps sur quelles parties du corps de l'autre ?... Les odeurs des cheveux, des aisselles, de la peau, des organes génitaux. Se regarder, dans les yeux, dans le noir, avec ou sans miroir. Les sons : les respirations, les souffles, les rythmes, les silences, les mots sussurés à l'oreille.... contribuent à notre plaisir. Les possibles sont infinis. Et le goût ! Le goût de la peau, plus ou moins salée ou acide, selon la zone, l'activité ou la saison ; le goût des sécrétions... Il y a une multitude de sensations à explorer dans l'intimité. Il n'y qu'à table et au lit que nos 5 sens, les 5 ensemble, entrent en jeu : et si on en profitait ?! Plus que la recherche de l'orgasme, c'est la jouissance sensorielle qui est au cœur du plaisir que je ressens quand je fais l'amour.
Wouaw *w* il est tellement beau votre commentaire ! Il complète parfaitement ce que disait le gas sur la sensualité et le fait que se soit l acte en lui même qui est beau ~ sans ça finalité sur la quel on se concentre trop ~ Je me disait justement en finissant le reportage que ce rapport de domination dont il parle n est pas tellement nécessairement présent, et puis d expérience ^v^ ça prend toujours une forme de jeux qui fait sourire. C est jamais si fort que les mots qu ils ont choisi quand on partage de l amour avant tout ^^
Un beau partage que ce commentaire! Le sexe peut être une expérience totale, c'est l'humain qui se relie à son corps, puise des ressources dans son animalité pour se connecter à son partenaire. Le sexe est égalitaire quand la connexion à l'autre est recherchée, naturellement. Une intelligence, une écoute sensorielle, corporelle, de l'autre et de soi. C'est s'ouvrir à son partenaire et pénétrer son intimité. Se lier, s'entremêler sur tous les plans. Bien sûr certains ne voient pas cela de cet œil là et se contenteront d'orgasmes faciles, déconnectés du monde et des partenaires, souvent décevants. Un manque d'investissement de son propre corps limite les possibilités de comprendre, de connaître l'autre.
Ne pas évoquer les scandales dans l’industrie de la pornographie est assez embêtant… Nous sommes soumis aux représentations et, en matière de sexualité, nos représentations sont éminemment nocives et misogynes. Le porno est un véritable problème.
Oui, content que vous ayez compris, Je répète ça depuis 5 ans... mais vu que c'est un homme qui le dit, on m'accusais de boomer/mansplainer... Je suis content et amer à la fois. Le débat évolue, mais il fallait surtout attendre gentillement en fermant sa gueule et surtout pas contredire les enfants-rois. Et quand ces même enfants-rois vont comprendre que le féminisme depuis 5/6 ans, c'est libéral, made in california, à savoir : celui des gender/queer studies, bourrés d'anglicismes et de langue managériale (qui mine de rien ramène les statistiques ethniques, chose ayant toujours révulsé la gauche française..) en rupture avec le féminisme d'Arendt, Durkheim, Bourdieu, Weill (soi-disant "dépassé" soi disant "truc de boomer" soi disant "à côté de la plaque quoi") Et encore une fois je suis féminisme, le problème n'est pas la lutte, mais c'est LA FAÇON de lutter (de façon individualiste, donneuse de leçon) qui méprisant l'édifice collectif qu'est l'état social ainsi que l'héritage culturel, jugé comme un héritage globalement machiste et destructeur pour la planète quoi (globalement héritage = foie gras+corrida+patriarcat+eric zemmour). On oublie que dans le lot il y a l'hôpital et l'autorité patriarcale d'une université quasi-gratuite. Ainsi, typiquement, tu vas à l'opéra, et avant même d'écouter le drame intemporel qui se joue, Tu vas chercher en quoi la soprano appartient à une minorité opprimée (parce que toi tu penses librement) Et si ton voisin te demande de se détendre, tu lui réponds "Espèce de sale machiste" J'aurais du me rebeller contre ma mère qui m'interdit de mettre les doigts dans la prise "Espèce de sale machiste, je dois comprendre par moi-même"
Excellent podcast. Merci. Je rejoins certains commentaires, la problématique n'est pas si simple. Vous avez su ajouter des nuances de gris et avec des paroles comme celles là on casse les non dits. Pour ma simple expérience, et je suis sur de ne pas être seul. Mes premières expériences ont été pesantes, face à des femmes avec plus d'expérience. Car de 15ans à 20ans j'ai rencontré des partenaires qui avait été avec des hommes de 20 à 40 ans et j'ai toujours eu l'impression de devoir assurer pour "paraître" face à ces ex expérimentés. J'ai toujours été précoce sauf en sexualité ou je me posé beaucoup de questions que j'ai résolu en parlant avec mes partenaires après 20ans. Les femmes et les hommes sont semblables. On a pas toujours envie de sexe (mon avis). Parfois on veut parler. D'autre fois s'embrasser et d'autre se masser ou dormir nu ensemble. Même souvent. Mais les discutions avec les amis le lendemain pèsent si rien ne s'est passé. On était bien mais si on a pas consumé, on sent le malaise et la pitié (petite bite? Il n'a pas pu bander?). Les gens ne comprennent pas. Si on ne raconte pas le script avec une anecdote, on est jugé. Je ne mens jamais et le scénario accablé autant les hommes que les femmes. Mais il est vrai que le travail et la lumière doit être faite sur les femmes. La moitié de mes ex m'ont confessé des attouchements non voulu dans leur enfance. Il faut que ça cesse. Ainsi que les femmes qui ont fait des choses pour leur ex. Une fois les choses cadrées, on pourra se pencher sur cette prison des script qui nous enchaînent tous. Tous genre et toute sexualité comprise. Bonne continuation. Love and peace.
30:26 « les femmes sont assez bien placées pour savoir qu’on ne jouit pas sur commande » mais à l’inverse, peu comprennent qu’on ne bande pas sur commande...
Ce podcast est excellent, il soulève un aspect fondamental de notre sexualite, celui du contrôle social que nous avons intériorisé, et de comment s’en affranchir. J’aimerais beaucoup pousser plus loin la réflexion en apportant la mienne. J’y mêlerai aussi, au-dela de l’aspect normatif, tres important, l’aspect de l’apprentissage de l’harmonisation avec l’autre dans la recherche du plaisir sexuel. Mon exercice professionnel multiple me permet de conjuguer l’approche des apprentissages individuels, et des influences extérieures sur la sexualite (je forme les sexologues et les éducateurs a la sexualite a l’université de Toulouse).
Il y a des choses très intéressantes. Mais je trouve que le traitement est incomplet. La majorité des femmes ne connaissent pas leur corps par exemple, à cause du slut shaming par exemple. Presque systématiquement, elles attendent que l'homme gère TOUT. Tout l'acte repose sur les épaules de l'homme qui doit souvent deviner comment elle fonctionne. Et pour le coup de la domination, c'est souvent le truc qui marche le mieux pour qu'elles commencent à se lâcher, paradoxalement. La plupart demandent implicitement à être dominées ou le demandent carrément explicitement. Du coup, quand on est un homme hétéro, on sait aussi d'avance comment l'ensemble du rapport va se dérouler. Et c'est blasant, ennuyant. Une sexualité idéale, c'est avant tout une sexualité sur-mesure, adaptée aux deux partenaires. Le seul fait de faire comprendre aux femmes qu'elles peuvent faire tout ce qui leur passe par la tête, sans jugement, est déjà très efficace. Faire la même chose pour l'homme permettrait aussi de rendre les rapports de meilleure qualité sur le principe du vase-communiquant. Pour info, les femmes bisexuelles sont bien souvent de bien meilleures partenaires parce qu'elles ont déjà fait un grand travail sur elles-mêmes, qu'elles se connaissent bien, qu'elles se lâchent et savent demander ce qu'elles aiment. Ça retire une pression à l'homme et on est tout de suite sur un rapport plus égalitaire. Donc oui, notre société est dans notre lit, et elle bride autant les femmes hétéro que leurs partenaires masculins. Le simple fait d'accepter l'idée de se lâcher et de demander ce qu'on aime sans tabou améliore grandement les choses. Mais pour ça, il faut d'abord bien se connaître, et souvent, se déconstruire.
C'est le 2ème Podcast d'ARTE Radio que j'écoute (le premier c'était ce matin : Sexualité des femmes, la révolution du plaisir), que j'avais déjà adoré. Celui-ci est encore mieux. J'ai hâte de passer aux autres #ARTEradio #alexandrelacroix
Oui. C'est un impératif catégorique fondamental. A lire et à écouter : Esther Perell. Après, le meilleur apprentissage est Learning by doing that and by debriefing.
Si nous commencions par apprendre l'estime de soi, le respect de l'autre, pour commencer, c'est déterminant et jamais banalisé, sera ce moment magique partagé. Si nous commencions par intégrer que tout être humain à son monde intérieur et qu'il en est de même pour " l' autre " ; c'est donc la question de savoir si nous sommes curieux/se) découvreur/se ou sauvage barbare. La plus ardue des écoles qu'on aborde/accueille ou dont on s'empare/pille des trésors à trouver selon si passerelle(s) lancée(s) ou juste assaillie et pillée Selon moi ; Nous sommes découvreur ou touriste. La tendresse, le désir, la sensualité, la curiosité, ect sont tout ce qui n'est pas matérialisé en cette ré-union de deux terre qui deviennent île. Pour bien danser à deux (un tango ou autre) : Il faut aller en rythmes harmonieux à pas adaptés à l'autre sans s'y faire piétiner les pieds. Personne ne peut prétendre "connaître la musique" dans une partition qui s'écrit à deux sur l'instant merveilleux si parvient à une communion.
J'écoute ce podcast sur les conseils de ma directrice de mémoire. Je suis stupéfait, j'arrive aux mêmes conclusions que votre invité ! C'est troublant et réconfortant à la fois... Je serais enchanté de pouvoir communiquer avec ce monsieur mais comment faire ? Bravo en tout cas, je m'abonne et vais écouter d'autres épisodes...
Passionnant ! Un truc m'intrigue : Comment des chercheurs sérieux et documentés peuvent-ils obtenir des conclusions si diamétralement opposés à quelques années d'écart? Dans les années 50 Masters et Johnson établissent le cycle du coït excitation / plateau / orgasme / résolution sans réaliser que ça ne concerne que l'homme ???? Alors que Shere Hite 20 ans plus tard établit clairement que le déficit d'orgasme féminin dans un coït centré sur la pénétration est criant. Même avec la meilleure volonté du monde et la plus grande rigueur scientifique, il est difficile d'échapper aux biais cognitifs et aux idées reçues.
Excellent et salutaire podcast, très éclairant, intuitivement en réalité c'est la façon dont je voyais déjà notre sexualité. Peut être que cette façon de la voir, culturellement scénarisée est finalement bien de notre temps, on s'éloigne des schémas freudiens. merci !!!
N'oublions pas: "une femme honnete n'a pas de plaisir".Non le sexe ce n'est pas seulement faire l'amour avec son corps.Les sexologues nous disent que le sexe est avant tout dans la tête.Il permet aux gens évolués ou qui veulent evoluer de se se liberer des contraintes nécessaires à la vie en société qui creent forcement des inhibitions dans la vie intime dont il faut se debarrasser pour avoir acces à un plaisir legitime et partagé.Une sexualité bien comprise c'est l'inverse de la bien pensance.
Apprendre à faire l'amour ou réapprendre à être amour...? Il y a toujours dans apprendre à faire l'amour une forme de mécanique et d'éloignement de soi par la méconnaissance... On apprend pas à faire l'amour puisque nous le sommes tous.
bravo Alexandre LACROIX : stop aux dominations, oui EGALITARISME SEXUEL ; divine voie d'accès à tendresse-douceur tant essentielle en AMOUR ! Oui s'ouvrir à un terrain de JEU...hors script reçu en héritage. Finalement, laisser circuler l'initiative aux amoureux...avant la fin du monde.
22:15 "Faut que ça marche". Ils n'ont qu'à acheter des chaussures et sortir alors. Plus sérieusement analyser ces interrogations et remises en questions est super intéressant.
pour ceux celles qui veulent élargir le sujet je recommande le sujet "Mâles Baisées" de Dora Moutot! comprendre aussi vu d'autres cultures, critique aussi de la pornographie, prostitution et description des scripts
Merci. Des verites, et beaucoup. Le rapport Hite est une bénédiction pour les femmes, et plus de femmes auraient envie de faire l'amour plus souvent si plus d'hommes en avaient entendu parler ( c'est incroyable, mais il y a encore des hommes aujourd'hui qui n'ont qu'une tres vague idée de ce que c'est que le clitoris, où ça se trouve, et à quoi ça sert, trop de porns, pas assez d'éducation réelle sur le fonctionnement du corps féminin). Beaucoup trop de femmes, aussi, qui ne disent rien et font semblant pour garder la relation ( et oui, pour la plupart d'entre nous, le sexe passe par l'amour). En revanche, introduire de l'ideologique et du politique dans l'acte, tres mauvaise idée. Les rapports de domination, inversés, pas inversés, c'est les gouts et les fantasmes de chacun.) Apprendre a connaitre le corps de l'autre et se donner mutuellement du plaisir ( et tres certainement ça ne passe pas par l'orgasme à chaque fois ou la penetration obligatoire, et ça ça enlève déjà beaucoup de pression aux deux partenaires), être un apprenant/ une apprenante du desir et du plaisir mutuel, savoir jouer avec les codes et ne pas se figer dans des rôles, ça requiert beaucoup de sensibilité et c'est un acte d'amour, comme le rappelle joliement le premier commentaire.
En tant qu'homme, j'ai tendance à penser que les femmes sont plus dans une recherche de qualité et de variétés dans les actes, les pratiques ou les sensations, alors que pour mon propre cas, je ne peux pas me permettre de parler des autres, j'ai l'impression d'être plus frileux en général. Je fais partie de l'ancienne génération ,j'ai l'impression que la nouvelle génération va mieux sur ce sujet, et c'est tant mieux.
Je viens d'écouter ce podcast que j'ai trouvé intéressant... jusqu'à entendre la conclusion ! Pourquoi passer 30 minutes à déconstruire Freud, Masters and Johnson, etc. pour conclure sur la notion de pouvoir et la narration d'une scène de sexe qui me semble assez peu "révolutionner l'imaginaire collectif"... On reste là dans la même vision du sexe comme activité duelle au cours de laquelle deux êtres pensants s'affrontent et non dans cette union sacrée qui vise à la sublimation du plaisir qui ne passe pas forcément, pas automatiquement par éjaculation et orgasme. Sans être une notion nouvelle, loin de là, c'est, selon moi, là que résiderai le véritable tournant de l'imaginaire collectif.
sinon, le problème de la solution numéro 2, c'est qu'elle implique la solution numéro 1 : en fait on ne peut pas fluidifier les rapports de pouvoir si on n'a pas pris d'abord le soin de les identifier dans leurs moindres recoins. et le problème, c'est ici comme ailleurs, le principe de plaisir : plus on s'approche de leur jouissance, moins les gens ont envie de réfléchir, plus ils ont l'impression qu'on va leur imposer un modèle moral culpabilisant (quand bien même il ne s'agit que d'une méthode pour sortir de l'hétéronomie, c'est-à-dire une méthode qui devrait leur permettre d'être vraiment eux-mêmes au lieu de suivre les scripts décidés par autrui... mais bon c'est pas étonnant dans une civilisation qui fait semblant de faire honneur aux individus en leur imposant le chantage économique travail/consommation et qui fait semblant de faire exister le concept de démocratie en leur imposant des représentants, qui plus est incompétents... les gens à la fois ont perdu les repères qui permettraient à leur rationalité de reprendre le dessus, et en plus, ils ont développé une méfiance à l'égard des promesses de liberté, préférant l'aliénation connue à ce qui de leur point de vue menace de n'être qu'une nouvelle aliénation). au fond bien nombreux sont ceux qui sont à l'aise dans leur rôle éclaté issu de siècles d'aliénation, et encore plus nombreux sont ceux qui sans y être à l'aise se forcent à l'accepter sans broncher.
Apprendre à faire l'amour ? Qu'elle question bébête. C'est en expérimentant qu'on apprend. C'est le coeur qui nous guide et donc il faut se laisser guider par lui. On est bien venu sur terre pour faire des expériences et c'est ainsi qu'on apprend à se connaître. C'est comme si vous demandiez comment on apprend à marcher ou comment on apprend à parler ou comment on apprend à lire, à écrire, à vivre. Le reste c'est de l'intellectualisme, des mots du bourrage de crâne, du bla bla bla.
je trouve ce podcast très intéressant. quand j'ai eu des relations sexuelles pour la première fois je savais ce qu'était le plaisir mais je n'avais aucune idée de ce qu'était le coït et ça m'a déroutée. j'ai définitivement arrête a partir du moment où il y a eu pratiquement l'obligation de la fellation et du cunnilingus, n'abandonnerai.les ''plaisirs solitaires'' quand il y aura la possibilité de ne plus faire de trucs qui m'embêtent.
L’amour se donne et le plaisir se prend. Jouir ou pas n’est pas la question. Quand on pense qu’un enfant sur dix vivra l’abus sexuel, est-il cohérent de « travailler à son plaisir »…
Donc pour lui la solution est de faire "circuler le pouvoir", la "domination alternée". Le rapport sexuel ne peut pas être autre chose un rapport dominant/dominé selon lui. Quand à elle, c'est la même chose, une de ses solutions c'est pénétrer un homme avec un doigt, puisque évidemment pour elle, être pénétré c'est être dominé. Complètement à côté de la plaque comme d'hab.
Certes par essence, pénétrer/être pénétré n'a aucun lien avec la domination. Néanmoins, dans l'imaginaire collectif, pénétrant.e = dominant.e et pénétré.e = dominé.e Il faut donc que ces connotations plutôt arbitraires s'effacent, notamment en faisant varier les plaisirs et en abrogeant les scripts.
@@cannedprimordialsoup C'est de cette notion qu'il faut s'affranchir, car elle empêche l'élévation. On peut varier les plaisirs, ou "faire circuler le pouvoir"pour reprendre son terme débile, ça n'y changera rien, ce sera toujours du sexe plutôt médiocre dont chacun se lassera vite.
En fait ce podcast c'est un énième salon de thé de nanas autour de l'arlésienne en attendant Gaudot servi sans faute par une narratrice bobo qui se mort la lèvre tellement elle en revient pas de parler de ça. Hannnnnnn masturbation intellectuelle des fois que je me mette à jouir. Rien sur l'amour sexuel, la relation, le partage, la découverte mutuelle, la complémentarité, l'intimité, la confiance, l'ouverture mutuelle, la fonction féminine, masculine, les rôles respectifs, les jeux, l'évolution, la maîtrise, l'acte très simple finalement et en un mot : la construction de soi aussi dans le compartiment sexuel. Sauf qu'aujourd'hui, l'enfant unique, gâté, impuissant, impatient, il déconstruit et casse le jouet qui ne fait pas ce qu'il veut, ivre de recettes et du tout tout de suite. Mais par contre tout sur le kiki de "Ketty pov chérie". Les nanas restent en orbite autour de leur kiki, complètement ahuries. Leur a-t-on déjà dit à quel point elles peuvent être prenantes d'ennui ? Leur a-t-on parlé de la simulation masculine ? De la débandade poupée de cire, poupée de son ? Prenez la capsule du retour sur terre les filles, appuyez sur largage, sur courage, prenez votre part de risque, les hommes et l'orgasme sont en bas. Ici, c'est pas une histoire d'être la préférée et puis plus rien. Aidez vous vous-même et votre clito vous aidera, à orbiter sans fin, vous finissez par êtes pénibles pour ne pas dire plus. Quand à l'émancipation par le tournage de doigt dans le'c, j'en suis resté pantois et navré. C'est pas par là les girls, mais si on en est là les psy vont continuer à se faire du fric sans risque. Aucun intérêt à soigner le patient. Et enfin, vive la masturbation qui exfiltre des relations technico-commerciales vides de "sens". Pour les nenettes, enfin partir à la découverte. Pour les garçon, enfin se passer de Junon. Ce qui est vrai pour "l'amour" technico-technique, l'est pour tout le reste. Alors vive la liberté et bon vent à tous pour la rejoindre. Pas d'effort, pas d'intelligence, juste le bon point de vue et la patience du chemin. Dégagez le ketchup bobo, revenez au produit, revenez à la nature, revenez à l'être. Finalement c'est tellement facile, c'est tellement comme tout le reste, c'est tellement comme la vie, tout est déjà là !
Non, il me semble que l'expression "sortir de l'hétérosexualité" s'adresse aux hommes et femmes hétérosexuels / hétérosexuelles qui ne se seraient jamais questionnés sur leur orientation sexuelle, acceptant l'hétérosexualité comme "allant de soi" car c'est "la norme" alors même que cette sexualité ne leur conviendraient pas complètement. Je ne sais pas si c'est très clair, mais en tout cas, pour moi cela ne renvoit pas du tout à l'idée que l'on choisit son orientation sexuelle.
Trop de dérives en occident. Ce n'est pas parce qu'au cours d'un stage le premier mort-de-faim venu a reconnu " la déesse en toi" que ça lui donne le droit de te toucher intimement. Les trois quarts du temps, c'est ce à quoi servent ces stages, et c'est bien dommage, parce que le vrai tantra, originel, issu des Védas, ce n'est pas ça. D'ailleurs, la sexualité n'en est pas même un aspect essentiel. Beaucoup trop d'abus et de pigeon(nnes) credules dans la pratique new--âge des groupes tantriques
Est-ce que le sens du ridicule ne ce serait pas un peu perdu lors de vos pérégrinations intellectuelles ? Il arrive qu'on devienne bête a force de se vouloir intelligent.
Des morceaux choisis de l'histoire de la sexologie, très occidentalocentrés ( pas de tantrisme et de kama sutra) mais avec des grosses ellipses (de Platon a Freud). Des présupposés au moins sur le ressenti et le comportement général des hommes, probablement de par la culture littéraire, cinématographique et les expériences personnelles ou de l'entourage des intervenants. Perso, les rapports amoureux et sexuels, je trouve depuis toujours ça chiant et insatisfaisant. Ce podcast m'a plutôt conforté dans le fait de m'en passer plutôt que de me lancer dans l'aventure de rajouter des complications à de la mascarade. Intéressant néanmoins.
maker a ...Hahaha, excellent!!! Très bel argumentatif pour finir par une brillante conclusion ''J'ai toujours trouvé les rapports sexuels et amoureux chiants et insatisfaisant"! Je suis pliée en deux, sérieux! 🤣🤣😂 Moi aussi j'ai toujours ressenti un manque de passion et de transcendance dans les rapports amoureux et sexuels depuis mon 1er petit copain, je me sens même souvent ''blasée'' en pensant à tout ça, je me souviens avoir pensé ''Ah, et c'est tout ce que ça fait?'' après mon 1er baiser par exemple, donc la sensation d'insatisfaction je la connais. En revanche, je n'abandonne pas l'Amour. A mes yeux, l'amour ce n'est pas juste des rapports sexuels ou juste tomber amoureux de quelqu'un, c'est vraiment un art de vivre ou un état d'être (Je vous imagine bien lever les yeux au ciel en lisant cette phrase, parce que je suis une indécrottable romantique 🥰). En fait, je ne comprend même pas l'utilité de naître sur cette Terre sans jamais expérimenter l'Amour sincère et authentique, dans mon esprit ça n'a aucun sens. Mais c'est vrai que les rapports humains sont déjà si compliqués, alors si l'Etat, l'école, les médias, les politiques etc commencent à s'en mêler on court droit à la catastrophe! Je comprend tous ceux qui essayent de prendre de la distance par rapport à tout ça, c'est une démarche saine je trouve. Si on n'est pas prêt pour une relation de couple, c'est pas grave, peut-être qu'un jour on le sera mais en attendant, c'est très bien d'en être conscient et c'est inutile de forcer les choses! Merci pour ce petit moment de rire intensif!!!
N'est-ce pas renier un peu son animalité et donc en partie son humanité que de se couper de soi-même ? Quel est le rôle du sexe dans notre fonctionnement ? Corporel, sensoriel, psychologique ? Maintenir un statu quo sur soi même est plus facile que de penser le problème peut être ? L'intime doit être recherché, pour se connaître et connaître son partenaire. Se trouver sur le terrain de l'intime nécessite une grande empathie, se connecter à l'autre entièrement. Bien sûr je ne parle pas de coup d'un soir ou d'orgasmes mécaniques mais d'un coït total et engagé, en direction d'une rencontre profonde. Lecture intéressante : Fonction de l'orgasme de Wilhelm Reich.
j'ai toujours la même impression quand j'écoute tes podcast, plein de trucs intéressants mais une recherche de modèle à suivre. Qu'il fût famillial, sociétal ou féministe j'en trouve les critiques, en bien ou en mal, de ces modèles, intéressantes mais jamais libérées de l'envie d'un modèle auquel se raccrocher. Ce détail gênant ce que je conçoit de la liberté me gêne légérement à chaque fois. Je ne développe pas plus parce qu'internet, mais je me permet de commenter car ce propos me parait probant.
Est-ce que vous dîtes le paradoxe de "la liberté à apprendre" ? Ou, comment déconstruire sans reconstruire en somme ? Est-ce seulement possible ? Une clé capitale me semble être, dans le couple en tout cas si tel est notre réalité, la communication. Apprendre à dire sa liberté avant de pouvoir la vivre inconditionnellement ?
@@octaveachebelle795 je vais essayer de répondre. Je pense qu'on, un être, cherche à être. Que des schémas peuvent nous aider dans cette recherche d'accomplissement de son être, néanmoins, en observer sa création me parait plus aboutie... (si l'accomplissement est notre démarche) Je pense qu'on apprend entre autre à être par les acceptations et rejets de ces schémas, par mimétisme... et avons ensuite le panache de s'en défaire pour s'observer ainsi être sous nos yeux ébahies. Je souhaitais ici partager ce que j'ai cru observer dans les propos de l'autrice de ce podcast, cette observation n'est pas absolue par ailleurs, je crois qu'elle sait se "créer elle-même" la plupart du temps et qu'ainsi d'ailleurs elle peut comprendre le détail que je voie, je l'espère du moins. Et pareil quand à toi haha. Je lis en dessous que tu fais un mémoire, moi les réfs qui me viennent à l'esprit si tu est intéréssé.e quand à ces concepts sont Nietszche et Spinoza (je sais... ça date comme ref mais c'est ceux qui théorise le plus similairement ce que je dis là). Ah et enfin le couple... mouais... pour moi c'est une impasse pour l'être.s, j'ai arrêté d'y penser depuis longtemps et ne souhaite pas le faire non plus alors je ne peux rien en dire... ou alors à brule pour point je dirais que ton couple n'existe pas et seule la communication dont tu parles a une quelconque matérialité, que cette communication soit verbale, spirituelle ou corporelle.
Bon mais tout ça c'est un problème surtout pour les gens qui ont besoin de références pour activer leur sexualité... L'utiliser intuitivement au hasard de ses sensations, impressions , émotions et plaisirs...permet un voyage tout à fait différent et au plus proche de sa façon de fonctionner et réagir... Après évidemment et au premier abord tout va dépendre de la qualité de la relation avec le ou la partenaire, mais aussi de la qualité intrinsèque des deux partenaires, de leur personnalité, de leur équilibre émotionnel et de leurs attentes respectives... Et oui évidemment qu'une dimension dominé/ dominant est présente et elle l'est dès la convoitise d'ailleurs, elle aide à l'harmonisation de l'échange sexuel et de la relation si elle mesurée et s'exprime entre les garde-fous de l'équilibre sain de l'un et de l'autre... Sinon c'est un véritable danger! Un poison dont on doit se méfier avec le plus grand soin, tant il peut amener de gens qui méconnaissent leurs fragilités ou non à l'enfer du pire et à l'irréparable !... Aussi le choix d'un ou d'une partenaire ne va pas de soi et la sexualité ne doit pas être confondue avec un objet de consommation...si beaucoup avaient conscience de ces mécanismes on éviterait bien des drames et des feminicides...
J'avoue que l'aspect social ou de pouvoir m'agace. L'érotisme c'est le domaine du plaisir, du fantasme. Il y a des aspects biologique et psychologique qu'il vaut mieux connaître, mais surtout observer sa partenaire et renforcer ce qui marche. Personnellement je vais pas déconstruire se qui me fait jouir pour me conforter à des impératifs politiques ou philosophique (mais éventuellement pour comprendre comment mieux faire, enfin une fois que tu as fais jouir en claquant des doigts plus grand chose surprend en la matière). Comme d'autres l'on dit il oublie plein d'approche non occidentale (il y a trente ans ma première copine savait très bien demander un orgasme et que ça ne s'arrête pas après la pénétration) et nous étions tous sur la ligne du chacun fait ce qu'il veut. Ça me semble réchauffer et sans intérêt par rapport au monde érotique que je pratique. Je continuerai à dominer si j'en ai envie parce que sa me fait jouir et que les femmes dominantes sexuellement (et qui savent donner du plaisir), ça court pas les rues en vrai.
Les femmes dominantes ne courent pas les rues parce que tout un tas de mécanismes sociaux leur apprennent à se soumettre ou du moins à ne pas dominer, à ne pas érotiser ou désirer la position de domination. On peut avoir envie en tant que femme de déconstruire ça, de questionner son rapport à la soumission, et d'apprendre à dominer dans un jeu sexuel. On peut apprendre à y trouver du plaisir. Questionner les sources sociales de ses pratiques peut amener à les diversifier. Ça ne veut pas dire culpabiliser, et il faut effectivement accepter la part de mystère et de spontanéité du désir, sinon on ne fait plus rien. Par ailleurs, c'est important de comprendre que le patriarcat ne sera pas aboli parce que les hétéros auront changé leurs pratiques au lit. Mais la posture (et je dis bien la posture, le discours public revendiqué) qui consiste à dire "ne remettons rien en question" est franchement malaisante (si un mec refuse de remettre en question son envie de dominer, qu'est-ce que ça dit de lui en général ?) et paresseuse.
@@glowingdesire 🤣 Non le nombre de mec qui demande à être dominé est colossal. Ça dépasse largement la question sociale. Tout n'est pas social et si ça l'est c'est aux femmes de se remettre en question pas aux hommes (du moins pas sur ce point là). Elles attendent réellement tout des hommes à ce point là ?
@@skanvak vous êtes vraiment à côté de la plaque, dans son commentaire la personne parle justement de déconstruction féminine et vous faite mine du contraire. Ça en dit long sur votre incompréhension.
@@afds1581 Un j'ai pas envie de déconstruire, j'ai étudié le concept et il est très mal utilisé. Deux le patriarcat n'existe pas. Trois si vous voulez dominer des hommes sexuellement allez y, il ne demande que ça, rien à déconstruire. C'est pas que je comprends pas, c'est que je ne suis pas d'accord.
@@skanvak Bon, vous êtes incapable et même réticent à toute réflexivité visiblement. Dommage, et bonne route tout de même. Tant que vous êtes à l'écoute de votre partenaire, c'est le minimum.
C'est pourtant facile de faire l'amour et d'aimer ça, et je pense que toutes , après quelques essais avec plusieurs partenaires , on arrive très bien à comprendre son corps et nos phantasmes , et de les mettre e pratique ! Quitte à s'imposer au début !
Encore qques injonctions à déconstruire... ? Avoir un rapport sexuel n'a rien d'évident. Ce n'est pas "facile" d'aimer ça, c'est justement ce qu'on nous conditionne à penser. Surtout on ne s'impose rien et on n'impose rien ! 💏
Sinon, on pourrait dire qu'il y a des gens qui s'adaptent bien au cadre , ou savent en adapter leur morceaux en résolvant les problèmes de ce cadre, et les victimes de l'évolution qui se sentent victimisées par lui. Ces gens là se diront qu'il faut être asexuel , homosexuel , où d'avoir des relations non "hétéronormatives" donc sans pénétration, pour se sentir complet , et respecter une identité construite en opposition à cette norme. Au final, ces gens ne se reproduiront pas , leur philosophie disparaitra avec eux, et l'évolution aura fait son travail. Je tiens à préciser que tt les formes de sexualités sont dans la nature , dans la plupart des espèces. Je ne vois juste pas le point de parler d'en changer , quelle soit biologique ou sociale , juste par philosophie
Les femmes, les hommes, 2 salles, 2 ambiances... C'est quand même vachement compliqué, pour un truc que font les mammifères depuis des millions d'années... Si j'étais dieu j'aurais fait autrement, c'est sûr ! 😋
Pourquoi conserver ce paradigme de pouvoir ? même s'il circule ? Pourquoi ne pas établir un paradigme de type "conversation", comme quand on parle ? Chacun s'écoute puis réfléchit puis "répond" à l'interlocuteur sexuel. Ça serait pas mieux ?
@@escoyrasoundsystem7864 la Novlangue étant un language inventé par George Orwell dans son roman «1984». C'est un langage dont le but est l’anéantissement de la pensée, la destruction de l'individu devenu anonyme, l'asservissement du peuple (source France Culture). Il est donc assez évident de comprendre la pensée de ce Alew, qui ne supporte probablement pas les évolutions de language, tout en ne sachant même pas écrire correctement la langue dont il parle 😂 En résumé : un troll
@@lilar1053 oui, et aussi la novlangue consistait à faire dire n'importe quoi au langage, prendre un mot pour signifier son contraire, pour stupefier et faire perdre tout repère aux gens. Genre 'la guerre, c'est la paix', 'surveiller pour plus de liberté', 'punir c'est aimer' etc.
Ça ne semble pas trop la déranger de vouloir transformer les productions culturelles (séries, films etc..) en appareil de propagande mais puisqu'il s'agit d'éduquer les masses incultes, prisonnières de leur préjugés, qui ne savent même pas où est leur plaisir, cela ne pose de problème moral.
Un podcast intéressant mais peu approfondi, j'ai l'impression qu'il s'inscrit dans cette nouvelle mode, essentiellement américaine de l'acharnement ou du cancelling, ici on semble s'en prendre à Freud. "Trois essais sur la théorie sexuelle" de 1905 est quasi révolutionnaire pour les mœurs de l'époque, n'oublions pas qu'en 1886 Krafft-Ebing écrivait "Psychopathia Sexualis" d'un moralisme saisissant tandis que Freud dans ce même contexte tente de décaler la question du sexuel d'un lieu moralo-religieux à un lieu scientifique, avec la science de son époque. Effectivement, la science, amène à quelque chose d'opérationnel et d'utilitaire, mais la question de la norme et de son inexistence étant centrale dans la (ou les?) psychanalyse(s), faut-il saisir le texte de Freud comme un manuel de bonne pratique injonctif dont découlerait la sexualité d'aujourd'hui ? je trouve ça un brin sommaire. En revanche, j'ai beaucoup aimé la distinction des scripts, j'aurais bien aimé en entendre plus là-dessus
Ah, la circulation des pouvoirs... Un rêve qui tarde à devenir réalité. Et la sensualité, cette grande oubliée de la sexualité. Le corps entier est une zone érogène. Qu'on se le dise!
Tout ça pour ça...la conclusion de la meuf à 34.10 c'est que c'est triste qu'en 2021 y'a pas assez de mec qui se prennent des doigts dans le 'uc...c'est ça qu'on appelle le progrès ? on est mal barré
C'est pourtant un constat cuisant, ils se privent d'une source de plaisir pourtant certain dès lors que le travail de lâché prise est suffisamment abouti... et ils s'en privent, ne nous leurrons pas, par simple et bête "convention sociale" et à cause du spectre de "la non virilité" car inconsciemment, ce sont des biais sexistes et homophobes encore bcp trop intériorisés dans les esprits masculins.
La révolution au lit est la communication point. Le manque d'altruisme et de communication dans la société, au sein de la famille se répercute dans nos rapports sexuels car c'est un mécanisme sociétal comme un autre. Pour régler tous ces problèmes, il suffit de commencer par un puis remonter aux autres. Respect, compréhension communication altruisme. Et naturellement le sexe, les relations familiales amicales professionnels, le monde entier ... Seront mieux. Quelle honte de dire non à une chose pcq elle a pris trop de place et en masque une autre. Toujours noir ou blanc noir ou blanc ..
Il vous restera aussi à déconstruire cette saloperie d injonction au bonheur ou à être heureux dont le titre du podcast est symptomatique et une injonction assez générale chez Arte et la sociologie des gens d Arte... Ça n enlèvera rien au bon contenu mais un mauvais titre est tjrs dommageable. On ne prend jamais assez de temps pour les titres.
Très intéressant les différents point de vue, je suis quand même déçu d autant de moraline deconstructiviste dominante ou on nous explique qu'il faut jeter tout ce qui est ou fut. De même sur la fin, je trouve très inquiétant qu'on nous explique comment il serait bon de faire l amour. Donner du savoir pour comprendre est louable, mais des injonctions jusque dans l intime, ca fait peur.
Puisqu'il y a des travailleurs(euses) du sexe ,il devrait y avoir des ecoles d'apprentissage du sexe où vous mettriez vos enfants, non ? On élirait le ou la meilleure ouvriere de France,ce serait bon pour l'image du pays et le tourisme.
C’est ridicule . J’aimerai bien qu’on apprenne pour de vrai aux gens à être altruiste, bienveillant et respectueux. Qu’on ai plus une société basée sur l’argent, la rivalité et le sexe. C’est fatiguant vos fausses bonnes solutions et vos pseudos reportages qui servent à nous conditionner à la dépravation
Vous dites ça mais vous êtes une femme qui base sa vie sur l argent,(donc vénal)la rivalité , et le sex non ..!comme beaucoup femmes alors ne soyez pas hypocrite ,ça se trouve vous êtes même égoïste
@@saulthermea9995 C'est marrant Saül avant de devenir l'apôtre Paul était aveuglé et persécutait les chrétiens. Jusqu'à ce que Christ lui apparaisse et régénère son intelligence, il est donc devenu l'apôtre Paul, fondateur de l'Eglise. Puisse cela vous arriver.
@@aaronsarah9549 cela vous a blessé,mais pourtant c est la vérité,et je dis souvent ;les vérités blesses ,je dis ce que je pense,que ça plaise ou pas ,pour information je connais parfaitement l histoire de Saül,et pour cause étant donné que je porte ce prénom ,je m intéresse aussi à mon prénom alors ne soyez pas sarcastique…
C'est drôle...c'est bien de faire un podcast, mais j'ai l'impression que ça s'adresse pas à tout le monde...un truc un peu intello, urbain, trentenaire, journaliste etcc bref des gens d'époque pour ainsi dire. Comme beaucoup de podcast. Mais c'est un travail et il y des choses intéressantes
J'en suis à l'intro de 2 minutes 30, j'ai l'impression que la nana nous deballe des lieux communs de militantisme féminin appris par cœur, rien de vécu, de senti, rien de personnel. C'est nul
Mais les mecs ne savaient pas. Combien auraient sans doute été excités à l'idée d'envoyer leur partenaire au 7e ? Seulement ces dames n'en savaient pas beaucoup plus sur elles-mêmes. Le coup du doigt, non mais sans déconner. Seulement 21% ! Seulement ? Le problème avec les woke, c'est qu'ils préfèrent imposer un problème à tous plutôt que de le régler pour tous.
Vous n’avez pas honte de vous immiscer jusque dans le luc des gens🤮 Vous percevez un salaire pour ce type de travail ‼️et vous pouvez tjs vous regardez dans une glace🤔🤔🤔🤔
@@sushi8042 Non c’est vous qui êtes naïfs et qui ne voyez pas que l’on pousse les gens vers les activités LGBTQ‼️‼️ Quand on est physiquement et mentalement ‼️normalement constitué‼️il a pas besoin de se poser des questions ‼️ Maintenant ‼️si vous avez besoin qu’on vous materne et vous embrouille le cerveau‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
@@Annagnocchi Exactement, l’obstétrique et la gynéco sont mon activité professionnelle ‼️il n’y a rien de Sal‼️et je peux vous que ce qu’on entend ici est ridiculement triste, faux et dangereux pour vos futurs relations ‼️‼️‼️
Le titre m'a interpellé, j'ai écouté. D'abord je me suis dit qu'il faut peut être arrêter de se poser tant de questions et de chercher des réponses a des questions qui n'ont pas lieu d'être. Mais en fait j'ai compris que ce que je vivais n'était pas la norme chez la femme. Moi, 40 ans, ronde, mariée, deux enfants, en couple avec le seul et unique homme de ma vie (nous sommes ensemble depuis nos 15 ans), je peux dire que je suis épanouie sexuellement. Je prends plaisir à chaque fois ou presque. Nous faisons l'amour une a plusieurs fois par semaine, parfois rien une semaine mais bon c'est comme ça, pas de pression. Et pas de scénario identique. Effectivement, nous sommes arrivés à un équilibre au niveau du "partage de domination" (je ne sais plus le terme exact abordé) mais j'ai bien dit "nous en sommes arrivés". Car notre sexualité a traversée plusieurs phases dans notre vie de couple et nous en sommes là peut être parce-que nous n'avons pas lâché quand ça allait moins bien, parce que l'amour est plus fort que la sexualité et cet amour nous a permis de traverser les périodes plus difficiles. Je précise que nous n'avons jamais consulté, que les choses se sont toujours faites sans trop exprimer de mots, mais avec beaucoup d'attention a l'autre, de la bienveillance et de l'amour. Donc aujourd'hui, a l'heure où les individus se posent bcp de questions, n'est il pas temps de vivre un "nous" plutôt que de réfléchir à un "je" ? Prenez une feuille, un crayon, vous avez 4 heures 😂
Très beau messages, qui donne espoirs, je n'ai jamais eu d'ami(e) s d'enfance ni d'amour d'adolescents, je n'ai connue que des gens toxique et profiteur, mais je garde espoir, surtout quand je vois de beau messages comme celui-ci😊😊😊.
@@DRmisse merci, ça me touche bcp et je vous souhaite de trouver la personne qui vous corresponde. Gardez l'espoir c'est lui qui anime chacun de nous, seul ou en couple.
Merci pour ce commentaire
Bravo pour votre belle prose, pour le beau sens donné à votre relation de couple ainsi qu'à votre parfaite orthographe 💕
... et pour votre humour en final 😅
Éduquée à la nécessité d'une sexualité "fréquente" , "créative" , "nécessaire" , "de circonstance" par la société au travers des magazines, romans, film, salons érotiques, etc : j'ai mis de longs mois à accepter que le désir et l'amour de mon compagnon ne s'exprime pas forcément par un rapport sexuel, et surtout la pénétration !
La première fois qu'il m'a fait un cunnilingus et que le rapport s'est arrêté là (on avait pas trop le temps non plus, il fallait se préparer pour un rdv), j'en ai pleuré... pour moi "il fallait" qu'il me pénètre et jouisse, même si c'était juste 3 aller-retours.
Juste un cunni, c'était "incomplet" dans ma représentation d'un rapport sexuel, alors même que j'ai toujours trouvé normal de faire juste une fellation. Résultat, du conditionnements social/pornographique évidemment.
Au fur et à mesure j'ai accepté qu'il embrasse, masse, ou caresse mon corps en étant nus chacun, sans pour autant que cela ne débouche forcément sur un rapport.
J'ai accepté que les caresses lui procure davantage du plaisir de type "bien-être" et non sexuel.
C'est un "lover" , un sensuel très peu sexuel...exactement comme il me l'avait décrit dès notre 1er rdv.
Ses précédentes compagnes n'ont pas reussi à s'y faire, et on finit par le tromper.
Je ne les jugerais pas, au contraire je les plains avec le recul, car c'est effectivement très compliqué de se défaire des injonctions/normes/modes qui influencent notre rapport au sexe.
Ce genre d’homme passe sa vie à se faire tromper
Merci pour ce beau temoignage ❤
Ce documentaire m'as énormément éclairé et a repondu a beaucoup de questions que je me posais !! Merci pour ce documentaire incroyable, bravo !❤
Merci pour ce magnifique podcast qui fait du bien ! Je suis ravie d'entendre (pour la deuxième fois en peu de temps) parler du rapport Hite, cela me met en action pour aller me le procurer.
Je trouve dommage de parler de domination alternée et de "circulation du pouvoir" ; malgré la volonté de proposer une alternative à ce mécanisme de domination (qui est très bien décrit dans votre podcast), les mots choisis font qu'on reste encore dans son arène ! Par expérience, un rapport égalitaire et équitable dans les rapports intimes et sexuels est possible ! Et si on introduisait la notion de jeu sexuel - comme Alexandre Lacroix le mentionne - , sans qu'il n'y ait cette notion de domination? Parfois, griffer est une manière de toucher son ou sa partenaire, de sentir la peau de l'autre sous ses ongles. Ce n'est pas nécessairement un signe de domination.
Je suis médiatrice sensorielle, et je suis pour une éducation sensorielle sexuelle, pour accompagner les partenaires à trouver, , seul·e ou ensemble, des manières de naviguer dans les plaisirs intimes et sexuels. A les trouver par elles-mêmes et eux-mêmes, grâce à des explorations sensorielles et à la libération de la parole. Car nous sommes tous et toutes uniques, et nos sources de plaisir ne sont pas les mêmes ! Certain·es seront excité·es par les mots de l'autre, par les gémissements de leur partenaire, par le niveau sonore. D'autres verront leur niveau d'excitation grimper au moment où ils/elles sentiront l'odeur de la transpiration de leur partenaire...
Parler à son ou sa partenaire, pendant l'acte, ou après ou avant, c'est pour moi la meilleure manière d'être à l'écoute, plutôt que cet état "de vigilance", qui, s'il est trop exacerbé, peut amener une artificialité dans les rapports.
Les explorations sensorielles sont multiples ! Les différentes manières de se toucher ; avec quelles parties de notre corps sur quelles parties du corps de l'autre ?... Les odeurs des cheveux, des aisselles, de la peau, des organes génitaux. Se regarder, dans les yeux, dans le noir, avec ou sans miroir. Les sons : les respirations, les souffles, les rythmes, les silences, les mots sussurés à l'oreille.... contribuent à notre plaisir. Les possibles sont infinis. Et le goût ! Le goût de la peau, plus ou moins salée ou acide, selon la zone, l'activité ou la saison ; le goût des sécrétions... Il y a une multitude de sensations à explorer dans l'intimité. Il n'y qu'à table et au lit que nos 5 sens, les 5 ensemble, entrent en jeu : et si on en profitait ?!
Plus que la recherche de l'orgasme, c'est la jouissance sensorielle qui est au cœur du plaisir que je ressens quand je fais l'amour.
Wouaw *w* il est tellement beau votre commentaire ! Il complète parfaitement ce que disait le gas sur la sensualité et le fait que se soit l acte en lui même qui est beau ~ sans ça finalité sur la quel on se concentre trop ~
Je me disait justement en finissant le reportage que ce rapport de domination dont il parle n est pas tellement nécessairement présent, et puis d expérience ^v^ ça prend toujours une forme de jeux qui fait sourire. C est jamais si fort que les mots qu ils ont choisi quand on partage de l amour avant tout ^^
Un beau partage que ce commentaire!
Le sexe peut être une expérience totale, c'est l'humain qui se relie à son corps, puise des ressources dans son animalité pour se connecter à son partenaire.
Le sexe est égalitaire quand la connexion à l'autre est recherchée, naturellement. Une intelligence, une écoute sensorielle, corporelle, de l'autre et de soi. C'est s'ouvrir à son partenaire et pénétrer son intimité. Se lier, s'entremêler sur tous les plans.
Bien sûr certains ne voient pas cela de cet œil là et se contenteront d'orgasmes faciles, déconnectés du monde et des partenaires, souvent décevants. Un manque d'investissement de son propre corps limite les possibilités de comprendre, de connaître l'autre.
Oh oui, je suis bien d'accord, la jouissance sensorielle est bien plus importante que l'orgasme
😊
Ne pas évoquer les scandales dans l’industrie de la pornographie est assez embêtant… Nous sommes soumis aux représentations et, en matière de sexualité, nos représentations sont éminemment nocives et misogynes. Le porno est un véritable problème.
...un problème...pour vous. Moi je m'en fous du porno.
Exact , oubli qui n'est pas"accidentel".....ah les médias, quelle foutaise!
Oui, content que vous ayez compris,
Je répète ça depuis 5 ans... mais vu que c'est un homme qui le dit, on m'accusais de boomer/mansplainer...
Je suis content et amer à la fois.
Le débat évolue, mais il fallait surtout attendre gentillement en fermant sa gueule et surtout pas contredire les enfants-rois.
Et quand ces même enfants-rois vont comprendre que le féminisme depuis 5/6 ans, c'est libéral, made in california,
à savoir : celui des gender/queer studies, bourrés d'anglicismes et de langue managériale (qui mine de rien ramène les statistiques ethniques, chose ayant toujours révulsé la gauche française..)
en rupture avec le féminisme d'Arendt, Durkheim, Bourdieu, Weill (soi-disant "dépassé" soi disant "truc de boomer" soi disant "à côté de la plaque quoi")
Et encore une fois je suis féminisme, le problème n'est pas la lutte,
mais c'est LA FAÇON de lutter (de façon individualiste, donneuse de leçon) qui méprisant l'édifice collectif qu'est l'état social ainsi que l'héritage culturel, jugé comme un héritage globalement machiste et destructeur pour la planète quoi (globalement héritage = foie gras+corrida+patriarcat+eric zemmour). On oublie que dans le lot il y a l'hôpital et l'autorité patriarcale d'une université quasi-gratuite.
Ainsi, typiquement, tu vas à l'opéra, et avant même d'écouter le drame intemporel qui se joue,
Tu vas chercher en quoi la soprano appartient à une minorité opprimée (parce que toi tu penses librement)
Et si ton voisin te demande de se détendre, tu lui réponds
"Espèce de sale machiste"
J'aurais du me rebeller contre ma mère qui m'interdit de mettre les doigts dans la prise
"Espèce de sale machiste, je dois comprendre par moi-même"
Excellent podcast. Merci. Je rejoins certains commentaires, la problématique n'est pas si simple. Vous avez su ajouter des nuances de gris et avec des paroles comme celles là on casse les non dits. Pour ma simple expérience, et je suis sur de ne pas être seul. Mes premières expériences ont été pesantes, face à des femmes avec plus d'expérience. Car de 15ans à 20ans j'ai rencontré des partenaires qui avait été avec des hommes de 20 à 40 ans et j'ai toujours eu l'impression de devoir assurer pour "paraître" face à ces ex expérimentés. J'ai toujours été précoce sauf en sexualité ou je me posé beaucoup de questions que j'ai résolu en parlant avec mes partenaires après 20ans. Les femmes et les hommes sont semblables. On a pas toujours envie de sexe (mon avis). Parfois on veut parler. D'autre fois s'embrasser et d'autre se masser ou dormir nu ensemble. Même souvent. Mais les discutions avec les amis le lendemain pèsent si rien ne s'est passé. On était bien mais si on a pas consumé, on sent le malaise et la pitié (petite bite? Il n'a pas pu bander?). Les gens ne comprennent pas. Si on ne raconte pas le script avec une anecdote, on est jugé. Je ne mens jamais et le scénario accablé autant les hommes que les femmes. Mais il est vrai que le travail et la lumière doit être faite sur les femmes. La moitié de mes ex m'ont confessé des attouchements non voulu dans leur enfance. Il faut que ça cesse. Ainsi que les femmes qui ont fait des choses pour leur ex. Une fois les choses cadrées, on pourra se pencher sur cette prison des script qui nous enchaînent tous. Tous genre et toute sexualité comprise. Bonne continuation. Love and peace.
La sexualité,vaste sujet,et tout au long de la vie… jusqu’à la vieillesse,chacun à 27:32 sa façon
Merci pour votre témoignage
4eme podcasts que j’ecoute..l’ecoute est tellement agreable, superbe…tres tres fan du format 🫶🏼
30:26 « les femmes sont assez bien placées pour savoir qu’on ne jouit pas sur commande » mais à l’inverse, peu comprennent qu’on ne bande pas sur commande...
Ce podcast est excellent, il soulève un aspect fondamental de notre sexualite, celui du contrôle social que nous avons intériorisé, et de comment s’en affranchir. J’aimerais beaucoup pousser plus loin la réflexion en apportant la mienne. J’y mêlerai aussi, au-dela de l’aspect normatif, tres important, l’aspect de l’apprentissage de l’harmonisation avec l’autre dans la recherche du plaisir sexuel. Mon exercice professionnel multiple me permet de conjuguer l’approche des apprentissages individuels, et des influences extérieures sur la sexualite (je forme les sexologues et les éducateurs a la sexualite a l’université de Toulouse).
Beau métier :)
Il y a des choses très intéressantes. Mais je trouve que le traitement est incomplet.
La majorité des femmes ne connaissent pas leur corps par exemple, à cause du slut shaming par exemple.
Presque systématiquement, elles attendent que l'homme gère TOUT. Tout l'acte repose sur les épaules de l'homme qui doit souvent deviner comment elle fonctionne.
Et pour le coup de la domination, c'est souvent le truc qui marche le mieux pour qu'elles commencent à se lâcher, paradoxalement. La plupart demandent implicitement à être dominées ou le demandent carrément explicitement.
Du coup, quand on est un homme hétéro, on sait aussi d'avance comment l'ensemble du rapport va se dérouler. Et c'est blasant, ennuyant.
Une sexualité idéale, c'est avant tout une sexualité sur-mesure, adaptée aux deux partenaires.
Le seul fait de faire comprendre aux femmes qu'elles peuvent faire tout ce qui leur passe par la tête, sans jugement, est déjà très efficace. Faire la même chose pour l'homme permettrait aussi de rendre les rapports de meilleure qualité sur le principe du vase-communiquant.
Pour info, les femmes bisexuelles sont bien souvent de bien meilleures partenaires parce qu'elles ont déjà fait un grand travail sur elles-mêmes, qu'elles se connaissent bien, qu'elles se lâchent et savent demander ce qu'elles aiment. Ça retire une pression à l'homme et on est tout de suite sur un rapport plus égalitaire.
Donc oui, notre société est dans notre lit, et elle bride autant les femmes hétéro que leurs partenaires masculins.
Le simple fait d'accepter l'idée de se lâcher et de demander ce qu'on aime sans tabou améliore grandement les choses. Mais pour ça, il faut d'abord bien se connaître, et souvent, se déconstruire.
le jaccuzzi, cousin caché du yakuza !
Le koly p ? Grimace macqué de dracula
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6😮
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C'est le 2ème Podcast d'ARTE Radio que j'écoute (le premier c'était ce matin : Sexualité des femmes, la révolution du plaisir), que j'avais déjà adoré. Celui-ci est encore mieux. J'ai hâte de passer aux autres #ARTEradio #alexandrelacroix
Oui. C'est un impératif catégorique fondamental. A lire et à écouter : Esther Perell. Après, le meilleur apprentissage est Learning by doing that and by debriefing.
Si nous commencions par apprendre l'estime de soi, le respect de l'autre, pour commencer, c'est déterminant et jamais banalisé, sera ce moment magique partagé.
Si nous commencions par intégrer que tout être humain à son monde intérieur et qu'il en est de même pour " l' autre " ; c'est donc la question de savoir si nous sommes curieux/se) découvreur/se ou sauvage barbare.
La plus ardue des écoles qu'on aborde/accueille ou dont on s'empare/pille des trésors à trouver selon si passerelle(s) lancée(s) ou juste assaillie et pillée
Selon moi ; Nous sommes découvreur ou touriste.
La tendresse, le désir, la sensualité, la curiosité, ect sont tout ce qui n'est pas matérialisé en cette ré-union de deux terre qui deviennent île.
Pour bien danser à deux (un tango ou autre) : Il faut aller en rythmes harmonieux à pas adaptés à l'autre sans s'y faire piétiner les pieds.
Personne ne peut prétendre "connaître la musique" dans une partition qui s'écrit à deux sur l'instant merveilleux si parvient à une communion.
J'écoute ce podcast sur les conseils de ma directrice de mémoire. Je suis stupéfait, j'arrive aux mêmes conclusions que votre invité ! C'est troublant et réconfortant à la fois... Je serais enchanté de pouvoir communiquer avec ce monsieur mais comment faire ? Bravo en tout cas, je m'abonne et vais écouter d'autres épisodes...
trouve le sur Linkedin et spam le sur le sujet :))
Passionnant ! Un truc m'intrigue : Comment des chercheurs sérieux et documentés peuvent-ils obtenir des conclusions si diamétralement opposés à quelques années d'écart? Dans les années 50 Masters et Johnson établissent le cycle du coït excitation / plateau / orgasme / résolution sans réaliser que ça ne concerne que l'homme ???? Alors que Shere Hite 20 ans plus tard établit clairement que le déficit d'orgasme féminin dans un coït centré sur la pénétration est criant. Même avec la meilleure volonté du monde et la plus grande rigueur scientifique, il est difficile d'échapper aux biais cognitifs et aux idées reçues.
Intéressant. Merci. 🙏
Savoir faire l'amour cela ne s'apprend pas😊... mais apprendre à aimer... oui!!!
Excellent et salutaire podcast, très éclairant, intuitivement en réalité c'est la façon dont je voyais déjà notre sexualité. Peut être que cette façon de la voir, culturellement scénarisée est finalement bien de notre temps, on s'éloigne des schémas freudiens. merci !!!
C’était trop bien merci ❤
N'oublions pas: "une femme honnete n'a pas de plaisir".Non le sexe ce n'est pas seulement faire l'amour avec son corps.Les sexologues nous disent que le sexe est avant tout dans la tête.Il permet aux gens évolués ou qui veulent evoluer de se se liberer des contraintes nécessaires à la vie en société qui creent forcement des inhibitions dans la vie intime dont il faut se debarrasser pour avoir acces à un plaisir legitime et partagé.Une sexualité bien comprise c'est l'inverse de la bien pensance.
Passionnant... et dire qu'on se croit maître de nos scénari intérieurs....
Bravo et merci pour ce podcast.
Apprendre à faire l'amour ou réapprendre à être amour...?
Il y a toujours dans apprendre à faire l'amour une forme de mécanique et d'éloignement de soi par la méconnaissance...
On apprend pas à faire l'amour puisque nous le sommes tous.
Merci, c si Puissant, oui Apprendre à Être Amour, avant toute
chose, me semble Essentiel ! 🙏⚘🕊
tellement interessant merci beaucoup !
J'espère bien qu'on doit apprendre. J'aime ma chérie, et je suis maladroit. Ça va me demander beaucoup de leçons. J'aime l'idée. 😁
Vraiment très intéressant
🙏👍 d'utilité publique
Excellent épisode! Auriez-vous une version en anglais pour pouvoir le partager?
Ce podcast n'est disponible qu'en version française.
quelles sont les sons/vidéos mis en arrière plan ?
L'amour est un sentiment doit apprendre.
bravo Alexandre LACROIX : stop aux dominations, oui EGALITARISME SEXUEL ; divine voie d'accès à tendresse-douceur tant essentielle en AMOUR ! Oui s'ouvrir à un terrain de JEU...hors script reçu en héritage. Finalement, laisser circuler l'initiative aux amoureux...avant la fin du monde.
22:15 "Faut que ça marche". Ils n'ont qu'à acheter des chaussures et sortir alors. Plus sérieusement analyser ces interrogations et remises en questions est super intéressant.
Merci bcp !
Vive la versatilité !
Dommage qu'on ne se reproduise pas par meiose : on ne dépendrait de personne, il faudrait juste de s'empiffrer un maximum jusqu'à doubler de volume.
Je croyais que l'amour et le sexe c'etait rencontrer les autres pour ne pas moisir tout seul dans son coin....
Très intéressant merci !
pour ceux celles qui veulent élargir le sujet je recommande le sujet "Mâles Baisées" de Dora Moutot! comprendre aussi vu d'autres cultures, critique aussi de la pornographie, prostitution et description des scripts
Élargir le sujet pour les mâles baisés , cette intro m'a fait bien fait sourire. Il est le fruit d'un imaginaire ,je suppose.
Merci. Des verites, et beaucoup. Le rapport Hite est une bénédiction pour les femmes, et plus de femmes auraient envie de faire l'amour plus souvent si plus d'hommes en avaient entendu parler ( c'est incroyable, mais il y a encore des hommes aujourd'hui qui n'ont qu'une tres vague idée de ce que c'est que le clitoris, où ça se trouve, et à quoi ça sert, trop de porns, pas assez d'éducation réelle sur le fonctionnement du corps féminin). Beaucoup trop de femmes, aussi, qui ne disent rien et font semblant pour garder la relation ( et oui, pour la plupart d'entre nous, le sexe passe par l'amour). En revanche, introduire de l'ideologique et du politique dans l'acte, tres mauvaise idée. Les rapports de domination, inversés, pas inversés, c'est les gouts et les fantasmes de chacun.) Apprendre a connaitre le corps de l'autre et se donner mutuellement du plaisir ( et tres certainement ça ne passe pas par l'orgasme à chaque fois ou la penetration obligatoire, et ça ça enlève déjà beaucoup de pression aux deux partenaires), être un apprenant/ une apprenante du desir et du plaisir mutuel, savoir jouer avec les codes et ne pas se figer dans des rôles, ça requiert beaucoup de sensibilité et c'est un acte d'amour, comme le rappelle joliement le premier commentaire.
Super! Cependant, n'hésitez pas à faire la promotion des librairies autant que de la fnac
Génial Arte ! De chez moi, je ne trouve pas Arte radio ! Comment faire ? Merci d'avance pour votre réponse, si c'est possible ! AA
Sur quel support nous cherchez vous ? :)
En tant qu'homme, j'ai tendance à penser que les femmes sont plus dans une recherche de qualité et de variétés dans les actes, les pratiques ou les sensations, alors que pour mon propre cas, je ne peux pas me permettre de parler des autres, j'ai l'impression d'être plus frileux en général.
Je fais partie de l'ancienne génération ,j'ai l'impression que la nouvelle génération va mieux sur ce sujet, et c'est tant mieux.
Je viens d'écouter ce podcast que j'ai trouvé intéressant... jusqu'à entendre la conclusion ! Pourquoi passer 30 minutes à déconstruire Freud, Masters and Johnson, etc. pour conclure sur la notion de pouvoir et la narration d'une scène de sexe qui me semble assez peu "révolutionner l'imaginaire collectif"... On reste là dans la même vision du sexe comme activité duelle au cours de laquelle deux êtres pensants s'affrontent et non dans cette union sacrée qui vise à la sublimation du plaisir qui ne passe pas forcément, pas automatiquement par éjaculation et orgasme. Sans être une notion nouvelle, loin de là, c'est, selon moi, là que résiderai le véritable tournant de l'imaginaire collectif.
sinon, le problème de la solution numéro 2, c'est qu'elle implique la solution numéro 1 : en fait on ne peut pas fluidifier les rapports de pouvoir si on n'a pas pris d'abord le soin de les identifier dans leurs moindres recoins.
et le problème, c'est ici comme ailleurs, le principe de plaisir : plus on s'approche de leur jouissance, moins les gens ont envie de réfléchir, plus ils ont l'impression qu'on va leur imposer un modèle moral culpabilisant (quand bien même il ne s'agit que d'une méthode pour sortir de l'hétéronomie, c'est-à-dire une méthode qui devrait leur permettre d'être vraiment eux-mêmes au lieu de suivre les scripts décidés par autrui... mais bon c'est pas étonnant dans une civilisation qui fait semblant de faire honneur aux individus en leur imposant le chantage économique travail/consommation et qui fait semblant de faire exister le concept de démocratie en leur imposant des représentants, qui plus est incompétents... les gens à la fois ont perdu les repères qui permettraient à leur rationalité de reprendre le dessus, et en plus, ils ont développé une méfiance à l'égard des promesses de liberté, préférant l'aliénation connue à ce qui de leur point de vue menace de n'être qu'une nouvelle aliénation).
au fond bien nombreux sont ceux qui sont à l'aise dans leur rôle éclaté issu de siècles d'aliénation, et encore plus nombreux sont ceux qui sans y être à l'aise se forcent à l'accepter sans broncher.
32:00 ce que vous proposez est d'une tristesse...
Apprendre à faire l'amour ? Qu'elle question bébête. C'est en expérimentant qu'on apprend. C'est le coeur qui nous guide et donc il faut se laisser guider par lui. On est bien venu sur terre pour faire des expériences et c'est ainsi qu'on apprend à se connaître. C'est comme si vous demandiez comment on apprend à marcher ou comment on apprend à parler ou comment on apprend à lire, à écrire, à vivre. Le reste c'est de l'intellectualisme, des mots du bourrage de crâne, du bla bla bla.
je trouve ce podcast très intéressant. quand j'ai eu des relations sexuelles pour la première fois je savais ce qu'était le plaisir mais je n'avais aucune idée de ce qu'était le coït et ça m'a déroutée. j'ai définitivement arrête a partir du moment où il y a eu pratiquement l'obligation de la fellation et du cunnilingus, n'abandonnerai.les ''plaisirs solitaires'' quand il y aura la possibilité de ne plus faire de trucs qui m'embêtent.
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C'est quoi un postcast ?
@@gillesmagnier1073 aucune idée qui a parlé de ça ?
L’amour se donne et le plaisir se prend.
Jouir ou pas n’est pas la question.
Quand on pense qu’un enfant sur dix vivra l’abus sexuel, est-il cohérent de « travailler à son plaisir »…
Oui
Donc pour lui la solution est de faire "circuler le pouvoir", la "domination alternée". Le rapport sexuel ne peut pas être autre chose un rapport dominant/dominé selon lui. Quand à elle, c'est la même chose, une de ses solutions c'est pénétrer un homme avec un doigt, puisque évidemment pour elle, être pénétré c'est être dominé. Complètement à côté de la plaque comme d'hab.
Certes par essence, pénétrer/être pénétré n'a aucun lien avec la domination. Néanmoins, dans l'imaginaire collectif, pénétrant.e = dominant.e et pénétré.e = dominé.e
Il faut donc que ces connotations plutôt arbitraires s'effacent, notamment en faisant varier les plaisirs et en abrogeant les scripts.
@@cannedprimordialsoup C'est de cette notion qu'il faut s'affranchir, car elle empêche l'élévation. On peut varier les plaisirs, ou "faire circuler le pouvoir"pour reprendre son terme débile, ça n'y changera rien, ce sera toujours du sexe plutôt médiocre dont chacun se lassera vite.
En fait ce podcast c'est un énième salon de thé de nanas autour de l'arlésienne en attendant Gaudot servi sans faute par une narratrice bobo qui se mort la lèvre tellement elle en revient pas de parler de ça. Hannnnnnn masturbation intellectuelle des fois que je me mette à jouir.
Rien sur l'amour sexuel, la relation, le partage, la découverte mutuelle, la complémentarité, l'intimité, la confiance, l'ouverture mutuelle, la fonction féminine, masculine, les rôles respectifs, les jeux, l'évolution, la maîtrise, l'acte très simple finalement et en un mot : la construction de soi aussi dans le compartiment sexuel. Sauf qu'aujourd'hui, l'enfant unique, gâté, impuissant, impatient, il déconstruit et casse le jouet qui ne fait pas ce qu'il veut, ivre de recettes et du tout tout de suite.
Mais par contre tout sur le kiki de "Ketty pov chérie". Les nanas restent en orbite autour de leur kiki, complètement ahuries. Leur a-t-on déjà dit à quel point elles peuvent être prenantes d'ennui ? Leur a-t-on parlé de la simulation masculine ? De la débandade poupée de cire, poupée de son ? Prenez la capsule du retour sur terre les filles, appuyez sur largage, sur courage, prenez votre part de risque, les hommes et l'orgasme sont en bas. Ici, c'est pas une histoire d'être la préférée et puis plus rien. Aidez vous vous-même et votre clito vous aidera, à orbiter sans fin, vous finissez par êtes pénibles pour ne pas dire plus.
Quand à l'émancipation par le tournage de doigt dans le'c, j'en suis resté pantois et navré. C'est pas par là les girls, mais si on en est là les psy vont continuer à se faire du fric sans risque. Aucun intérêt à soigner le patient.
Et enfin, vive la masturbation qui exfiltre des relations technico-commerciales vides de "sens".
Pour les nenettes, enfin partir à la découverte.
Pour les garçon, enfin se passer de Junon.
Ce qui est vrai pour "l'amour" technico-technique, l'est pour tout le reste.
Alors vive la liberté et bon vent à tous pour la rejoindre. Pas d'effort, pas d'intelligence, juste le bon point de vue et la patience du chemin.
Dégagez le ketchup bobo, revenez au produit, revenez à la nature, revenez à l'être.
Finalement c'est tellement facile, c'est tellement comme tout le reste, c'est tellement comme la vie, tout est déjà là !
Sortir de l'hétérosexualité ? Genre on choisit sa sexualité c'est totalement l'argument des cathos qui sont pour les thérapies de conversion
No
Non, il me semble que l'expression "sortir de l'hétérosexualité" s'adresse aux hommes et femmes hétérosexuels / hétérosexuelles qui ne se seraient jamais questionnés sur leur orientation sexuelle, acceptant l'hétérosexualité comme "allant de soi" car c'est "la norme" alors même que cette sexualité ne leur conviendraient pas complètement. Je ne sais pas si c'est très clair, mais en tout cas, pour moi cela ne renvoit pas du tout à l'idée que l'on choisit son orientation sexuelle.
Et du côté du Tantra, on n'y va pas ?
Trop de dérives en occident. Ce n'est pas parce qu'au cours d'un stage le premier mort-de-faim venu a reconnu " la déesse en toi" que ça lui donne le droit de te toucher intimement. Les trois quarts du temps, c'est ce à quoi servent ces stages, et c'est bien dommage, parce que le vrai tantra, originel, issu des Védas, ce n'est pas ça. D'ailleurs, la sexualité n'en est pas même un aspect essentiel. Beaucoup trop d'abus et de pigeon(nnes) credules dans la pratique new--âge des groupes tantriques
Est-ce que le sens du ridicule ne ce serait pas un peu perdu lors de vos pérégrinations intellectuelles ? Il arrive qu'on devienne bête a force de se vouloir intelligent.
Des morceaux choisis de l'histoire de la sexologie, très occidentalocentrés ( pas de tantrisme et de kama sutra) mais avec des grosses ellipses (de Platon a Freud). Des présupposés au moins sur le ressenti et le comportement général des hommes, probablement de par la culture littéraire, cinématographique et les expériences personnelles ou de l'entourage des intervenants.
Perso, les rapports amoureux et sexuels, je trouve depuis toujours ça chiant et insatisfaisant.
Ce podcast m'a plutôt conforté dans le fait de m'en passer plutôt que de me lancer dans l'aventure de rajouter des complications à de la mascarade.
Intéressant néanmoins.
maker a ...Hahaha, excellent!!! Très bel argumentatif pour finir par une brillante conclusion ''J'ai toujours trouvé les rapports sexuels et amoureux chiants et insatisfaisant"! Je suis pliée en deux, sérieux! 🤣🤣😂
Moi aussi j'ai toujours ressenti un manque de passion et de transcendance dans les rapports amoureux et sexuels depuis mon 1er petit copain, je me sens même souvent ''blasée'' en pensant à tout ça, je me souviens avoir pensé ''Ah, et c'est tout ce que ça fait?'' après mon 1er baiser par exemple, donc la sensation d'insatisfaction je la connais.
En revanche, je n'abandonne pas l'Amour. A mes yeux, l'amour ce n'est pas juste des rapports sexuels ou juste tomber amoureux de quelqu'un, c'est vraiment un art de vivre ou un état d'être (Je vous imagine bien lever les yeux au ciel en lisant cette phrase, parce que je suis une indécrottable romantique 🥰). En fait, je ne comprend même pas l'utilité de naître sur cette Terre sans jamais expérimenter l'Amour sincère et authentique, dans mon esprit ça n'a aucun sens.
Mais c'est vrai que les rapports humains sont déjà si compliqués, alors si l'Etat, l'école, les médias, les politiques etc commencent à s'en mêler on court droit à la catastrophe! Je comprend tous ceux qui essayent de prendre de la distance par rapport à tout ça, c'est une démarche saine je trouve. Si on n'est pas prêt pour une relation de couple, c'est pas grave, peut-être qu'un jour on le sera mais en attendant, c'est très bien d'en être conscient et c'est inutile de forcer les choses!
Merci pour ce petit moment de rire intensif!!!
N'est-ce pas renier un peu son animalité et donc en partie son humanité que de se couper de soi-même ?
Quel est le rôle du sexe dans notre fonctionnement ? Corporel, sensoriel, psychologique ?
Maintenir un statu quo sur soi même est plus facile que de penser le problème peut être ?
L'intime doit être recherché, pour se connaître et connaître son partenaire. Se trouver sur le terrain de l'intime nécessite une grande empathie, se connecter à l'autre entièrement.
Bien sûr je ne parle pas de coup d'un soir ou d'orgasmes mécaniques mais d'un coït total et engagé, en direction d'une rencontre profonde.
Lecture intéressante : Fonction de l'orgasme de Wilhelm Reich.
Est ce qu il existe des diplômes aux normes européennes pour faire l amour ?
Oui bien sûr.
Trop cool👍
Il faut jouer et jouir
Jou Ré et Jou Ri 😂🎉
j'ai toujours la même impression quand j'écoute tes podcast, plein de trucs intéressants mais une recherche de modèle à suivre. Qu'il fût famillial, sociétal ou féministe j'en trouve les critiques, en bien ou en mal, de ces modèles, intéressantes mais jamais libérées de l'envie d'un modèle auquel se raccrocher. Ce détail gênant ce que je conçoit de la liberté me gêne légérement à chaque fois. Je ne développe pas plus parce qu'internet, mais je me permet de commenter car ce propos me parait probant.
Est-ce que vous dîtes le paradoxe de "la liberté à apprendre" ? Ou, comment déconstruire sans reconstruire en somme ? Est-ce seulement possible ? Une clé capitale me semble être, dans le couple en tout cas si tel est notre réalité, la communication. Apprendre à dire sa liberté avant de pouvoir la vivre inconditionnellement ?
@@octaveachebelle795 je vais essayer de répondre. Je pense qu'on, un être, cherche à être. Que des schémas peuvent nous aider dans cette recherche d'accomplissement de son être, néanmoins, en observer sa création me parait plus aboutie... (si l'accomplissement est notre démarche) Je pense qu'on apprend entre autre à être par les acceptations et rejets de ces schémas, par mimétisme... et avons ensuite le panache de s'en défaire pour s'observer ainsi être sous nos yeux ébahies. Je souhaitais ici partager ce que j'ai cru observer dans les propos de l'autrice de ce podcast, cette observation n'est pas absolue par ailleurs, je crois qu'elle sait se "créer elle-même" la plupart du temps et qu'ainsi d'ailleurs elle peut comprendre le détail que je voie, je l'espère du moins. Et pareil quand à toi haha. Je lis en dessous que tu fais un mémoire, moi les réfs qui me viennent à l'esprit si tu est intéréssé.e quand à ces concepts sont Nietszche et Spinoza (je sais... ça date comme ref mais c'est ceux qui théorise le plus similairement ce que je dis là). Ah et enfin le couple... mouais... pour moi c'est une impasse pour l'être.s, j'ai arrêté d'y penser depuis longtemps et ne souhaite pas le faire non plus alors je ne peux rien en dire... ou alors à brule pour point je dirais que ton couple n'existe pas et seule la communication dont tu parles a une quelconque matérialité, que cette communication soit verbale, spirituelle ou corporelle.
Laisses toi guider par le coeur. Arrêtes de penser avec la tête
Bon mais tout ça c'est un problème surtout pour les gens qui ont besoin de références pour activer leur sexualité...
L'utiliser intuitivement au hasard de ses sensations, impressions , émotions et plaisirs...permet un voyage tout à fait différent et au plus proche de sa façon de fonctionner et réagir...
Après évidemment et au premier abord tout va dépendre de la qualité de la relation avec le ou la partenaire, mais aussi de la qualité intrinsèque des deux partenaires, de leur personnalité, de leur équilibre émotionnel et de leurs attentes respectives...
Et oui évidemment qu'une dimension dominé/ dominant est présente et elle l'est dès la convoitise d'ailleurs, elle aide à l'harmonisation de l'échange sexuel et de la relation si elle mesurée et s'exprime entre les garde-fous de l'équilibre sain de l'un et de l'autre...
Sinon c'est un véritable danger! Un poison dont on doit se méfier avec le plus grand soin, tant il peut amener de gens qui méconnaissent leurs fragilités ou non à l'enfer du pire et à l'irréparable !...
Aussi le choix d'un ou d'une partenaire ne va pas de soi et la sexualité ne doit pas être confondue avec un objet de consommation...si beaucoup avaient conscience de ces mécanismes on éviterait bien des drames et des feminicides...
💜💙💚💛🧡❤
J'avoue que l'aspect social ou de pouvoir m'agace. L'érotisme c'est le domaine du plaisir, du fantasme. Il y a des aspects biologique et psychologique qu'il vaut mieux connaître, mais surtout observer sa partenaire et renforcer ce qui marche.
Personnellement je vais pas déconstruire se qui me fait jouir pour me conforter à des impératifs politiques ou philosophique (mais éventuellement pour comprendre comment mieux faire, enfin une fois que tu as fais jouir en claquant des doigts plus grand chose surprend en la matière).
Comme d'autres l'on dit il oublie plein d'approche non occidentale (il y a trente ans ma première copine savait très bien demander un orgasme et que ça ne s'arrête pas après la pénétration) et nous étions tous sur la ligne du chacun fait ce qu'il veut. Ça me semble réchauffer et sans intérêt par rapport au monde érotique que je pratique. Je continuerai à dominer si j'en ai envie parce que sa me fait jouir et que les femmes dominantes sexuellement (et qui savent donner du plaisir), ça court pas les rues en vrai.
Les femmes dominantes ne courent pas les rues parce que tout un tas de mécanismes sociaux leur apprennent à se soumettre ou du moins à ne pas dominer, à ne pas érotiser ou désirer la position de domination. On peut avoir envie en tant que femme de déconstruire ça, de questionner son rapport à la soumission, et d'apprendre à dominer dans un jeu sexuel. On peut apprendre à y trouver du plaisir. Questionner les sources sociales de ses pratiques peut amener à les diversifier. Ça ne veut pas dire culpabiliser, et il faut effectivement accepter la part de mystère et de spontanéité du désir, sinon on ne fait plus rien. Par ailleurs, c'est important de comprendre que le patriarcat ne sera pas aboli parce que les hétéros auront changé leurs pratiques au lit. Mais la posture (et je dis bien la posture, le discours public revendiqué) qui consiste à dire "ne remettons rien en question" est franchement malaisante (si un mec refuse de remettre en question son envie de dominer, qu'est-ce que ça dit de lui en général ?) et paresseuse.
@@glowingdesire 🤣 Non le nombre de mec qui demande à être dominé est colossal. Ça dépasse largement la question sociale. Tout n'est pas social et si ça l'est c'est aux femmes de se remettre en question pas aux hommes (du moins pas sur ce point là). Elles attendent réellement tout des hommes à ce point là ?
@@skanvak vous êtes vraiment à côté de la plaque, dans son commentaire la personne parle justement de déconstruction féminine et vous faite mine du contraire. Ça en dit long sur votre incompréhension.
@@afds1581 Un j'ai pas envie de déconstruire, j'ai étudié le concept et il est très mal utilisé. Deux le patriarcat n'existe pas. Trois si vous voulez dominer des hommes sexuellement allez y, il ne demande que ça, rien à déconstruire.
C'est pas que je comprends pas, c'est que je ne suis pas d'accord.
@@skanvak Bon, vous êtes incapable et même réticent à toute réflexivité visiblement. Dommage, et bonne route tout de même. Tant que vous êtes à l'écoute de votre partenaire, c'est le minimum.
C'est pourtant facile de faire l'amour et d'aimer ça, et je pense que toutes , après quelques essais avec plusieurs partenaires , on arrive très bien à comprendre son corps et nos phantasmes , et de les mettre e pratique ! Quitte à s'imposer au début !
Encore qques injonctions à déconstruire... ?
Avoir un rapport sexuel n'a rien d'évident.
Ce n'est pas "facile" d'aimer ça, c'est justement ce qu'on nous conditionne à penser.
Surtout on ne s'impose rien et on n'impose rien !
💏
La fusion est le fruit d'un partenaire en symbiose qui construit cette aventure en curiosité de l'autre la perle rare. Peut-être pas si facile.
sujet revue encore et encore, beaucoup trop de généralisation autant du prisme féminin que masculin.
Sinon, on pourrait dire qu'il y a des gens qui s'adaptent bien au cadre , ou savent en adapter leur morceaux en résolvant les problèmes de ce cadre, et les victimes de l'évolution qui se sentent victimisées par lui.
Ces gens là se diront qu'il faut être asexuel , homosexuel , où d'avoir des relations non "hétéronormatives" donc sans pénétration, pour se sentir complet , et respecter une identité construite en opposition à cette norme.
Au final, ces gens ne se reproduiront pas , leur philosophie disparaitra avec eux, et l'évolution aura fait son travail.
Je tiens à préciser que tt les formes de sexualités sont dans la nature , dans la plupart des espèces. Je ne vois juste pas le point de parler d'en changer , quelle soit biologique ou sociale , juste par philosophie
Les femmes, les hommes, 2 salles, 2 ambiances...
C'est quand même vachement compliqué, pour un truc que font les mammifères depuis des millions d'années...
Si j'étais dieu j'aurais fait autrement, c'est sûr ! 😋
Pourquoi conserver ce paradigme de pouvoir ? même s'il circule ? Pourquoi ne pas établir un paradigme de type "conversation", comme quand on parle ? Chacun s'écoute puis réfléchit puis "répond" à l'interlocuteur sexuel. Ça serait pas mieux ?
Elle lit le 📰 pendant le rapport 😅
Bof! Rien de très extraordinaire si l'on a déjà réfléchi un minimum sur sa propre sexualité.
oui, et beaucoup de généralisations qui ont l'air d'être fondées sur l'expérience des auteurs mais dans lesquelles on ne se reconnait pas forcément
“Déconstruit” - “cis” - Novelangue
?
@@escoyrasoundsystem7864 la Novlangue étant un language inventé par George Orwell dans son roman «1984». C'est un langage dont le but est l’anéantissement de la pensée, la destruction de l'individu devenu anonyme, l'asservissement du peuple (source France Culture).
Il est donc assez évident de comprendre la pensée de ce Alew, qui ne supporte probablement pas les évolutions de language, tout en ne sachant même pas écrire correctement la langue dont il parle 😂
En résumé : un troll
@@lilar1053 oui, et aussi la novlangue consistait à faire dire n'importe quoi au langage, prendre un mot pour signifier son contraire, pour stupefier et faire perdre tout repère aux gens. Genre 'la guerre, c'est la paix', 'surveiller pour plus de liberté', 'punir c'est aimer' etc.
@Alew Ces trois termes ont des définitions, vous feriez mieux de les lire et de les comprendre au lieu de promulguer la non-pensée.
@@afds1581 je comprends à quoi ils font référence. Je suis juste contre le concept, j’ai encore le droit ?
il font comment les animaux ? ils apprendnt seule moi perso je fais jamais le missionnaire c est la levrette comme un chien
Ça ne semble pas trop la déranger de vouloir transformer les productions culturelles (séries, films etc..) en appareil de propagande mais puisqu'il s'agit d'éduquer les masses incultes, prisonnières de leur préjugés, qui ne savent même pas où est leur plaisir, cela ne pose de problème moral.
🤔
Un podcast intéressant mais peu approfondi, j'ai l'impression qu'il s'inscrit dans cette nouvelle mode, essentiellement américaine de l'acharnement ou du cancelling, ici on semble s'en prendre à Freud. "Trois essais sur la théorie sexuelle" de 1905 est quasi révolutionnaire pour les mœurs de l'époque, n'oublions pas qu'en 1886 Krafft-Ebing écrivait "Psychopathia Sexualis" d'un moralisme saisissant tandis que Freud dans ce même contexte tente de décaler la question du sexuel d'un lieu moralo-religieux à un lieu scientifique, avec la science de son époque. Effectivement, la science, amène à quelque chose d'opérationnel et d'utilitaire, mais la question de la norme et de son inexistence étant centrale dans la (ou les?) psychanalyse(s), faut-il saisir le texte de Freud comme un manuel de bonne pratique injonctif dont découlerait la sexualité d'aujourd'hui ? je trouve ça un brin sommaire.
En revanche, j'ai beaucoup aimé la distinction des scripts, j'aurais bien aimé en entendre plus là-dessus
Ah, la circulation des pouvoirs... Un rêve qui tarde à devenir réalité. Et la sensualité, cette grande oubliée de la sexualité. Le corps entier est une zone érogène. Qu'on se le dise!
Il n'y a pas de mal à être passive sexuellement, les bottoms s'en prendront toujours plein la gueule lol
Les gens se prennent la tête pour rien😂😂😂 vive 2023
Tout ça pour ça...la conclusion de la meuf à 34.10 c'est que c'est triste qu'en 2021 y'a pas assez de mec qui se prennent des doigts dans le 'uc...c'est ça qu'on appelle le progrès ? on est mal barré
ui
C'est pourtant un constat cuisant, ils se privent d'une source de plaisir pourtant certain dès lors que le travail de lâché prise est suffisamment abouti...
et ils s'en privent, ne nous leurrons pas, par simple et bête "convention sociale" et à cause du spectre de "la non virilité" car inconsciemment, ce sont des biais sexistes et homophobes encore bcp trop intériorisés dans les esprits masculins.
Peut-être peut on réapprendre à faire l amour au bout de 12 ans d abandon du devoir conjugal
Mona Chollet????
?
La révolution au lit est la communication point.
Le manque d'altruisme et de communication dans la société, au sein de la famille se répercute dans nos rapports sexuels car c'est un mécanisme sociétal comme un autre.
Pour régler tous ces problèmes, il suffit de commencer par un puis remonter aux autres.
Respect, compréhension communication altruisme. Et naturellement le sexe, les relations familiales amicales professionnels, le monde entier ... Seront mieux.
Quelle honte de dire non à une chose pcq elle a pris trop de place et en masque une autre. Toujours noir ou blanc noir ou blanc ..
Stop à l'hétérosexualité ... sauf si ça rapporte un bénéfice aux femmes minces ...
Il vous restera aussi à déconstruire cette saloperie d injonction au bonheur ou à être heureux dont le titre du podcast est symptomatique et une injonction assez générale chez Arte et la sociologie des gens d Arte... Ça n enlèvera rien au bon contenu mais un mauvais titre est tjrs dommageable. On ne prend jamais assez de temps pour les titres.
Très intéressant les différents point de vue, je suis quand même déçu d autant de moraline deconstructiviste dominante ou on nous explique qu'il faut jeter tout ce qui est ou fut. De même sur la fin, je trouve très inquiétant qu'on nous explique comment il serait bon de faire l amour. Donner du savoir pour comprendre est louable, mais des injonctions jusque dans l intime, ca fait peur.
Puisqu'il y a des travailleurs(euses) du sexe ,il devrait y avoir des ecoles d'apprentissage du sexe où vous mettriez vos enfants, non ? On élirait le ou la meilleure ouvriere de France,ce serait bon pour l'image du pays et le tourisme.
Après avoir écouté et essayé de comprendre, promis, jamais je ne ferais l'amour avec un.e intellectuelle .😂😂😂
C’est ridicule . J’aimerai bien qu’on apprenne pour de vrai aux gens à être altruiste, bienveillant et respectueux. Qu’on ai plus une société basée sur l’argent, la rivalité et le sexe. C’est fatiguant vos fausses bonnes solutions et vos pseudos reportages qui servent à nous conditionner à la dépravation
Bien vu, ah les médias!!!
Vous dites ça mais vous êtes une femme qui base sa vie sur l argent,(donc vénal)la rivalité , et le sex non ..!comme beaucoup femmes alors ne soyez pas hypocrite ,ça se trouve vous êtes même égoïste
@@saulthermea9995 C'est marrant Saül avant de devenir l'apôtre Paul était aveuglé et persécutait les chrétiens. Jusqu'à ce que Christ lui apparaisse et régénère son intelligence, il est donc devenu l'apôtre Paul, fondateur de l'Eglise. Puisse cela vous arriver.
@@aaronsarah9549 cela vous a blessé,mais pourtant c est la vérité,et je dis souvent ;les vérités blesses ,je dis ce que je pense,que ça plaise ou pas ,pour information je connais parfaitement l histoire de Saül,et pour cause étant donné que je porte ce prénom ,je m intéresse aussi à mon prénom alors ne soyez pas sarcastique…
@@saulthermea9995 Vous dites surtout beaucoup de bêtises. Ca ne doit pas vous aider grandement dans la vie. Très bonne continuation.
tu veux. ii c😅 pas 😅😅😅. c😅😊d
C'est drôle...c'est bien de faire un podcast, mais j'ai l'impression que ça s'adresse pas à tout le monde...un truc un peu intello, urbain, trentenaire, journaliste etcc bref des gens d'époque pour ainsi dire. Comme beaucoup de podcast. Mais c'est un travail et il y des choses intéressantes
Mais quel ramassis de conneries...
J'en suis à l'intro de 2 minutes 30, j'ai l'impression que la nana nous deballe des lieux communs de militantisme féminin appris par cœur, rien de vécu, de senti, rien de personnel. C'est nul
Je pense que les film porno sa suffit y'en a plein y'a cas voir
Non
Le sexe chez les intellos 😂
Mais les mecs ne savaient pas. Combien auraient sans doute été excités à l'idée d'envoyer leur partenaire au 7e ? Seulement ces dames n'en savaient pas beaucoup plus sur elles-mêmes.
Le coup du doigt, non mais sans déconner. Seulement 21% ! Seulement ? Le problème avec les woke, c'est qu'ils préfèrent imposer un problème à tous plutôt que de le régler pour tous.
Vous n’avez pas honte de vous immiscer jusque dans le luc des gens🤮
Vous percevez un salaire pour ce type de travail ‼️et vous pouvez tjs vous regardez dans une glace🤔🤔🤔🤔
Je ne comprend vraiment pas t'on point de vu. Ca me fait mal de lire ce que tu écris...
Alors
1. Le sexe n'est pas sale ni honteux
2. L'intime est politique.
Hein ? Se poser des questions sur la sexualité c'est honteux maintenant ? C'est vous qui êtes dangereux et qui devriez avoir honte
@@sushi8042
Non c’est vous qui êtes naïfs et qui ne voyez pas que l’on pousse les gens vers les activités LGBTQ‼️‼️
Quand on est physiquement et mentalement ‼️normalement constitué‼️il a pas besoin de se poser des questions ‼️
Maintenant ‼️si vous avez besoin qu’on vous materne et vous embrouille le cerveau‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
@@Annagnocchi
Exactement, l’obstétrique et la gynéco sont mon activité professionnelle ‼️il n’y a rien de Sal‼️et je peux vous que ce qu’on entend ici est ridiculement triste, faux et dangereux pour vos futurs relations ‼️‼️‼️
Oui
Oui