Je pense que la connerie reste à définir : con par rapport à quoi .Personne ne se pose ces questions simples !Une chose peut être parfaitement conne par exemple dans une région du sud , et très originale dans une région du nord ... On peut faire un livre sur la connerie du siècle sans jamais résoudre se qu'elle sous-tend , n'y pourquoi elle s'exprime , n'y dans qu'elle but , n'y pour qui , est-elle consciente ou non de sa connerie? ,etc... Pour ma part , je pense que l'intelligence est un bon moyen de contourner une connerie humaine ou pas . La vérité c'est sans doute que l'intelligence à un prix qu'ignore la connerie car si la connerie avait à la payer , sa dette serait telle que son montants serait excessivement difficile à régler. C'est en cela que la connerie est une donné bien plus partagé que l'intelligence .Quant à la sagesse , elle n'a rien à voir avec la connerie , elle est ontolongiquement une des vertus de la foi.
2 ปีที่แล้ว
Une conférence intéressante mais… il y manque la référence à des ouvrages essentiels : Les lois fondamentales de la stupidité humaine de Cipola. Quand la connerie économique prend le pouvoir de Jacques Généreux. Le point commun entre ces deux ouvrages est précisément ce qui manque intellectuellement aux intervenants de cette conférence : en l’occurrence de tenter d’offrir des pistes pour se protéger, lutter contre la connerie. Un manque qui se ressent cruellement à la fin avec les questions de la salle, face auxquelles les intervenants tendent à se réfugier dans la punchline cabotine et un relativisme touchant au nihilisme. C’est important de créer une culture érudite de la connerie. Ça ne devrait pas nous empêcher de toucher à la philosophie pratique. Cipola situe avec humour l’intelligence dans une définition toute simple : la relation gagnant-gagnant, par opposition à l’interaction stupide qui nuit aux deux camps. Jacques Généreux lui évoque l’exemple de la convention citoyenne pour illustrer que les biais cognitifs peuvent se combattre en plaçant les gens en situation de débat contradictoire AVEC un niveau réel d’information scientifique. Avoir fait deux livres sur l’histoire de la connerie en faisant l’impasse sur ces deux contributions pourtant fondamentales, c’est un peu triste. « Que pouvons nous faire à notre niveau » demande une dame dans la salle pour finir. « Achetez mon livre » répond l’auteur. On en restera là malheureusement. Tout en se régalant de la somme magnifique que représente pour l’érudition les deux ouvrages « psychologie de la connerie en politique» et « histoire universelle de la connerie ». La culture et l’érudition : oui ! Mais pas pour faire l’impasse sur les questions philosophiques et politiques.
J'savais pas que l'agent Smith pouvait être aussi drôle.
Combien de tomes aurait ce livre ?
Je pense que la connerie reste à définir : con par rapport à quoi .Personne ne se pose ces questions simples !Une chose peut être parfaitement conne par exemple dans une région du sud , et très originale dans une région du nord ...
On peut faire un livre sur la connerie du siècle sans jamais résoudre se qu'elle sous-tend , n'y pourquoi elle s'exprime , n'y dans qu'elle but , n'y pour qui , est-elle consciente ou non de sa connerie? ,etc...
Pour ma part , je pense que l'intelligence est un bon moyen de contourner une connerie humaine ou pas .
La vérité c'est sans doute que l'intelligence à un prix qu'ignore la connerie car si la connerie avait à la payer , sa dette serait telle que son montants serait excessivement difficile à régler.
C'est en cela que la connerie est une donné bien plus partagé que l'intelligence .Quant à la sagesse , elle n'a rien à voir avec la connerie , elle est ontolongiquement une des vertus de la foi.
Une conférence intéressante mais… il y manque la référence à des ouvrages essentiels : Les lois fondamentales de la stupidité humaine de Cipola. Quand la connerie économique prend le pouvoir de Jacques Généreux. Le point commun entre ces deux ouvrages est précisément ce qui manque intellectuellement aux intervenants de cette conférence : en l’occurrence de tenter d’offrir des pistes pour se protéger, lutter contre la connerie. Un manque qui se ressent cruellement à la fin avec les questions de la salle, face auxquelles les intervenants tendent à se réfugier dans la punchline cabotine et un relativisme touchant au nihilisme. C’est important de créer une culture érudite de la connerie. Ça ne devrait pas nous empêcher de toucher à la philosophie pratique. Cipola situe avec humour l’intelligence dans une définition toute simple : la relation gagnant-gagnant, par opposition à l’interaction stupide qui nuit aux deux camps. Jacques Généreux lui évoque l’exemple de la convention citoyenne pour illustrer que les biais cognitifs peuvent se combattre en plaçant les gens en situation de débat contradictoire AVEC un niveau réel d’information scientifique. Avoir fait deux livres sur l’histoire de la connerie en faisant l’impasse sur ces deux contributions pourtant fondamentales, c’est un peu triste.
« Que pouvons nous faire à notre niveau » demande une dame dans la salle pour finir. « Achetez mon livre » répond l’auteur. On en restera là malheureusement. Tout en se régalant de la somme magnifique que représente pour l’érudition les deux ouvrages « psychologie de la connerie en politique» et « histoire universelle de la connerie ». La culture et l’érudition : oui ! Mais pas pour faire l’impasse sur les questions philosophiques et politiques.
C'est peut-être mal faire alors qu'on n'y est pas obligé.
Laurent Testot illumine à lui seul la table ronde, intéressante de surcroît