Les Nouvelles de Maupassant sont conduites avec une logique implacable, comme le destin, il y a toujours un perdant et un gagnant. En plus le style est superbe. Merci pour le cadeau.
Clotilde Coureau est magnifique.. Son rôle est sacrément HOT.. Une femme qui n a Rien à faire d autre.. forcément elle se trouve une occupation.. Puis les HOMMES n attendent que ça .. Pour l époque c était un phénomène cette femme... Tous les risques de l adultère avec en plus les MST.. Quel courage et quel tempérament.. Une vraie chaudière !!!!!😂😂😂😂 Merci pour la Vision..
" Qui sommes nous sans l'amour des hommes et leurs bras puissants ? De pauvres choses qui attendent ....de disparaître. " C'est tout à coup , par ces mots de Clarisse qu'émerge la vacuité de son existence de femme .Et l'angoisse de la mort . Eros / Thanatos le dilemme est dans dans le miroir , de même que l'obsession pessimiste de Maupassant au détour de la légèreté de cette nouvelle . Nouvelle feministe légère , cruelle , ou cynique ?
Juste débordant de réalisme. Au final la coquine crapule s'en tire très bien. Comme beaucoup. Il a en réalité vu en avance arriver là génération de tick tockeuses et d'instagrameuses. Qui utilisent leur sensualité et leur féminité pour s'élever financièrement ou socialement. En rejetant la structure familiale tradi (être enceinte ça déforme) sans pour autant cracher sur la sécurité financière du sugar dady et en se tapant du bel ephèbe tant qu'elles sont fraîches. Tout en produisant du fake social en matière de "travail". Il a vu cette vacuité de l'existence arriver. Cette recherche du seul plaisir égoïste. Sans fin. Sans but. Sans vraie richesse. Pas de travail manuel, pas de petits plats, pas de crainte de dieu. La femme libérée sexuellement dans sa vacuité la plus pleine et la plus pure. Le plus visionaire étant le body count avec les notes sur 10 des amants er de leur endurance sexuelle ... là c'est carrément la preuve qu'une machine temporelle existe. Ou qu'au final, dans le fond, le naturel féminin et masculin n'ont jamais changé. Féministe je ne crois pas. Cynique certainement. Visionnaire absolument. Pas certain du reste que tous aient compris la critique acerbe. Alors même que cette femme au final embrasse la mort. La désire. Tout en en ayant peur. Tout comme toute âme qui aurrait passé sa vie sur terre pour ... n'y laisser aucune trace notable. Tel un fantôme. En résumé elle n'est rien. Je ne vois donc pas là une fable légère. Et la morale est radicale. Cessez de perdre votre temps et utilisez mieux le carpe diem et le memento mori, pour faire quelque chose de vos vies. Cessez de vous mentir à vous même et aux autres et soyez une meilleure version de vous. Moi je vois poindre du Nietzsche là dedans. Certes fugace et en tant que surinterprétation de la morale, mais ça y est. Dans cette démonstration de ce qu'il ne faut pas être. Faible.
@@kékédesplages-d6d Votre commentaire est intéressant , mais c'est dommage que vous ne voyiez dans le portrait de cette femme, qu' une occasion de moraliser , sans prendre en compte le côté ironique et léger de Maupassant, et sans remettre cette nouvelle dans son contexte . Elle est le pendant d'une Bovary qui elle fait tout , sans précautions, ce qui lui vaudra d'être jugée et rejetée d'une communauté qui brille par sa bêtise et son ignorance ( du pharmacien au curé, en passant par le commerçant profiteur et cynique , et par l'aristocrate coureur de jupons ) La femme que décrit Maupassant est le miroir inversé du bovarysme à une époque où les femmes n'avaient le choix que de la dissimulation, ou d'une vie maritale ennuyeuse faite d'actions charitatives sans grand intérêt et de réunions de brodeuses gourmandes de ragots . La jeune femme vit , comme le fit lui même Maupassant, en prenant le plaisir qui se présente, et profite de ses atouts, sachant bien que le temps est ennemi , ( en réussissant à ne blesser ni son mari , ni personne ) . Je n'y vois pas maniere à moraliser , surtout pour Maupassant qui fut féministe avant l'heure et plus près des femmes légères que des parangons de vertu ( pour finir , vous savez peut-être qu'il avait légué sa fortune à des organismes s'occupant des prostituées. tout comme Restif de la Bretonne l'avait fait avant lui ) . Maupassant ne juge jamais , sauf quand parle du sort réservé aux animaux .
@@gamekilleuse9185 Ne voyez dans mon "analyse" qu'un amusement de ma part à contredire la votre. Je ne suis pas Maupassant et vous non plus. Il me parait donc compliqué de dire qui il était et ce qu'il pensait. Mais comme vous je ne déteste pas m'amuser à la vas vite d'essayer de le faire. Parler de féminisme en 1884 c'est assez anachronique non ? C'est à peine un concept à l'époque. Un rêve. C'est pourquoi j'ai poussé votre anachronisme jusqu'au bout. Sans véritable envie de démontrer quoique ce soit à part l'inverse de ce que vous dites avec ce mot. Reste que "l'héroïne" est détestable en tout point (ne lisez pas entre les lignes mais contentez vous des lignes = en ne blessant pas son mari car elle est sauvée de celà par des hommes qui veulent lui épargner à lui d'être cocu en place publique = sauvée par l'hypocrisie de la bonne société) et que si c'est une fable féministe elle fait bien mal son travail de propagande. Que ce passe t'il après cet avertissement à bon compte ... elle récidive. Et ça vous amuse ? AH ! Ca devait aussi amuser Maupassant mais de manière cynique, pas valorisante ou validante. Car l'homme avait un très grand sens moral (ou de la justice et de l'équité ce qui revient au même). Mais un vrai qui faisait qu'il préférait en effet la vérité sans détours des prostituées à la fausseté des courtisanes (ici décrites et qu'il n'aimait pas). En celà oui il était féministe avant l'heure. Mais à la différence du féminisme actuel qui déifie et élève au rang de martyre toutes les femmes, Maupassant voyait les âmes laides dans les deux sexes. Et leur trouvait aussi un peu de circonstances atténuantes oui. Dans le cas de notre adultère, un mari qui la délaisse sexuellement. C'est recevable pour le jugement maupassien. Et le mien pour info si je recontextualise dans l'époque des mariages forcés. Maupassant n'est pas manichéen ce qui ne veut pas dire qu'il n'aime pas moraliser ses écrits en sous texte (ok je fais ce que j'avais dit de pas faire, mais j'y vais à l'instinct) et surtout qu'il n'est pas un homme d'honneur et de devoir (il l'était indéniablement). C'est surtout un auteur de l'hypocrise bourgeoise (je ne vois pas en quoi c'est différent de Flaubert du coups, le style est plus cru mais le concept est identique). Alors certes il se contente de la pointer du doigt cette hypocrisie et cette fausseté (cette femme lance mensonges sur mensonges et manipule tout le monde). J'aime juste à croire qu'il s'amusait et se délectait de la décrire avec moult précisions. Et pour tout dire qu'il l'exécrait quand même puisqu'en étant exclu (par son naturel solitaire essentiellement, certainement lassé par la fausseté des rapports sociétaux classiques). Mais l'homme étant fin à la différence de moralistes de notre époque, il laissait le choix au lecteur perspicace de trouver une morale aux écrits. Oui. Une morale un peu cryptée derrière la galéjade apparente. Le sage évite de juger et Maupassant jugeait peu (en écrit en tout cas), mais ça lui arrivait surement comme à nous tous de finir par choisir un camp. Sinon on fini totalement exclu du monde et de ses interactions, aigri dans sa petite caverne à détester le reste du monde pour sa bêtise o son manque de lucidité. Mieux vaut au moins écrire des trucs amusants de sa tanière non ? Que notre tanière soit réelle ou corporelle. Enfin bref c'ait juste mon avis et une réflexion à la vas vite pour passer le temps. Le sort réservé aux animaux ? Rappelons qu'il était chasseur et bon viandard et qu'il leur faisait souvent un sort avec son estomac à la suite de quelques bonnes salves bien placées. Nous ne sommes qu'ambiguïtés parfois ... et il n'est pas interdit de changer d'avis dans une vie. Persister dans l'erreur (malgré un avertissement du réel) est pour moi la seule attitude que je ne peux que condamner (et on revient au final de la fable). C'est même plutôt mauvais signe de ne pas le faire. Compliqué de résumer un homme à ses écrits, même nombreux. Surtout les hommes admirables de complexité et de singularité. Je me sent plutôt poche de l'ami Maupassant. Et si il est aussi proche de moi, alors il fut complexité et doute. Plus que réponse catégorique. J'ai bien aimé votre texte aussi et votre "?" à la fin. Je l'oublie souvent mais il est déposé en pensées sur tout ce texte bien sur. Mais comme je l'ai déjà dit, douter de tout reviendrai alors à ne jamais parler de rien.
@@kékédesplages-d6d Mais qu'avais je écrit qui puisse vous inspirer autant !? Peut être le mot féminisme vous a exaspéré . Pourtant il y a autant de féminisme chez Bazac, chez Flaubert que chez Maupassant . J'en suis sûre après avoir lu son " Une vie " . Il n'y en a pas chez Zola . Le féminisme n'est pas seulement un concept , et non plus un anachronisme , ( d'ailleurs très mal compris et galvaudé par les mouvances actuelles ) . Ñon , le féminisme c'est se donner les mêmes droits que les hommes, en l,occurrence ici , de les tromper , de s'adonner comme eux aux plaisirs de la chair , ce dont ils ne se privaient pas ...ben oui ! .
@@gamekilleuse9185 Le féminisme ne m'énerve en rien à part quand le mot est dévoyé. Le droit de tromper et d'être une enfoirée comme certains hommes (non pas tous) donc ... le beau "droit" que voilà. Pour information le droit (un vrai droit lui) au divorce existe depuis 1792 ... Les hommes n'avaient donc pas plus le "droit" de tromper que les femmes. Enfin les femmes n'ont pas commencé à tromper les hommes uniquement à partir des années 1900 ... elles n'en ont pas attendu l'autorisation du reste. Il n'y a absolument rien de féministe dans la chambre 11. On ne parle pas de droit des femmes ici. C'est vous qui projetez à gogo quelque chose qui n'y est pas. Les femmes de l'époque n'avaient pas le droit d'ouvrir un compte en banque seules, mais oui elles avaient le "droit" de tromper leur mari, ou plus moral d'en divorcer pour n'importe quelle raison. Et elles ne s'en privaient pas. Donc où voyez vous une lutte féministe ? A aucun moment l'héroïne n'a d'autre inspiration que de tromper son ennuie. Aucune ambition personnelle, aucun projet d'intérêt dont elle serrait empêchée par son mari. Elle ne veut que s'envoyer en l'air. Sa vie est vide avec ou sans mari ... même probablement encore plus vide sans. Cela reste une version romancée. Mais oui de telles femmes enfants égocentrées existent (comme des hommes enfants). Mais pour positiver le concept c'est compliqué. La vraie modernité de ce récit est d'avoir mis le focus sur ces vies vides de sens à être celle qui attend l'homme. De pauvres choses qui attendent de disparaitre dans l'indifférence générale. Je n'y voit absolument rien de positif. Le récit est cynique au possible et tape bien là ou ça fait mal. Au mieux la phrase vise à réveiller les femmes sur la vacuité de leur existence (enfin certaines).
cela me fait penser ã toutes ces associations qui depuis une trentaine d’années sont apparues et dont beaucoup de femmes s’occupent étant souvent fondatrices .Il ne restent qu’à se faire subventionner par le politique responsable des subventions .il y a toujours un canapé dans le bureau de ce politique .parfois le bureau suffit.Maintenant avec ces nouvelles associations LGBT tous les goûts sont permis et beaucoup de bureaux d ´administrations sont ėquipės de canapés plus accueillants.
la mère de papi ( père de mon père )à perdu son mari et la remplacé par un médecin du puy qui était son amant j' ai vu la photo désolé mais de profil et de coté l' actrice ici est une pale copie mais pour le reste je pense que j' en apprend beaucoup !
magnifique !! Très bonne adaptation. Maupassant reste pour toujours mon auteur favori.
Comme d'habitude, une merveilleuse adaptation des contes de Guy de Maupassant.
C'est ça le génie français.
Un autre merveilleux chef-d'œuvre de Maupassant.
Excellente Clotilde Coureau, je l'adore… Je trouve ces séries magnifiques, bien jouées, bon scénario, bons acteurs! J'adore...
Magnifique c'est drôle original et bien joué :)
Les Nouvelles de Maupassant sont conduites avec une logique implacable, comme le destin, il y a toujours un perdant et un gagnant. En plus le style est superbe. Merci pour le cadeau.
Magnifique. Merci
Excellent..
Ça nous change des series a 2 balles actuellement sur le service public..
Encore un chef d'œuvre
Excellent !!! Imaginez Vous juste à la place de Clotilde qd elle se met ds le lit, le touche et le voit?!!! Je meurs sur place 🤣🤣🤣
Amusante, ironique !! Une petite merveille !!
Dieu que les femmes étaient joliment habillées !
Les jean's déchirés, à côté...
Ces contes sont un enchantement
Ce ne sont pas des "contes" mais des reportages sur la bourgeoisie et les petits notables de provence
@@budbutley532
Oui Ce sont des nouvelles
17:16
"La Vigueur au prix du Déshonneur". Jamais de la Vie !
Et Christophe Hondelatte dans le role d un Journaliste, tres bon !
Clotilde Coureau est magnifique..
Son rôle est sacrément HOT..
Une femme qui n a Rien à faire d autre.. forcément elle se trouve une occupation..
Puis les HOMMES n attendent que ça ..
Pour l époque c était un phénomène cette femme...
Tous les risques de l adultère avec en plus les MST..
Quel courage et quel tempérament..
Une vraie chaudière !!!!!😂😂😂😂
Merci pour la Vision..
il me font toujours rire lorsqu'ils mangent , il prenne une bouchée de la taille d'un grain de riz et ils mâchent pendant ""1 heure""
C’est quand même excellent pour la digestion 😂
" Qui sommes nous sans l'amour des hommes et leurs bras puissants ? De pauvres choses qui attendent ....de disparaître. "
C'est tout à coup , par ces mots de Clarisse qu'émerge la vacuité de son existence de femme .Et l'angoisse de la mort .
Eros / Thanatos le dilemme est dans dans le miroir , de même que l'obsession pessimiste de Maupassant au détour de la légèreté de cette nouvelle .
Nouvelle feministe légère , cruelle , ou cynique ?
Juste débordant de réalisme. Au final la coquine crapule s'en tire très bien. Comme beaucoup. Il a en réalité vu en avance arriver là génération de tick tockeuses et d'instagrameuses. Qui utilisent leur sensualité et leur féminité pour s'élever financièrement ou socialement. En rejetant la structure familiale tradi (être enceinte ça déforme) sans pour autant cracher sur la sécurité financière du sugar dady et en se tapant du bel ephèbe tant qu'elles sont fraîches. Tout en produisant du fake social en matière de "travail". Il a vu cette vacuité de l'existence arriver. Cette recherche du seul plaisir égoïste. Sans fin. Sans but. Sans vraie richesse. Pas de travail manuel, pas de petits plats, pas de crainte de dieu. La femme libérée sexuellement dans sa vacuité la plus pleine et la plus pure. Le plus visionaire étant le body count avec les notes sur 10 des amants er de leur endurance sexuelle ... là c'est carrément la preuve qu'une machine temporelle existe. Ou qu'au final, dans le fond, le naturel féminin et masculin n'ont jamais changé. Féministe je ne crois pas. Cynique certainement. Visionnaire absolument. Pas certain du reste que tous aient compris la critique acerbe. Alors même que cette femme au final embrasse la mort. La désire. Tout en en ayant peur. Tout comme toute âme qui aurrait passé sa vie sur terre pour ... n'y laisser aucune trace notable. Tel un fantôme. En résumé elle n'est rien. Je ne vois donc pas là une fable légère. Et la morale est radicale. Cessez de perdre votre temps et utilisez mieux le carpe diem et le memento mori, pour faire quelque chose de vos vies. Cessez de vous mentir à vous même et aux autres et soyez une meilleure version de vous. Moi je vois poindre du Nietzsche là dedans. Certes fugace et en tant que surinterprétation de la morale, mais ça y est. Dans cette démonstration de ce qu'il ne faut pas être. Faible.
@@kékédesplages-d6d
Votre commentaire est intéressant , mais c'est dommage que vous ne voyiez dans le portrait de cette femme, qu' une occasion de moraliser , sans prendre en compte le côté ironique et léger de Maupassant, et sans remettre cette nouvelle dans son contexte .
Elle est le pendant d'une Bovary qui elle fait tout , sans précautions, ce qui lui vaudra d'être jugée et rejetée d'une communauté qui brille par sa bêtise et son ignorance ( du pharmacien au curé, en passant par le commerçant profiteur et cynique , et par l'aristocrate coureur de jupons )
La femme que décrit Maupassant est le miroir inversé du bovarysme à une époque où les femmes n'avaient le choix que de la dissimulation, ou d'une vie maritale ennuyeuse faite d'actions charitatives sans grand intérêt et de réunions de brodeuses gourmandes de ragots .
La jeune femme vit , comme le fit lui même Maupassant, en prenant le plaisir qui se présente, et profite de ses atouts, sachant bien que le temps est ennemi , ( en réussissant à ne blesser ni son mari , ni personne ) .
Je n'y vois pas maniere à moraliser , surtout pour Maupassant qui fut féministe avant l'heure et plus près des femmes légères que des parangons de vertu ( pour finir , vous savez peut-être qu'il avait légué sa fortune à des organismes s'occupant des prostituées. tout comme Restif de la Bretonne l'avait fait avant lui ) .
Maupassant ne juge jamais , sauf quand parle du sort réservé aux animaux .
@@gamekilleuse9185 Ne voyez dans mon "analyse" qu'un amusement de ma part à contredire la votre. Je ne suis pas Maupassant et vous non plus. Il me parait donc compliqué de dire qui il était et ce qu'il pensait. Mais comme vous je ne déteste pas m'amuser à la vas vite d'essayer de le faire.
Parler de féminisme en 1884 c'est assez anachronique non ? C'est à peine un concept à l'époque. Un rêve. C'est pourquoi j'ai poussé votre anachronisme jusqu'au bout. Sans véritable envie de démontrer quoique ce soit à part l'inverse de ce que vous dites avec ce mot.
Reste que "l'héroïne" est détestable en tout point (ne lisez pas entre les lignes mais contentez vous des lignes = en ne blessant pas son mari car elle est sauvée de celà par des hommes qui veulent lui épargner à lui d'être cocu en place publique = sauvée par l'hypocrisie de la bonne société) et que si c'est une fable féministe elle fait bien mal son travail de propagande. Que ce passe t'il après cet avertissement à bon compte ... elle récidive. Et ça vous amuse ? AH ! Ca devait aussi amuser Maupassant mais de manière cynique, pas valorisante ou validante. Car l'homme avait un très grand sens moral (ou de la justice et de l'équité ce qui revient au même). Mais un vrai qui faisait qu'il préférait en effet la vérité sans détours des prostituées à la fausseté des courtisanes (ici décrites et qu'il n'aimait pas). En celà oui il était féministe avant l'heure. Mais à la différence du féminisme actuel qui déifie et élève au rang de martyre toutes les femmes, Maupassant voyait les âmes laides dans les deux sexes. Et leur trouvait aussi un peu de circonstances atténuantes oui. Dans le cas de notre adultère, un mari qui la délaisse sexuellement. C'est recevable pour le jugement maupassien. Et le mien pour info si je recontextualise dans l'époque des mariages forcés.
Maupassant n'est pas manichéen ce qui ne veut pas dire qu'il n'aime pas moraliser ses écrits en sous texte (ok je fais ce que j'avais dit de pas faire, mais j'y vais à l'instinct) et surtout qu'il n'est pas un homme d'honneur et de devoir (il l'était indéniablement). C'est surtout un auteur de l'hypocrise bourgeoise (je ne vois pas en quoi c'est différent de Flaubert du coups, le style est plus cru mais le concept est identique). Alors certes il se contente de la pointer du doigt cette hypocrisie et cette fausseté (cette femme lance mensonges sur mensonges et manipule tout le monde). J'aime juste à croire qu'il s'amusait et se délectait de la décrire avec moult précisions. Et pour tout dire qu'il l'exécrait quand même puisqu'en étant exclu (par son naturel solitaire essentiellement, certainement lassé par la fausseté des rapports sociétaux classiques). Mais l'homme étant fin à la différence de moralistes de notre époque, il laissait le choix au lecteur perspicace de trouver une morale aux écrits. Oui. Une morale un peu cryptée derrière la galéjade apparente.
Le sage évite de juger et Maupassant jugeait peu (en écrit en tout cas), mais ça lui arrivait surement comme à nous tous de finir par choisir un camp. Sinon on fini totalement exclu du monde et de ses interactions, aigri dans sa petite caverne à détester le reste du monde pour sa bêtise o son manque de lucidité.
Mieux vaut au moins écrire des trucs amusants de sa tanière non ? Que notre tanière soit réelle ou corporelle.
Enfin bref c'ait juste mon avis et une réflexion à la vas vite pour passer le temps.
Le sort réservé aux animaux ? Rappelons qu'il était chasseur et bon viandard et qu'il leur faisait souvent un sort avec son estomac à la suite de quelques bonnes salves bien placées. Nous ne sommes qu'ambiguïtés parfois ... et il n'est pas interdit de changer d'avis dans une vie. Persister dans l'erreur (malgré un avertissement du réel) est pour moi la seule attitude que je ne peux que condamner (et on revient au final de la fable). C'est même plutôt mauvais signe de ne pas le faire.
Compliqué de résumer un homme à ses écrits, même nombreux. Surtout les hommes admirables de complexité et de singularité. Je me sent plutôt poche de l'ami Maupassant. Et si il est aussi proche de moi, alors il fut complexité et doute. Plus que réponse catégorique.
J'ai bien aimé votre texte aussi et votre "?" à la fin. Je l'oublie souvent mais il est déposé en pensées sur tout ce texte bien sur. Mais comme je l'ai déjà dit, douter de tout reviendrai alors à ne jamais parler de rien.
@@kékédesplages-d6d
Mais qu'avais je écrit qui puisse vous inspirer autant !? Peut être le mot féminisme vous a exaspéré .
Pourtant il y a autant de féminisme chez Bazac, chez Flaubert que chez Maupassant . J'en suis sûre après avoir lu son " Une vie " .
Il n'y en a pas chez Zola .
Le féminisme n'est pas seulement un concept , et non plus un anachronisme , ( d'ailleurs très mal compris et galvaudé par les mouvances actuelles ) .
Ñon , le féminisme c'est se donner les mêmes droits que les hommes, en l,occurrence ici , de les tromper , de s'adonner comme eux aux plaisirs de la chair , ce dont ils ne se privaient pas ...ben oui !
.
@@gamekilleuse9185 Le féminisme ne m'énerve en rien à part quand le mot est dévoyé. Le droit de tromper et d'être une enfoirée comme certains hommes (non pas tous) donc ... le beau "droit" que voilà. Pour information le droit (un vrai droit lui) au divorce existe depuis 1792 ... Les hommes n'avaient donc pas plus le "droit" de tromper que les femmes. Enfin les femmes n'ont pas commencé à tromper les hommes uniquement à partir des années 1900 ... elles n'en ont pas attendu l'autorisation du reste. Il n'y a absolument rien de féministe dans la chambre 11. On ne parle pas de droit des femmes ici. C'est vous qui projetez à gogo quelque chose qui n'y est pas. Les femmes de l'époque n'avaient pas le droit d'ouvrir un compte en banque seules, mais oui elles avaient le "droit" de tromper leur mari, ou plus moral d'en divorcer pour n'importe quelle raison. Et elles ne s'en privaient pas. Donc où voyez vous une lutte féministe ? A aucun moment l'héroïne n'a d'autre inspiration que de tromper son ennuie. Aucune ambition personnelle, aucun projet d'intérêt dont elle serrait empêchée par son mari. Elle ne veut que s'envoyer en l'air. Sa vie est vide avec ou sans mari ... même probablement encore plus vide sans. Cela reste une version romancée. Mais oui de telles femmes enfants égocentrées existent (comme des hommes enfants). Mais pour positiver le concept c'est compliqué. La vraie modernité de ce récit est d'avoir mis le focus sur ces vies vides de sens à être celle qui attend l'homme. De pauvres choses qui attendent de disparaitre dans l'indifférence générale. Je n'y voit absolument rien de positif. Le récit est cynique au possible et tape bien là ou ça fait mal. Au mieux la phrase vise à réveiller les femmes sur la vacuité de leur existence (enfin certaines).
Un régal
Les sous-entendus et les propos à double sens sont délectables.
Tres très beau
Avec une logique pareil, devenir president de la Republique grace â sa femme n'est pas exclu...
La subtilité du premier cadrage sur le bon époux...
Lundi, le 22 Janvier 2024
cela me fait penser ã toutes ces associations qui depuis une trentaine d’années sont apparues et dont beaucoup de femmes s’occupent étant souvent fondatrices .Il ne restent qu’à se faire subventionner par le politique responsable des subventions .il y a toujours un canapé dans le bureau de ce politique .parfois le bureau suffit.Maintenant avec ces nouvelles associations LGBT tous les goûts sont permis et beaucoup de bureaux d ´administrations sont ėquipės de canapés plus accueillants.
À 13:00 c'est Christophe Hondelatte
oui c'est lui !
Osea las mujeres infieles desde hace años existen😮
zuviel und zu laute Musik
Est-ce que Laurent Gerra joue deux rôles?
la mère de papi ( père de mon père )à perdu son mari et la remplacé par un médecin du puy qui était son amant j' ai vu la photo désolé mais de profil et de coté l' actrice ici est une pale copie mais pour le reste je pense que j' en apprend beaucoup !
TV
누드가아니면티브이보지왜이걸보겠소~
.
L’actrice principale est si moche, par contre les hommes-super !!!
Longuet. Les versions plus concentrées de 30 minutes sont plus prenantes. Le sujet, chiant en diable.
Dommage pour vous .
Revenez à spider man ou blockbuster genre Games of Thrones sur Netflix, ce genre de nourriture sera mieux pour vous .
On doit pas beaucoup rigoleler avec vous ! Vous feriez bien le colonel joue par Laurent Gerra . ?