l'affirmation selon laquelle Pierre Goldman était dans les années 1970 "une figure majeure de la gauche radicale de la France" est en partie inexacte : durant les cinq premières années de sa détention (1970-75) c'était pour l'aspect pénal qu'il attirait l'attention ; la gauche radicale ne se reconnaissait que lointainement dans celui qui était resté à l'écart de mai 1968 ; quant aux trotskistes et apparentés dont auparavant il avait été proche ils firent preuve d'une relative discrétion dans leur soutien, tant la priorité pour eux était de se démarquer de tout ce qui aurait pu favoriser des amalgames entre engagement politique et délinquance. Le tournant ne survint qu'avec le premier procès, venu montrer que cette affaire opposait clairement... une certaine France à l'autre, et avec la parution du grand livre qu'étaient les 'Souvenirs obscurs d'un juif polonais né en France'. En fait c'était dans l'avant-1968 qu'il avait été (mais ceux qui furent ses camarades de lutte, les Kouchner et autres, auront préféré l'oublier) sinon une figure majeure, du moins une figure centrale de ce qu'on appelait alors la lutte antifasciste et qui correspondait à une nécessité face à une extrême-droite alors très offensive, cf. mouvement 'Occident' etc. : c'est en toute ignorance de cette époque et en toute désinvolture que l'universitaire Ivan Jablonka, dans sa médiocre biographie de son demi-frère, le présente en p. 48 comme ayant été... "adepte du karaté, et habitué du coup de poing contre les fachos", sic
C'était une marionnette,à l'instar de Malick Oussekine, totalement instrumentalisée par l'intelligentsia de l'époque qui a pu ,grâce à son entregent, rejuger Goldman grâce à un vice de forme complètement anecdotique jusque là. Le film le montre bien ,le type n'a rien fait de grandiose,était un délinquant et n'a du son salut qu'à des people avides du grand frisson révolutionnaire mais dans leurs beaux appartements de Neuilly loin de la pagaille pseudo révolutionnaire.L'acteur joue comme un cochon au demeurant.
@@HMVMoul1 Vice de forme qui par la suite innocente Goldman. On voit parfaitement l’enquête bacleé en 48 heures avec des témoins en majeure partie racistes, sous pression et tous en perpétuelle contradiction. Son salut c'est simplement son innocence sur ce fait précis. Les faits passerons toujours avant ton avis.
Je pense que c'était un parfait inconnu. J'ai davantage entendu parler de Pierre Overney en 1972, ou plus tard de Jean-Marc Rouillan et Nathalie Ménigon.
Ça me fait rire le mec qui vient braquer des commerçants, AVEC UNE ARME CHARGÉE, et dit "oui mais non, je suis pas un assassin", peut-être qu'il n'a pas tué les 2 pharmaciennes (mais ce n'est pas sûr, son ami qui s'était posé en alibi s'est plus tard rétracté, et même ses proches ont des doutes, et ce petit chouchou privilégié a eu la chance d'avoir 2 procès, nous pauvres gens on n'aurait pas ce traitement de faveur). Mais quand tu fais un braquage avec une arme chargée, ou un enlèvement, tu cours le risque de tuer quelqu'un si ça tourne mal, c'est pour ça que tu viens avec une arme chargée et pas un truc factice. Arrêtons l'hypocrisie. Bravo à la gauche de soutenir les privilégiés et les assassins en puissance, comme d'hab.
Si certains étaient derrière son cercueil ça n’était pas preuve de fascination comme dit ici mais pour soucis de justice.
l'affirmation selon laquelle Pierre Goldman était dans les années 1970 "une figure majeure de la gauche radicale de la France" est en partie inexacte : durant les cinq premières années de sa détention (1970-75) c'était pour l'aspect pénal qu'il attirait l'attention ; la gauche radicale ne se reconnaissait que lointainement dans celui qui était resté à l'écart de mai 1968 ; quant aux trotskistes et apparentés dont auparavant il avait été proche ils firent preuve d'une relative discrétion dans leur soutien, tant la priorité pour eux était de se démarquer de tout ce qui aurait pu favoriser des amalgames entre engagement politique et délinquance. Le tournant ne survint qu'avec le premier procès, venu montrer que cette affaire opposait clairement... une certaine France à l'autre, et avec la parution du grand livre qu'étaient les 'Souvenirs obscurs d'un juif polonais né en France'. En fait c'était dans l'avant-1968 qu'il avait été (mais ceux qui furent ses camarades de lutte, les Kouchner et autres, auront préféré l'oublier) sinon une figure majeure, du moins une figure centrale de ce qu'on appelait alors la lutte antifasciste et qui correspondait à une nécessité face à une extrême-droite alors très offensive, cf. mouvement 'Occident' etc. : c'est en toute ignorance de cette époque et en toute désinvolture que l'universitaire Ivan Jablonka, dans sa médiocre biographie de son demi-frère, le présente en p. 48 comme ayant été... "adepte du karaté, et habitué du coup de poing contre les fachos", sic
C'était une marionnette,à l'instar de Malick Oussekine, totalement instrumentalisée par l'intelligentsia de l'époque qui a pu ,grâce à son entregent, rejuger Goldman grâce à un vice de forme complètement anecdotique jusque là. Le film le montre bien ,le type n'a rien fait de grandiose,était un délinquant et n'a du son salut qu'à des people avides du grand frisson révolutionnaire mais dans leurs beaux appartements de Neuilly loin de la pagaille pseudo révolutionnaire.L'acteur joue comme un cochon au demeurant.
@@HMVMoul1 Vice de forme qui par la suite innocente Goldman. On voit parfaitement l’enquête bacleé en 48 heures avec des témoins en majeure partie racistes, sous pression et tous en perpétuelle contradiction. Son salut c'est simplement son innocence sur ce fait précis. Les faits passerons toujours avant ton avis.
Je pense que c'était un parfait inconnu. J'ai davantage entendu parler de Pierre Overney en 1972, ou plus tard de Jean-Marc Rouillan et Nathalie Ménigon.
Ça me fait rire le mec qui vient braquer des commerçants, AVEC UNE ARME CHARGÉE, et dit "oui mais non, je suis pas un assassin", peut-être qu'il n'a pas tué les 2 pharmaciennes (mais ce n'est pas sûr, son ami qui s'était posé en alibi s'est plus tard rétracté, et même ses proches ont des doutes, et ce petit chouchou privilégié a eu la chance d'avoir 2 procès, nous pauvres gens on n'aurait pas ce traitement de faveur). Mais quand tu fais un braquage avec une arme chargée, ou un enlèvement, tu cours le risque de tuer quelqu'un si ça tourne mal, c'est pour ça que tu viens avec une arme chargée et pas un truc factice. Arrêtons l'hypocrisie. Bravo à la gauche de soutenir les privilégiés et les assassins en puissance, comme d'hab.
Ses le frère de Jean-Jack golmane
è twa tait le phrère de Champollion !
"Absolument toute la police est antisémite", eh ben bravo.
La lfi valide ;)