@@aureliemarechal6221 Être aromantique c'est le fait de ne pas éprouver d'attirance romantique pour autrui. Autrement dit, les personnes aromantiques n'éprouvent pas de sentimens amoureux pour qui ce soit. On est capable d'aimer les gens mais par contre, on n'identifie pas notre amour comme étant de nature romantique/amoureuse.
@@samo1503 C'est entièrement cela. J'ai 19 ans, et malgré mon age, je n'ai jamais ressenti ou essayé de me mettre en couple. Parfois, j'en ai envie, parfois je me demande si je suis vraiment aromantique, mais ce désir est éphémère et pas douloureux. Et dans mon cas, je n'identifie pas non plus un amour amical ou familial envers les gens qui m'entoure. Il est donc assez difficile dans mon cas si je suis aromantique ou si cela est du a mon éducation ou je n'ai connu que très peu l'amour ou si c'est ma nature de scellé les mauvais sentiments dans une boite de pandore.
@@SheneySan Je ne sais pas si c'est le cas de beaucoup d'aromantiques ou non, mais je suis aromantique et je n'arrive pas à différencier les sentiments affectifs que j'éprouve pour les personnes que j'aime. J'arrive juste à distinguer la tendresse qui se développe en moi au file du temps que j'apprends à connaitre une personne et celle qui est causée par un squish, c'est à dire un coup de coeur platonique (non romantique) ou amical. Ici il n'y a pas de différence entre coup de coeur platonique et coup de coeur amical,
Caro, merci encore pour cette tribune que tu m'as donné. C'était libérateur de pouvoir en parler. Merci pour ta bienveillance, ton accueil, ton sourire et cette entrevue. Si vous êtes intéressé.e.s à me questionner ou simplement discuter, je réponds volontiers sur Instagram sur le compte @asexualite_romandie Mon but est de donner la visibilité aux personnes qui en ont besoin et leur permettre de ne pas se sentir seul.e.s. Vous pouvez également trouver un groupe sur Facebook : Asexualité : réseau suisse romand. Merci encore pour tous vos commentaires, positifs et constructifs et votre accueil qui me va droit au cœur.
Mille merci de mettre ce sujet en lumière 🥰 la métaphore que j'ai lu récemment et qui représente assez bien l'asexualité et tout son spectre autant pour les gens ace mais aussi très accessible pour les gens qui ne le sont pas : prenons un avocat 🥑 pour représenter les relations sexuelles (ou tout autre aliment), il y aura des gens qui adoreront les avocats mais auront pas faim, des gens qui adorent les avocats et peuvent en manger sans faim par gourmandise, des gens qui n'aiment pas les avocats mais auront quand même faim, des gens qui n'aiment pas particulièrement les avocats mais si il y en a ils en mangeront, des gens qui n'aiment pas les avocats seuls mais en mangeront dans un plat, et inversement des gens qui n'aiment les avocats que seul, des gens qui aiment les avocats mais n'ont jamais particulièrement envie d'en manger etc etc ! Carolina si jamais ça t'intéresse d'aller un peu plus profondément dans le sujet que ce soit pour ta propre compréhension ou pour en parler sur ta chaîne je serais super heureuse d'en discuter avec toi, de parler aussi des differentes orientations qu'on peut trouver sur ce spectre (notamment demisexualité que je connais le mieux puisque c'est ce que je vis au quotidien)
C’est tres intéressant ! L’assexialite met en lumiere de graves problèmes culturels, essentiellement d’origine patriarcale d’ailleurs, comme l’idee du consentement. Car si on considère que l’être humain « sain » doit avoir du désir sexuel. Alors celui qui n’a pas désir sexuel est force à en avoir sinon il est considere comme malade ! La pression sociale peut vraiment faire bcp de dégâts !! Aussi, reconnaître l’assexualite repose la question de la sursexualisation de nos societes. Pourquoi presque tout tourne autour de ça ?!!! C’est réducteur, c’est excluant et cela crée des rapports de force, des inégalités et des violences. Dernière remarque importante. L’assexualite donne une place aussi aux personnes qui ont subi des abus sexuels et ne veulent plus avoir à faire avec la sexualité. Car c’est une double peine, que de considérer une personne qui a un jour été victime d’un prédateur sexuelle comme « non-résiliente » car elle ne peut pas ou ne veut pas avoir de relations sexuelles avec les autres. On va souvent le leur reprocher « il faut passer à autre chose » , « c’est bon maintenant il faut que tu remonte à cheval »... Elles ont le droit d’avoir le choix et ça ne doit pas les stigmatiser à vie !! Comme on n’obligerait pas aujourd’hui à un homme de pleurer, car ce n’est pas normal de ne jamais pleurer. On ne le considere pas dans la société comme une victime honteuse. Non, il a connu une éducation qui l’a brimé et ça fait de lui ce qu’il est maintenant. On est tous le fruit de blessures et de violences qui nous laissent des cicatrices, mais pourquoi certaines sont stigmatisées par la « bien séance sociale » et d’autres non ? C’est aberrant!
Euh qqu qui ne veut pas de rapports n'est pas forcément asexuel... tu peux être traumatisé d'un viol ou une agression et être parfait hétéro ou bi ou homo etc
Axelle Crazy7 Bien sur ce n’est pas ce que je veux dire. C’est que si la société accepte l’asexualite elle laissera tranquille toutes les personnes qui n’ont pas de sexualité quelque soit la raison.
Je suis complètement en accord avec toi. Tout tourne tellement autour du sexe que ne pas avoir de sexualité est perçu comme une absence d'épanouissement, un défaut dans notre vie. Et cela ramène aussi aux comportements pulsionnels de notre société, il faut consommer tout à outrance y compris le corps...
ki Be j’allais rajouter exactement la même que vous. Pour illustrer ce propos, ma compagne, qui est superbe etc et je ne la dénigre pas du tout car on en a beaucoup parlé et je lui en veux pas du tout d’avoir pensé comme ça et de pense encore comme ça malgres elle, je suis malade chronique et je suis en attente de diagnostique. Je souffre énormément de partout et cette « maladie » m’as déclenché des problèmes niveaux gastro-entérologie, urologie, gynécologique, cérébral etc... (je n’ai pas honte de le dire, si je peux aider quelque personne dans mon cas même une personne voilà. Merci de pas se « moquer » etc. Donc notre sexualité en a fortement pris un coup. Ma compagne ayant déjà une libido beaucoup plus forte que moi en plus, c’est très difficile pour elle. Je vous dit ça car à un moment, ça a commencer à allais très mal dans notre couple et je comprenais pas pourquoi car on en avais parler de ma « Maladie » et ne voulant pas imposer mon mal être, malgres tout l’amour que je lui porte, je lui vais clairement dit « écoute, ça va être de pire en pire, je veux pas t’imposer ce poids, si tu sens que tu vas pas en être capable et c’est pas être lâche ou quoi, je préfère qu’on mette fin à notre relation plutôt que tu me lâches au moment où je serais le plus faible physiquement et forcément psychologiquement » et malheureusement, c’est que qui sait passer et c’est ce qui se passe, ma santé psychologique et physique, vas de plus en plus mal, malgres les médicaments et j’en passe. On en parler pendent des jours et elle m’as clairement dit que elle serait toujours là et elle m’as fait le plus beaux cadeaux au monde en me demandent en fiançailles dans un endroit plus que magnifique et en faisait les choses comme dans mes rêves pour me prouver son amour. Bref je m’éparpille désolée. Cependant... comme je commencer à vous dire précédemment, notre couple a commencer après a allez de plus en plus mal et je comprenais pas, et je me disais bah mise a part le faite qu’on a moins de relations sexuelle, je vois pas le problème et un jour bah forcément, a force d’éviter le sujet, bah ça a « éclater » et je lui est clairement dit « C’est parce que on a moins de relations sexuelles que notre couple s’éteint de jour en jour? » et elle m’as répondu « Oui. Si on fait pas l’amour, on est plus un couple, je suis juste ta pote enfaite, tu me désires plus, etc ». Déjà cela m’as fait énormément culpabiliser et je lui ai dit. J’ai été très mal. Car, j’avais envie mais de moins en moins et quand nous avions des relations sexuelles, avec mes fortes douleurs, bcq de choses était restreintes et courte. Mais l’amour était là, les câlins étaient là, les bisous étaient là etc mais non... pour elle couple sans relations sexuelle plusieurs fois par semaine= un couple en déclin. J’ai creuser après et j’ai vite compris pourquoi elle pensée cela et marcher comme ça, est au fond elle sait rendus compte que... dans le passé, avec des hommes, car elle arriver pas à assumer son homosexualité, bah c’était la norme. Et plusieurs jours plus tard elle m’a dit « enfaite, j’avais pas tellement envie, c’était juste un automatisme parce c’était comme ça, parce que fallait faire l’amour car on étais un couple donc c’était logique ». Vous allez me dire que c’est très intime ce « témoignage ». Je le met en écrit, car ça me choque toujours autant car j’ai jamais été comme ça. Et ça m’as choqué et je suis descendu tellement de haut quand j’ai commencer à demander à mes amies hétérosexuelles (car j’ai bien remarquer que dans mon entourages d’amis lesbienne ce n’étais pas du tout la même pensée après je fais pas une généralité je parle juste de mes amis mais c’est un fait quand même, ce n’est pas du tout la même dynamique et j’ai toujours été persuadé de ça, après ça reste que un avis personnel et sans doute pas objectif, je dénigres personne et aucune communauté, pas du tout.) et oui, elle disait pareil. Encore aujourd’hui, je suis sans doute naïve, mais je ne comprend pas. Pour en conclure de ce commentaire, vous m’excuserez, sûrement complètement décousu et avec des fautes d’orthographes je m’en excuses d’avance, je voulais mettre en avant et en illustrant votre commentaire et ceux des autres, que oui, la sexualité pour la majorité des gens est le centre de tous. La preuve en est dans mon exemple, je trouve. Je ne suis pas asexuelle, pas du tout, mais je suis déjà restée des mois sans relations sexuelles, sans gènes, je me contenter très bien toute seule, car la vie c’est pas d’avoir des relations sexuelles tout le temps, et ça fait pas un couple non plus. Mais je me suis rendus compte que beaucoup de couples rester ensemble, dans leur maison, etc depuis le début juste parce que le sexe matcher bien et que si ça marcher plus ils donneraient pas long feux a leur relations. Je trouve ça tellement triste. Alors oui, évidemment pour les personnes non asexuelle le sexe fait partie de la relations et faut être sur la même longueur d’onde évidemment mais à cause de cette société hypersexualisée, jusqu’à pour vendre une boisson, UNE BOISSON SVP enfin... on se retrouve là. C’est tellement triste. Il n’y a pas que ça dans la vie, il a les conversations/l’échanges, l’Amour avec un grznd A, les gestes du quotidien mutuelle, etc.. oui le sexe en fait partie bien sûr je dirais jamais le contraire mais à ce point là, je trouve ça inquiétant voir... malsain parfois. Quand je vois juste la relation de mes parents qui se connaisse depuis 30 et sont métier depuis 24 ans, de comment ils étaient jeunes, leur parcours etc et les couples de maintenant. Bah... bah mon Dieu quoi hein. Avec ma compagne tout se passe très bien, nous sommes fiancées et c’est la Femme de ma vie, mais oui il y a eu de passage difficile. Alors oui forcément mon exemple est peut être dans l’extrême car je suis malade etc... et sans doute que dans ça, il y aurait pas eu ce problème car moi même voilà😅 mais ça nous a permis de mettre ça en lumière et je trouve ça très important car je trouve quand même que c’est un gros problème de voir le couple comme ça. Elle le voyait bcq moins comme ça en étant avec moi, une Femme, elle se « forçait » pas du tout car elle a tjr aimer les femmes juste encore une fois à cause de la société et la peur du jugement elle n’osait pas allez rencontrer une femme, mais quand même. J’ai été soulager quand elle m’as dit ça mais quand même, si on avait pas parler de ça, je sais pas ce qui se serait passer. Elle s’en veux terriblement maintenant qu’elle c’est remise en question et je lui en veux pas du tout limite je culpabilise du coup... mais voilà. Désolée pour ce treeeeeees long commentaire, peut être trop intime, mais en même temps c’est la vie et le commentaire est en accord avec ma compagne/fiancée bien entendu. Soyez libre de vos choix, soyez bienveillant mais soyez catégorique dans votre vie au risque de passez à coter de la vie que vous devriez vraiment avoir et au risque de se rendre compte à 40 ans avec une maison, une crédit et 3 enfants que enfaite... c’était pas du tout ce que vous vouliez de base et par le cercle de la société bah voilà. Attention encore une fois je dénigres personne, je critique aucune style de vie, je montre ça comme exemple car c’est ce qui se passe j’ai l’impression de plus en plus mais c’est tout. Alors écoutez vous, personne n’as à vous dicter votre vie, vos choix, et j’en passe. Amour, paix et liberté ✌🏼☮️ Merci à vous si vous avez lu, bonne soirée/journée à vous 😊💜💜
Merci pour cette vidéo ! L'asexualité est un sujet dont on devrai plus souvent parler ! Il y a un an quand je me posais des questions sur mon orientation sexuelle, il y avait tellement peu de vidéos sur le sujet ! Sans parler de l'aromantisme qui est pratiquement invisible encore comme sujet! Aujourd’hui je suis une fière Aro/Ace et c'est vrai que le découvrir m'a enlever un gros poids des épaules
Et aussi, fatiguant ce genre de questions sur le genre qui regroupent les styles vestimentaires ou la notion de "féminité / masculinité ". C'est pas parce que tu n'aimes pas porter des jupes et mettre du vernis depuis toute petite que tu es forcément homo/trans/asex/... tout ça c'est juste social, culturel, et l'idée que vous vous faîtes du genre. Vous vous poserez p-e moins de questions si vous cessiez de vous demander si vos comportements perso sont en accord avec ce que la société attend de vous, non? Éclairez moi si ma réflexion n'a aucun sens svp.
Chère Anarshiva, je me permets de vous contredire. Il est évident qu'il n'existe pas de "féminités" ou de "masculinités" intrinsèques et biologiques (j'insiste sur l'utilisation du pluriel). Par contre, ce sont des catégories qui structurent profondément les rapports sociaux (et donc qui existent!). Si nous étions dans une société où le genre neutre était une normalité (une société agenre?), il est évident que les individus n'éprouveraient pas le besoin vital de s'identifier à une norme ou à une autre. Il faut voir le genre comme un spectre très large. Certaines personnes sont non-binaires et répondent peut-être à votre description d'un individu émancipé. La plupart toutefois s'identifie par le genre qui leur a été assigné à la naissance et ne questionne pas le moins du monde le fait d'appartenir à une catégorie (et pas besoin de porter une robe pour performer une identité de genre...). Combien d'hétérosexuel.e.s m'ont rappelé - pour mon bien - que je n'avais pas besoin de m'identifier au stéréotype de la lesbienne pour vivre et être comme je le voulais ? Mais c'est sans compter le fait qu'ils ne se regardent pas agir et être, parce qu'ils pensent qu'ils sont neutres et apolitiques. Lorsqu'on ne répond pas aux codes dominants, on est obligé de négocier avec la norme. On peut par exemple la détourner (à travers une subculture particulière), se l'approprier ou la rejeter. Ce qui est évident, c'est que l'identification permet la visibilisation et la politisation de cette marginalité. Si l'on considère le genre comme une construction sociale et culturelle, alors tout le monde devrait pouvoir s'en saisir. Se dire gay, lesbienne, bi, trans, queer, asexuel, intersexe, etc. est profondément politique et c'est bien comme ça qu'on pourra subvertir les codes dominants.
Mais les enfants peuvent aussi comprendre ces codes et parfois s en servir pour exprimer leur identité de genre, c'est déjà arrivé pour des enfants qui expriment la dysphorie de genre à un très jeune âge, meme si bien sûr il ne s agit pas automatiquement de ça.
Ça fait longtemps que je connais l'asexualité mais je n'avais jamais eu l'occasion de rencontrer quelqu'un d'asexuel pour m'en parler davantage, pour que je comprenne mieux. Cette vidéo est vraiment la bienvenue, merci beaucoup à toutes les deux 😊
vidéo très intéressante ! c'est super pour quelqu'un comme moi (qui ne soufre d'aucune pression social, enfin je crois ?) d'en apprendre plus sur des thème comme celui-ci, ça me permet de mieux comprendre les gens comme Jamie. Même si pour moi à la base chacun est libre de vivre heureux selon sa propre vision du bonheur, que ce soit en vivant avec quelqu'un ou non (peu importe son genre), fonder une famille ou non, entretenir des relations sexuelles ou non, vivre en maison ou autre, etc... merci d'aborder des sujets comme celui-ci ^^
Merci de vous exprimer sur le sujet, en tant qu'asexuel' en couple avec une personne qui a du mal à comprendre un peu tout ça je pense que ça pourra aider ^^
J'ai pensé être asexuelle pendant un temps. Je m'y identifie dès fois encore de temps en temps. Mais bon, pas sûr de l'être, je préfère pour mon cas dire que j'ai une TRES TRES faible libido. aka j'ai 0 libido tout le temps sauf quelque jours par mois. Après j'ai un copain, qui lui a heureusement aussi une libido assez faible, donc on le fais peut-être... une fois tout les deux mois. Et on est heureux :3 Et perso pareil, je suis très heureuse quand je suis célibataire avec 0 relation sexuel. Ce qui me manque, c'est plus les câlins :/ Cool d'aborder le sujet ! ^^
L'asexualité est pas une question de libido mais d'attirance, perso j'ai aucune attirance pour les gens et je me considère comme asexuelle, même si j'ai une grosse libido et que je sexe souvent.
merci pour cette vidéo! étant moi aussi asexuel, j'ai eu ces questionnements, plus tard que Jamie en revanche, j'ai 29 ans. le questionnement était déjà là avant, mais c'est à mes 25 ans qu'il est devenu prépondérant dans ma façon d'appréhender ma vie sexuelle, qui jusque là était plus acceptée pour une certaine fonction sociale, que consentie. j'ai commencé à m'assumer asexuel et mes ami-e-s ont d' abord été réfractaires avec des réactions du genre "pas toi!"... ben si. et au final ça passe bien de manière générale, quand j'en parle, les gens acceptent, et me laissent m'exprimer sur mon approche de la sexualité et de l'asexualité. je pense avoir un entourage exceptionnel! c'est d'ailleurs pour ça que je considère ta vidéo comme importante.
Merci pour ce témoignage. Etant moi-même asexuel, ça me fait plaisir de visionner cette vidéo. La Carologie, ce que tu dis concernant la différence entre la souffrance dû à l'absence de libido et celle de la pression sociale que les aces subissent est une bonne piste pour savoir si on est asexuel ou non. Me concernant, je sais que je suis asexuel car je ne suis pas attiré sexuellement par autrui. Je ne désir pas sexuellement qui ce soit. Pour être simple, pour moi il y a le désir sexuel qu'on nomme libido et l'attirance sexuelle, qui est le désir sexuel dirigé vers une ou plusieurs personne-s. Être asexuel.le. c'est le fait de ne pas éprouver de désir sexuel pour autrui, et de ne pas ressentir de manque et de la frustration lorsqu'on n'a pas de relation sexuelle. Pour la question du plaisir, il y a aussi des personnes asexuelles qui aime bien pratiquer les relations sexuelles, et qui éprouvent le désir de donner du plaisir sexuel à autrui.
Cette vidéo me rend tellement content, elle est vraiment bien réalisée. Je suis content de voir de la représentation asexuelle. Etant moi-même asexuel, je me souviens que lire ou regarder des témoignages de ce genre m'a vraiment à me poser les bonnes questions sur ma sexualité. Merci beaucoup !
Super témoignage , comme d'habitude 😇. Merci pour ton travail et à tes invités( dans ce cas présent à Jamie) de se livrer aussi entièrement avec bienveillance pour notre bonheur et notre culture de soi. 💜
Merci beaucoup pour cette vidéo comme tjr très intéressante ! Une petite suggestion : ce serait peut-être bien de mettre le thème du sujet abordé dans le titre de la vidéo pour cette série comme ça quand on fait une recherche sur TH-cam sur un sujet qui nous intéresse on peut tomber sur ta vidéo :)
Merci pour ce sujet! Je pense être asexuelle et en couple, et ça me va quand c'est "de temps en temps", parce que moi j'aime beaucoup les câlins et les bisous, mais pas tellement le sexe (ou du moins il y a beaucoup de choses que je préfère faire à la place). Ces temps, j'ai pu bien en parler avec mon compagnon et ça fait du bien ^^ Pour moi, consacrer du temps à la sexualité c'est me priver de l'utiliser pour faire autre chose que j'aime +, mais si mon compagnon y met du sien, je peux apprécier le moment quand même.
Très intéressant cette vidéo, merci à vous deux!! ✨ Je me suis pas mal reconnue dans pas mal des points de Jamie, je me suis moi aussi souvent senties mal à l’aise lorsqu’avec mes amis, chacun raconte ses dernières histoires d’amour, sexuelles et que dans mon cas il n’y avait rien. J’écoutais leurs histoires avec plaisir mais ressentais une certaine honte à ne rien avoir à dire en retour. Alors à de nombreuses reprises, je m’étais forcée à avoir des histoires au lycée notamment. Maintenant que cela fait quelques années que je ne me force plus, je vois à quel point me forcer a eu des répercussions sur moi. Je trouve que ces questions restent tabou entre amis, encore aujourd’hui j’ai parfois honte d’aborder le fait que je ne crush sur personne et que je ne ressens pas de désir. Alors merci pour la vidéo!
C’est toujours intéressant d’avoir une perception différente autre travers des témoignages des autres. Cette vidéo m'a fait un tilt dans la tête entre deux sujets différents quand elle a utilisé un mot bien précis : légitimité 8:23 « On est soulagé d'avoir cette légitimité-là » Ainsi (entendu ailleurs, tiré d'une étude) que le fait qu'un couple parental soit légalement reconnu (ex : mariage) aux yeux de la société est bénéfique dans le développement cognitif de l'enfant. C’est là aussi une forme de légitimité. Le crois que je vais être très attentif au effet de, la légitimité et de l’illégitimité perçu, dans mes prochaines réflexions. Je sens que ça va enrichir ma perception de la pression sociale :) Ça me fait déjà réflexionner sur l’idée que la construction sociale est probablement une forme primitive (au sens 1er) de la loi :) Avec des intérêts nécessaires pour le collectif et des conséquences négatives sur l’individu, notamment avec la normalisation et la réputation. Il y a aussi le besoin vital de trouver SA case, son identité. Je sens qu'il y a un lien à faire entre les deux *-*
Merci pour la vidéo ! Juste envie de revenir sur le "A privatif" ; "privatif" veut juste dire qu'on "prive" le mot qui suit de son sens positif (donc qu'on met une négation), et pas qu'on "prive" du mot qui suit... "Asexualité" signifie "sans sexualité", et pas "qu'on prive de sexualité". Tout comme "Athée" signifie "sans dieu", et pas "qu'on prive d'un dieu", d'ailleurs. Les athées n'ont pas l'impression qu'un dieu leur manque. Bref, je pense pas qu'on pourrait considérer le terme "asexualité" incorrect à cause de ça. Mais c'est vrai que "la sexualité" et "l'asexualité" qui se prononcent pareil, c'est un peu con x)
Ce qui pourrait être chouette aussi serait de mettre en parallèle un témoignage sur la demi-sexualite, ou alors une vidéo sur la nuance dans le spectres de la sexualité ^^ Car je pense que cette notion est encore moins visible, et que ça peu foutre un peu le bordel dans la tête des personnes qui se situe pas sur les extrémités de ce spectre, et non pas encore pu mettre un mots sur leurs cas à eux ^^' En effet, ayant pu moi-même nommer ma demi-sexualité il n'y a pas si longtemps, j'aurais pu me reconnaître dans certains propos, mais en même temps pas vraiment et... Bref je pense que c'est clair ce que je voulais dire xD
Coucou Carolina, j'ai trouvé cette vidéo très intéressante étant moi même concernée, merci à vous deux. Penses tu réaliser une rencontre en vidéo avec une personne ayant un TDAH ? J'ai ce trouble de l'attention et le mettre en lumière serait intéressante et bénéfique. Bisous ♡
J'ai mis longtemps à accepter ma propre asexualité car en plus de ne pas être une question facile à aborder ni à comprendre d'ailleurs, j'ai eu du désir charnel pour des gens. Ça m'est arrivé aussi de lire des passages de livre où une relation sexuelle était décrite et de trouver ça attrayant voir même de fantasmer pour moi mais je n'ai jamais vraiment l'envie de concrétiser mes pensés. J'en ai marre d'attendre le jour où ça me plaira. Non, je ne suis pas cassée même frigide. Je ne veux pas aller plus loin et bordel ce que je me suis prise dans la gueule pour avoir dit ça à des amis.
Merci pour cette vidéo et ton témoignage. Il en faudrai plus des vidéos comme ça pour donner de la visibilité à cette orientation si peu représentée et mal comprise ...
Merci pour ce témoignage car il y a peu de documentation sur le sujet. Même moi qui ai fait mon Bachelier en psychologie, on n'en n'a pas parlé. Je trouve ça scandaleux
Je pense aussi qu'il faudrait ajouter que asexualité ne veut pas dire "ne pas être intéresser par la sexualité". je m'explique: ne pas parler de sexualité à une personne asexuelle sous prétexte qu'elles ne la pratique pas est quelque part l'isoler, et lui dire que quelque part elle n'a pas la légitimité d'en parler. Donc asexualité ne veut pas dire forcément comme c'est le cas de cette femme de "Ya plein de chose intéressante sur quoi discuter, ne me parler pas de sexualité". J'espère avoir été clair. Biensur il n'y a rien de mal à ne pas vouloir parler de sexualité mais être asexuel n'a pas de lien je trouve
Attention au parallèle maladie/asexualité. Quand tu parles de la découverte de ton asexualité, tu te dis soulagée, de mieux comprendre, de pouvoir mettre un mot dessus et de pouvoir l'expliquer. Tu donnes alors l'exemple de découverte une maladie qui expliquerait les maux d'une personne etc... Alors autant moi je comprends tout à fait que tu n'identifies pas et ne compares pas dans ton exemple, l'asexualité à la maladie, mais bien que tu fais juste un parallèle sur la DÉCOUVERTE de la raison de nos maux/problèmes/questionnements/incompréhensions. Mais trop de gens, ne comprenant pas l'asexualité, la casent dans la maladie (psychologique, physique, hormonale, ce que tu veux), on en a un exemple dans les commentaires. Alors ne leur donnons pas d'eau pour leur moulin. Bien qu'il est vrai, qu'il existe chez les asexualités des personnes qui ont pu vivre un traumatisme ou une éducation qui a pu les entrainer vers l'asexualité. J'avais lu une phrase je ne sais plus où que j'avais trouvée très juste : ce qui fait plus peur qu'une sexualité différente, c'est l'absence de sexualité. C'est incroyable qu'on veuille nous "soigner". Pendant des années on a tenté de "soigner" l'homosexualité avec toutes les conséquences psychologiques terribles qu'on connait aujourd'hui. Pourquoi la différence fait-elle si peur et qu'on doit impérativement y trouver une raison qui rentre bien dans les petites cases de la "normalité" du commun des mortels ? Outre l'asexualité, il y a aussi la demi-sexualité (autres appellations : sexualité grise / asexualité grise / a-gris). Effectivement il y a l'hyposexualité et l'intensité sexuelle basse. Mais il semble que ceux qui s'identifient comme A-gris ont tendance à pencher vers le côté plus asexuel du spectre.
Il est vrai que tant qu’une personne se sent bien dans sa sexualité, on devrait la laisser tranquille. Chacun son chemin, son rythme. Je suis une femme, hétéro. Même si j’ai eu des problèmes à cause d’abus sexuels pendant l’enfance, je sentais bien que je n’étais pas à l’aise à ce moment-là. Et même dans ce cas précis, vouloir guérir les gens ne me semble pas une bonne idée, car j’ai l’impression qu’il faut aussi le bon moment. Mieux vaut se concentrer sur sa personnalité dans son ensemble et pas qu’un seul aspect, pour se sentir bien avec soi et les autres (même si cela inclut une certaine « solitude » si c’est dans notre nature profonde) et non se conformer à des moules qui ne nous correspondent pas. J’ose partager, même si je ne suis pas LGBT+ parce que je trouve dommage qu’il pourrait y avoir une fracture à cause de la sexualité. Nous sommes tellement plus 🙂 Et je ne minimise pas du tout les difficultés particulières rencontrées. Juste que j’espère qu’on pourra ne pas créer des communautés qui n’échangent plus. 😘
@Chou Kri Ton com est super intéressant, j'y avais pas pensé. J'avoue qu'il y a un côté qui m'a dérangée aussi dans ce passage, mais c'est pas forcément ce que toi tu dis. C'est plutôt que je trouve pas ça très respectueux pour les gens qui apprennent avoir une maladie chronique de le mettre au même rang qu'une sexualité. En espérant ne pas avoir dit une énormité.
Le mot en lui -même est péjoratif... "asexuel" = "non-sexuel"... aucunement représentatif quand comparé au large spectre de l'asexualité (où la tolérance varie). La vision biaisée d'une société cherchant à définir une orientation par la négation d'une orientation qui lui est propre, example; "t'es noir?... non, je suis a-blanc", "t'es une femme?... non je suis a-homme". C'est horrible. Mais il y a au moins un mot qui existe, même si c'est pas le meilleur. Va de même pour le statut à l'état civil où les gens sont définit selon leur statut maritale hétéronormé où l'état présume que tous ressentent le besoin d'être en couple. "Marié, divorcé, veuf, célibataire"... mais aucunement l'option "aromantique, pas besoin d'être en couple pour se sentir complet"... qui n'est pas en soi un célibat ou de la chasteté.
Salut, moi j'ai juste du mal à comprendre pourquoi vous avez tant besoin de trouver la case dans laquelle la société va vous ranger... Je ne trouve aucune case me correspondant et je n'en souffre pas, bien au contraire je considère la société comme malade et m'en exclure me fais sentir bien .... Les constructions sociales vous détruisent, construisez vous sans tout ces concepts réducteurs et ca devrait aller ...
Mais comment se construire sans tout ces concepts ? Comment se construire en dehors de cette société? Et comment trouver un métier en étant ''à côté'' de la société par exemple ?
Y'a des gens qui ont besoin de cases et de termes auxquels s'identifier. Tant mieux pour toi si tu vies sans, ça ne veut pas dire que c'est la marche à suivre pour tous le monde :)
chacun trouve ce qu'il lui fait sentir confortable et surtout cela prend du temps. Pour moi à un moment donné me définir bisexuelle puis pansexuelle me faisait me sentir bien, on ne se sens plus aussi seul.e peut-être aussi et c'est important de reconnaître les différences dans une société pour les accepter. Mais maintenant je m'en fiche et j'utilise rarement ces termes pour me définir car je n'en ai pas besoin.
Les "constructions sociales" cest parmi les principes de base de survie dun etre humain , alors super pour vous si vous vous sentez completement libre de tout ca mais si tous les humains etaient comme vous il n'y aurait jamais eu de cultures/civilisations/langues ...etc Se permettre de vivre en marge de la sociéte cest une richesse (dans tous les sens du terme) que tout le monde ne peut pas se permettre d'avoir .
Dans un premier temps, il ne faut pas confondre asexué (dépourvu de sexe) et asexuel (qui n'a pas de rapport sexuel). Enfin, avant d'être "sexuel" c'est à dire d'être attiré sexuellement, c'est-à-dire quand on est petit, on sait très bien faire la différence entre son ami(e) ou son amoureux(se). Là c'est pareil. Ce sont les sentiments. Si notre pote a une relation, on n'est pas jaloux, si notre compagnon/compagne nous trompe, on l'est, qu'on ait des relations sexuelles ou pas. Je parle pour moi et je ne me permettrais pas de parler au nom des relations polyamoureuses ou/et aromantiques. En tout cas pour ma part, je l'exprime comme ça cette différence. Je ne suis pas amoureux de mes potes, je le suis de ma conjointe, que je couche avec elle ou non.
Certaines personnes asexuelles peuvent avoir des relations par plaisir, pour avoir envie de faire plaisir à un partenaire non asexuel... c'est juste qu'ils auront pas de désir sexuel pour qqu
Témoignage très intéressant mais assez brouillon, ça aurait mérité un petit travail de préparation ou de montage pour qu'on puisse mieux suivre ce qu'elle dit!
Je sais pas comment tu peux te définir Asexuel quand ta la vingtaine.. Ta encore toute ta vie pour ressentir l’attirance sexuelle. Je dis pas que ça existe pas mais il faut du temps avant d’être assez en confiance pour désirer. Moi j’ai rien ressenti avant mes 21 ans ... 🤨
Est-ce que ça s’explique biologiquement? Cette absence « d’instinct » ? J’ai du mal à comprendre d’où ça vient, étant donné qu’à la base, notre fonction première est de transmettre la vie. 🤔
Bizarrement il n'y a pas eu de levé de boucliers sur cette question. Et à la base il faut aussi un homme et une femme. Comment on explique-t-on biologiquement l'homosexualité ? Cette question découle naturellement de la remarque "notre fonction première est de transmettre la vie" pourtant celle-là est politiquement incorrecte.
C'est intéressant cette manière qu'on la plupart des gens qui parle de ce genre de sujet d'affirmer par exemple "qu'il s'agit d'une orientation sexuelle" et "qu'il ne s'agit pas d'une maladie", puisque de facto et stricto sensu il ne s'agit pas d'une orientation sexuelle (puisqu'il n'y a pas de choix de partenaire sexuel) et que les causes vraisemblables de l'asexualité se situent au niveau de déficits organiques qui pourraient se résoudre si on en comprenais la logique. A partir de là, loin de moi l'idée de dire qu'il est mal d'être hors norme, ou qu'il est mal d'avoir une maladie. Mais il me semble ça n'a strictement aucun rapport.
Si tu préfères, tu peux appeler ça une "absence d'orientation sexuelle" mais sache que l'asexualité n'est en aucun cas lié à un déficits organiques. Tu peux être asexuel en étant parfaitement fertile, avec des organes sexuels parfaitement fonctionnels associés à un taux d'hormones parfaitement équilibrés et aucunes maladies chroniques ou autres. Tout comme il existe des gens sexuels qui n'ont pas tout ça. Les gens ne se contentent pas "d'affirmer", les gens l'ont déduit. Ce n'est pas parce que ça ne rentre pas dans ce que tu considères "normal" ou "sain" que c'est une maladie. Parce que si l'absence d'attirance est une maladie, dans ce cas pourquoi les hétéros et les homos ne sont -ils pas aussi malade parce qu'ils ne sont pas attirés par tout le monde ? En suivant ta logique jusqu'au bout, seuls les Pansexuels ne sont pas malades ?
@@sawyernono1237 Merci pour ton commentaire. Moi je ne préfère rien, je m'intéresse surtout à la logique des concepts. Et moi, si je suis ta logique il me semble que je vais en arriver à l'idée que, par exemple, l'autisme (qui se caractérise par un ensemble de déficits fonctionnels), n'est pas une maladie non plus. Toute la question est de savoir si c'est un état qui peut évoluer, et si oui sous quelles modalités (naturelles, artificielles ?), hors on ne le sais pas jusqu'avant qu'on y arrive. La notion de maladie n'étant pas un concept vraiment bétonné je pense qu'on peut évidemment le remettre en question. Cela dit si je me contente de la définition stricto sensu (altération d'une fonction très très majoritairement présente dans l'ensemble du vivant et à l'épicentre du processus même du vivant) il me semble que l'on peut utiliser ce terme. Je ne vois pas du tout le rapport entre l'idée de sanité et celui de norme, c'est quoi qui fait rentrer cette notion que je réfute. Tu te rendras compte par toi-même que ton exemple concernant le fait que tout le monde n'est pas attiré par tout le monde est fallacieux puisque le principe même de la fonction sexuelle consiste à sélectionner un partenaire et pas d'être attiré par tout le monde. En outre, je ne savais pas que les pansexuels étaient attirés par tout le monde et je ne pense pas que ce concept signifie cela (plutôt une attirance envers certaines personnalités indépendamment de leurs genres).
@@cultivetonjardininterieur2304 a te noté, effectivement l'autisme n'est pas une maladie mais un syndrome (syndrome autistique) , on ne parle pas quand on ne connait pas un sujet point barre :)
@@Hortypik Oui, merci pour ta brillante intervention. Il me semble que le terme "syndrome" renvoie à l'idée d'une association de symptômes diverses qui sont fréquemment associés et qui caractérisent un état particulier, jugé (arbitrairement) comme pathologique ou non. Es-tu capable de me dire où est-ce que fini la santé et où commence le pathologique ?
Vous coupez beaucoup trop les cheveux en 1000 ans... c’est vraiment essayer de se trouver des maux inexistants. Cet vidéo est vriament l’exemple parfait des pb dérisoires des occidentaux. Il faut arrêter à un moment donner....
De rien ? Et tu te coupes beaucoup trop les ongles en 200 ans. Et sinon, les gays aussi s'inventent des maux inexistant ? C'est aussi à cause de ce genre de réaction que les personnes comme Jamie restent dans le silence et ne s'expriment pas. Parce que c'est dérisoire et absurde et que du coup, à quoi bon en parler vu qu'on sera vu comme des bobo gauchiasse et des occidentaux de merde qui s'inventent des "maux". Faudra m'expliquer en quoi le fait de ne pas avoir de désir sexuel est un mal, mais ok ouais. Ce qui est un mal par contre, ce sont toutes les remarques du style "mais tu ne baises pas ? Tu ne sais pas ce que tu rates." À longueur du temps. Et que tu devrais te faire tringler pour te décoincer. Que c'est dérisoire d'être prise pour un vulgaire sac de viande, ouais. :) Je suis en train de me dire que tu n'as pas regardé la vidéo et que tu es un vulgaire troll pas drôle, et le commentaire en dessous non plus.
Un prochain témoignage sur l'aromantisme ce serait top!
J'ai découvert ce terme dans cette vidéo et j'approuve je souhaite en savoir plus
C'est quoi ? Les gens qui veulent pas de vie de couple ?
@@aureliemarechal6221 Être aromantique c'est le fait de ne pas éprouver d'attirance romantique pour autrui. Autrement dit, les personnes aromantiques n'éprouvent pas de sentimens amoureux pour qui ce soit. On est capable d'aimer les gens mais par contre, on n'identifie pas notre amour comme étant de nature romantique/amoureuse.
@@samo1503 C'est entièrement cela. J'ai 19 ans, et malgré mon age, je n'ai jamais ressenti ou essayé de me mettre en couple. Parfois, j'en ai envie, parfois je me demande si je suis vraiment aromantique, mais ce désir est éphémère et pas douloureux. Et dans mon cas, je n'identifie pas non plus un amour amical ou familial envers les gens qui m'entoure. Il est donc assez difficile dans mon cas si je suis aromantique ou si cela est du a mon éducation ou je n'ai connu que très peu l'amour ou si c'est ma nature de scellé les mauvais sentiments dans une boite de pandore.
@@SheneySan Je ne sais pas si c'est le cas de beaucoup d'aromantiques ou non, mais je suis aromantique et je n'arrive pas à différencier les sentiments affectifs que j'éprouve pour les personnes que j'aime.
J'arrive juste à distinguer la tendresse qui se développe en moi au file du temps que j'apprends à connaitre une personne et celle qui est causée par un squish, c'est à dire un coup de coeur platonique (non romantique) ou amical. Ici il n'y a pas de différence entre coup de coeur platonique et coup de coeur amical,
Sainte Caroline avec sa couronne en aloé vera 😂
😂😂 bien vu
C'est vrai que la plante lui fait une jolie couronne !!!💮
Lol ! j'avais pas remarqué !
Caro, merci encore pour cette tribune que tu m'as donné. C'était libérateur de pouvoir en parler. Merci pour ta bienveillance, ton accueil, ton sourire et cette entrevue.
Si vous êtes intéressé.e.s à me questionner ou simplement discuter, je réponds volontiers sur Instagram sur le compte @asexualite_romandie
Mon but est de donner la visibilité aux personnes qui en ont besoin et leur permettre de ne pas se sentir seul.e.s. Vous pouvez également trouver un groupe sur Facebook : Asexualité : réseau suisse romand.
Merci encore pour tous vos commentaires, positifs et constructifs et votre accueil qui me va droit au cœur.
"La sexualité c'est différent chez chacun", c'est tellement vrai et c'est génial de le rappeler merci!
Tes cheveux sont magnifiques Caro
de ouf!
Mille merci de mettre ce sujet en lumière 🥰 la métaphore que j'ai lu récemment et qui représente assez bien l'asexualité et tout son spectre autant pour les gens ace mais aussi très accessible pour les gens qui ne le sont pas : prenons un avocat 🥑 pour représenter les relations sexuelles (ou tout autre aliment), il y aura des gens qui adoreront les avocats mais auront pas faim, des gens qui adorent les avocats et peuvent en manger sans faim par gourmandise, des gens qui n'aiment pas les avocats mais auront quand même faim, des gens qui n'aiment pas particulièrement les avocats mais si il y en a ils en mangeront, des gens qui n'aiment pas les avocats seuls mais en mangeront dans un plat, et inversement des gens qui n'aiment les avocats que seul, des gens qui aiment les avocats mais n'ont jamais particulièrement envie d'en manger etc etc !
Carolina si jamais ça t'intéresse d'aller un peu plus profondément dans le sujet que ce soit pour ta propre compréhension ou pour en parler sur ta chaîne je serais super heureuse d'en discuter avec toi, de parler aussi des differentes orientations qu'on peut trouver sur ce spectre (notamment demisexualité que je connais le mieux puisque c'est ce que je vis au quotidien)
Merci à Jamie pour son témoignage enrichissant 😊 et merci à toi Caro pour ta douceur et ta bienveillance 🤗
C’est tres intéressant ! L’assexialite met en lumiere de graves problèmes culturels, essentiellement d’origine patriarcale d’ailleurs, comme l’idee du consentement. Car si on considère que l’être humain « sain » doit avoir du désir sexuel. Alors celui qui n’a pas désir sexuel est force à en avoir sinon il est considere comme malade ! La pression sociale peut vraiment faire bcp de dégâts !!
Aussi, reconnaître l’assexualite repose la question de la sursexualisation de nos societes. Pourquoi presque tout tourne autour de ça ?!!! C’est réducteur, c’est excluant et cela crée des rapports de force, des inégalités et des violences.
Dernière remarque importante. L’assexualite donne une place aussi aux personnes qui ont subi des abus sexuels et ne veulent plus avoir à faire avec la sexualité. Car c’est une double peine, que de considérer une personne qui a un jour été victime d’un prédateur sexuelle comme « non-résiliente » car elle ne peut pas ou ne veut pas avoir de relations sexuelles avec les autres. On va souvent le leur reprocher « il faut passer à autre chose » , « c’est bon maintenant il faut que tu remonte à cheval »... Elles ont le droit d’avoir le choix et ça ne doit pas les stigmatiser à vie !!
Comme on n’obligerait pas aujourd’hui à un homme de pleurer, car ce n’est pas normal de ne jamais pleurer. On ne le considere pas dans la société comme une victime honteuse. Non, il a connu une éducation qui l’a brimé et ça fait de lui ce qu’il est maintenant. On est tous le fruit de blessures et de violences qui nous laissent des cicatrices, mais pourquoi certaines sont stigmatisées par la « bien séance sociale » et d’autres non ? C’est aberrant!
Euh qqu qui ne veut pas de rapports n'est pas forcément asexuel... tu peux être traumatisé d'un viol ou une agression et être parfait hétéro ou bi ou homo etc
Axelle Crazy7 Bien sur ce n’est pas ce que je veux dire. C’est que si la société accepte l’asexualite elle laissera tranquille toutes les personnes qui n’ont pas de sexualité quelque soit la raison.
Je suis complètement en accord avec toi.
Tout tourne tellement autour du sexe que ne pas avoir de sexualité est perçu comme une absence d'épanouissement, un défaut dans notre vie. Et cela ramène aussi aux comportements pulsionnels de notre société, il faut consommer tout à outrance y compris le corps...
ki Be j’allais rajouter exactement la même que vous. Pour illustrer ce propos, ma compagne, qui est superbe etc et je ne la dénigre pas du tout car on en a beaucoup parlé et je lui en veux pas du tout d’avoir pensé comme ça et de pense encore comme ça malgres elle, je suis malade chronique et je suis en attente de diagnostique. Je souffre énormément de partout et cette « maladie » m’as déclenché des problèmes niveaux gastro-entérologie, urologie, gynécologique, cérébral etc... (je n’ai pas honte de le dire, si je peux aider quelque personne dans mon cas même une personne voilà. Merci de pas se « moquer » etc. Donc notre sexualité en a fortement pris un coup. Ma compagne ayant déjà une libido beaucoup plus forte que moi en plus, c’est très difficile pour elle. Je vous dit ça car à un moment, ça a commencer à allais très mal dans notre couple et je comprenais pas pourquoi car on en avais parler de ma « Maladie » et ne voulant pas imposer mon mal être, malgres tout l’amour que je lui porte, je lui vais clairement dit « écoute, ça va être de pire en pire, je veux pas t’imposer ce poids, si tu sens que tu vas pas en être capable et c’est pas être lâche ou quoi, je préfère qu’on mette fin à notre relation plutôt que tu me lâches au moment où je serais le plus faible physiquement et forcément psychologiquement » et malheureusement, c’est que qui sait passer et c’est ce qui se passe, ma santé psychologique et physique, vas de plus en plus mal, malgres les médicaments et j’en passe. On en parler pendent des jours et elle m’as clairement dit que elle serait toujours là et elle m’as fait le plus beaux cadeaux au monde en me demandent en fiançailles dans un endroit plus que magnifique et en faisait les choses comme dans mes rêves pour me prouver son amour. Bref je m’éparpille désolée. Cependant... comme je commencer à vous dire précédemment, notre couple a commencer après a allez de plus en plus mal et je comprenais pas, et je me disais bah mise a part le faite qu’on a moins de relations sexuelle, je vois pas le problème et un jour bah forcément, a force d’éviter le sujet, bah ça a « éclater » et je lui est clairement dit « C’est parce que on a moins de relations sexuelles que notre couple s’éteint de jour en jour? » et elle m’as répondu « Oui. Si on fait pas l’amour, on est plus un couple, je suis juste ta pote enfaite, tu me désires plus, etc ».
Déjà cela m’as fait énormément culpabiliser et je lui ai dit. J’ai été très mal. Car, j’avais envie mais de moins en moins et quand nous avions des relations sexuelles, avec mes fortes douleurs, bcq de choses était restreintes et courte. Mais l’amour était là, les câlins étaient là, les bisous étaient là etc mais non... pour elle couple sans relations sexuelle plusieurs fois par semaine= un couple en déclin. J’ai creuser après et j’ai vite compris pourquoi elle pensée cela et marcher comme ça, est au fond elle sait rendus compte que... dans le passé, avec des hommes, car elle arriver pas à assumer son homosexualité, bah c’était la norme. Et plusieurs jours plus tard elle m’a dit « enfaite, j’avais pas tellement envie, c’était juste un automatisme parce c’était comme ça, parce que fallait faire l’amour car on étais un couple donc c’était logique ».
Vous allez me dire que c’est très intime ce « témoignage ». Je le met en écrit, car ça me choque toujours autant car j’ai jamais été comme ça. Et ça m’as choqué et je suis descendu tellement de haut quand j’ai commencer à demander à mes amies hétérosexuelles (car j’ai bien remarquer que dans mon entourages d’amis lesbienne ce n’étais pas du tout la même pensée après je fais pas une généralité je parle juste de mes amis mais c’est un fait quand même, ce n’est pas du tout la même dynamique et j’ai toujours été persuadé de ça, après ça reste que un avis personnel et sans doute pas objectif, je dénigres personne et aucune communauté, pas du tout.) et oui, elle disait pareil. Encore aujourd’hui, je suis sans doute naïve, mais je ne comprend pas.
Pour en conclure de ce commentaire, vous m’excuserez, sûrement complètement décousu et avec des fautes d’orthographes je m’en excuses d’avance, je voulais mettre en avant et en illustrant votre commentaire et ceux des autres, que oui, la sexualité pour la majorité des gens est le centre de tous. La preuve en est dans mon exemple, je trouve. Je ne suis pas asexuelle, pas du tout, mais je suis déjà restée des mois sans relations sexuelles, sans gènes, je me contenter très bien toute seule, car la vie c’est pas d’avoir des relations sexuelles tout le temps, et ça fait pas un couple non plus. Mais je me suis rendus compte que beaucoup de couples rester ensemble, dans leur maison, etc depuis le début juste parce que le sexe matcher bien et que si ça marcher plus ils donneraient pas long feux a leur relations. Je trouve ça tellement triste. Alors oui, évidemment pour les personnes non asexuelle le sexe fait partie de la relations et faut être sur la même longueur d’onde évidemment mais à cause de cette société hypersexualisée, jusqu’à pour vendre une boisson, UNE BOISSON SVP enfin... on se retrouve là. C’est tellement triste. Il n’y a pas que ça dans la vie, il a les conversations/l’échanges, l’Amour avec un grznd A, les gestes du quotidien mutuelle, etc.. oui le sexe en fait partie bien sûr je dirais jamais le contraire mais à ce point là, je trouve ça inquiétant voir... malsain parfois. Quand je vois juste la relation de mes parents qui se connaisse depuis 30 et sont métier depuis 24 ans, de comment ils étaient jeunes, leur parcours etc et les couples de maintenant. Bah... bah mon Dieu quoi hein.
Avec ma compagne tout se passe très bien, nous sommes fiancées et c’est la Femme de ma vie, mais oui il y a eu de passage difficile. Alors oui forcément mon exemple est peut être dans l’extrême car je suis malade etc... et sans doute que dans ça, il y aurait pas eu ce problème car moi même voilà😅 mais ça nous a permis de mettre ça en lumière et je trouve ça très important car je trouve quand même que c’est un gros problème de voir le couple comme ça. Elle le voyait bcq moins comme ça en étant avec moi, une Femme, elle se « forçait » pas du tout car elle a tjr aimer les femmes juste encore une fois à cause de la société et la peur du jugement elle n’osait pas allez rencontrer une femme, mais quand même. J’ai été soulager quand elle m’as dit ça mais quand même, si on avait pas parler de ça, je sais pas ce qui se serait passer. Elle s’en veux terriblement maintenant qu’elle c’est remise en question et je lui en veux pas du tout limite je culpabilise du coup... mais voilà.
Désolée pour ce treeeeeees long commentaire, peut être trop intime, mais en même temps c’est la vie et le commentaire est en accord avec ma compagne/fiancée bien entendu.
Soyez libre de vos choix, soyez bienveillant mais soyez catégorique dans votre vie au risque de passez à coter de la vie que vous devriez vraiment avoir et au risque de se rendre compte à 40 ans avec une maison, une crédit et 3 enfants que enfaite... c’était pas du tout ce que vous vouliez de base et par le cercle de la société bah voilà. Attention encore une fois je dénigres personne, je critique aucune style de vie, je montre ça comme exemple car c’est ce qui se passe j’ai l’impression de plus en plus mais c’est tout. Alors écoutez vous, personne n’as à vous dicter votre vie, vos choix, et j’en passe.
Amour, paix et liberté ✌🏼☮️
Merci à vous si vous avez lu, bonne soirée/journée à vous 😊💜💜
Merci pour cette vidéo ! L'asexualité est un sujet dont on devrai plus souvent parler ! Il y a un an quand je me posais des questions sur mon orientation sexuelle, il y avait tellement peu de vidéos sur le sujet ! Sans parler de l'aromantisme qui est pratiquement invisible encore comme sujet! Aujourd’hui je suis une fière Aro/Ace et c'est vrai que le découvrir m'a enlever un gros poids des épaules
Et aussi, fatiguant ce genre de questions sur le genre qui regroupent les styles vestimentaires ou la notion de "féminité / masculinité ". C'est pas parce que tu n'aimes pas porter des jupes et mettre du vernis depuis toute petite que tu es forcément homo/trans/asex/... tout ça c'est juste social, culturel, et l'idée que vous vous faîtes du genre. Vous vous poserez p-e moins de questions si vous cessiez de vous demander si vos comportements perso sont en accord avec ce que la société attend de vous, non? Éclairez moi si ma réflexion n'a aucun sens svp.
Complètement d'accord, surtout que selon la culture et l'époque à laquelle tu vis ces stéréotypes peuvent être complètement différents...
Chère Anarshiva, je me permets de vous contredire.
Il est évident qu'il n'existe pas de "féminités" ou de "masculinités" intrinsèques et biologiques (j'insiste sur l'utilisation du pluriel). Par contre, ce sont des catégories qui structurent profondément les rapports sociaux (et donc qui existent!). Si nous étions dans une société où le genre neutre était une normalité (une société agenre?), il est évident que les individus n'éprouveraient pas le besoin vital de s'identifier à une norme ou à une autre.
Il faut voir le genre comme un spectre très large. Certaines personnes sont non-binaires et répondent peut-être à votre description d'un individu émancipé. La plupart toutefois s'identifie par le genre qui leur a été assigné à la naissance et ne questionne pas le moins du monde le fait d'appartenir à une catégorie (et pas besoin de porter une robe pour performer une identité de genre...).
Combien d'hétérosexuel.e.s m'ont rappelé - pour mon bien - que je n'avais pas besoin de m'identifier au stéréotype de la lesbienne pour vivre et être comme je le voulais ? Mais c'est sans compter le fait qu'ils ne se regardent pas agir et être, parce qu'ils pensent qu'ils sont neutres et apolitiques.
Lorsqu'on ne répond pas aux codes dominants, on est obligé de négocier avec la norme. On peut par exemple la détourner (à travers une subculture particulière), se l'approprier ou la rejeter. Ce qui est évident, c'est que l'identification permet la visibilisation et la politisation de cette marginalité. Si l'on considère le genre comme une construction sociale et culturelle, alors tout le monde devrait pouvoir s'en saisir. Se dire gay, lesbienne, bi, trans, queer, asexuel, intersexe, etc. est profondément politique et c'est bien comme ça qu'on pourra subvertir les codes dominants.
Mais les enfants peuvent aussi comprendre ces codes et parfois s en servir pour exprimer leur identité de genre, c'est déjà arrivé pour des enfants qui expriment la dysphorie de genre à un très jeune âge, meme si bien sûr il ne s agit pas automatiquement de ça.
Ça fait longtemps que je connais l'asexualité mais je n'avais jamais eu l'occasion de rencontrer quelqu'un d'asexuel pour m'en parler davantage, pour que je comprenne mieux. Cette vidéo est vraiment la bienvenue, merci beaucoup à toutes les deux 😊
vidéo très intéressante ! c'est super pour quelqu'un comme moi (qui ne soufre d'aucune pression social, enfin je crois ?) d'en apprendre plus sur des thème comme celui-ci, ça me permet de mieux comprendre les gens comme Jamie. Même si pour moi à la base chacun est libre de vivre heureux selon sa propre vision du bonheur, que ce soit en vivant avec quelqu'un ou non (peu importe son genre), fonder une famille ou non, entretenir des relations sexuelles ou non, vivre en maison ou autre, etc... merci d'aborder des sujets comme celui-ci ^^
Merci de vous exprimer sur le sujet, en tant qu'asexuel' en couple avec une personne qui a du mal à comprendre un peu tout ça je pense que ça pourra aider ^^
Ca ne doit pas être idéal pour la personne qui n'est pas asexuelle. Ne vaut-il pas mieux se mettre en couple avec d'autre asexuel justement ?
Ou alors ouvrir le couple
Ce format de vidéo est tellement intéressant, merci pour nous apprendre autant de choses !
J'ai pensé être asexuelle pendant un temps. Je m'y identifie dès fois encore de temps en temps. Mais bon, pas sûr de l'être, je préfère pour mon cas dire que j'ai une TRES TRES faible libido. aka j'ai 0 libido tout le temps sauf quelque jours par mois. Après j'ai un copain, qui lui a heureusement aussi une libido assez faible, donc on le fais peut-être... une fois tout les deux mois. Et on est heureux :3
Et perso pareil, je suis très heureuse quand je suis célibataire avec 0 relation sexuel. Ce qui me manque, c'est plus les câlins :/
Cool d'aborder le sujet ! ^^
L'asexualité est pas une question de libido mais d'attirance, perso j'ai aucune attirance pour les gens et je me considère comme asexuelle, même si j'ai une grosse libido et que je sexe souvent.
Ca peut venir de ton alimentation, c'est possible que tu ne mange pas assez gras.
merci pour cette vidéo!
étant moi aussi asexuel, j'ai eu ces questionnements, plus tard que Jamie en revanche, j'ai 29 ans. le questionnement était déjà là avant, mais c'est à mes 25 ans qu'il est devenu prépondérant dans ma façon d'appréhender ma vie sexuelle, qui jusque là était plus acceptée pour une certaine fonction sociale, que consentie. j'ai commencé à m'assumer asexuel et mes ami-e-s ont d' abord été réfractaires avec des réactions du genre "pas toi!"... ben si. et au final ça passe bien de manière générale, quand j'en parle, les gens acceptent, et me laissent m'exprimer sur mon approche de la sexualité et de l'asexualité. je pense avoir un entourage exceptionnel! c'est d'ailleurs pour ça que je considère ta vidéo comme importante.
Merci pour ce témoignage. Etant moi-même asexuel, ça me fait plaisir de visionner cette vidéo. La Carologie, ce que tu dis concernant la différence entre la souffrance dû à l'absence de libido et celle de la pression sociale que les aces subissent est une bonne piste pour savoir si on est asexuel ou non.
Me concernant, je sais que je suis asexuel car je ne suis pas attiré sexuellement par autrui. Je ne désir pas sexuellement qui ce soit. Pour être simple, pour moi il y a le désir sexuel qu'on nomme libido et l'attirance sexuelle, qui est le désir sexuel dirigé vers une ou plusieurs personne-s. Être asexuel.le. c'est le fait de ne pas éprouver de désir sexuel pour autrui, et de ne pas ressentir de manque et de la frustration lorsqu'on n'a pas de relation sexuelle.
Pour la question du plaisir, il y a aussi des personnes asexuelles qui aime bien pratiquer les relations sexuelles, et qui éprouvent le désir de donner du plaisir sexuel à autrui.
Cette vidéo me rend tellement content, elle est vraiment bien réalisée. Je suis content de voir de la représentation asexuelle.
Etant moi-même asexuel, je me souviens que lire ou regarder des témoignages de ce genre m'a vraiment à me poser les bonnes questions sur ma sexualité. Merci beaucoup !
Cette vidéo m'a réellement fait du bien, vraiment merci
Oh waoh rien quen voyant le titre je foooooonce regarder la video, merci davance , je suis ace ❤️❤️❤️
Super témoignage , comme d'habitude 😇. Merci pour ton travail et à tes invités( dans ce cas présent à Jamie) de se livrer aussi entièrement avec bienveillance pour notre bonheur et notre culture de soi. 💜
En plus d'un contenu et d'un thème hyper intéressant, et merci pour ça, tu es juste sublime tes cheveux ont vachement poussé on dirait 😯
J'ai appris beaucoup de choses grâce à cette vidéo !! et j'ai bien aimé le travail de Jamie et sa nouvelle à la fin! merci à vous :)
merci pour ce super témoignage que je comprends très bien.
Merci beaucoup pour cette vidéo comme tjr très intéressante ! Une petite suggestion : ce serait peut-être bien de mettre le thème du sujet abordé dans le titre de la vidéo pour cette série comme ça quand on fait une recherche sur TH-cam sur un sujet qui nous intéresse on peut tomber sur ta vidéo :)
Un ENORME merci à vous deux!! Tant de réponses à toutes ces questions que je me pose depuis des mois. Merci beaucoup!! :)
très intéressant et à ma plus grande surprise je me suis reconnue dans certaines descriptions! je suis contente d'être tombée sur ça, merci carooo
Merci beaucoup d'être venue témoignager ❤
Merci pour cette vidéo ! Je me reconnais énormément dans son témoignage. J'ai eu l'impression à certains moments de me voir en miroir
Merci mille fois d'aborder ce sujet sur ta chaîne, c'est encore un sujet trop peu abordé et inconnu de la majorité des personnes 🙏
Merci pour ce sujet! Je pense être asexuelle et en couple, et ça me va quand c'est "de temps en temps", parce que moi j'aime beaucoup les câlins et les bisous, mais pas tellement le sexe (ou du moins il y a beaucoup de choses que je préfère faire à la place). Ces temps, j'ai pu bien en parler avec mon compagnon et ça fait du bien ^^
Pour moi, consacrer du temps à la sexualité c'est me priver de l'utiliser pour faire autre chose que j'aime +, mais si mon compagnon y met du sien, je peux apprécier le moment quand même.
C’est hyper interessant ! Mais vraiment le bruit de fond est vraiment embêtant je ne peux pas la regarder jusqu’au bout :/
Je l'ai meme pas entendu
la misophonie pas cool
Très intéressant cette vidéo, merci à vous deux!! ✨
Je me suis pas mal reconnue dans pas mal des points de Jamie, je me suis moi aussi souvent senties mal à l’aise lorsqu’avec mes amis, chacun raconte ses dernières histoires d’amour, sexuelles et que dans mon cas il n’y avait rien. J’écoutais leurs histoires avec plaisir mais ressentais une certaine honte à ne rien avoir à dire en retour. Alors à de nombreuses reprises, je m’étais forcée à avoir des histoires au lycée notamment. Maintenant que cela fait quelques années que je ne me force plus, je vois à quel point me forcer a eu des répercussions sur moi.
Je trouve que ces questions restent tabou entre amis, encore aujourd’hui j’ai parfois honte d’aborder le fait que je ne crush sur personne et que je ne ressens pas de désir. Alors merci pour la vidéo!
C’est toujours intéressant d’avoir une perception différente autre travers des témoignages des autres.
Cette vidéo m'a fait un tilt dans la tête entre deux sujets différents quand elle a utilisé un mot bien précis : légitimité
8:23 « On est soulagé d'avoir cette légitimité-là »
Ainsi (entendu ailleurs, tiré d'une étude) que le fait qu'un couple parental soit légalement reconnu (ex : mariage) aux yeux de la société est bénéfique dans le développement cognitif de l'enfant.
C’est là aussi une forme de légitimité.
Le crois que je vais être très attentif au effet de, la légitimité et de l’illégitimité perçu, dans mes prochaines réflexions.
Je sens que ça va enrichir ma perception de la pression sociale :)
Ça me fait déjà réflexionner sur l’idée que la construction sociale est probablement une forme primitive (au sens 1er) de la loi :)
Avec des intérêts nécessaires pour le collectif et des conséquences négatives sur l’individu, notamment avec la normalisation et la réputation.
Il y a aussi le besoin vital de trouver SA case, son identité. Je sens qu'il y a un lien à faire entre les deux *-*
Merci beaucoup pour cette vidéo que j'ai trouvé hyper intéressante.
Merci pour la vidéo !
Juste envie de revenir sur le "A privatif" ; "privatif" veut juste dire qu'on "prive" le mot qui suit de son sens positif (donc qu'on met une négation), et pas qu'on "prive" du mot qui suit... "Asexualité" signifie "sans sexualité", et pas "qu'on prive de sexualité". Tout comme "Athée" signifie "sans dieu", et pas "qu'on prive d'un dieu", d'ailleurs. Les athées n'ont pas l'impression qu'un dieu leur manque.
Bref, je pense pas qu'on pourrait considérer le terme "asexualité" incorrect à cause de ça. Mais c'est vrai que "la sexualité" et "l'asexualité" qui se prononcent pareil, c'est un peu con x)
Ce qui pourrait être chouette aussi serait de mettre en parallèle un témoignage sur la demi-sexualite, ou alors une vidéo sur la nuance dans le spectres de la sexualité ^^
Car je pense que cette notion est encore moins visible, et que ça peu foutre un peu le bordel dans la tête des personnes qui se situe pas sur les extrémités de ce spectre, et non pas encore pu mettre un mots sur leurs cas à eux ^^'
En effet, ayant pu moi-même nommer ma demi-sexualité il n'y a pas si longtemps, j'aurais pu me reconnaître dans certains propos, mais en même temps pas vraiment et...
Bref je pense que c'est clair ce que je voulais dire xD
Merci a vous deux
Merci pour cette vidéo, j'espère que ça va aider beaucoup de personnes à nous comprendre 🙂
Très intéressant ! Merci à vous deux
Coucou Carolina, j'ai trouvé cette vidéo très intéressante étant moi même concernée, merci à vous deux. Penses tu réaliser une rencontre en vidéo avec une personne ayant un TDAH ? J'ai ce trouble de l'attention et le mettre en lumière serait intéressante et bénéfique. Bisous ♡
J'ai mis longtemps à accepter ma propre asexualité car en plus de ne pas être une question facile à aborder ni à comprendre d'ailleurs, j'ai eu du désir charnel pour des gens. Ça m'est arrivé aussi de lire des passages de livre où une relation sexuelle était décrite et de trouver ça attrayant voir même de fantasmer pour moi mais je n'ai jamais vraiment l'envie de concrétiser mes pensés. J'en ai marre d'attendre le jour où ça me plaira. Non, je ne suis pas cassée même frigide. Je ne veux pas aller plus loin et bordel ce que je me suis prise dans la gueule pour avoir dit ça à des amis.
Merci pour cette vidéo et ton témoignage. Il en faudrai plus des vidéos comme ça pour donner de la visibilité à cette orientation si peu représentée et mal comprise ...
Merci pour ce témoignage car il y a peu de documentation sur le sujet. Même moi qui ai fait mon Bachelier en psychologie, on n'en n'a pas parlé. Je trouve ça scandaleux
Je pense aussi qu'il faudrait ajouter que asexualité ne veut pas dire "ne pas être intéresser par la sexualité".
je m'explique:
ne pas parler de sexualité à une personne asexuelle sous prétexte qu'elles ne la pratique pas est quelque part l'isoler,
et lui dire que quelque part elle n'a pas la légitimité d'en parler.
Donc asexualité ne veut pas dire forcément comme c'est le cas de cette femme de "Ya plein de chose intéressante sur quoi discuter, ne me parler pas de sexualité". J'espère avoir été clair.
Biensur il n'y a rien de mal à ne pas vouloir parler de sexualité mais être asexuel n'a pas de lien je trouve
Merci pour cette vidéo qui était passionnante !
Coucou Carolina ! D'où vient ta combinaison ? Elle est très jolie 🙂
Je suis en plein questionnement merci!
Ce sujet me passionne!
Tellement badass cette meuf RESPECT
Attention au parallèle maladie/asexualité. Quand tu parles de la découverte de ton asexualité, tu te dis soulagée, de mieux comprendre, de pouvoir mettre un mot dessus et de pouvoir l'expliquer. Tu donnes alors l'exemple de découverte une maladie qui expliquerait les maux d'une personne etc... Alors autant moi je comprends tout à fait que tu n'identifies pas et ne compares pas dans ton exemple, l'asexualité à la maladie, mais bien que tu fais juste un parallèle sur la DÉCOUVERTE de la raison de nos maux/problèmes/questionnements/incompréhensions. Mais trop de gens, ne comprenant pas l'asexualité, la casent dans la maladie (psychologique, physique, hormonale, ce que tu veux), on en a un exemple dans les commentaires. Alors ne leur donnons pas d'eau pour leur moulin. Bien qu'il est vrai, qu'il existe chez les asexualités des personnes qui ont pu vivre un traumatisme ou une éducation qui a pu les entrainer vers l'asexualité. J'avais lu une phrase je ne sais plus où que j'avais trouvée très juste : ce qui fait plus peur qu'une sexualité différente, c'est l'absence de sexualité. C'est incroyable qu'on veuille nous "soigner". Pendant des années on a tenté de "soigner" l'homosexualité avec toutes les conséquences psychologiques terribles qu'on connait aujourd'hui. Pourquoi la différence fait-elle si peur et qu'on doit impérativement y trouver une raison qui rentre bien dans les petites cases de la "normalité" du commun des mortels ? Outre l'asexualité, il y a aussi la demi-sexualité (autres appellations : sexualité grise / asexualité grise / a-gris). Effectivement il y a l'hyposexualité et l'intensité sexuelle basse. Mais il semble que ceux qui s'identifient comme A-gris ont tendance à pencher vers le côté plus asexuel du spectre.
Il est vrai que tant qu’une personne se sent bien dans sa sexualité, on devrait la laisser tranquille. Chacun son chemin, son rythme.
Je suis une femme, hétéro. Même si j’ai eu des problèmes à cause d’abus sexuels pendant l’enfance, je sentais bien que je n’étais pas à l’aise à ce moment-là.
Et même dans ce cas précis, vouloir guérir les gens ne me semble pas une bonne idée, car j’ai l’impression qu’il faut aussi le bon moment.
Mieux vaut se concentrer sur sa personnalité dans son ensemble et pas qu’un seul aspect, pour se sentir bien avec soi et les autres (même si cela inclut une certaine « solitude » si c’est dans notre nature profonde) et non se conformer à des moules qui ne nous correspondent pas.
J’ose partager, même si je ne suis pas LGBT+ parce que je trouve dommage qu’il pourrait y avoir une fracture à cause de la sexualité. Nous sommes tellement plus 🙂
Et je ne minimise pas du tout les difficultés particulières rencontrées. Juste que j’espère qu’on pourra ne pas créer des communautés qui n’échangent plus.
😘
@Chou Kri
Ton com est super intéressant, j'y avais pas pensé.
J'avoue qu'il y a un côté qui m'a dérangée aussi dans ce passage, mais c'est pas forcément ce que toi tu dis. C'est plutôt que je trouve pas ça très respectueux pour les gens qui apprennent avoir une maladie chronique de le mettre au même rang qu'une sexualité.
En espérant ne pas avoir dit une énormité.
Trop belle robe Caro ! Le compte insta à changé de nom ?
Le mot en lui -même est péjoratif... "asexuel" = "non-sexuel"... aucunement représentatif quand comparé au large spectre de l'asexualité (où la tolérance varie). La vision biaisée d'une société cherchant à définir une orientation par la négation d'une orientation qui lui est propre, example; "t'es noir?... non, je suis a-blanc", "t'es une femme?... non je suis a-homme". C'est horrible. Mais il y a au moins un mot qui existe, même si c'est pas le meilleur.
Va de même pour le statut à l'état civil où les gens sont définit selon leur statut maritale hétéronormé où l'état présume que tous ressentent le besoin d'être en couple. "Marié, divorcé, veuf, célibataire"... mais aucunement l'option "aromantique, pas besoin d'être en couple pour se sentir complet"... qui n'est pas en soi un célibat ou de la chasteté.
pareil... le fait de m'imaginer avoir un rapport avec autruit, ca m'angoisse...
super video !
Super travail Carolina !
On ne peut pas lire l'etude de Jamie. Le lien est mort....
Salut,
moi j'ai juste du mal à comprendre pourquoi vous avez tant besoin de trouver la case dans laquelle la société va vous ranger... Je ne trouve aucune case me correspondant et je n'en souffre pas,
bien au contraire je considère la société comme malade et m'en exclure me fais sentir bien .... Les constructions sociales vous détruisent, construisez vous sans tout ces concepts réducteurs et ca devrait aller ...
Mais comment se construire sans tout ces concepts ? Comment se construire en dehors de cette société? Et comment trouver un métier en étant ''à côté'' de la société par exemple ?
Comment arrives tu à ''t exclure'' de la société? Tu peux expliquer?
Y'a des gens qui ont besoin de cases et de termes auxquels s'identifier. Tant mieux pour toi si tu vies sans, ça ne veut pas dire que c'est la marche à suivre pour tous le monde :)
chacun trouve ce qu'il lui fait sentir confortable et surtout cela prend du temps. Pour moi à un moment donné me définir bisexuelle puis pansexuelle me faisait me sentir bien, on ne se sens plus aussi seul.e peut-être aussi et c'est important de reconnaître les différences dans une société pour les accepter. Mais maintenant je m'en fiche et j'utilise rarement ces termes pour me définir car je n'en ai pas besoin.
Les "constructions sociales" cest parmi les principes de base de survie dun etre humain , alors super pour vous si vous vous sentez completement libre de tout ca mais si tous les humains etaient comme vous il n'y aurait jamais eu de cultures/civilisations/langues ...etc
Se permettre de vivre en marge de la sociéte cest une richesse (dans tous les sens du terme) que tout le monde ne peut pas se permettre d'avoir .
Merci 💜🙏
Je trouve qu’elles se ressemblent... je pensais voir pleins de commentaires à ce sujet mais non 😂😭😭
Qu’est-ce qui fait la différence entre une relation de meilleure ami et d’une relation d’asexuels?
Être en couple ce n'est pas que du sexe, un couple de personnes asexuelles sera comme tout les autres couples juste sans le sexe.
Dans un premier temps, il ne faut pas confondre asexué (dépourvu de sexe) et asexuel (qui n'a pas de rapport sexuel). Enfin, avant d'être "sexuel" c'est à dire d'être attiré sexuellement, c'est-à-dire quand on est petit, on sait très bien faire la différence entre son ami(e) ou son amoureux(se). Là c'est pareil. Ce sont les sentiments. Si notre pote a une relation, on n'est pas jaloux, si notre compagnon/compagne nous trompe, on l'est, qu'on ait des relations sexuelles ou pas. Je parle pour moi et je ne me permettrais pas de parler au nom des relations polyamoureuses ou/et aromantiques. En tout cas pour ma part, je l'exprime comme ça cette différence. Je ne suis pas amoureux de mes potes, je le suis de ma conjointe, que je couche avec elle ou non.
Certaines personnes asexuelles peuvent avoir des relations par plaisir, pour avoir envie de faire plaisir à un partenaire non asexuel... c'est juste qu'ils auront pas de désir sexuel pour qqu
Ce sera une relation romantique. C'est pas la même chose qu'une relation amicale.
Merci beaucoup
Merci !
L'asexualite est pour moi une bénédiction, libéré de l'asservissement du désir !
A quand un dans la tête, sur l'hypersexualité ? (Besoin constant persistant et quasi permanent de sexe)
Témoignage très intéressant mais assez brouillon, ça aurait mérité un petit travail de préparation ou de montage pour qu'on puisse mieux suivre ce qu'elle dit!
Pour faire plaisir à l'autre... Je connais ça fait 15 ans
Je sais pas comment tu peux te définir Asexuel quand ta la vingtaine..
Ta encore toute ta vie pour ressentir l’attirance sexuelle.
Je dis pas que ça existe pas mais il faut du temps avant d’être assez en confiance pour désirer. Moi j’ai rien ressenti avant mes 21 ans ... 🤨
Je ne désire pas. Personne. C'est ni une lubie, ni un manque de confiance, ni le fait que j'ai pas rencontré la bonne personne.
@@HatterGem entendu :)
"Relationner"?...ça existe dans le dictionnaire ça ? !😆 ah peut être dans le dictionnaire suisse ! 🤣 je suis bête !
Quand on a besoin d'un mot qui n'existe pas on l'invente, c'est ça une langue vivante :p
Est-ce que ça s’explique biologiquement? Cette absence « d’instinct » ? J’ai du mal à comprendre d’où ça vient, étant donné qu’à la base, notre fonction première est de transmettre la vie. 🤔
Bizarrement il n'y a pas eu de levé de boucliers sur cette question.
Et à la base il faut aussi un homme et une femme.
Comment on explique-t-on biologiquement l'homosexualité ?
Cette question découle naturellement de la remarque "notre fonction première est de transmettre la vie" pourtant celle-là est politiquement incorrecte.
Par contre l aromantisme c'est pas l'absence de sentiment amoureux, c'est la non attirance romantique
C'est quoi la différence entre les deux ?
13:13 besoin de dormir Caro ? 🌝
Ou de l'ennui ? Comment tu l'as vu ? N'étais- tu pas absorbé par le témoignage de Jamie ? Tu t'ennuyais ? 🤣
C'est intéressant cette manière qu'on la plupart des gens qui parle de ce genre de sujet d'affirmer par exemple "qu'il s'agit d'une orientation sexuelle" et "qu'il ne s'agit pas d'une maladie", puisque de facto et stricto sensu il ne s'agit pas d'une orientation sexuelle (puisqu'il n'y a pas de choix de partenaire sexuel) et que les causes vraisemblables de l'asexualité se situent au niveau de déficits organiques qui pourraient se résoudre si on en comprenais la logique. A partir de là, loin de moi l'idée de dire qu'il est mal d'être hors norme, ou qu'il est mal d'avoir une maladie. Mais il me semble ça n'a strictement aucun rapport.
Si tu préfères, tu peux appeler ça une "absence d'orientation sexuelle" mais sache que l'asexualité n'est en aucun cas lié à un déficits organiques. Tu peux être asexuel en étant parfaitement fertile, avec des organes sexuels parfaitement fonctionnels associés à un taux d'hormones parfaitement équilibrés et aucunes maladies chroniques ou autres. Tout comme il existe des gens sexuels qui n'ont pas tout ça. Les gens ne se contentent pas "d'affirmer", les gens l'ont déduit.
Ce n'est pas parce que ça ne rentre pas dans ce que tu considères "normal" ou "sain" que c'est une maladie.
Parce que si l'absence d'attirance est une maladie, dans ce cas pourquoi les hétéros et les homos ne sont -ils pas aussi malade parce qu'ils ne sont pas attirés par tout le monde ? En suivant ta logique jusqu'au bout, seuls les Pansexuels ne sont pas malades ?
@@sawyernono1237 Merci pour ton commentaire. Moi je ne préfère rien, je m'intéresse surtout à la logique des concepts. Et moi, si je suis ta logique il me semble que je vais en arriver à l'idée que, par exemple, l'autisme (qui se caractérise par un ensemble de déficits fonctionnels), n'est pas une maladie non plus. Toute la question est de savoir si c'est un état qui peut évoluer, et si oui sous quelles modalités (naturelles, artificielles ?), hors on ne le sais pas jusqu'avant qu'on y arrive. La notion de maladie n'étant pas un concept vraiment bétonné je pense qu'on peut évidemment le remettre en question. Cela dit si je me contente de la définition stricto sensu (altération d'une fonction très très majoritairement présente dans l'ensemble du vivant et à l'épicentre du processus même du vivant) il me semble que l'on peut utiliser ce terme. Je ne vois pas du tout le rapport entre l'idée de sanité et celui de norme, c'est quoi qui fait rentrer cette notion que je réfute. Tu te rendras compte par toi-même que ton exemple concernant le fait que tout le monde n'est pas attiré par tout le monde est fallacieux puisque le principe même de la fonction sexuelle consiste à sélectionner un partenaire et pas d'être attiré par tout le monde. En outre, je ne savais pas que les pansexuels étaient attirés par tout le monde et je ne pense pas que ce concept signifie cela (plutôt une attirance envers certaines personnalités indépendamment de leurs genres).
@@cultivetonjardininterieur2304 a te noté, effectivement l'autisme n'est pas une maladie mais un syndrome (syndrome autistique) , on ne parle pas quand on ne connait pas un sujet point barre :)
T'as lu/vu où que l'asexualité était un déficit organique ? Quelles sont tes sources ?
@@Hortypik Oui, merci pour ta brillante intervention. Il me semble que le terme "syndrome" renvoie à l'idée d'une association de symptômes diverses qui sont fréquemment associés et qui caractérisent un état particulier, jugé (arbitrairement) comme pathologique ou non. Es-tu capable de me dire où est-ce que fini la santé et où commence le pathologique ?
Vous coupez beaucoup trop les cheveux en 1000 ans... c’est vraiment essayer de se trouver des maux inexistants. Cet vidéo est vriament l’exemple parfait des pb dérisoires des occidentaux. Il faut arrêter à un moment donner....
De rien ?
Et tu te coupes beaucoup trop les ongles en 200 ans.
Et sinon, les gays aussi s'inventent des maux inexistant ? C'est aussi à cause de ce genre de réaction que les personnes comme Jamie restent dans le silence et ne s'expriment pas. Parce que c'est dérisoire et absurde et que du coup, à quoi bon en parler vu qu'on sera vu comme des bobo gauchiasse et des occidentaux de merde qui s'inventent des "maux". Faudra m'expliquer en quoi le fait de ne pas avoir de désir sexuel est un mal, mais ok ouais. Ce qui est un mal par contre, ce sont toutes les remarques du style "mais tu ne baises pas ? Tu ne sais pas ce que tu rates." À longueur du temps. Et que tu devrais te faire tringler pour te décoincer. Que c'est dérisoire d'être prise pour un vulgaire sac de viande, ouais. :)
Je suis en train de me dire que tu n'as pas regardé la vidéo et que tu es un vulgaire troll pas drôle, et le commentaire en dessous non plus.