Denis Marquet : L'unicité de l'être
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- เผยแพร่เมื่อ 29 มี.ค. 2020
- Le philosophe thérapeute propose une relecture des Évangiles à la méthode socratique, afin d'en dégager la philosophie du Christ.
Denis MARQUET est philosophe, thérapeute et romancier. Normalien et agrégé, il a, dans sa première vie, enseigné à l’Université de Paris XII, à Sciences Po Paris et à l’Ecole Supérieure de Commerce de Paris. En 1997, il crée un cabinet de philosophe-thérapeute ; il accompagne dès lors de nombreuses personnes. Son premier roman, Colère, paru en 2001, est un best-seller traduit en 8 langues
Son dernier roman paru chez Flammarion, Le testament du Roc, raconte l’histoire de Jésus vue par les yeux de son disciple Pierre. Un de ses derniers essais, La véritable philosophie du Christ : Osez désirer tout (Flammarion), présente l’enseignement du Christ comme une voie de l’abandon à la Grâce qui nous délivre de toute culpabilité et nous ouvre à l’amour. - ภาพยนตร์และแอนิเมชัน
![ทัศนศึกษาโรงงานผลิตโค้ก [THAI/ENG SUB]](http://i.ytimg.com/vi/M9y-TJBNem0/mqdefault.jpg)
Du Pur Bonheur !!!! Véritable nourriture pour l'Âme... Merci beaucoup !!!!
Fantastique wouahh ❤
C’est très beau ce que vous dites. L’humain traversé par la lumière divine tél un vitrail. 🙏
Vivre sans se créer d'image de confusions préjugés condamnation, c'est d'être dans un cœur de compassion, lié à un esprit divin
Telle est l'affaire de l'homme dans l'état unifié.. l'intelligence la volonté l'amour.. l'harmonie du un pour le tout
J’adore ❤
Lumineux 🙏
Merveilleux
Qui est la personne qui fait l'interview et quel est ce lieu magnifique ?
Merci pour votre message. C'est le frère Philippe Cochinaux, dominicain de la province de Belgique et actuellement provincial des dominicains qui fait l'interview. Le décor est la bibliothèque du couvent de Bruxelles.
Vos paroles peuvent faire peur à certains. Si nous ne réussissons pas à faire l'unité autour de nous, nous ne pouvons donc pas avoir accès à la grâce?
Ma femme est parti, mes enfants ne c'entends pas. Il y a beaucoup de gens comme moi. Alors cela veut dire que je ne peux pas rayonner la présence du Père autour de moi?
Pour temps, je donnerais ma vie pour les autres; "il n'y a pas plus grande amour..." (Jean 15/13)
Malgré que je n'ai pas réussi à faire l'unité autour de moi, il me console de constater que je peux être ce vitrail que la "lumière" traverse...
Bonjour. C'est pour celà que j'ai quitté la "religion" catholique.............elle demande l'impossible et si on y arrive pas, c'est la porte ouverte au pire poison qui est la culpabilité !!!! Dieu est Amour et nous aime "comme nous sommes" ou alors c'est un "dieu" inventé par un purisme culpabilisant et destructeur pour établir un pouvoir sur autrui........ Faisons de notre mieux et ça suffit !
Avant de s'unir aux autres il faut d'abord s'unir soi-même. Reconnecter toutes nos dimensions ( mentale , émotionnelle et physique) . Le livre de Thomas d'ansembourg peut vous y aider. "cessez d'être gentil soyez vrai" C'est un préalable. Toutes vos expériences doivent être comprises, surmontées et acceptées. ❤️
Votre commentaire me rassure car autant j'aime beaucoup les idées de Denis Marquet en général, autant sur ce point précis d'être responsable de créer l'unité comme condition d'ouverture à la grâce me désespère. Nos blessures font que parfois c'est impossible pour plein de raisons, et dans mon cas je me suis tellement fait envahir et bouffer par les autres que j'en suis tombée malade. Comme vous j'aurais été capable de donner ma vie pour l'autre, mais comme je ne sais pas me faire respecter à cause de traumatismes divers j'ai appris à me couper maintenant de l'autre dès que je sens un conflit qui m'imposerait de me positionner. J'ai trop peur. Je romps donc l'unité comme moyen de protection ultime mais je le vis profondément comme de la lâcheté, et en plus je culpabilise. C'est très souffrant. Et je devrais en outre être punie d'avantage en étant coupée de la grâce, qui est au fond mon seul espoir de cheminer vers Dieu et vers plus de paix ? Je ne comprends pas... j'espère ne pas vous avoir importuné avec mon commentaire, mais ça a fait écho en moi puisque ce point précis me titille énormément depuis que j'essaye de m'appuyer sur les théories de Denis Marquet que je trouve par ailleurs fantastique. Si vous avez trouvé des réponses à ce sujet et que ça ne vous coûte pas trop de me les partager ici par écrit j'en serais ravie. Sinon pas de soucis, bon cheminement à vous!
Il me semble que vous confondez «égo» et «orgueil». Car l'égo est nécessaire précisément à la construction de l'unicité d'une personne. C'est une réalité incompressible. On ne peut pas «échapper» aux besoins de l'égo. Car c'est aussi grace à lui qu'on tient debout, qu'on tient ensemble. Aussi imparfait soit-il, l'égo, c'est notre colonne vertébrale. Que nous soyons saints ou non. Et c'est précisément parce que nous avons un égo construit, que nous pouvons nous remettre en question, et donner à Dieu la place qui lui revient. C'est parce que notre construction première qu'est l'égo est perméable au monde, que nous pouvons y faire entrer Dieu.
Il est bien dommage que le newage (et les protestants/ Jansenistes avant eux) aient contribué à faire de l'égo quelque chose de sale et de condamnable. À vrai dire, l'égo, en tant que processus de construction et d'adaptation au monde qu'il est, devrait plutôt nous émerveiller. Qu'est ce qui attendrit autant chez les petits enfants, chez les nourrissons? C'est la manifestation précoce et progressive de cette construction. La manifestation du chemin que prend leur désir de vie, au travers de leur personnalité, et donc de leur égo.
En d'autres termes, si l'égo est l'arbre, alors l'orgueil en est une des maladies parasitaires les plus insidieuses, car polymorphe. Il semble absurde de condamner l'arbre. Demandons-nous plutôt comment en soigner les maladies...
Il est peu probable que Denis Marquet ait le temps de répondre à toutes nos remarques. Donc pour sa défense je répond à l'avatar "L'Etoilée"
Il me semble que c'est vous qui confondez l'ego avec notre identité. L'ego selon les spécialistes de la psychologie est un système de défense face à notre entourage.
Notre identité est autre chose. Selon Maurice Zundel, Teilhard de Chardin et également Denis Marquet (entre autres), notre identité véritable, nous recevons de Dieu. Il faut savoir l'accepter ou l'accueillir. Notre EGO en revanche nous le construisons seul et c'est cela qui nous sépare des autres.
Votre commentaire est très pertinent. Je remarque que nous ne mettons pas tous le même sens au terme EGO, MOI, SOI.
Je vous rejoint sur l'EGO dans le sens où l'EGO est l'interface entre notre être et la vie incarnée dans le monde. Sans interface, pas d'incarnation.
Denis Marquet nomme EGO et MOI le système de défense, c'est son choix de vocabulaire, nombreux sont ceux qui ont le même.
De mon côté lorsque je nomme MOI je ressens parler de l'être véritable que je SUIS, ce que Denis Marquet appelle EGO je le nommerai "conditionnements basés sur la peur".
C’est une confusion courante malheureusement, merci de le souligné.