Zbigniew Zuchowicz Go to imslp under chopin op 68, towards the bottom there are reconstructions called “andantino in f minor”. Click the last one. I don’t know why urtext editions don’t include f major section but it is clearly there in the manuscript, by clearly i mean the metaphorical use of the word :D But Sokolov creates his own version based on the manuscript, so there are going to be little discrepancies regarding mostly ornaments
La dernière, oui, d'un homme bien faible à ce moment, oui ;mais ce n'est pas une raison pour entretenir l'image trop répandue (à commencer par l'éteignoir-George Sand) d'un Chopin constamment souffreteux:il extériorisait plus qu'on ne le dit sa joie de vivre, ses œuvres sont souvent vigoureuses, voire puissantes.
@Julien Tournefier Merci. Je vous signale, au cas où vous ne l'auriez pas, le CD de France Clidat de 1994 (28 mazurkas), laquelle n'était certes pas du genre à se pâmer: dynamisme, remarquable mise en valeur de la formidable maîtrise de Chopin dans le domaine-entr'autres- des couleurs sonores.
Deeply emotional. Chopin tried to grab thin air.
no words, genius legend alive
His last mazurka. Says it all.
His last piece I think
his last composition, in Nohant alongside Georges Sand.
0:38
Where can I find this version's score?
Zbigniew Zuchowicz Go to imslp under chopin op 68, towards the bottom there are reconstructions called “andantino in f minor”.
Click the last one. I don’t know why urtext editions don’t include f major section but it is clearly there in the manuscript, by clearly i mean the metaphorical use of the word :D
But Sokolov creates his own version based on the manuscript, so there are going to be little discrepancies regarding mostly ornaments
By the way, Johann, I played this morning one of your fugues. Would you play mine?
I got this extended version from Musescore.
As being with Chopin himself.
La dernière, oui, d'un homme bien faible à ce moment, oui ;mais ce n'est pas une raison pour entretenir l'image trop répandue (à commencer par l'éteignoir-George Sand) d'un Chopin constamment souffreteux:il extériorisait plus qu'on ne le dit sa joie de vivre, ses œuvres sont souvent vigoureuses, voire puissantes.
@Julien Tournefier Merci. Je vous signale, au cas où vous ne l'auriez pas, le CD de France Clidat de 1994 (28 mazurkas), laquelle n'était certes pas du genre à se pâmer:
dynamisme, remarquable mise en valeur de la formidable maîtrise de
Chopin dans le domaine-entr'autres- des couleurs sonores.
played like a dirge....