A voir les photos aériennes, les sols fertiles des hauts plateaux de Tiaret, du Constantinois, etc, sont bien cultivés en céréaliculture pluviale. Mais c'est une loterie, certaines années les semis produisent beaucoup, d'autres la production ne rentabilise pas le travail, et enfin il arrive qu'il pleuve si peu que le semis n'est pas fait et que le sol est retourné pour rien. C'est le dry farming. Il dépend terriblement de la pluviométrie. Il est très probable que la production peut être augmentée. Mais de manière rentable ? Ce n'est pas certain. Pousser en avant les agriculteurs ne fonctionne que si leur travail paie sur la durée. Les années déficitaires répétées, ou la fin obligée de l'arrosage avec de l'eau souterraine qui s'épuise ou est trop salée, laisse les agriculteurs ruinés et endettés. Les paroles sur le colza (une plante très très gourmande en engrais), ou l'élevage nourri avec des légumineuses (que faire des animaux en années très sèche ?) m'interrogent... Quant aux petites exploitations, elles peuvent mettre en commun le matériel, et survivent les mauvaises années par l'activité extérieure. Tandis que les exploitations sans revenus autres font faillite si trois années sèches se succèdent. C'est par contre très important d'utiliser les engrais quand la pluviométrie permet de les valoriser. Ça booste la production. Or L'Algérie dispose de ressources minières en phosphates, et peut, grâce au gaz, fabriquer énormément d'engrais azotés à bas prix.
Il n'y a pas longtemps on ramenait la pomme de terre du Canada et l'oignon du Maroc et quand des hommes commencent à bouger bizarrement on retrouve des gens qui viennent vous noter...
La production agricole de l'Algérie en légumes et en fruits a très fortement augmenté ces quinze dernières années. L'arboriculture a particulièrement progressé. L'Algérie est devenue, par exemple, un grand producteur d'abricots. Ce n'est pas le sujet de cette vidéo, mais l'agriculture des régions les plus pluvieuses en Algérie est en progrès rapide. Se baser sur les espèces arboricoles adaptées au climat chaud et sec, semble être un choix particulièrement efficace, pour produire abricots, amandes, olives, etc. .
l'agriculture a été boulitisé* donc rien à attendre d'elle on dépendra pour notre nourriture des échanges internationaux au-delà de 2050 selon tout les rapports spéciaux *
La France et ces 65 millions d'habitants n'est pas autosuffisante ..... l'Algérie doit faire mieux en 5 ans ? Soyons réaliste c'est beaucoup de travail encore.
La richesse de l'Algérie sont coffret mais diversifiée sur plusieurs aspects. Une richesses non découvertes. Le fer le phosphate ou le gaz et le pétrole il existe plusieurs richesses non exploité. De plus pour les richesses déjà exploiter il n'existe aucune prospection de nouveaux gisements ou autres
Vous parlez du sous-sol, la richesse est le fruit du travail. Tout ce qui est sorti du sous-sol est ensuite perdu à jamais, à l'exception de l'eau si on l'exploite très raisonnablement.
L'Algérie a déjà fait des choix liés au manque d'eau : Approvisionner la ville d'Alger plutôt que continuer à exploiter des orangers très gourmands en eau dans la plaine de la Mitidja. Quand on dessalle de l'eau de mer, c'est qu'on manque d'eau.
@@HenriBourjade des orangers à la mitidja ! C'est du passé tout ça. Maintenant ça se plante dans la plaine du cheellif et en Kabylie. Par contre planter des oliviers au Sahara, ça c'est vraiment mal étudié
Bravo Monsieur
Merci à vous je vous souhaite longue vie et santé
A voir les photos aériennes, les sols fertiles des hauts plateaux de Tiaret, du Constantinois, etc, sont bien cultivés en céréaliculture pluviale.
Mais c'est une loterie, certaines années les semis produisent beaucoup, d'autres la production ne rentabilise pas le travail, et enfin il arrive qu'il pleuve si peu que le semis n'est pas fait et que le sol est retourné pour rien.
C'est le dry farming. Il dépend terriblement de la pluviométrie.
Il est très probable que la production peut être augmentée. Mais de manière rentable ? Ce n'est pas certain.
Pousser en avant les agriculteurs ne fonctionne que si leur travail paie sur la durée.
Les années déficitaires répétées, ou la fin obligée de l'arrosage avec de l'eau souterraine qui s'épuise ou est trop salée, laisse les agriculteurs ruinés et endettés.
Les paroles sur le colza (une plante très très gourmande en engrais), ou l'élevage nourri avec des légumineuses (que faire des animaux en années très sèche ?) m'interrogent...
Quant aux petites exploitations, elles peuvent mettre en commun le matériel, et survivent les mauvaises années par l'activité extérieure.
Tandis que les exploitations sans revenus autres font faillite si trois années sèches se succèdent.
C'est par contre très important d'utiliser les engrais quand la pluviométrie permet de les valoriser. Ça booste la production. Or L'Algérie dispose de ressources minières en phosphates, et peut, grâce au gaz, fabriquer énormément d'engrais azotés à bas prix.
Il n'y a pas longtemps on ramenait la pomme de terre du Canada et l'oignon du Maroc et quand des hommes commencent à bouger bizarrement on retrouve des gens qui viennent vous noter...
La production agricole de l'Algérie en légumes et en fruits a très fortement augmenté ces quinze dernières années.
L'arboriculture a particulièrement progressé. L'Algérie est devenue, par exemple, un grand producteur d'abricots. Ce n'est pas le sujet de cette vidéo, mais l'agriculture des régions les plus pluvieuses en Algérie est en progrès rapide. Se baser sur les espèces arboricoles adaptées au climat chaud et sec, semble être un choix particulièrement efficace, pour produire abricots, amandes, olives, etc.
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l'agriculture a été boulitisé* donc rien à attendre d'elle on dépendra pour notre nourriture des échanges internationaux au-delà de 2050 selon tout les rapports spéciaux *
Un pays avec un potentiel enorme malheureusement gerer par des irresponsables qui ont mis le pays sous cloche
Oui mais la terre est basse et le soleil est fort!personne ne veut cultiver!!!
Depuis 1962 les algériens ont lamentablement échoué leur indépendance , les voilà maintenant en insécurité alimentaire.
En fait la terre est basse et le soleil est fort: personne ne veut cultiver car c'est fatigant et mal payé ou pas payé du tout!!!
Ils ont sombré avec la chute du mur de Berlin.....
La France et ces 65 millions d'habitants n'est pas autosuffisante ..... l'Algérie doit faire mieux en 5 ans ? Soyons réaliste c'est beaucoup de travail encore.
La richesse de l'Algérie sont coffret mais diversifiée sur plusieurs aspects. Une richesses non découvertes. Le fer le phosphate ou le gaz et le pétrole il existe plusieurs richesses non exploité. De plus pour les richesses déjà exploiter il n'existe aucune prospection de nouveaux gisements ou autres
Vous parlez du sous-sol, la richesse est le fruit du travail. Tout ce qui est sorti du sous-sol est ensuite perdu à jamais, à l'exception de l'eau si on l'exploite très raisonnablement.
Stress-hydrique en Algérie ?? "C'est avant le déluge que Noé a construit son Arche"
L'Algérie a déjà fait des choix liés au manque d'eau : Approvisionner la ville d'Alger plutôt que continuer à exploiter des orangers très gourmands en eau dans la plaine de la Mitidja.
Quand on dessalle de l'eau de mer, c'est qu'on manque d'eau.
@@HenriBourjade des orangers à la mitidja ! C'est du passé tout ça. Maintenant ça se plante dans la plaine du cheellif et en Kabylie. Par contre planter des oliviers au Sahara, ça c'est vraiment mal étudié