Où est l'empathie de l'intervenante envers les rats qui subissent des chocs électriques ou que l'on emprisonne durant cinq jours dans une minuscule cage sans qu'ils ne puissent se retourner ? Il serait tout aussi indispensable de s'interroger sur les conditionnements qui définissent envers qui on ressent de l'empathie ou non. Encore un bel exemple de spécisme !
La question ici n'est pas de savoir si l'empathie est une bonne ou une mauvaise chose mais d'étudier ce qui la détermine, et précisément un des facteurs mis en lumière par l'intervenante est la similarité avec l'autre personne. pour rapprocher la réponse du sujet qui semble vous tenir à cœur, à savoir le spécisme, vous aurez d'autant plus d'empathie envers un animal que vous décèlerez en lui des traits ou comportements qui le rapprochent des humains.
Ness Byz : c'est biologiquement à la place d'idéologiquement, non? comme vous croyez que cela ne sert à rien vous rabaissez les tests scientifiques au niveau d'une croyance que vous pensez être méprisable , or vous n'êtes pas Dieu ou parfait , et donc souffrez de tenir compte que dans la vie on est pas forcément de votre avis et que l'on peut avoir raison, c'est pas joli mais en évacuant la morale pendant les tests scientifique il y a des nombreuses vie qui ont été sauvée , mais cela amène des compportements plus que sans empathie mais barbarre , sadique et sans aucuns respect pour l'animal , mais cela n'est pas voulu c'est un effet pervers de nécessité fonctionnelles.
C'est clair !! Le degré d'empathie favorise-t-il la faculté d'apprendre ? Ou Un pédagogue plus empathique peut-il être plus efficace face à la diversité de personnalité de ses élèves ? _Carrément passionnant effectivement !!_
La dernière question fait référence à mon sens à l'imprégnation, c'est à dire la faculté d'apprendre au contact de l'autre, sans forcément passer par des mots, mais plus sur un canal de compréhension intime de l'autre et émotionnel. Il doit bien y avoir une relation avec les deux... :)
Très bel exposé, merci. Espérons que les petites souris de laboratoires sont bien traitées, et remercions les pour leurs sacrifices, même si elles n'ont pas choisi, sinon, il faudrait faire des expériences sur des êtres humains (de l'embryon au vieillard), hors, l'empathie nous en préserve ! Source de morale ? Spécisme ? Terme effrayant. En nous mettant sur le même plan que les animaux, nous devenons comme eux, c'est à dire irresponsables. A moins d'exiger l'inverse, que les animaux soient responsables de leurs actes et ouvrir des tribunaux pour les juger, comme par le passé. L'homme est un animal responsable de la vie sur terre, et de son propre destin. Il peut agir en prenant du recul et non uniquement par instinct de survie ou grégaire, il a développé des connaissances qui le placent au dessus du reste de la création et l'oblige à être conscient de ses choix, l'animal, non. Et je ne parle pas de l'art, qui n'est observé chez aucun autre animal à ce jour (Art multiforme et non systématique). Voilà pourquoi je suis spéciste, justement, pour éviter de nous dédouaner de nos fautes envers le vivant et prendre nos responsabilités avant de tout détruire autour de nous. Je ne mange plus d'animaux terrestres (à deux ou quatre pattes), trop de souffrance dans les conditions actuelles (élevage hors sol loin de la nature, abattage à la chaîne), et manque de respect pour la vie des animaux (tuer les veaux, les agneaux... qui n'ont rien vécu), mais je sacrifie du poisson (petits, sinon, taux de métaux lourds important) en quantité raisonnable pour la B12 d'origine animale notamment (mieux assimilée, le processus d'assimilation de cette vitamine reste complexe). Le problème de l'humanité, c'est la démesure, on ne parvient pas à se raisonner pour consommer avec modération en tenant compte du partage équitable entre nous et des ressources disponibles. L’égoïsme prévaut ainsi que l'absence de vision à long terme. La survie passe par la coopération. Quant à la dernière question, je n'ai rien compris (je manque peut-être de B12 :-)), ça avait l'air déjà flou dans la tête de la personne qui l'a posée... Sinon, rien sur les neurones miroirs ? Il a été avancé, par le docteur Vilayanur S. Ramachandran, que l'éloignement de la zone principale des neurones miroirs et de l'hippocampe pouvait suggérer qu'une communication bien conduite influerait, par empathie, de manière bénéfique sur les troubles psycho-comportementaux des patients atteints de la maladie d'Alzheimer (Source : Wikipédia).
Je ne comprends pas comment Julie Grezes peut évoquer l'empathie en se basant sur la souffrance animal ? Il faut arrêter avec cette science ringard et nauséabonde . Il est possible d'expliquer ce concept sans souffrance. Je vous recommande tous les travaux qui sont fait en collaboration avec Matthieu Ricard: th-cam.com/video/1l40mx03ZQU/w-d-xo.html
Du coup nous écoutons un exposé parlant de contagion émotionnelle plus que d'empathie. Je trouve ça assez dommage de nous en faire la nuance en début pour la mélanger par la suite.
![[TH] VALORANT Champions Seoul - Grand Final - EDG vs TH](http://i.ytimg.com/vi/WvObMc9VelI/mqdefault.jpg)
Très bon résumé! Merci.
Où est l'empathie de l'intervenante envers les rats qui subissent des chocs électriques ou que l'on emprisonne durant cinq jours dans une minuscule cage sans qu'ils ne puissent se retourner ? Il serait tout aussi indispensable de s'interroger sur les conditionnements qui définissent envers qui on ressent de l'empathie ou non. Encore un bel exemple de spécisme !
Lydie Tremblet appartenance ou pas. Le spécisme a fait grandement évoluer les recherches scientifiques ne pas le nier.
La question ici n'est pas de savoir si l'empathie est une bonne ou une mauvaise chose mais d'étudier ce qui la détermine, et précisément un des facteurs mis en lumière par l'intervenante est la similarité avec l'autre personne. pour rapprocher la réponse du sujet qui semble vous tenir à cœur, à savoir le spécisme, vous aurez d'autant plus d'empathie envers un animal que vous décèlerez en lui des traits ou comportements qui le rapprochent des humains.
Aucune espece ne fonctionne idéologiquement comme une autre, l' ineret des tests sur les animaux non humains est une croyance
Ness Byz : c'est biologiquement à la place d'idéologiquement, non?
comme vous croyez que cela ne sert à rien vous rabaissez les tests scientifiques au niveau d'une croyance que vous pensez être méprisable , or vous n'êtes pas Dieu ou parfait , et donc souffrez de tenir compte que dans la vie on est pas forcément de votre avis et que l'on peut avoir raison,
c'est pas joli mais en évacuant la morale pendant les tests scientifique il y a des nombreuses vie qui ont été sauvée , mais cela amène des compportements plus que sans empathie mais barbarre , sadique et sans aucuns respect pour l'animal , mais cela n'est pas voulu c'est un effet pervers de nécessité fonctionnelles.
Lydie Tremblet : votre question et réaction est typique d'une réaction de sympathie et non d'empathie ;-)
Merci pour vos évaluations empathique .
Dommage que la derniere question n'ait pas mieux été entendue ou étudiée, elle est passionante
C'est clair !!
Le degré d'empathie favorise-t-il la faculté d'apprendre ?
Ou
Un pédagogue plus empathique peut-il être plus efficace face à la diversité de personnalité de ses élèves ?
_Carrément passionnant effectivement !!_
La dernière question fait référence à mon sens à l'imprégnation, c'est à dire la faculté d'apprendre au contact de l'autre, sans forcément passer par des mots, mais plus sur un canal de compréhension intime de l'autre et émotionnel. Il doit bien y avoir une relation avec les deux... :)
Très bel exposé, merci. Espérons que les petites souris de laboratoires sont bien traitées, et remercions les pour leurs sacrifices, même si elles n'ont pas choisi, sinon, il faudrait faire des expériences sur des êtres humains (de l'embryon au vieillard), hors, l'empathie nous en préserve ! Source de morale ?
Spécisme ? Terme effrayant. En nous mettant sur le même plan que les animaux, nous devenons comme eux, c'est à dire irresponsables. A moins d'exiger l'inverse, que les animaux soient responsables de leurs actes et ouvrir des tribunaux pour les juger, comme par le passé. L'homme est un animal responsable de la vie sur terre, et de son propre destin. Il peut agir en prenant du recul et non uniquement par instinct de survie ou grégaire, il a développé des connaissances qui le placent au dessus du reste de la création et l'oblige à être conscient de ses choix, l'animal, non. Et je ne parle pas de l'art, qui n'est observé chez aucun autre animal à ce jour (Art multiforme et non systématique). Voilà pourquoi je suis spéciste, justement, pour éviter de nous dédouaner de nos fautes envers le vivant et prendre nos responsabilités avant de tout détruire autour de nous. Je ne mange plus d'animaux terrestres (à deux ou quatre pattes), trop de souffrance dans les conditions actuelles (élevage hors sol loin de la nature, abattage à la chaîne), et manque de respect pour la vie des animaux (tuer les veaux, les agneaux... qui n'ont rien vécu), mais je sacrifie du poisson (petits, sinon, taux de métaux lourds important) en quantité raisonnable pour la B12 d'origine animale notamment (mieux assimilée, le processus d'assimilation de cette vitamine reste complexe). Le problème de l'humanité, c'est la démesure, on ne parvient pas à se raisonner pour consommer avec modération en tenant compte du partage équitable entre nous et des ressources disponibles. L’égoïsme prévaut ainsi que l'absence de vision à long terme. La survie passe par la coopération.
Quant à la dernière question, je n'ai rien compris (je manque peut-être de B12 :-)), ça avait l'air déjà flou dans la tête de la personne qui l'a posée... Sinon, rien sur les neurones miroirs ? Il a été avancé, par le docteur Vilayanur S. Ramachandran, que l'éloignement de la zone principale des neurones miroirs et de l'hippocampe pouvait suggérer qu'une communication bien conduite influerait, par empathie, de manière bénéfique sur les troubles psycho-comportementaux des patients atteints de la maladie d'Alzheimer (Source : Wikipédia).
Je ne comprends pas comment Julie Grezes peut évoquer l'empathie en se basant sur la souffrance animal ? Il faut arrêter avec cette science ringard et nauséabonde . Il est possible d'expliquer ce concept sans souffrance. Je vous recommande tous les travaux qui sont fait en collaboration avec Matthieu Ricard: th-cam.com/video/1l40mx03ZQU/w-d-xo.html
Du coup nous écoutons un exposé parlant de contagion émotionnelle plus que d'empathie. Je trouve ça assez dommage de nous en faire la nuance en début pour la mélanger par la suite.
elle melange tous, et on ne dit pas tous les temps dit d'accord d'accord d'accord tu devais fiar un traitement avec ton prof
Vous avez craqué sur la miniature
oui voilà ...Craqué sûr la miniature;
qui ceci dit est plutôt bien choisi .Tu aurais mis quoi toi ?
Contagié?
Vos expériences avec des rats sont tout simplement ignobles... Comment peut on travailler sur l'empathie et être si peu empathique
c'est le contraire du psychopathe.