Talking to your partner about your depression

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  • เผยแพร่เมื่อ 17 ต.ค. 2024

ความคิดเห็น • 28

  • @cassiopeeb9763
    @cassiopeeb9763 7 ปีที่แล้ว +24

    J'ajoute ma petite pierre à l'édifice =) j'ai déjà parlé un peu de ma relation sous d'autres vidéos il me semble, ça fait maintenant 4 ans que je suis avec un homme cishet. Jusqu'à maintenant en revanche, je n'avais parlé que de notre relation par rapport à ma maladie. Là, je voudrais un peu parler de "l'inverse".
    Mon compagnon est en dépression suite à une situation d'échec à l'université, ne parvenant pas à réussir ses études, et après avoir recommencé trois fois sa première année, il a complètement perdu ses repères. Il ne savait/sait plus vers où il a envie de se diriger, ce qui pourrait lui plaire, ce dans quoi il pourrait s'épanouir. Aujourd'hui il travaille depuis septembre, et c'est physique, c'est difficile. Il a des responsabilités qu'il ne se sent pas capable d'assumer, et quand il ne va pas bien, il fait des bourdes. C'est humain ! Mais il n'arrive pas à concevoir que ce n'est "pas sa faute", il se décrédibilise et s'inflige bien des pensées négatives.
    À mon niveau, j'essaie de l'aider du mieux que je peux. Je le soutiens, je le motive, je le valorise du mieux que je peux en lui montrant tout le positif, ce qu'il a réussi à accomplir.
    La grande difficulté que je rencontre dans notre couple à ce niveau là, c'est que mon compagnon n'arrive pas à en parler. Comme s'il n'était pas légitime. C'est dans son caractère et je pense que son rapport à ma maladie empire le phénomène car il se dit "moi c'est rien, elle, elle se bat alors que je baisse les bras", une forme de honte et de décrédibilisation à nouveau.
    Je le laisse respirer, je ne veux pas avoir un comportement oppressant pour lui du coup, la plupart du temps, je le laisse gérer et j'accepte qu'on sorte moins, qu'on ne voit pas souvent nos amis, je respecte sa fatigue comme il respecte la mienne et j'évite d'aborder les sujets qui fâchent.
    Seulement parfois, la discussion est nécessaire pour le bien des deux (ou plus) parties. Quand je vois qu'il s'enferme de plus en plus, qu'il devient colérique, j'attends que l'on se voit et je prends le temps de lui parler le temps qu'il faut pour qu'il arrive, lui aussi, à débloquer sa parole et ses émotions. C'est arrivé il y a peu de temps, j'ai prévenu qu'il faudrait qu'on discute et j'ai attendu le moment propice. Le but n'est pas de l'accabler mais bien de l'aider à se sentir en sécurité, à se sentir légitime. C'est difficile de trouver les bons mots pour ne pas le brusquer, mais je finis par y arriver. Je sais que quand il arrive enfin à en parler aussi, c'est gagné. En général, quand il arrive à être en confiance avec moi sur ces sujets (ce qui n'est pas toujours évident, malgré quatre ans de relations) la situation difficile à laquelle il fait face se débloque. Il arrive à se poser les bonnes questions et à prendre plus de recul sur les choses. Il se confie plus facilement aux autres comme à moi, se sentant enfin légitime, et ça va mieux...
    Je crois que mes propos sont absolument pas clairs et je m'en excuse, mais voilà, dans notre relation, la solution c'est la discussion ! Elle est pas évidente mais elle aide sur biens des aspects de la vie. Mais surtout, ce qui est important pour nous : rester calme, respecter l'autre, être bienveillant. On ne discute que lorsqu'on se sent safe, mais ça aide vraiment. Pour mon SED, c'est pareil, on en parle plus souvent pour "dédramatiser" : je dis les choses pour moi, j'évite de cacher quand ça va mal, mais on discute aussi de son rapport à ma maladie et de comment l'améliorer pour que ça se passe bien. Car mine de rien, sa dépression et mon SED ont un grand impact sur notre relation et il faut en parler. Selon moi, c'est la meilleure chose à faire contre le sentiment d'impuissance et les incompréhensions.

  • @Spaamwolf
    @Spaamwolf 7 ปีที่แล้ว +21

    Mon ex me reprochait d'être anxieuse (J'ai un type d'attachement anxieux, si certains connaissent). Il me disait que je devais changer, me faisait sans arrêt me remettre en question et culpabiliser, insistait sur le fait que je n'étais "pas normale", me mettait tous nos problemes sur le dos. Mon copain actuel, qui a été et est toujours mon meilleur ami a un comportement complètement différent (peut être car il a été touché par la dépression). Il a toujours été à l'écoute, il n'essaie pas de me changer mais juste de m'aider, me rassurer, que je me sente le mieux possible et ça fait du bien. J'avais besoin d'une personne comme ça, qui comprend sans juger. Je pense que si une personne te fait te sentir mal, culpabiliser d'être différent ou quoi que ce soit il ne faut pas rester avec cette personne (ou en tout cas lui expliquer le problème). De toute façon, 90% des problemes dans un couple se règlent par la communication :)

    • @Spaamwolf
      @Spaamwolf 7 ปีที่แล้ว +2

      Il y a trois types d'attachement: normal, anxieux et un autre dont je ne me rappelle plus où les gens essaient de ne pas s'attacher. L'attachement anxieux concerne souvent les enfants qui ont été "couvés", au centre de l'attention (je ne généralise pas non plus, mais c'est mon cas). Quand tu as un type d'attachement anxieux, tu as besoin d'une attention constante de la part de ton partenaire. Parfois tu es très jaloux/jalouse. Tout te fait flipper, si ton partenaire sort avec des amis, tu te fais des films en imaginant qu'il les préfère à toi. C'est dur à supporter pour le partenaire, tout le monde ne peut pas mais il faut être conscient que ce n'est pas de la comédie. Quand mon copain me dit "je t'appellerais à 22h" et qu'à 23h il n'est pas là, mon monde s'effondre. Les gens qui sont comme moi ont besoin de stabilité et d'écoute et ça mon copain l'a compris. Aujourd'hui je vais bien mieux à ce niveau là car je lui fait totalement confiance et du coup j'ai appris à "laisser aller" les choses. Donc pour résumer, dans le type d'attachement anxieux on est trop "fusionnel". Il faut donc apprendre à avoir une vie à coté, et pas juste se définir en tant que "copine de machin". J'espere que je t'ai éclairé ^^

  • @nocta66
    @nocta66 7 ปีที่แล้ว +7

    Le tout premier jour où je suis sortie avec mon copain, je lui ai annoncé direct (je ne suis pas connue pour ma subtilité xD) que j'étais atteinte de deux maladies chroniques assez importantes. Ca va faire deux ans qu'on est ensemble, il s'est passé des choses très graves dans ce laps de temps, mais il est toujours resté auprès de moi et me soutiens beaucoup ! Il ne se rend pas toujours compte de mon état de fatigue mais je sais qu'il s'inquiète pour moi ^^

  • @zebracorne
    @zebracorne 7 ปีที่แล้ว +2

    Pour avoir vécu très (trop) longtemps avec une personne psychophobe (entre autres) qui n'acceptait ni ma dépression, ni mon PTSD, ni mon anxiété, ni mon autisme, ni quoi que ce soit en fait, je peux vous assurer que même si vivre seul-e ça fait peur au début, sur le long terme c'est bien mieux que de vivre dans la terreur parce qu'on vit avec quelqu'un d'horrible.

  • @drakechainsaw9538
    @drakechainsaw9538 7 ปีที่แล้ว +4

    Ma dépression a foutu ma dernière relation en l'air, et celles d'avant aussi tiens... J'ai commencé ma vie amoureuse avec des personnes qui n'ont jamais compris ma maladie. Pour eux, c'était même pas une maladie, d'ailleurs. Combien de fois on m'a dit : "T'es chiante", "Fais des efforts", "C'est pas grave ça va passer"... Bon, j'ai la chance d'avoir des parents très à l'écoute, qui m'aident au quotidien, et j'ai bon espoir de me tirer d'affaire avec leur aide. Je vais déjà beaucoup mieux.
    Je peux comprendre que ce soit pas facile tous les jours de vivre avec une personne malade, et ça m'a fait culpabiliser pendant longtemps - ce qui ne m'a pas aidée, bien évidemment. Je me suis dit que je n'avais rien à faire dans la vie des autres, que j'étais un boulet, que j'allais les entraîner dans ma dépression... Aujourd'hui célib, j'essaie de me reconstruire de mon côté avant d'entamer une relation avec quiconque, histoire d'avoir quelque chose à lui apporter... Je pense qu'à force d'être réduite à ma maladie, je ne vois plus que ça chez moi, et du coup je me dis que je vais gâcher la vie des gens.
    Merci donc pour ta vidéo, qui m'a aidée à prendre du recul et à me libérer d'une part de culpabilité.

  • @clemdu34140
    @clemdu34140 7 ปีที่แล้ว +4

    coucou ! moi au début de ma relation avec mon copain on c'était vu deux fois et je voulais attendre d'être sur avant de lui parler de mon handicap mais voilà j'ai eu une grosse thrombose et je pouvais pas sortir de chez moi.. et il insistait pour me voir du coup j'invente des fausses excuses, si bien qu'il a cru que je voulais plus le voir. du coup la j'ai été obligé de lui en parler et finalement il l'a très bien pris et maintenant ça fait deux ans :). il est très compréhensif de ma douleurs et attentionné. il fait un métier sociale donc peut être que cela joue sur la compréhension il a l'habitude d'être à l'écoute des gens.

  • @caileandangreau543
    @caileandangreau543 7 ปีที่แล้ว +5

    Bonjour à tous.tes !
    J'ajoute mon témoignage. J'ai été diagnostiquée anxio-dépressive vers l'âge de 17-18 ans. Au début, je me battais contre "ça". Ce mal qui me rongeait, qui me mettait dans des états dont j'avais honte et qui me détachaient de la vie. J'avais peur de chaque crise d'angoisse, et chaque crise, j'attendais qu'on me libère. Et le reste du temps, je faisais semblant d'aller bien. Je m'enfermais dans une carapace de timide, d'introvertie. Personne ne pouvait voir ce qui se cachait derrière mon sourire.
    J'ai vécu deux histoires dans cet état de bataille contre moi-même : la première n'allait pas mieux, elle acceptait mon état, mais elle ne s'acceptait pas elle-même dans sa dépression. Nous n'étions pas heureuses ensemble. La deuxième me voyait comme une chose fragile dans laquelle je ne me retrouvais pas : j'étais vulnérable, mais je me sentais infiniment plus forte qu'elle ne croyait. Malgré tout, elle me soutenait dans mes coups durs. J'étais dépendante, et j'ai touché le fond quand notre histoire s'est terminée.
    Après ça, j'ai suivi une thérapie. Je me suis acceptée. Je ne considère plus l'anxio-dépression comme un mal à combattre : c'est quelque chose qui fait partie de moi, une difficulté mais aussi une force, parce que mes ressentis sont décuplés. Je suis vulnérable, et c'est comme ça. En acceptant, j'ai appris à comprendre, à évaluer. Je parviens aujourd'hui à prévoir une rechute, à prévenir une rechute, à m'écouter, me reposer, prendre du temps pour moi. Et aussi à me soutenir moi-même et à m'envelopper de bienveillance en cas de rechute. Je le vis bien. Ce n'est pas toujours facile, mais j'ai pris confiance dans le voyage, j'ai l'espoir qu'après chaque rechute, il y a la lumière. Et ça ne manque jamais. Je suis même capable d'évaluer combien de temps ça va durer ! J'ai mon rythme, je suis la vague, dans un certain équilibre qui n'est pas sans mouvements.
    Pour ce qui est des relations, je n'en ai pas réellement eues depuis. Mais je ne considère pas cela comme quelque chose de mauvais, et toute personne avec qui je noue une relation amicale ou qui m'intéresse est au courant que j'ai un passé difficile et une sensibilité importante. C'est comme ça. Je dis toujours que ma porte est ouverte, on m'accepte ou ne m'accepte pas. La difficulté pour moi aujourd'hui, c'est que je ne sais pas si je peux rester équilibrée dans une relation ou pas, mais ça, seul le temps me le dira. Dans tous les cas, je vise mon bien-être, et si je ne suis pas bien avec quelqu'un, qu'importe la raison, tant pis. Je ne me battrais plus contre moi-même. :)

  • @bastcap6642
    @bastcap6642 7 ปีที่แล้ว +2

    Salut! Merci pour cette vidéo (et les autres aussi au passage)! ^^
    Concernant ma (mes?) maladie mentale cela dépend vraiment des relations et de la personne. S'il y a un bon feeling ou pas.
    Je n'ai eu "que" deux relations amoureuses dans ma vie, et j'ai essayé d'en parler rapidement avec ces personnes (1 à 2 semaines). En général, on se retrouve tou.te.s les deux, on discute de nous. Puis arrive le moment où je parle ouvertement de ce qui me touche. J'explique, ou du moins j'essaye d'expliquer brièvement ma maladie, le trouble de la personnalité borderline, qui en plus à la "chance" d'activer beaucoup de fantasmes tout autour (violence, manipulation, "pervers narcissique"...). Ces deux partenaires étant ielles même atteint.e.s de troubles, ielles ont correctement reçu la nouvelle. Et puis cela permet d'ouvrir le dialogue sur nos problèmes respectifs (que ça soit maladie mentale, handicap, pb relationnel ou autres). On peut alors connaitre les besoins de l'autre et essayé d'être là sans prendre toute la place. Il y a une nécessité de garder une part de contrôle et d'initiatives dans nos rapport à nos maladies, ne pas en être dépossédé, ça infantilise comme tu le dis justement. Et ça nous appartient.
    Après niveau amitié, c'est bien plus compliqué je trouve. Ayant vécu deux ans isolée et étant transfem, ça a été assez compliqué de trouver des gens pas uniquement "intéressé.e.s" (c à d curieux.se.s) uniquement par mon identité de genre. En gros j'ai déjà l'impression d'être un poids du fait de ma transidentité. Alors aborder le thème de la maladie mentale... C'est quand je me sens à l'aise, que j'ai bien analysé les dires et comportements des gens que je me lance. Ça peut être sur le ton de la conversation, y mener doucement, tâter un peu puis en parler. J'essaye d'expliquer, mais moins en profondeur. Et ensuite, au fur et à mesure de la relation amicale, approfondir. Expliquer pourquoi cette semaine, je suis dans tel état, pourquoi j'ai réagit de tel manière à tel mot, etc... Mais parfois, c’est très contraignant, très violent car les personnes non malade ont du mal à comprendre ça, ils posent des questions très naïves, qui pour moi sous entendent des choses complexes et nécessitant plusieurs degrés d'explications (avec le TPB, il faut relier peur de l'abandon, échec, phase dépressive etc...). Ça fait remonter beaucoup de souvenirs violents, les moments de crises, les moments de désespoir total. Et il y a aussi toujours la peur du rejet derrière. Ou il y a la peur que les gens agissent différemment d'un coup, me prennent pour un objet en sucre.
    Il n'y a pas une seule manière de parler de nos maladies aux autres, du moins pas pour moi. Et même avec une seule personne, ça reste une explication constante car cette dernière pourrait mal comprendre la 1èrer fois, ou se faire une idée fausse, vouloir anticiper nos pensées, nos humeurs, etc... Et il faut le reconnaitre, les personnes non malade ne font pas l'effort de se renseigner par eux même. On doit être une encyclopédie de notre maladie. Être à la fois détachée d'elle et en même temps la vivre (marche aussi pour les transidentités et la bisexualité (youpi...)). Cet équilibre est fatiguant à la longue.
    Il y a aussi tout ce que peut amener la maladie mentale comme source de problème physique [CW Auto-violence physique sur le paragraphe]
    Il faut gérer les ami.e.s qui voient nos blessures que l'on s'est infligée (ou notre consommation de toxique). Il y a souvent le silence gêné. L'autre a vu, on sait qu'il a vu, mais personnes n'en parlera. Il y a ceux qui vienne te voir pour en parler, mais mettent les pieds dans le plat. Il y a ceux qui veulent vous aider et vous soigner...Tout doit être dans la mesure selon moi. Je ne veux pas être sauvée, c'est un trop gros poids. Je pense que l'aide doit être mesurée (ajd tu ne peux pas faire cela pour X ou Y raison? Je te donne un coup de main) mais pas systématique. L'aide sur long terme ne peut venir que de pros; tout comme les soins. La discussion doit être faite seul à seul, uniquement si je suis ok pour en parler. En plus de devoir gérer ma maladie, je dois veiller à ce qu'elle n'affecte pas les gens autour de moi, ou le moins possible.
    Et moi de mon côté avec le TPB, je dois gérer l'attachement. Je m'attache très vite et très fort. Les débuts de relation (amicale ou amoureuse) peuvent être intense. Du coup maintenant je met un petit frein. Mais j'ai peur de passer pour une connasse froide alors que c'est pour me protéger car tout changement dans la relation devient source de profondes angoisses. Je n'ai pas encore trouvé de juste milieux.
    Ce commentaire est beaucoup trop long mais j'ai l'impression de n'avoir dit que la moitié de ce que je voulais dire... Désolée.
    Encore merci :)

    • @VivreAvec
      @VivreAvec  7 ปีที่แล้ว +1

      Merci beaucoup pour ton témoignage, je reconnais particulièrement des situations que j'ai vécu quand tu écris "Et il faut le reconnaitre, les personnes non malade ne font pas l'effort de se renseigner par eux même. On doit être une encyclopédie de notre maladie. Être à la fois détachée d'elle et en même temps la vivre (marche aussi pour les transidentités et la bisexualité (youpi...)). Cet équilibre est fatiguant à la longue."
      Merci à toi ♥

  • @mllnobody7669
    @mllnobody7669 7 ปีที่แล้ว +2

    Parfaitement ce qui me fallait aujourd'hui, merci ❤

  • @1712Elise
    @1712Elise 7 ปีที่แล้ว +7

    Mon couple "avec différence" ne m a personnellement apporté que du positif. Je suis en couple depuis 3 ans avec une personne neurotypique. Je lui ai avoué mon syndrome d'Asperger au bout d'un an. J'ai du beaucoup lui expliquer, puis il a lu des ouvrages sur le sujet . Cette personne avait compris mes particularités, et mettre un nom sur ce qui m'"affectait"lui a permis de mieux comprendre. De plus, le fait qu'il ait su m'aimer et n'ait jamais fui face à ma difference m'a permis de lui accorder plus de confiance plus vite, et maintenant que nous vivons ensemble, il peut s'occuper des situations stressantes pour moi, comme les courses dans le supermarché qui est bruyant ( je ne peux pas y mettre les pieds).
    bref un gros pavé pour montrer de bons aspects des couples où l un des membres est atypique.. bien que j'ai conscience d'avoir eu la chance de tomber sur une bonne personne.

  • @pinkiepie7699
    @pinkiepie7699 7 ปีที่แล้ว

    Je pense qu'il est intéressant de déjà réfléchir avec quel type de personne nous sommes capables de nous sentir bien. Par exemple dans mon cas j'ai besoin d'être avec quelqu'un de disponible et de communicant surtout sur les sujets sensibles. Certaines personnes neuroathypiques peuvent êtres extrêmement positives pour leur entourage et leur couple tandis que certains neurotypiques ne le sont pas ou inversement. Voir au fil de ses relations ce que l'on est capable de gérer ou pas, ce qu'il nous faut en couple ou en amitié pour se sentir à l'aise et en sécurité avec autrui me semble primordial.
    Également associer neuroatypie et problème/négatif n'est pas forcément bon pour tout le monde et la maladie est pour moi un facteur qui a contribué à forgé notre personnalité.
    Un jour m'a soeur neuroathypique m'a dit quelque chose qui m'a beaucoup marqué, elle culpabilisait beaucoup des conséquences de sa bipolarité dans ses relations amoureuses et un de ses partenaires lui a un jour dit :
    "Je ne t'aime pas malgré ta maladie mais avec ta maladie."
    Cette phrase m'aide encore aujourd'hui à relativiser avec mon anxiété et la possibilité d'une maladie future dans ma relation avec une des personnes les plus sereine, positive et neurotypique que je connaisse ! L'important est de se sentir bien avec qui on est et que cet individu nous acceptes, même sans nous comprendre totalement.
    Voilà mon avis sur le sujet, très bonne vidéo qui pose des questions importantes ! :3

  • @sergelendelematendo6729
    @sergelendelematendo6729 5 ปีที่แล้ว

    Merci! C'est édifiant! quand j'en parle, on me repousse; et quand j'en parle pas, ça me rattrape toujours, soit à l’occasion d'une panne sexuelle(à justifier ou expliquer, et ça m'emmène là), soit par un discours qui me trahit! disons que j'ai la misère côté sentimental à cause du machisme ambiant: un homme sensible, fragile, ça se fait repousser facilement alentour).

  • @achnav3762
    @achnav3762 7 ปีที่แล้ว

    Mon père est en dépression. Enfin c'est ce que j'ai déduit parce qu'il ne veut pas en parler. Et c'est vrai qu'il y a des fois où c'est vraiment dur à vivre. Parce que le problème, c'est qu'il a toujours l'impression qu'on ne l'aime pas assez, ou qu'on est mieux sans lui, ou qu'on veut jamais rien lui dire.. Il de sent toujours mis à l'écart et nous le reproche. Et va fait vraiment mal parfois parce quoi que l'on fasse, son point de vue ne changera pas et c'est vraiment blessant d'entendre quelqu'un insister que tu ne l'aime pas assez alors que tu l'aimes à ta manière à toi.. Je sais très bien que tout le monde ne réagit pas comme ça, et je suis pas du genre à dire en gens de se forcer pour passer outre leur maladie. Mais juste, parfois, si quelqu'un se reconnaît dans cette description, accabler la maladie, pas vos proches. Parce que c'est dur de l'autre côté aussi et qu'on vous veut que du bien (Et vous casser sous prétexte qu'on serait mieux sans vous, c'est pas vrai)

  • @gundhamstyle
    @gundhamstyle 7 ปีที่แล้ว +1

    Oh ben moi j'ai eu l'ex qui m'a trompé.e, qui m'a fait subir de la violence physique et verbale, qui me culpabilisait par rapport à ma dépression, qui a essayé de m'embrasser de force parce que "Roh, faut que tu comprenne que je suis pas ton géniteur" (d'ailleurs il m'a largué une fois parce que je ne voulais pas l'embrasser), qui me traité.e de chieur.euse, de moche, qui me disait que je m'habillais comme un sac, il était transphobe et enbyphobe, etc... Il m'a aussi planté une mine de crayon dans la main pour "rire" et qui s'amusait à me foutre du fluo sur mes cicatrices fraîches et à essayer de les montrer aux profs parce que "faut que tu assumes".
    Au final, c'est vraiment cool le célibat

  • @Theo-vr3qm
    @Theo-vr3qm 7 ปีที่แล้ว +3

    Personellement, quand j'ai annoncer à mon copain que j'étais bi il ma direct poser la question "Tu m'as tromper ?" Sa ma beaucoup blesser...
    Sinon c'est pareil ma meilleure amie qui me sort que j'abuse quand je déprime, que je fais pas d'effort que je lui en demande trop et même chose pour les autres personnes à qui je parle

  • @doubledham7489
    @doubledham7489 7 ปีที่แล้ว +1

    Merci pour cette vidéo une fois de plus.
    Envoyer les gens dans les orties même ça c'est sympa. C'est super bon pour la santé, les orties ;)

  • @rafaelavianna1070
    @rafaelavianna1070 7 ปีที่แล้ว

    Je suis dans l'autre côté de la chose. Mon copain a eu de la dépression et ça revient parfois de façon plus ou moins forte. Je ne gère pas toujours bien, surtout quand il va mal et il n'arrête pas de s'en excuser. J'essaie de lui dire qu'il ne faut pas s'excuser parce que je l'aime et je suis là pour lui. Globalement, je pense qu'il comprend ça bien, parce qu'on en parle beaucoup. Mais parfois il dit des trucs que m'inquiètent. Maintenant, j'essaie de lui faire retourner à son psy, parce que ça l'aidait, mais il a arrêté.

  • @isabailes8299
    @isabailes8299 ปีที่แล้ว

    J'ai abandonné l'idee de vivre une histoire d'amour... Pourtant j'aimerais tellement... Je ne suis pas capable d'accepter mon dysfonctionnement. Alors de quel droit demander à quelqu'un de l'accepter...

  • @capilillymarou
    @capilillymarou 7 ปีที่แล้ว +4

    J'ai été dépressive et je voulais préciser quelque chose, tout en sachant que ce n'est peut-être que mon point de vue.
    Les gens, il est vrai, ont tendance à dire : "fais un effort". Mais il y a deux façons de l'entendre.
    Pour certains de ceux qui le disent, c'est genre "Tu t'écoutes trop/Tu es fainéante/Tu es caractérielle : tu pourrais faire un effort !" ça, clairement, c'est dégueulasse.
    En revanche, il n'est pas faux de dire que sortir de la dépression dépend bien des efforts du malade. On ne peut s'en sortir qu'en prenant la maladie à bras le corps et en se battant. Moi, quand je dis : "Bouge-toi, fais un effort !", c'est plus : "Si tu ne te bouges pas, personne ne le fera à ta place. La guérison dépend d'un combat acharné et de longue haleine, mais à force d'efforts, tu y arriveras."

  • @emmas2088
    @emmas2088 7 ปีที่แล้ว +1

    Tu as tout dit.

  • @FannyctalopeTV
    @FannyctalopeTV 7 ปีที่แล้ว

    Je suis dépressive, en couple depuis deux ans et ça se passe très mal. Je n'ai pas eu à l'annoncer dès le début puisque ça s'est installé pendant la relation et c'est assez horrible. Mon copain le vit mal, il a même recontacté ses exs à mainte reprises pour se plaindre de moi, du fait que "je passe mon temps à végéter" (ce mot me fait tellement mal au coeur...), que je ne fais rien de ma vie... Je suis en général assez mal accueillie lorsque j'ai besoin d'en parler et je suis à bout franchement...

    • @drakechainsaw9538
      @drakechainsaw9538 7 ปีที่แล้ว +1

      Courage

    • @bastcap6642
      @bastcap6642 7 ปีที่แล้ว +1

      Plein de pensés et de soutien pour toi. :)

    • @VivreAvec
      @VivreAvec  7 ปีที่แล้ว

      Si tu veux on échange sur ce genre de sujet sur le forum, tu seras très bien accueillie : vivreavectoi.forumactif.org/

  • @dazdu57
    @dazdu57 7 ปีที่แล้ว +1

    T mimi