La musique est rÃĐellement gÊnante! c'est vraiment dommage car cette vidÃĐo est non seulement bien faite mais en plus cette synthÃĻse des diffÃĐrentes techniques est une super idÃĐe! Merci de ce travail
Sauf erreur de ma part, vous avez ommis une des motivations principales qui a prÃĐvalu à la crÃĐation du MSV: rÃĐduire drastiquement les temps de dÃĐsherbage qui peuvent reprÃĐsenter 20 à 40 % en saison, voire plus en fonction des pratiques. TrÃĻs intÃĐressant. Merci.
TrÃĻs bonne idÃĐe ce comparatif. Comme tu as pu le lire dans les commentaires prÃĐcÃĐdents, la musique est trop forte. Ton livre sur le droit des exploitations alternatives est spÃĐcialement intÃĐressant car c'est un sujet rarement abordÃĐ. J'espÃĻre que tu le vends bien et que tu pourras continuer dans cette veine.
On peut trÃĻs bien apporter du carbone ET de l'azote, tout dÃĐpend de nos ressources locales. Si on a des tontes, du compost, du fumier, on peut les mÃĐlanger à la paille ou au BRF. Tout ça c'est de la matiÃĻre organique... On peut aussi Être en "sol vivant" ET en "bio intensif", et vice versa.
bonjour Delph , la technique de culture en "sol vivant" prÃĐconise l'absence de travail du sol tandis que le maraichage bio intensif s'en accommode . La vie biologique du sol n'y est pas la mÊme . Dans la 1ere technique , la vie est optimisÃĐe ( la faune , les champignons et les bactÃĐries ) . Dans la seconde , les bactÃĐries sont les grandes gagnantes. Avec quelques annÃĐes de recul , on verra quelle technique est la mieux disante , selon les cultures qui lui sont associÃĐes
@@naomias.m5029 Oui je comprends que les deux techniques ont ÃĐtÃĐ "codifiÃĐes", gravÃĐes dans le marbre avec ces principes, mais on peut faire du "bio intensif" à la Fortier sans travailler le sol. Et, est-ce que ce qu'ils font chez MSV n'est pas intensif ? Bref, pour moi on peut ajuster les pratiques de l'une ou l'autre technique à ses besoins, la nature de son sol, de ses cultures, etc... Voire faire appel aux techniques de l'agriculture de conservation, ou autre. On n''est pas obligÃĐ de choisir un camp quoi. Je comprends que ton sujet c'ÃĐtait un comparatif entre les deux modÃĻles, et comme je suis un peu relou je voulais me mettre entre les deux. :) Mais effectivement, aprÃĻs 10-15 ans on voit si des pratiques qu'on croit pÃĐrennes le sont vraiment ou pas.
Merci pour cette vidÃĐo :-). Je me demande si on ne pourrait pas concilier les 2 par le biais de la rotation des planches (mais il faudrait ÃĐtudier cela). En tout cas, vraiment bien (bon la musique est reloud) :-D.
Je m'intÃĐresse depuis peu au maraichage et me renseigne intensivement parce que j'ai un projet de culture bio sur de trÃĻs petites surfaces. Peut-Être que mes objectifs sont contradictoires sinon j'imagine que tous les maraichers travailleraient moins. L'objectif est de maximiser la production au mÂē, de passer le moins de temps possible sur les cultures. La particularitÃĐ concerne le terrain et le lieu : c'est aux Antilles (en 25 et 30°C, pas d'hiver, pluies rÃĐguliÃĻres. Les sols sont polluÃĐs (chlordÃĐcone) donc obligation de culture en bacs, le terrain c'est une multitude de micro terrains entre 60 et 500 mÂē sÃĐparÃĐs chacun de quelques dizaines à quelques centaines de mÃĻtres, donc vraiment nÃĐcessaire de rÃĐduire le travail, le temps passÃĐ etc. tout en maximisant la productivitÃĐ. Peut-Être que vous pourrez me donner quelques ÃĐlÃĐments pour dessiner une stratÃĐgie. Toutes les techniques qui incluent un facteur temps ou type de lÃĐgumes à cause de l'hiver sont inadaptÃĐes.
Bonjour et à vous et merci beaucoup.. petite note pour les bÃĒches, il y en a en fibres vÃĐgÃĐtales me semble t il ! Bon courage à tous et toutes dans vos projets de maintien de la vie !
Bonjour je vous remercie pour votre vidÃĐo, je ne trouve cependant pas le lien dans les commentaires pour telecharger le manuel pratique de la culture maraÃŪchÃĻre de Paris. Je le cherche depuis longtemps. Nous sommes futurs maraÃŪchers bio intensif dans les Yvelines et ce manuel completerait à merveille notre guide du jardinier maraÃŪcher de jean-martin FORTIER que nous possÃĐdons dÃĐjà . Mais.... dans cette mÃĐthode, il est au QuÃĐbec. Un manuel sur Paris est exactement ce qui nous manque. Merci beaucoup pour votre rÃĐponse.
Le modÃĻle agroforestier peut, peut Être concilier les deux approche avec la conduite de planches en maraichage bio intensif au sein de parcelle dÃĐcoupÃĐ par des haie fruitiÃĻre mellifÃĻre cultivÃĐ sur sol vivant, cela nÃĐcessite de mÃĐlanger maraichage et arboriculture
Attention, le compost ne fait pas de l'humus, c'est une erreur malheureusement courrante. Ca ne nourrit pas le sol : le compost, c'est dÃĐjà dÃĐgradÃĐ par les bactÃĐries. S'il est à moitiÃĐ fait, oui il va nourrir le sol et faire de l'humus au final. Mais un compost mÃŧr doit Être traitÃĐ comme soit un substrat de culture (semis de petites graines) soit un engrais (apport d'azote quand on met un nouveau paillage pour passer le cap de la faim d'azote par exemple). Il contient de l'azote sous forme minÃĐrale et non organique, donc lessivable par les pluies, à ne pas mettre en automne. Contrairement à ce que prÃĐtend quelqu'un comme Charles Dowding, ça ne nourrit pas le sol du tout. Lui plante dans 20-30 cm de compost dans des carrÃĐs potagers. Sa plante pousse quasiment intÃĐgralement dans du compost c'est assez dÃĐlirant et pas du tout adaptÃĐ au maraÃŪchage. Perso je jardine dans un jardin partagÃĐ urbain, j'essaye les diffÃĐrentes mÃĐthodes de sol vivant, je suis en sol argilo-calcaire. Pour l'instant tout ce que j'ai essayÃĐ marche : semis de petites graines dans le compost, bulbilles et grosses graines sous paillis (fÃĻve, ail, oignon, pois...), transplantation dans paillis (tomates, courges...).
Un compost de 3 mois contient dÃĐjà de l'humus en quantitÃĐ intÃĐressante. Donc il me semble qu'un compost peut Être considÃĐrÃĐ Ã la fois comme un fertilisant et un amendement. Plus il est vieux, plus il agit comme un fertilisant...
@@kekdekekdu63 Un compost contient un humus fugace, attention. Il se dÃĐstructure sous la pluie, se lessive. On voit souvent des bouquins qui disent de mettre du compost sur son sol, que ça le stabilise, crÃĐe de l'humus etc... C'est faux. Pour crÃĐer des humus stables, il faut du paillage carbonÃĐ. Paille, foin, BRF... Des choses que la vie du sol va manger. Le compost est alors utile pour ÃĐviter la faim d'azote, mais un compost seul ne suffit pas, sauf s'il est plein de bouts de bois ou demi-mÃŧr, mais mÊme là , mieux vaut un paillage seul qu'un compost demi-mÃŧr seul. Quant à un compost mÃŧr seul, c'est juste un engrais on est d'accord, la vie du sol n'en veut pas, c'est la plante qui va s'en servir.
@@nicolasbertin8552 Oui on est d'accord, je parlais bien de compost contenant de la paille ou des copeaux de bois. Sans carbone pas de vie... un compost de "cuisine", n'apporte quasiment rien au sol, c'est certain...
Perso j'utilise du compost du plus d'1 an, il est rempli de vers rouges et il est super lÃĐger ! Base foin + fumier de cheval trÃĻs pailleux. Je tamise par dessus le semis de carottes et d'engrais vert.
@@clmtncd8750 Pourquoi mettre du compost sur l'engrais vert ? C'est lui ta fertilisation. Et tu peux semer l'engrais vert à la volÃĐe sans recouvrir, c'est ce que je fais. Une bonne pluie et ça germe. Pour ta base du foin et fumier de cheval, pourquoi le faire composter ? Il fonctionnerait bien mieux directement sur ton sol. Là ça crÃĐerait de l'humus. Au lieu de ça, tu crÃĐes un compost sÃĐparÃĐment, et le mets sur ton sol, ce qui ne crÃĐe pas d'humus. C'est donc bien pour du court terme, moins bon pour du long terme. Perso ce que je fais, c'est environ 40% tonte de mauvaises herbes, 20% compost et 40% broyat de bois (sapin, BRF... ce que la maire nous donne au jardin partagÃĐ), en couches sur le sol. Là tu crÃĐes de l'humus. Les gens ont tendance à mettre beaucoup trop de compost sur leur sol. Une couche de 5 cm et c'est ta fertilisation pour deux ans... enfin si tu la combines à du paillage pour humifier, sinon c'est lessivÃĐ par les pluies. Quand au fumier, je m'en mÃĐfie. En grande quantitÃĐ et incorporÃĐ au sol à la grelinette, comme on faisait avant, ça compacte le sol sur le long terme et ça fait germer des saletÃĐs (chardon, chiendent, rumex) qui aiment les sols compactÃĐs trop azotÃĐs.
D'aprÃĻs les travaux de Konrad SCHREIBER sur le cycle de la vie du sol et les essais effectuÃĐs sur des parcelles agricoles oÃđ la terre est cultivÃĐ toute l'annÃĐe de maniÃĻre intensive, il serait peut etre possible de faire du maraichage bio intensif sur sol vivant. Reste à voir si les apports en carbone sur une surface rÃĐduite sont suffisant pour que la degradation du mulch (couvert vÃĐgÃĐtal) fournisse assez d'ÃĐlÃĐments nutritifs pour tenir sur la longueur
Arthur Carchi dans une vidÃĐo de Konrad Schreiber il ÃĐmet l hypothÃĻse dâavoir des haies dâarbres tÊtards (ou trogne) pour se rendre autonome en matiÃĻre carbonÃĐe...
Y a des commentaires ici qui valent pas un radis ðĨðĪĄ merci Joris de rester accessible pour tous ceux qui ne prÃĐtendent pas connaÃŪtre ce millieu ðð
TrÃĻs intÃĐressant mais effectivement ÃĐtant guitariste : J'ai balancÃĐ ma guitare par la f'nÊtre, En priant pour qu'elle tombe pas Sur la tronche du mÃīme en bas Le p'tit joueur d'accordÃĐon à casquette! Dommage, comme la vidÃĐo je l'aimais bien!
VidÃĐo intensivement intÃĐressante, JE DIS MERCI.
Seul bÃĐmol cette musique qui rend dingue ! ! !
La musique est rÃĐellement gÊnante!
c'est vraiment dommage car cette vidÃĐo est non seulement bien faite mais en plus cette synthÃĻse des diffÃĐrentes techniques est une super idÃĐe!
Merci de ce travail
Oui je suis d'accord, elle prend la tÊte ; -)
Sauf erreur de ma part, vous avez ommis une des motivations principales qui a prÃĐvalu à la crÃĐation du MSV: rÃĐduire drastiquement les temps de dÃĐsherbage qui peuvent reprÃĐsenter 20 à 40 % en saison, voire plus en fonction des pratiques.
TrÃĻs intÃĐressant. Merci.
TrÃĻs bonne idÃĐe ce comparatif. Comme tu as pu le lire dans les commentaires prÃĐcÃĐdents, la musique est trop forte. Ton livre sur le droit des exploitations alternatives est spÃĐcialement intÃĐressant car c'est un sujet rarement abordÃĐ. J'espÃĻre que tu le vends bien et que tu pourras continuer dans cette veine.
merci pour cette beau sujet de fond. sur la forme la musique est un peu gÃĐnan,te mais c'est du beau boulot. Bravo continue mon gars ! ;-)
super vidÃĐo, trÃĻs interessant, merci !
Merci beaucoup pour cette vidÃĐo !
Excellent, merci beaucoup !
ça a l'air super votre vidÃĐo mais a la fin je n'entends plus rien avec la musique
On peut trÃĻs bien apporter du carbone ET de l'azote, tout dÃĐpend de nos ressources locales. Si on a des tontes, du compost, du fumier, on peut les mÃĐlanger à la paille ou au BRF. Tout ça c'est de la matiÃĻre organique...
On peut aussi Être en "sol vivant" ET en "bio intensif", et vice versa.
bonjour Delph , la technique de culture en "sol vivant" prÃĐconise l'absence de travail du sol tandis que le maraichage bio intensif s'en accommode . La vie biologique du sol n'y est pas la mÊme . Dans la 1ere technique , la vie est optimisÃĐe ( la faune , les champignons et les bactÃĐries ) . Dans la seconde , les bactÃĐries sont les grandes gagnantes. Avec quelques annÃĐes de recul , on verra quelle technique est la mieux disante , selon les cultures qui lui sont associÃĐes
@@naomias.m5029 Oui je comprends que les deux techniques ont ÃĐtÃĐ "codifiÃĐes", gravÃĐes dans le marbre avec ces principes, mais on peut faire du "bio intensif" Ã la Fortier sans travailler le sol.
Et, est-ce que ce qu'ils font chez MSV n'est pas intensif ?
Bref, pour moi on peut ajuster les pratiques de l'une ou l'autre technique à ses besoins, la nature de son sol, de ses cultures, etc... Voire faire appel aux techniques de l'agriculture de conservation, ou autre.
On n''est pas obligÃĐ de choisir un camp quoi.
Je comprends que ton sujet c'ÃĐtait un comparatif entre les deux modÃĻles, et comme je suis un peu relou je voulais me mettre entre les deux. :)
Mais effectivement, aprÃĻs 10-15 ans on voit si des pratiques qu'on croit pÃĐrennes le sont vraiment ou pas.
super video, tres bon resume dees deux techniques
Tu as oubliÃĐ le lien vers le tÃĐlÃĐchargement du manuel pratique du maraÃŪchage parisien....
Concernant les bÃĒches, le rÃĐseau MSV prÃĐconise plutÃīt les bÃĒches hermÃĐtiques, notamment l'hiver. (Voir les vidÃĐos de François Mulet).
Merci pour cette vidÃĐo :-). Je me demande si on ne pourrait pas concilier les 2 par le biais de la rotation des planches (mais il faudrait ÃĐtudier cela). En tout cas, vraiment bien (bon la musique est reloud) :-D.
Je m'intÃĐresse depuis peu au maraichage et me renseigne intensivement parce que j'ai un projet de culture bio sur de trÃĻs petites surfaces.
Peut-Être que mes objectifs sont contradictoires sinon j'imagine que tous les maraichers travailleraient moins.
L'objectif est de maximiser la production au mÂē, de passer le moins de temps possible sur les cultures. La particularitÃĐ concerne le terrain et le lieu : c'est aux Antilles (en 25 et 30°C, pas d'hiver, pluies rÃĐguliÃĻres. Les sols sont polluÃĐs (chlordÃĐcone) donc obligation de culture en bacs, le terrain c'est une multitude de micro terrains entre 60 et 500 mÂē sÃĐparÃĐs chacun de quelques dizaines à quelques centaines de mÃĻtres, donc vraiment nÃĐcessaire de rÃĐduire le travail, le temps passÃĐ etc. tout en maximisant la productivitÃĐ.
Peut-Être que vous pourrez me donner quelques ÃĐlÃĐments pour dessiner une stratÃĐgie. Toutes les techniques qui incluent un facteur temps ou type de lÃĐgumes à cause de l'hiver sont inadaptÃĐes.
Bonjour et à vous et merci beaucoup.. petite note pour les bÃĒches, il y en a en fibres vÃĐgÃĐtales me semble t il ! Bon courage à tous et toutes dans vos projets de maintien de la vie !
Merci
Le son de la musique est un peu trop prÃĐsent si je peux aviser
Bonjour je vous remercie pour votre vidÃĐo, je ne trouve cependant pas le lien dans les commentaires pour telecharger le manuel pratique de la culture maraÃŪchÃĻre de Paris. Je le cherche depuis longtemps. Nous sommes futurs maraÃŪchers bio intensif dans les Yvelines et ce manuel completerait à merveille notre guide du jardinier maraÃŪcher de jean-martin FORTIER que nous possÃĐdons dÃĐjà . Mais.... dans cette mÃĐthode, il est au QuÃĐbec. Un manuel sur Paris est exactement ce qui nous manque. Merci beaucoup pour votre rÃĐponse.
Il est disponible sur gallica
J'habite aux Yvelines avez vous commencez je peux venir vous donner un coup de main bÃĐnÃĐvolement en apprenant ÃĐgalement
Le modÃĻle agroforestier peut, peut Être concilier les deux approche avec la conduite de planches en maraichage bio intensif au sein de parcelle dÃĐcoupÃĐ par des haie fruitiÃĻre mellifÃĻre cultivÃĐ sur sol vivant, cela nÃĐcessite de mÃĐlanger maraichage et arboriculture
Attention, le compost ne fait pas de l'humus, c'est une erreur malheureusement courrante. Ca ne nourrit pas le sol : le compost, c'est dÃĐjà dÃĐgradÃĐ par les bactÃĐries. S'il est à moitiÃĐ fait, oui il va nourrir le sol et faire de l'humus au final. Mais un compost mÃŧr doit Être traitÃĐ comme soit un substrat de culture (semis de petites graines) soit un engrais (apport d'azote quand on met un nouveau paillage pour passer le cap de la faim d'azote par exemple). Il contient de l'azote sous forme minÃĐrale et non organique, donc lessivable par les pluies, à ne pas mettre en automne. Contrairement à ce que prÃĐtend quelqu'un comme Charles Dowding, ça ne nourrit pas le sol du tout. Lui plante dans 20-30 cm de compost dans des carrÃĐs potagers. Sa plante pousse quasiment intÃĐgralement dans du compost c'est assez dÃĐlirant et pas du tout adaptÃĐ au maraÃŪchage. Perso je jardine dans un jardin partagÃĐ urbain, j'essaye les diffÃĐrentes mÃĐthodes de sol vivant, je suis en sol argilo-calcaire. Pour l'instant tout ce que j'ai essayÃĐ marche : semis de petites graines dans le compost, bulbilles et grosses graines sous paillis (fÃĻve, ail, oignon, pois...), transplantation dans paillis (tomates, courges...).
Un compost de 3 mois contient dÃĐjà de l'humus en quantitÃĐ intÃĐressante. Donc il me semble qu'un compost peut Être considÃĐrÃĐ Ã la fois comme un fertilisant et un amendement. Plus il est vieux, plus il agit comme un fertilisant...
@@kekdekekdu63 Un compost contient un humus fugace, attention. Il se dÃĐstructure sous la pluie, se lessive. On voit souvent des bouquins qui disent de mettre du compost sur son sol, que ça le stabilise, crÃĐe de l'humus etc... C'est faux. Pour crÃĐer des humus stables, il faut du paillage carbonÃĐ. Paille, foin, BRF... Des choses que la vie du sol va manger. Le compost est alors utile pour ÃĐviter la faim d'azote, mais un compost seul ne suffit pas, sauf s'il est plein de bouts de bois ou demi-mÃŧr, mais mÊme là , mieux vaut un paillage seul qu'un compost demi-mÃŧr seul. Quant à un compost mÃŧr seul, c'est juste un engrais on est d'accord, la vie du sol n'en veut pas, c'est la plante qui va s'en servir.
@@nicolasbertin8552 Oui on est d'accord, je parlais bien de compost contenant de la paille ou des copeaux de bois. Sans carbone pas de vie... un compost de "cuisine", n'apporte quasiment rien au sol, c'est certain...
Perso j'utilise du compost du plus d'1 an, il est rempli de vers rouges et il est super lÃĐger ! Base foin + fumier de cheval trÃĻs pailleux.
Je tamise par dessus le semis de carottes et d'engrais vert.
@@clmtncd8750 Pourquoi mettre du compost sur l'engrais vert ? C'est lui ta fertilisation. Et tu peux semer l'engrais vert à la volÃĐe sans recouvrir, c'est ce que je fais. Une bonne pluie et ça germe. Pour ta base du foin et fumier de cheval, pourquoi le faire composter ? Il fonctionnerait bien mieux directement sur ton sol. Là ça crÃĐerait de l'humus. Au lieu de ça, tu crÃĐes un compost sÃĐparÃĐment, et le mets sur ton sol, ce qui ne crÃĐe pas d'humus. C'est donc bien pour du court terme, moins bon pour du long terme. Perso ce que je fais, c'est environ 40% tonte de mauvaises herbes, 20% compost et 40% broyat de bois (sapin, BRF... ce que la maire nous donne au jardin partagÃĐ), en couches sur le sol. Là tu crÃĐes de l'humus. Les gens ont tendance à mettre beaucoup trop de compost sur leur sol. Une couche de 5 cm et c'est ta fertilisation pour deux ans... enfin si tu la combines à du paillage pour humifier, sinon c'est lessivÃĐ par les pluies. Quand au fumier, je m'en mÃĐfie. En grande quantitÃĐ et incorporÃĐ au sol à la grelinette, comme on faisait avant, ça compacte le sol sur le long terme et ça fait germer des saletÃĐs (chardon, chiendent, rumex) qui aiment les sols compactÃĐs trop azotÃĐs.
Pourquoi cette musique de fond?
Excellent documentaire...petit bÃĐmol, la musique rÃĐpÃĐtitive est pÃĐnible pour moi...
D'aprÃĻs les travaux de Konrad SCHREIBER sur le cycle de la vie du sol et les essais effectuÃĐs sur des parcelles agricoles oÃđ la terre est cultivÃĐ toute l'annÃĐe de maniÃĻre intensive, il serait peut etre possible de faire du maraichage bio intensif sur sol vivant. Reste à voir si les apports en carbone sur une surface rÃĐduite sont suffisant pour que la degradation du mulch (couvert vÃĐgÃĐtal) fournisse assez d'ÃĐlÃĐments nutritifs pour tenir sur la longueur
Arthur Carchi dans une vidÃĐo de Konrad Schreiber il ÃĐmet l hypothÃĻse dâavoir des haies dâarbres tÊtards (ou trogne) pour se rendre autonome en matiÃĻre carbonÃĐe...
Y a des commentaires ici qui valent pas un radis ðĨðĪĄ merci Joris de rester accessible pour tous ceux qui ne prÃĐtendent pas connaÃŪtre ce millieu ðð
cette vidÃĐo aurait dÃŧ s'appeler : Ma culture littÃĐraire sur les conduites agricoles en biologique et biodynamique
La video a l'air intÃĐressante mais je suis meme pas au 1er quart et je trouve ca super lent et soporifique... dommage
Beaucoup d' inversement entre les termes biointensif et msv lors des comparatifs, c'est gÊnant lol
et entre les termes "inversement" et "inversion" :-D)
TrÃĻs intÃĐressant mais effectivement ÃĐtant guitariste :
J'ai balancÃĐ ma guitare par la f'nÊtre,
En priant pour qu'elle tombe pas
Sur la tronche du mÃīme en bas
Le p'tit joueur d'accordÃĐon à casquette!
Dommage, comme la vidÃĐo je l'aimais bien!
Bj Encore un qui parle beaucoup avec une musique chiante et ne jardine pas Jardine et aprÃĻs tu parleras au lieux de rÃĐppeter les autres