La parole bien entendu, mais le premier capteur d'attention reste l'image et la notoriété. Ainsi, à une parole impeccable doit s'adjoindre une image flatteuse. La preuve avec Marion Maréchal qui, malgré une parole abjecte, parvient à attirer l'attention médiatique. Également avec le président Macron, dont l'image fut plus importante que les discours.
Quand Barbara Cassin dit rejeter le concept de "Vérité" avec un grand "v"( 9:18), elle a bien raison: la Vérité comme Absolu n'existe pas; même l'emploi du terme dans une acception relative demande la prudence; ainsi est-il à mon avis préférable de définir l'effort vers la "vérité" comme un effort pour éliminer le plus d'erreurs possible, au fur et à mesure que progressent nos connaissances; et un commentaire posté il y a 10 mois semble bien montrer que cette façon de définir le rapport d'antagonisme entre le vrai et le faux est préférable: "Mister Right" (pseudo que je traduirais volontiers en usant d'une adaptation un peu libre, par "Monsieur je sais tout"), par exemple, ne pourrait dès lors plus prétexter que l'exclamation de Barbara Cassin concernant la vérité est délégitimée par son exclamation ultérieure: "c'est faux" (32:34); même si de toute façon, cette contradiction n'existe que dans l'esprit de contradiction... d'un contradicteur (sic!!) de mauvaise foi, vu la polysémie de ces mots, en particulier selon leurs contextes d'emploi. Par ailleurs, si Alain Badiou est sans conteste possible un penseur de grande envergure, je ne saurais partager son option philosophique en faveur du "réalisme"; il est vrai que seul le réalisme permet par ailleurs un matérialisme ontologique, mais il n'est nul besoin d'un tel matérialisme pour écarter la notion d'un Dieu créateur et transcendant... Bien au contraire, seule l'option "idéaliste" permet, à elle seule et dès le départ, d'éliminer cette idée d'un "Esprit" supérieur DISTINCT d'un monde qu'il aurait créé...
Cette Philosophe nous dit ne pas croire en "la vérité" mais en une vérité relative.... (7:55) puis nous explique en 32:34 que les déclarations de Trump sont des fake news..."C'est faux !" dit-elle oubliant de rester philosophe pour se transformer en militante. Voilà pourquoi on a le sentiment de s'être fait avoir après 1/2 heure d'interview.
Vraiment interressant... "Je peux jouer sur le "en tant que" " Cela en dit long sur l'interet de la philosphie et de l'usage de la rethorique d'une femme "philologue et" ... La branlette intellectuelle n'a pas de sexe, mais faire comme si, ça l'amuse beaucoup. La Femme... En tant qu'homme, je trouve ça sexiste. ;) La philosphie ne devrait pas chercher la Vérité ? Soit, c'est un façon de penser qui a ses forces et ses interets, mais lorsqu'une femme se joue de se qu'elle est, où choisit de changer de ^point de vue alors même que d'autres font l'effort de tenter de la comprendre, c'est du narcissisme. Moi humaine, moi philosophe, moi femme occidentale, JE. La philosophie et la réthorique manipulé pour echapper a toute interpretation claire et "finie", ça correspond assez bien en réalité à ce que les femmes sont, intelligente, mais pas pour ne pas être belles. Belles mais pas pour être séduisante, séduisante, mais pas pour être séduite. Piquante, mais pas pour être violente, violente, mais pas pour être méchante. Bref, paradoxalement, les femmes veulent être femme, mais pas être femme aux yeux d'autrui. Va falloir nous aider mieux que ça... Enfin, si vous souhaitez être mieux comprise. Mais la branlette c'est bien aussi... Après tout, les hommes n'en ont pas le monopole, en effet... Des femmes moins cultivés se contente de s'attaquer aux monopole sur la connerie parrallelement. Une philologue c'est interressant. J'aimerai vois l'interview de femmes plus "quotidienne" questionnées sur leur approches de leur féminité et de la féminité de leur pensée, et de leur language, comme l'arme qu'elles sont. Je pense que ça volerai pas haut, mais que ça aurait le mérite d'être plus claire, et plus pertinent comme démonstration de la féminité ambiante... Passez juste quelques minutes devant une école à la sortie des classes et faites une interview de groupe, vous allez en choper là, de la grosse philosophie... Hurlant à leur enfant "Tu m'soul, je vais te défoncer! ... Tu me réponds pas ! J'te jure j'vais te défoncer !"... Bref.. C'est bien les plateaux du service publique, c'est bien les voix féminine mature un peu feutrées. C'est beau les médias, visuels ou audios. Et c'est bien que les femmes se donnent la peine de penser. Mais ne vous donez pas tant de mal à nous faire croire que LA pensé des femmes peut être "armée" plus qu'elle ne l'est déjà. A moins que l'ambition soit de convaincre les femmes qu'il y a une façon d'être une femme plus louable, ou carrement, que les femmes ont le devoir de s'emparer du monopole de la bonne conscience et bonne pensé... Ce serait une belle connerie, mais comme je l'ai dit, les hommes n'en ont pas le monopole, ce n'est donc pas impossible que cela soit en fait l'ambition in fine... Et puis il sera peut etre plus facil de faire de la philo quand tout les sexes auront enfin prouvé leur capacité à ce targuer d'être plus à même de dicter la bonne pensé... Après on pourra faire tabula rasa et recommencer. Parce que "c'est amusant".. non ? Ah, et: Oui, le langage est une arme. Pour les femmes, pour les hommes, pour le patron, pour la patronne, pour le dictateur, pour le fascite, pour la victime, etc etc... Mais parlons uniquement des femmes puisque pour répondre à une telle question vous n'invité qu'une seule personne, vraiment très polarisé dans sa pensé.. Mais j'imagine que le titre à été choisie après coup, et pas les (l') invité choisi pour débattre de la question. Titre racoleur, donc féministe ? ... C'est de l’humour ...
Elle dit déplorer que nos anciens aient pu considérer que "laisser les femmes s'emparer d'une discipline revenait à la dévaloriser" puis la "philosophe" enchaîne avec "je ne crois pas en la philosophie....." CQFD.
Je n'aime pas cette dame. C'est un gage de mise en échec de tous les bons principes sociaux au nom d'une perfomativité factice et suffisante. Ça empeste la faute-de-mieux et l'unfinished business.
Le langage arme de paix entre autres , oui , si nous avions réellement conscience de ce que la guerre avec armes veut dire , de son signifiant .
La parole bien entendu, mais le premier capteur d'attention reste l'image et la notoriété. Ainsi, à une parole impeccable doit s'adjoindre une image flatteuse. La preuve avec Marion Maréchal qui, malgré une parole abjecte, parvient à attirer l'attention médiatique. Également avec le président Macron, dont l'image fut plus importante que les discours.
Ouiiiii!!!!!..... et bonjour les dégâts faits avec!!!!........ je vis seul et dans le silence ... Merci....... au revoir!!!........
Quand Barbara Cassin dit rejeter le concept de "Vérité" avec un grand "v"( 9:18), elle a bien raison: la Vérité comme Absolu n'existe pas; même l'emploi du terme dans une acception relative demande la prudence; ainsi est-il à mon avis préférable de définir l'effort vers la "vérité" comme un effort pour éliminer le plus d'erreurs possible, au fur et à mesure que progressent nos connaissances; et un commentaire posté il y a 10 mois semble bien montrer que cette façon de définir le rapport d'antagonisme entre le vrai et le faux est préférable:
"Mister Right" (pseudo que je traduirais volontiers en usant d'une adaptation un peu libre, par "Monsieur je sais tout"),
par exemple, ne pourrait dès lors plus prétexter que l'exclamation de Barbara Cassin concernant la vérité est délégitimée par son exclamation ultérieure:
"c'est faux" (32:34); même si de toute façon, cette contradiction n'existe que dans l'esprit de contradiction... d'un contradicteur (sic!!) de mauvaise foi, vu la polysémie de ces mots, en particulier selon leurs contextes d'emploi.
Par ailleurs, si Alain Badiou est sans conteste possible un penseur de grande envergure, je ne saurais partager son option philosophique en faveur du "réalisme";
il est vrai que seul le réalisme permet par ailleurs un matérialisme ontologique, mais il n'est nul besoin d'un tel matérialisme pour écarter la notion d'un Dieu créateur et transcendant... Bien au contraire, seule l'option "idéaliste" permet, à elle seule et dès le départ, d'éliminer cette idée d'un "Esprit" supérieur DISTINCT d'un monde qu'il aurait créé...
Cette Philosophe nous dit ne pas croire en "la vérité" mais en une vérité relative.... (7:55) puis nous explique en 32:34 que les déclarations de Trump sont des fake news..."C'est faux !" dit-elle oubliant de rester philosophe pour se transformer en militante. Voilà pourquoi on a le sentiment de s'être fait avoir après 1/2 heure d'interview.
Vraiment interressant... "Je peux jouer sur le "en tant que" " Cela en dit long sur l'interet de la philosphie et de l'usage de la rethorique d'une femme "philologue et" ... La branlette intellectuelle n'a pas de sexe, mais faire comme si, ça l'amuse beaucoup. La Femme...
En tant qu'homme, je trouve ça sexiste. ;) La philosphie ne devrait pas chercher la Vérité ? Soit, c'est un façon de penser qui a ses forces et ses interets, mais lorsqu'une femme se joue de se qu'elle est, où choisit de changer de ^point de vue alors même que d'autres font l'effort de tenter de la comprendre, c'est du narcissisme. Moi humaine, moi philosophe, moi femme occidentale, JE. La philosophie et la réthorique manipulé pour echapper a toute interpretation claire et "finie", ça correspond assez bien en réalité à ce que les femmes sont, intelligente, mais pas pour ne pas être belles. Belles mais pas pour être séduisante, séduisante, mais pas pour être séduite. Piquante, mais pas pour être violente, violente, mais pas pour être méchante. Bref, paradoxalement, les femmes veulent être femme, mais pas être femme aux yeux d'autrui. Va falloir nous aider mieux que ça... Enfin, si vous souhaitez être mieux comprise. Mais la branlette c'est bien aussi... Après tout, les hommes n'en ont pas le monopole, en effet... Des femmes moins cultivés se contente de s'attaquer aux monopole sur la connerie parrallelement. Une philologue c'est interressant. J'aimerai vois l'interview de femmes plus "quotidienne" questionnées sur leur approches de leur féminité et de la féminité de leur pensée, et de leur language, comme l'arme qu'elles sont. Je pense que ça volerai pas haut, mais que ça aurait le mérite d'être plus claire, et plus pertinent comme démonstration de la féminité ambiante... Passez juste quelques minutes devant une école à la sortie des classes et faites une interview de groupe, vous allez en choper là, de la grosse philosophie... Hurlant à leur enfant "Tu m'soul, je vais te défoncer! ... Tu me réponds pas ! J'te jure j'vais te défoncer !"...
Bref.. C'est bien les plateaux du service publique, c'est bien les voix féminine mature un peu feutrées. C'est beau les médias, visuels ou audios. Et c'est bien que les femmes se donnent la peine de penser. Mais ne vous donez pas tant de mal à nous faire croire que LA pensé des femmes peut être "armée" plus qu'elle ne l'est déjà. A moins que l'ambition soit de convaincre les femmes qu'il y a une façon d'être une femme plus louable, ou carrement, que les femmes ont le devoir de s'emparer du monopole de la bonne conscience et bonne pensé... Ce serait une belle connerie, mais comme je l'ai dit, les hommes n'en ont pas le monopole, ce n'est donc pas impossible que cela soit en fait l'ambition in fine... Et puis il sera peut etre plus facil de faire de la philo quand tout les sexes auront enfin prouvé leur capacité à ce targuer d'être plus à même de dicter la bonne pensé... Après on pourra faire tabula rasa et recommencer. Parce que "c'est amusant".. non ?
Ah, et: Oui, le langage est une arme. Pour les femmes, pour les hommes, pour le patron, pour la patronne, pour le dictateur, pour le fascite, pour la victime, etc etc... Mais parlons uniquement des femmes puisque pour répondre à une telle question vous n'invité qu'une seule personne, vraiment très polarisé dans sa pensé.. Mais j'imagine que le titre à été choisie après coup, et pas les (l') invité choisi pour débattre de la question. Titre racoleur, donc féministe ? ... C'est de l’humour ...
15:30 jolie pirouette au sujet du nazi Heidegger
J'adore l'écouter
oui , dire c'est faire .
Elle dit déplorer que nos anciens aient pu considérer que "laisser les femmes s'emparer d'une discipline revenait à la dévaloriser" puis la "philosophe" enchaîne avec "je ne crois pas en la philosophie....." CQFD.
je dois pas être un intellectuel, car j'y comprends pas grand chose.
Il y a un lien entre langage et méditation 🧘♂️
Je n'aime pas cette dame. C'est un gage de mise en échec de tous les bons principes sociaux au nom d'une perfomativité factice et suffisante. Ça empeste la faute-de-mieux et l'unfinished business.