Brillant exposé maîtrisé avec brio sur l'oeuvre et la personnalité de John Carpenter!!! Il est évident qu'il était, est et sera toujours d'une influence capitale sur les cinéastes passés, présents et futurs. A ce propos, Florent-Emilio Siri s'est en partie et/ou essentiellement inspiré de Carpenter sur "Assault On Preccinct 13" pour son remarquable "Nid de Guêpes"! Si vous lisez le présent commentaire M. Thoret, je pense qu'il serait pertinent lors d'un prochain cycle sur le Big John d'épiloguer un peu plus longuement sur le géniallissime "Christine"! Même si son illustre réalisateur ne semble pas forcément vouloir revenir sur ce film mythique.. surprenant... Enfin... il y a très probablement une ou plusieurs raisons qui pourrait expliquer cet état de fait. Dans tous les cas, le cinéphile helvétique que je suis vous tire son chapeau pour vos interventions singulièrement intéressantes!!!
Et pourtant Big John a accepté de filmer Christine à reculons. Il avait tourné The Thing ("remake" d'un film des années 50 je crois) en y mettant tout ce qu'il est. Un chef d'oeuvre, auquel les gens ont préféré ET ou Conan le barbare. Carpenter a traîné cette injustice de 1982 jusqu'à la fin de sa carrière
Merci Mr Thoret, nous aurons la joie de vous rencontrer et de vous ecouter au sujet de votre documentaire ,SOUPIRS DANS UN CORRIDOR LOINTAIN au lux le lundi 9 septembre au cinéma le Lux à Caen www.cinemalux.org/spip/4-classiques-du-giallo-italien
Le repère récurrent qui exprime selon moi la frontière entre le réel et l"hystérie de l'assaut (deux espaces-temps distincts) est la patrouille de nuit des policiers qui ne voient rien, n'entendent rien et repartent bredouilles.
Super analyse et merci pour la vidéo! Par contre dans la dernière scène de Los Angeles 2013, on est quand même pas loin de la connivence à l'encontre du Président non?
J'aurais aimé être présent à cette master class pour poser une question. Je ne comprends ni la définition ni les exemples à demi développés de ce que Jean-Baptiste Thoret appelle la connivence. Je sens que je pourrais être d'accord avec lui mais tous les exemples concrets qu'il donne sont des exemples d'ironie dramatique et tendent à mon avis à donner de la dimension aux personnages et rendent le spectateur actif, lui donnent de la perspective.
@mesortiescine la nuit des morts vivants , est un film très largement surestimé pour deux raisons principales , la première est que c' est encore un film de la fin des années 50 d' un point de vu strictement formel , et le noir et blanc le rattache encore beaucoup trop a cette époque , il était une fois dans l' ouest est lui un film complètement de son époque , tout en rendant hommage , d' une façon magistrale au genre western des années 40 / 50
Je me lasse pas d'écouter Jean Baptiste Thoret, c'est un véritable cinéphile.
Passionnant et enthousiaste, monsieur Thoret représente vraiment le cinéphile selon mon cœur. Et ses livres sur Carpenter et Argento sont formidables.
Passionnant, merci !
Halloween est le master class du film d'épouvante par excellence !
Analyse en profondeur, génial, comme souvent avec JB Thoret :D
Bordel pourquoi avoir coupé sur l'anecdote sur Romero ? je ne la connaissais pas, j'aurai bien aimé l'entendre.
Superbe intervention. Bel hommage à cet incroyable realisateur
Quelque soit le sujet , toujours un plaisir d’écouter J.B Thoret
Alors quand en plus c’est sur Carpenter …..
The Fog "un des plus beau film du monde", merci, merci, merci, Ce film n'a pas l'air d'être trop apprécié par les Américains.
Brillant exposé maîtrisé avec brio sur l'oeuvre et la personnalité de John Carpenter!!! Il est évident qu'il était, est et sera toujours d'une influence capitale sur les cinéastes passés, présents et futurs. A ce propos, Florent-Emilio Siri s'est en partie et/ou essentiellement inspiré de Carpenter sur "Assault On Preccinct 13" pour son remarquable "Nid de Guêpes"! Si vous lisez le présent commentaire M. Thoret, je pense qu'il serait pertinent lors d'un prochain cycle sur le Big John d'épiloguer un peu plus longuement sur le géniallissime "Christine"! Même si son illustre réalisateur ne semble pas forcément vouloir revenir sur ce film mythique.. surprenant... Enfin... il y a très probablement une ou plusieurs raisons qui pourrait expliquer cet état de fait. Dans tous les cas, le cinéphile helvétique que je suis vous tire son chapeau pour vos interventions singulièrement intéressantes!!!
Et pourtant Big John a accepté de filmer Christine à reculons. Il avait tourné The Thing ("remake" d'un film des années 50 je crois) en y mettant tout ce qu'il est. Un chef d'oeuvre, auquel les gens ont préféré ET ou Conan le barbare. Carpenter a traîné cette injustice de 1982 jusqu'à la fin de sa carrière
Le thème d'Assaut s'inspire aussi d'Immigrant Song de Led Zepp ;)
Ce film est fantastique. Du cinéma à l'état pur.
Ce son de mort ! Et elle est très bien l'affiche originale, parisien de mes deux.
Merci Mr Thoret, nous aurons la joie de vous rencontrer et de vous ecouter au sujet de votre documentaire ,SOUPIRS DANS UN CORRIDOR LOINTAIN au lux le lundi 9 septembre
au cinéma le Lux à Caen
www.cinemalux.org/spip/4-classiques-du-giallo-italien
Le repère récurrent qui exprime selon moi la frontière entre le réel et l"hystérie de l'assaut (deux espaces-temps distincts) est la patrouille de nuit des policiers qui ne voient rien, n'entendent rien et repartent bredouilles.
Y'a pas plus frustrant comme fin de vidéo... dommage
Super analyse et merci pour la vidéo! Par contre dans la dernière scène de Los Angeles 2013, on est quand même pas loin de la connivence à l'encontre du Président non?
J'aurais aimé être présent à cette master class pour poser une question. Je ne comprends ni la définition ni les exemples à demi développés de ce que Jean-Baptiste Thoret appelle la connivence. Je sens que je pourrais être d'accord avec lui mais tous les exemples concrets qu'il donne sont des exemples d'ironie dramatique et tendent à mon avis à donner de la dimension aux personnages et rendent le spectateur actif, lui donnent de la perspective.
c'est bien vrai
@mesortiescine la nuit des morts vivants , est un film très largement surestimé pour deux raisons principales , la première est que c' est encore un film de la fin des années 50 d' un point de vu strictement formel , et le noir et blanc le rattache encore beaucoup trop a cette époque , il était une fois dans l' ouest est lui un film complètement de son époque , tout en rendant hommage , d' une façon magistrale au genre western des années 40 / 50
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