Moi aussi... J'attends ce moment, j'attends le jour, comme toujours. J'attends l'après-midi, quelqu'un qui rit. J'attends le soir, quelqu'un pour m'émouvoir. J'attends la nuit, un murmure qui me dira "oui". J'attends dans mes rêves, que quelqu'un m'enlève. J'attends, dans mes cauchemars, que quelqu'un s'en empare. J'attends un réveil, avec une douce merveille. J'attends, au petit-déjeuner, quelqu'un pour m'aimer. J'attends le dîner, pour me marier. J'attends le soir, pour concevoir. J'attends la nuit, pour t'aimer sans ennuis. J'attends notre voyage à l'île d'Oléron pour voir ton ventre bien rond. J'attends le matin, pour voir naître le bambin. J'attends le midi, pour qu'il nous sourie. J'attends l'après-midi, pour le regarder grandir. J'attends le soir, pour l'endormir avec espoir. J'attends la nuit, pour rêver d'un avenir sans bruit. J'attends le matin, pour le voir jouer dans le jardin. J'attends le midi, pour un repas en famille, épanoui. J'attends l'après-midi, pour ses premiers pas, timides mais ravis. J'attends le soir, pour raconter des histoires. J'attends la nuit, pour veiller sur ses rêves, dans une douce harmonie. J'attends le matin, pour le voir partir à l'école, serein. J'attends le midi, pour entendre ses récits. J'attends l'après-midi, pour l'aider avec ses envies. J'attends le soir, pour veiller à ses devoirs. J'attends la nuit, pour prier qu'il grandisse sans ennuis. J'attends les années, pour le voir grandir, et pour ses rêves à bâtir. J'attends le printemps, pour ses premiers ébats, quand il s'épanouira sous les draps. J'attends l'été, pour qu'il apprenne à aimer, et que son cœur soit prêt à danser. J'attends l'automne, pour le voir s'installer, sous un ciel ensoleillé. J'attends l'hiver, pour l'entendre rire, dans la neige et l'eau qui s'étire. J'attends le matin, pour qu'il trouve son chemin. J'attends le midi, pour voir sa vie remplie. J'attends l'après-midi, pour le voir offrir un "oui". J'attends le soir, pour accueillir sa moitié avec espoir. J'attends la nuit, pour bénir leur avenir qui s'écrit. J'attends le matin, le rire de leurs bambins. J'attends le midi, la famille autour réunie. J'attends l'après-midi, leurs succès qui nous ravissent. J'attends le soir, nos cheveux blancs qui les admirent. J'attends la nuit, pour méditer sur cette vie. J'attends l'aurore, pour savourer nos efforts. J'attends les étoiles, pour contempler leur éclat. J'attends le silence, pour nous envoler avec élégance. J'attends l'instant où les anges viendront, pour partir vers l'horizon. J'attends cette belle vie, mais finalement, ce n'est qu'une utopie. J'attends le bonheur qui vaincra cette torpeur, car ma solitude est ma seule certitude. J'attends... J'attends... Et je reste désespérément seul, j'attends... c'est mon malheur, et me voilà en pleurs. J'attends, mais tout cela n'est qu'un mirage, une chimère, un doux naufrage. La vie ne m'a rien offert, sauf l'illusion d'une passion. J'attends, mais il est trop tard, il n'y a plus d'espoir. Et sans le vouloir, je rejoins le néant. C'est la fin. Je ne suis qu'un perdant. Voilà la triste fin d'un écrivain.
☝️Moi aussi... J'attends ce moment, j'attends le jour, comme toujours. J'attends l'après-midi, quelqu'un qui rit. J'attends le soir, quelqu'un pour m'émouvoir. J'attends la nuit, un murmure qui me dira "oui". J'attends dans mes rêves, que quelqu'un m'enlève. J'attends, dans mes cauchemars, que quelqu'un s'en empare. J'attends un réveil, avec une douce merveille. J'attends, au petit-déjeuner, quelqu'un pour m'aimer. J'attends le dîner, pour me marier. J'attends le soir, pour concevoir. J'attends la nuit, pour t'aimer sans ennuis. J'attends notre voyage à l'île d'Oléron pour voir ton ventre bien rond. J'attends le matin, pour voir naître le bambin. J'attends le midi, pour qu'il nous sourie. J'attends l'après-midi, pour le regarder grandir. J'attends le soir, pour l'endormir avec espoir. J'attends la nuit, pour rêver d'un avenir sans bruit. J'attends le matin, pour le voir jouer dans le jardin. J'attends le midi, pour un repas en famille, épanoui. J'attends l'après-midi, pour ses premiers pas, timides mais ravis. J'attends le soir, pour raconter des histoires. J'attends la nuit, pour veiller sur ses rêves, dans une douce harmonie. J'attends le matin, pour le voir partir à l'école, serein. J'attends le midi, pour entendre ses récits. J'attends l'après-midi, pour l'aider avec ses envies. J'attends le soir, pour veiller à ses devoirs. J'attends la nuit, pour prier qu'il grandisse sans ennuis. J'attends les années, pour le voir grandir, et pour ses rêves à bâtir. J'attends le printemps, pour ses premiers ébats, quand il s'épanouira sous les draps. J'attends l'été, pour qu'il apprenne à aimer, et que son cœur soit prêt à danser. J'attends l'automne, pour le voir s'installer, sous un ciel ensoleillé. J'attends l'hiver, pour l'entendre rire, dans la neige et l'eau qui s'étire. J'attends le matin, pour qu'il trouve son chemin. J'attends le midi, pour voir sa vie remplie. J'attends l'après-midi, pour le voir offrir un "oui". J'attends le soir, pour accueillir sa moitié avec espoir. J'attends la nuit, pour bénir leur avenir qui s'écrit. J'attends le matin, le rire de leurs bambins. J'attends le midi, la famille autour réunie. J'attends l'après-midi, leurs succès qui nous ravissent. J'attends le soir, nos cheveux blancs qui les admirent. J'attends la nuit, pour méditer sur cette vie. J'attends l'aurore, pour savourer nos efforts. J'attends les étoiles, pour contempler leur éclat. J'attends le silence, pour nous envoler avec élégance. J'attends l'instant où les anges viendront, pour partir vers l'horizon. J'attends cette belle vie, mais finalement, ce n'est qu'une utopie. J'attends le bonheur qui vaincra cette torpeur, car ma solitude est ma seule certitude. J'attends... J'attends... Et je reste désespérément seul, j'attends... c'est mon malheur, et me voilà en pleurs. J'attends, mais tout cela n'est qu'un mirage, une chimère, un doux naufrage. La vie ne m'a rien offert, sauf l'illusion d'une passion. J'attends, mais il est trop tard, il n'y a plus d'espoir. Et sans le vouloir, je rejoins le néant. C'est la fin. Je ne suis qu'un perdant. Voilà la triste fin d'un écrivain.
Moi aussi...
J'attends ce moment, j'attends le jour, comme toujours.
J'attends l'après-midi, quelqu'un qui rit.
J'attends le soir, quelqu'un pour m'émouvoir.
J'attends la nuit, un murmure qui me dira "oui".
J'attends dans mes rêves, que quelqu'un m'enlève.
J'attends, dans mes cauchemars, que quelqu'un s'en empare.
J'attends un réveil, avec une douce merveille.
J'attends, au petit-déjeuner, quelqu'un pour m'aimer.
J'attends le dîner, pour me marier.
J'attends le soir, pour concevoir.
J'attends la nuit, pour t'aimer sans ennuis.
J'attends notre voyage à l'île d'Oléron pour voir ton ventre bien rond.
J'attends le matin, pour voir naître le bambin.
J'attends le midi, pour qu'il nous sourie.
J'attends l'après-midi, pour le regarder grandir.
J'attends le soir, pour l'endormir avec espoir.
J'attends la nuit, pour rêver d'un avenir sans bruit.
J'attends le matin, pour le voir jouer dans le jardin.
J'attends le midi, pour un repas en famille, épanoui.
J'attends l'après-midi, pour ses premiers pas, timides mais ravis.
J'attends le soir, pour raconter des histoires.
J'attends la nuit, pour veiller sur ses rêves, dans une douce harmonie.
J'attends le matin, pour le voir partir à l'école, serein.
J'attends le midi, pour entendre ses récits.
J'attends l'après-midi, pour l'aider avec ses envies.
J'attends le soir, pour veiller à ses devoirs.
J'attends la nuit, pour prier qu'il grandisse sans ennuis.
J'attends les années, pour le voir grandir, et pour ses rêves à bâtir.
J'attends le printemps, pour ses premiers ébats, quand il s'épanouira sous les draps.
J'attends l'été, pour qu'il apprenne à aimer, et que son cœur soit prêt à danser.
J'attends l'automne, pour le voir s'installer, sous un ciel ensoleillé.
J'attends l'hiver, pour l'entendre rire, dans la neige et l'eau qui s'étire.
J'attends le matin, pour qu'il trouve son chemin.
J'attends le midi, pour voir sa vie remplie.
J'attends l'après-midi, pour le voir offrir un "oui".
J'attends le soir, pour accueillir sa moitié avec espoir.
J'attends la nuit, pour bénir leur avenir qui s'écrit.
J'attends le matin, le rire de leurs bambins.
J'attends le midi, la famille autour réunie.
J'attends l'après-midi, leurs succès qui nous ravissent.
J'attends le soir, nos cheveux blancs qui les admirent.
J'attends la nuit, pour méditer sur cette vie.
J'attends l'aurore, pour savourer nos efforts.
J'attends les étoiles, pour contempler leur éclat.
J'attends le silence, pour nous envoler avec élégance.
J'attends l'instant où les anges viendront, pour partir vers l'horizon.
J'attends cette belle vie, mais finalement, ce n'est qu'une utopie.
J'attends le bonheur qui vaincra cette torpeur, car ma solitude est ma seule certitude.
J'attends... J'attends... Et je reste désespérément seul, j'attends... c'est mon malheur, et me voilà en pleurs.
J'attends, mais tout cela n'est qu'un mirage, une chimère, un doux naufrage.
La vie ne m'a rien offert, sauf l'illusion d'une passion.
J'attends, mais il est trop tard, il n'y a plus d'espoir.
Et sans le vouloir, je rejoins le néant.
C'est la fin. Je ne suis qu'un perdant.
Voilà la triste fin d'un écrivain.
☝️Moi aussi...
J'attends ce moment, j'attends le jour, comme toujours.
J'attends l'après-midi, quelqu'un qui rit.
J'attends le soir, quelqu'un pour m'émouvoir.
J'attends la nuit, un murmure qui me dira "oui".
J'attends dans mes rêves, que quelqu'un m'enlève.
J'attends, dans mes cauchemars, que quelqu'un s'en empare.
J'attends un réveil, avec une douce merveille.
J'attends, au petit-déjeuner, quelqu'un pour m'aimer.
J'attends le dîner, pour me marier.
J'attends le soir, pour concevoir.
J'attends la nuit, pour t'aimer sans ennuis.
J'attends notre voyage à l'île d'Oléron pour voir ton ventre bien rond.
J'attends le matin, pour voir naître le bambin.
J'attends le midi, pour qu'il nous sourie.
J'attends l'après-midi, pour le regarder grandir.
J'attends le soir, pour l'endormir avec espoir.
J'attends la nuit, pour rêver d'un avenir sans bruit.
J'attends le matin, pour le voir jouer dans le jardin.
J'attends le midi, pour un repas en famille, épanoui.
J'attends l'après-midi, pour ses premiers pas, timides mais ravis.
J'attends le soir, pour raconter des histoires.
J'attends la nuit, pour veiller sur ses rêves, dans une douce harmonie.
J'attends le matin, pour le voir partir à l'école, serein.
J'attends le midi, pour entendre ses récits.
J'attends l'après-midi, pour l'aider avec ses envies.
J'attends le soir, pour veiller à ses devoirs.
J'attends la nuit, pour prier qu'il grandisse sans ennuis.
J'attends les années, pour le voir grandir, et pour ses rêves à bâtir.
J'attends le printemps, pour ses premiers ébats, quand il s'épanouira sous les draps.
J'attends l'été, pour qu'il apprenne à aimer, et que son cœur soit prêt à danser.
J'attends l'automne, pour le voir s'installer, sous un ciel ensoleillé.
J'attends l'hiver, pour l'entendre rire, dans la neige et l'eau qui s'étire.
J'attends le matin, pour qu'il trouve son chemin.
J'attends le midi, pour voir sa vie remplie.
J'attends l'après-midi, pour le voir offrir un "oui".
J'attends le soir, pour accueillir sa moitié avec espoir.
J'attends la nuit, pour bénir leur avenir qui s'écrit.
J'attends le matin, le rire de leurs bambins.
J'attends le midi, la famille autour réunie.
J'attends l'après-midi, leurs succès qui nous ravissent.
J'attends le soir, nos cheveux blancs qui les admirent.
J'attends la nuit, pour méditer sur cette vie.
J'attends l'aurore, pour savourer nos efforts.
J'attends les étoiles, pour contempler leur éclat.
J'attends le silence, pour nous envoler avec élégance.
J'attends l'instant où les anges viendront, pour partir vers l'horizon.
J'attends cette belle vie, mais finalement, ce n'est qu'une utopie.
J'attends le bonheur qui vaincra cette torpeur, car ma solitude est ma seule certitude.
J'attends... J'attends... Et je reste désespérément seul, j'attends... c'est mon malheur, et me voilà en pleurs.
J'attends, mais tout cela n'est qu'un mirage, une chimère, un doux naufrage.
La vie ne m'a rien offert, sauf l'illusion d'une passion.
J'attends, mais il est trop tard, il n'y a plus d'espoir.
Et sans le vouloir, je rejoins le néant.
C'est la fin. Je ne suis qu'un perdant.
Voilà la triste fin d'un écrivain.