Pauline : Le deuil périnatal I On creuse

Dans les épisodes 39 et 93 de Bliss Stories, Pauline nous parlait du cataclysme qui s'est abattu sur elle à la mort de son fils Elias après 9 jours sur terre, puis de son retour à la vie avec la naissance de Noé, son rainbow baby. Grâce à son témoignage et à son compte Instagram, Pauline a contribué à libérer la parole autour du deuil périnatal. Et parce qu’elle sait mieux que personne la douleur de la perte, les paroles qui apaisent et les gestes qui peuvent réconforter, elle nous guide sur les attentes et les besoins des parents qui traversent un tel drame.
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[@SpaceshipJu]

Merci pour ce témoignage ! Tellement vrai, réaliste.
J'ai aussi vécu la perte de mon bébé, après 7 jours de vie, à cause d'une maladie génétique incurable. J'ai ressenti exactement la même chose que Pauline, vis à vis des autres, des proches.
Cela est encore frais pour mois, car elle est décédée il y a 3 mois bientôt, mais j'espère retrouver le bonheur et trouver la paix comme Pauline.
Merci !!

[@surlespasdondine]

Il y a toujours des personnes qui ne veulent pas trop entendre parler d'histoires tristes, et qui réclament de la légéteté. Mais même si on peut les comprendre, c'est essentiel de donner de la place à ces témoignages. Dans mon livre "Récit d'une mère indigne", j'ai écrit la phrase:"C'était le danger des sujets tabous: Ils laissaient dans leur sillage un tas de victimes qui souffraient en silence." Ça s'applique au sujet du deuil périnatal je trouve. Plein de bonnes ondes à Pauline. 💖

[@cinvava]

Un jour peut être que ce sujet sera moins tabou
La plupart du temps je ne parle pas de mon 1er bébé, ma 1ere fille et pourtant pendant 18 ans j ai eu droit a des "oh vous ne savez faire que des garçons!"
Je crois que la plupart du temps je préfère me préserver de ces personnes indelicates

[@lisedesprez5716]

Un beau témoignage !

[@stephanien5815]

beau témoignage ! Ce qui m'a frappé c'est que je retrouve dans tes paroles "j'ai deux enfants et un enfant mort" les paroles des gens des pays pauvres où la mortalité infantile est élevée ; en Afghanistan par exemple, les gens te répondent toujours le nombre de morts et le nombre de vivants quand tu leur demande combien ils ont d'enfants.... chez nous la mort d'un enfant est devenue plus rare et donc plus intenable.... chez eux, c'est chose "de la vie".....

[@manoncastang8912]

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