Claude Debussy (1862-1918) - Complete Piano Works by Walter Gieseking / REMASTERED ***Listen to our latest mastering update*** : bit.ly/3GBMe2k 🎧 Qobuz bit.ly/3GB7rsQ Apple Music apple.co/3mdwE5t 🎧 Amazon Music amzn.to/3VE75Gb Deezer bit.ly/3vwm9Lx 🎧 Tidal bit.ly/3ZgVbp0 Spotify spoti.fi/3X3xmzw 🎧 TH-cam Music bit.ly/3Z2YlfL SoundCloud bit.ly/3jIU6py 🎧 Naspter, Pandora, Anghami, LineMusic日本, Awa日本, QQ音乐 … *Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-04:20) Preludes - Libro I Danseuses de Delphes (00:00) Voiles (03:10) Le vent dans la plaine (05:54) Le sons et les parfums tournent dans l'air du soir (07:52) Les collines d'Anacapri (11:24) Des pas sur la neige (14:11) Ce qu'a vu le vent d'ouest (17:40) La fille aux cheveux de lin (20:25) La sérénade interrompue (22:46) La cathédrale engloutie (25:00) La danse de Puck (31:33) Minstrels (33:58) Preludes - Libro II Brouillards (36:05) Feuilles mortes (38:48) La Puerta del Vino (41:51) Les fées sont d'exquises danseuses (44:39) Bruyères (47:25) Général Lavine-eccentric (49:59) La terrasse des audiences au clair de lune (55:25) Ondine (56:15) Hommage à S. Pickwick Esq. (59:07) Canope (1:01:16) Les tierces alternées (1:04:01) Feux d'artifice (1:06:26) Etudes - Libro I Pour les cinq doigts (1:09:47) Pour les tierces (1:12:36) Pour les quartes (1:15:59) Pour les sixtes (1:20:08) Pour les octaves (1:23:30) Pour les huits doigts (1:25:46) Etudes - Libro II Pour les degrés chromatiques (1:27:21) Pour les agréments (1:29:27) Pour les notes répétées (1:33:36) Pour les sonorités opposées (1:36:46) Pour les arpéges composés (1:41:23) Pour les accords(1:44:33) D'un cahier d'esquisses (1:49:27) Images - 1er Série Rêflets dans l'eau (1:54:07) Hommage à Rameau (1:59:11) Mouvements (2:05:39) Images - 2ème Série Cloches à travers les feuilles (2:08:43) Et la lune descend sur le temple qui fut (2:12:31) Poissons d'or (2:17:24) Suite Bergamasque Prélude (2:20:31) Menuet (2:24:05) Clair de lune (2:27:30) Passepied (2:32:45) Pour le Piano Prélude (2:36:35) Sarabande (2:40:05) Toccata (2:44:48) Estampes Pagodes (2:48:22) Soirée dans Grenade (2:52:32) Jardins sous la pluie (2:56:53)
ChiIdren's Corner Doctor Gradus ad Parnassum (3:00:19) Jimbo's Lullaby (3:02:39) Serenade for the doll (3:06:06) The snow is dancing (3:09:14) The little shepherd (3:11:35) The Golliwog's cake-walk (3:13:44) Danse - Tarantelle Styrienne (3:16:30) Rêverie (3:21:14) Arabesque Nr. 1 in E-Dur (3:24:48) Arabesque Nr. 2 in G-Dur (3:28:27) Nocturne (3:31:16) Valse romantique (3:37:01) L’Ilsle joyeuse (3:40:09) Masques (3:45:06) Le petit nègre (3:46:35) Danse bohémienne (3:50:48) Ballade (3:52:39) Mazurka (3:58:57) La plus que lente (4:01:14) Berceuse héroique (4:04:37) Hommage à Haydn (4:09:14) Piano : Walter Gieseking Recorded in 1953-55 New Mastering in 2020 by AB for CMRR Find CMRR's recordings on *Spotify* : spoti.fi/3016eVr Walter Gieseking : « Il est intéressant de constater que, en général, le public des concerts en Amérique connaît la musique de Debussy beaucoup mieux que les auditeurs de plusieurs pays d'Europe, où Debussy est toujours considéré comme un dangereux révolutionnaire. En Amérique, Debussy, de même que Ravel, n'est pas considéré comme un ‘compositeur moderne’, mais comme l'un des plus grands génies créateurs de la musique. Je suis fier et heureux que mon nom soit si souvent associé à la musique de Debussy, cette musique merveilleuse qui me paraît si parfaitement naturelle - et naturellement parfaite - si absolument sincère et belle. » Faites l'expérience d'écouter à la suite les Vingt-quatre Préludes pour le piano. Chacun de ces tableautins est semblable à un prisme au travers duquel la lumière se décompose en bandes colorées. Juxtaposez ces couleurs sur les segments d'un disque tournant à vive allure : vous recomposerez la lumière blanche. La couleur tue la couleur, comme le plaisir finit par tuer le plaisir. Dieu sait cependant quelle merveilleuse variété Gieseking donne à la série des Préludes ! Il n'y a pas moins d'audace à réunir trois mille personnes autour des Préludes de Debussy qu'à convoquer le Tout-Paris à une exposition de miniatures au Grand-Palais. Or, la foule vient et emplit l'immense vaisseau. Naguère, Alfred Cortot révélait aux Allemands les brûlantes confidences de Schumann qu'on tenait, outre-Rhin, pour un artiste mineur, depuis que Nietzsche l'avait relégué à un rang subalterne. Aujourd'hui, Gieseking rappelle aux Français que le début de ce siècle fut, pour eux, une époque glorieuse : politique d'échange... Nous avons en Walter Gieseking un éminent ambassadeur du génie national. Qu'il dessine à la pointe sèche un paysage ravélien, précis comme une épure, qu'il lave une aquarelle debussyste, floue comme un songe voluptueux, il vérifie la profonde maxime de Paderewski : Il ne sert à rien de clamer par-delà les micros que la France est ceci ou cela : une phrase de Ravel, trois accords de Debussy - et le monde entier sait que la France est ceci et cela... » Gieseking, chez Debussy, c'est Gulliver à Lilliput. Mais c'est aussi Monet à Giverny. Gieseking en concert. Cette homme qui entre en scène érige à six pieds trois pouces du sol un buste athlétique. Deux bras immenses lui servent de balanciers. Plutôt que d'un pianiste, il offre l'aspect d'un de ces vigoureux kapellmeister qui se mettent en habit pour diriger leur chorale, aux jours de fête. A côté du géant, le piano a l'air d'un jouet en bois verni. Pour s'adapter aux proportions de l'instrument, Gieseking commence par se tasser sur le siège de cuir rembourré, il courbe à l'extrême sa haute taille. Sa grosse tête ronde, ailée de deux touffes blanches, s'incline jusqu'à toucher le clavier. Il lève ses mains; au moment où elles vont s'abattre sur l'ivoire, il les retient : on dirait qu'elles pèsent cent kilos chacune, car sous l'effort le visage s'est empourpré. Soudain, elles s'enfoncent, déterminant, au lieu du fracas escompté, le plus impondérable de tous les pianissimi du monde. On freine sa respiration, par crainte de dissiper le mirage. Fermons les yeux : l'illusion est totale. Ce ne sont pas des attaques, mais des caresses ; non point des chocs, mais des frôlements, comme en détermine l'aile de velours des papillons nocturnes. Sous les doigts de Gieseking, le piano n'est plus un instrument à percussion où s'activent des marteaux, mais un coffre magique d'où s'envolent, au gré des passes mystérieuses, les sonorités endormies. Dociles à l'incantation, elles se lèvent du grand cercueil d'ébène, elles tournent dans l'air du soir et s'étirent comme des parfums. Ou bien, l'on dirait des fées dansant une ronde translucide au clair de lune. On est ravi et un peu gêné par tant d'irréelle perfection. Au moyen âge, voilà un homme qu'on aurait brûlé vif, pour sorcellerie. Claude Debussy PLAYLIST (references recordings) : th-cam.com/video/5dFceiCR8sU/w-d-xo.html
There is no substitute for a performer who has been "STRUCK" by the Music, or any other form of Art, without having had her/his brain totally "reprogrammed" by imposing, asphyxiating, Academic Pedantry! Only in this way can we be "STRUCK" by the Composer's "mystical 'wave' " of creativity, especially, the one which is being listened---- FOR THE FIRST TIME!!!! Claude Debussy actually chided other Composers and "Academics" for explaining to the Music-loving Public and to the whole world, the Methods of Composition which they employed in the Creative Act. He said the description would spoil, miserably, the Work's "MAGIC"!!!! Walter Gieseking is a " 'MIRACLE' EXAMPLE"! With each Work he would only gives us that "First Impression's "MAGIC", and, as time would pass, the never-ending Matu- ration and surprising Evolution!!!! All "Music Lovers" and all, "No-Music Lovers"(!), must take heed of this: Listen---- let yourself "relax into it"---- to Walter Gieseking's"Recreation in Sound" of the Composer's internal "Mystical 'Magic' ". You would be "treating yourself" to that unique "Freshness" that has, unfortunately, become, "RARE", in today's "World"! Thank you, Walter Gieseking!!!! Thank you, to all involved in this Video's Production!!!! Thank you, You Tube!!!!
Here is the complete works of the man who was, for many discophiles, the great initiator of Debussy's piano works: Walter Gieseking. It bears witness to a certain conception of the Debussy world that favoured "impressionism", one of the masterpieces in the catalogue, and at the same time a lesson in piano art. It is through the seduction of sound, through the infinite range of nuances and colours, that the magic first takes place. It is also through Gieseking's intelligence that we find an inner animation, chaste, very controlled, very measured, but intense. *Click to activate the English subtitles for the complete presentation* (00:00-04:20)
Gieseking was a remarkable pianist. This recording is a grand tribute to his talent. Gieseking's understanding of Debussy is nonpareil. No one else has ever conveyed the composers's touch with such clarity, subtlety and pure genius. Listen and fall in love. Once again I salute CMRR for releasing these tapes, and for their dynamic support of music, and of music performances that could otherwise be lost.
At LAST! My God you posted it. After you posted Gieseking's Mozart collection I thought "Might we get his Debussy cycle as well?" I remember posting a comment under your Mozart posting ABOUT this. The Holy Grail for Debussy Piano Music and the bar for all other pianists afterward. Thanks!
My top : 1. Clair de Lune (Suite Bergamesque 2:27:30) 2. Arabesque 1 (3:24:48) 3. Valse Romantique (3:37:01) 4. Dr Gradus ad Parnassum (3:00:19) 5. Rêverie (3:21:14) 6. La cathédrale engloutie (25:00)
As I was beginning to listen to classical music in the 1950s, I ran across Gieseking's recording of Grieg's piano concerto. I've heard many versions of that concerto over the years. I've come to the conclusion that any basically competent orchestra and pianist can make beautiful music with that concerto -- it is almost bullet proof. However, the softer, more inquisitive interpretation by Gieseking still lingers in my memory. ** Also in the 1950s I ran across Mahler's 2nd symphony. That took me into music far away from Debussy. Over the years, I have heard Debussy on the car radio and I have been unimpressed. Sadly, I ascribed that to Debussy; but now I think the unimpressive performances were due more to male pianists brought up on Beethoven and they try to give Debussy a flavor of pseudo-serious ponderousness. ** Haven't you noticed that women pianists seem to do better than men with the middle movement of Chopin's 1st piano concerto? And haven't you noticed that some recent recordings of Bach's cello works are emphasizing the delightful dance-like character of some of Bach's pieces? ** In architecture, we have on the one hand, the Pentagon and the Sydney Opera House on the other. What might Bach's architectural organ works sound like with a bit of Gieseking's inquisitiveness? ** Lastly, I admit that I am in reverie as I near the end of my life. I thank you for your indulgence at reading this. My motivation for this comment has come from being bathed in the seductive magic of Gieseking through my better-than-average computer speakers. I have missed this over the years. And I am grateful that the recordings were made in the years when the technology was way better than what was available in the post-war years. ** Bon Voyage, everyone.
I first heard Gieseking's recordings of Debussy at age 16 and fell in love. Now, 60 years later, as I listen to the Ballade, I find much to astonish me.
Thanks for expressing that and sharing. One of your main points I think is the power of a musician to bring out the magic of a composer. There are some musicians who it seems can even make something not perhaps so great sound interesting. But regarding someone recorded relatively far back who utterly brings out the intended magic Marcelle Meyer's Bach renditions are just amazing. All good things Peter. And bon voyage as you say.
This record is a new mastering of old record. There seems to be an incomparable sensibility to the sound of digital record. Thank you for your precious record. 😄👍
Wunderschöne und spannende Interpretation dieser hauptsächlich impressionistischen und ausnahmslos perfekt komponierten Klavierwerke im veränderlichen Tempo mit entschiedenem und klar artikuliertem Anschlag sowie mit sorgfältig kontrollierter und völlig effektiver Dynamik. Die verbesserte Tonqualität ist erstaunlich hoch als originale Aufnahmen von fünfundsechzig und mehr Jahre vor. Wunderbar und atemberaubend!
What a marvel! The recordings sound better here than in the old original LPs by Angel which I admired so much. Gieseking is still the great master of Debussy and Ravel. His layers og dynamics are incredible. Thanks so much!
Gieseking est un pianiste historique, l’un des très grands des années 1930 aux années 1950. Sa [ presque ] intégrale des sonates de Beethoven à fait date, tout comme ses enregistrements des partitas de J.S. Bach ou des concertos et sonates pour piano de Mozart. Mais il est à l’œuvre pour piano de Debussy ce que Nat était à celle de Schumann, ce que Meyer fut à l’œuvre pour clavier de Rameau, ou ce que Furtwangler fut aux symphonies de Beethoven et Hans Knappertsbusch aux opéras de Wagner : un indispensable, l’interprétation de référence, l’intégrale du siècle ( avec peut-être celle d’Arrau ).
G Chameyrat je suis désolé vous écrivez une mixture incomprehensible Gieseking-Nat Meyer Arrau etc vous citez tt les pianistes du siècle sans aucune connaissance du pianists qd on parle de Beethoven on ne pense pas Gieseking , Kempff passe apres Gueeking ds Beethoven j'arrête ces stupidités pour ne plus y revenir si ce genre de plaisanteries se renouvelle jai ma discothèque pas besoin de lire ce que je suis en train de faire
alain spiteri Je n’ai pas cité tous ces pianistes par hasard : j’ai juste dis - et c’est une opinion personnelle - que ce que représentait Gieseking pour l’œuvre pour piano de Debussy était du même niveau, incontestablement la référence historique, de ce que représente Furtwangler aux symphonies de Beethoven ou Kna à l’œuvre de Wagner. Ce n’est pas une comparaison, j’ai simplement voulu exprimer que Gieseking était un indispensable lorsque l’on parlait de Debussy ;-).
Studio recordings from the 50s generally sound better than these. This is because Gieseking wanted the sound engineers to place the microphones far away from the piano, in order to get a hazy sound.
Sifronichrist : je pense que le mixage Gieseking-Arrau pour Debussy nest pas approprié . Du point de vue discographique G Bolet et Arrau sont les records de la dernière heure surtout " commerciale " par les Editeurs ; passons sur G Bollet pianiste passable du commerciale pour moi on en parle plus aujourd'hui ( jai pas tt à fait tort ) Arrau a une dimension Supérieur mais médiatisé dans les années 75 sorti de l'ombre par ( Philipps ? ) immense pianiste immense record avec les moyens du bord des années 70' le Top du vinyl , extra pour moi ses Beethoven ctos Dizbelli . .superbes où ça cloche cest qd vous faites entrer Arrau dans Debussy hai hai oui on se répète Arrau a partir de 70' âgé enregistra tous les compositeurs avec une boulimie frénétique Mozart Schumann etc etc et même Debussy ; on grand pianiste joue tt le répertoire mais la cest trop quant à le juxtaposer avec un Debussiste ( Gieseking) Mozart ( Haskik'Meyer ) Listz ( Cziffra Cziffra Clidat) Schubert ( Kempff) Chopin ( Rubinstein ) non ! Écoutons Arrau avec un immense piano grandiose ( je crois que tous les ctos de Beethoven sont des Empereurs avec Arrau ) immense pianiste que jai ds ma discothèque mais quant à le juxtaposer avec Gueseking dans Debyssy-Ravel je vous le dis de suite je préfère des Debussy disparates dans la discographie ils sont nombreux les pianistes à jouer Debussy Rubinstein avec son " Poisson d'Or " en bis , je crois que seul Samson François aurait pu jouer un Debyssy à sa manière mais parler de Gieseking Le Debussiste par excellence est une erreur même si sur F Musique jai pu entendre cette hérésie " aujourdhui on ne joue plus Debussy comme Gieseking " enfin passons sur certains mal-entendus Arrau ne peut-être évoquer dans Debussy quand on évoque Gieseking quon écoutera ds Debussy dans un siècle comme Cortot dans Chopin depuis 1930 , bcp de laïus de ma part
N'importe quoi ! Gieseking est plus allemand que français; ce grand collabo n'a jamais eu la sensibilité nécessaire pour jouer Debussy, il a toujours préféré jouer de la grosse claire teutonne !
I know Walter Gieseking was a great pianist, especially in Debussy and Ravel, but he was also a very flawed individual. When it comes to a great composer like Wagner, it is easy to overlook his flaws, as the music is too good to ignore. No matter how great an instrumentalist or a conductor is, they are essentially replaceable. It is difficult for me to enjoy listening to Gieseking, knowing his history.
Odd that we still respect the Soviet artists who stayed put in the USSR under Stalin and after, but can never forgive those who worked for the Nazis. Very likely coddled in both countries, while millions were being murdered in both.
Gieseking is more German than French; this well known admirer of the Nazi regime never been sensitive enough to play Debussy correctly and he has always preferred to play noisy German bass drum !
I was introduced to Gieseking by a Jewish friend who told me that such attacks on Gieseking are hateful and false lies. He knew Gieseking as a very loving nonpolitical soul.
@@alooshanotea2753 Being Jewish has never been a certificate of good manners ! you think in racialist terms as the Anglo-Saxons ; by the way your friend is perhaps a jüdischer Selbsthass ? we have testimonies enough to consider Gieseking as being on the dark side of the force !
Easily the most overrated Debussy on record. Gieseking never ceases to amaze. How he could play some of the loveliest piano music ever composed in such a crude and charmless way is beyond comprehension. Just listen to the two Arabesques. The first is slow and bland, not a piece of piano magic (as it should be) but a lazy finger warm-up. The second is much too fast, sloppy and, to say the least, unmusical. I've never heard a worse butchery of Debussy.
Claude Debussy (1862-1918) - Complete Piano Works by Walter Gieseking / REMASTERED
***Listen to our latest mastering update*** : bit.ly/3GBMe2k
🎧 Qobuz bit.ly/3GB7rsQ Apple Music apple.co/3mdwE5t
🎧 Amazon Music amzn.to/3VE75Gb Deezer bit.ly/3vwm9Lx
🎧 Tidal bit.ly/3ZgVbp0 Spotify spoti.fi/3X3xmzw
🎧 TH-cam Music bit.ly/3Z2YlfL SoundCloud bit.ly/3jIU6py
🎧 Naspter, Pandora, Anghami, LineMusic日本, Awa日本, QQ音乐 …
*Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-04:20)
Preludes - Libro I
Danseuses de Delphes (00:00) Voiles (03:10) Le vent dans la plaine (05:54)
Le sons et les parfums tournent dans l'air du soir (07:52)
Les collines d'Anacapri (11:24) Des pas sur la neige (14:11)
Ce qu'a vu le vent d'ouest (17:40) La fille aux cheveux de lin (20:25)
La sérénade interrompue (22:46) La cathédrale engloutie (25:00)
La danse de Puck (31:33) Minstrels (33:58)
Preludes - Libro II
Brouillards (36:05) Feuilles mortes (38:48) La Puerta del Vino (41:51)
Les fées sont d'exquises danseuses (44:39) Bruyères (47:25)
Général Lavine-eccentric (49:59) La terrasse des audiences au clair de lune (55:25)
Ondine (56:15) Hommage à S. Pickwick Esq. (59:07)
Canope (1:01:16) Les tierces alternées (1:04:01) Feux d'artifice (1:06:26)
Etudes - Libro I
Pour les cinq doigts (1:09:47) Pour les tierces (1:12:36)
Pour les quartes (1:15:59) Pour les sixtes (1:20:08)
Pour les octaves (1:23:30) Pour les huits doigts (1:25:46)
Etudes - Libro II
Pour les degrés chromatiques (1:27:21) Pour les agréments (1:29:27)
Pour les notes répétées (1:33:36) Pour les sonorités opposées (1:36:46)
Pour les arpéges composés (1:41:23) Pour les accords(1:44:33)
D'un cahier d'esquisses (1:49:27)
Images - 1er Série
Rêflets dans l'eau (1:54:07) Hommage à Rameau (1:59:11)
Mouvements (2:05:39)
Images - 2ème Série
Cloches à travers les feuilles (2:08:43)
Et la lune descend sur le temple qui fut (2:12:31)
Poissons d'or (2:17:24)
Suite Bergamasque
Prélude (2:20:31) Menuet (2:24:05)
Clair de lune (2:27:30) Passepied (2:32:45)
Pour le Piano
Prélude (2:36:35) Sarabande (2:40:05) Toccata (2:44:48)
Estampes
Pagodes (2:48:22) Soirée dans Grenade (2:52:32)
Jardins sous la pluie (2:56:53)
ChiIdren's Corner
Doctor Gradus ad Parnassum (3:00:19)
Jimbo's Lullaby (3:02:39)
Serenade for the doll (3:06:06)
The snow is dancing (3:09:14)
The little shepherd (3:11:35)
The Golliwog's cake-walk (3:13:44)
Danse - Tarantelle Styrienne (3:16:30)
Rêverie (3:21:14)
Arabesque Nr. 1 in E-Dur (3:24:48)
Arabesque Nr. 2 in G-Dur (3:28:27)
Nocturne (3:31:16) Valse romantique (3:37:01)
L’Ilsle joyeuse (3:40:09) Masques (3:45:06)
Le petit nègre (3:46:35) Danse bohémienne (3:50:48)
Ballade (3:52:39) Mazurka (3:58:57)
La plus que lente (4:01:14)
Berceuse héroique (4:04:37)
Hommage à Haydn (4:09:14)
Piano : Walter Gieseking
Recorded in 1953-55
New Mastering in 2020 by AB for CMRR
Find CMRR's recordings on *Spotify* : spoti.fi/3016eVr
Walter Gieseking : « Il est intéressant de constater que, en général, le public des concerts en Amérique connaît la musique de Debussy beaucoup mieux que les auditeurs de plusieurs pays d'Europe, où Debussy est toujours considéré comme un dangereux révolutionnaire. En Amérique, Debussy, de même que Ravel, n'est pas considéré comme un ‘compositeur moderne’, mais comme l'un des plus grands génies créateurs de la musique. Je suis fier et heureux que mon nom soit si souvent associé à la musique de Debussy, cette musique merveilleuse qui me paraît si parfaitement naturelle - et naturellement parfaite - si absolument sincère et belle. »
Faites l'expérience d'écouter à la suite les Vingt-quatre Préludes pour le piano. Chacun de ces tableautins est semblable à un prisme au travers duquel la lumière se décompose en bandes colorées. Juxtaposez ces couleurs sur les segments d'un disque tournant à vive allure : vous recomposerez la lumière blanche. La couleur tue la couleur, comme le plaisir finit par tuer le plaisir. Dieu sait cependant quelle merveilleuse variété Gieseking donne à la série des Préludes !
Il n'y a pas moins d'audace à réunir trois mille personnes autour des Préludes de Debussy qu'à convoquer le Tout-Paris à une exposition de miniatures au Grand-Palais. Or, la foule vient et emplit l'immense vaisseau. Naguère, Alfred Cortot révélait aux Allemands les brûlantes confidences de Schumann qu'on tenait, outre-Rhin, pour un artiste mineur, depuis que Nietzsche l'avait relégué à un rang subalterne.
Aujourd'hui, Gieseking rappelle aux Français que le début de ce siècle fut, pour eux, une époque glorieuse : politique d'échange... Nous avons en Walter Gieseking un éminent ambassadeur du génie national. Qu'il dessine à la pointe sèche un paysage ravélien, précis comme une épure, qu'il lave une aquarelle debussyste, floue comme un songe voluptueux, il vérifie la profonde maxime de Paderewski : Il ne sert à rien de clamer par-delà les micros que la France est ceci ou cela : une phrase de Ravel, trois accords de Debussy - et le monde entier sait que la France est ceci et cela... » Gieseking, chez Debussy, c'est Gulliver à Lilliput. Mais c'est aussi Monet à Giverny.
Gieseking en concert. Cette homme qui entre en scène érige à six pieds trois pouces du sol un buste athlétique. Deux bras immenses lui servent de balanciers. Plutôt que d'un pianiste, il offre l'aspect d'un de ces vigoureux kapellmeister qui se mettent en habit pour diriger leur chorale, aux jours de fête. A côté du géant, le piano a l'air d'un jouet en bois verni. Pour s'adapter aux proportions de l'instrument, Gieseking commence par se tasser sur le siège de cuir rembourré, il courbe à l'extrême sa haute taille. Sa grosse tête ronde, ailée de deux touffes blanches, s'incline jusqu'à toucher le clavier. Il lève ses mains; au moment où elles vont s'abattre sur l'ivoire, il les retient : on dirait qu'elles pèsent cent kilos chacune, car sous l'effort le visage s'est empourpré. Soudain, elles s'enfoncent, déterminant, au lieu du fracas escompté, le plus impondérable de tous les pianissimi du monde. On freine sa respiration, par crainte de dissiper le mirage.
Fermons les yeux : l'illusion est totale. Ce ne sont pas des attaques, mais des caresses ; non point des chocs, mais des frôlements, comme en détermine l'aile de velours des papillons nocturnes. Sous les doigts de Gieseking, le piano n'est plus un instrument à percussion où s'activent des marteaux, mais un coffre magique d'où s'envolent, au gré des passes mystérieuses, les sonorités endormies. Dociles à l'incantation, elles se lèvent du grand cercueil d'ébène, elles tournent dans l'air du soir et s'étirent comme des parfums. Ou bien, l'on dirait des fées dansant une ronde translucide au clair de lune. On est ravi et un peu gêné par tant d'irréelle perfection. Au moyen âge, voilà un homme qu'on aurait brûlé vif, pour sorcellerie.
Claude Debussy PLAYLIST (references recordings) : th-cam.com/video/5dFceiCR8sU/w-d-xo.html
Thanks immensely for this treasure trove.
There is no substitute for a performer who has been "STRUCK"
by the Music, or any other form of Art, without having had her/his brain totally "reprogrammed" by imposing,
asphyxiating, Academic Pedantry!
Only in this way can we be "STRUCK"
by the Composer's "mystical 'wave' " of creativity, especially, the one which is being listened---- FOR THE FIRST TIME!!!!
Claude Debussy actually chided other Composers and "Academics" for explaining to the Music-loving Public and to the whole world, the Methods of Composition which they employed in the Creative Act.
He said the description would spoil, miserably, the Work's "MAGIC"!!!!
Walter Gieseking is a " 'MIRACLE' EXAMPLE"! With each Work he would only gives us that "First Impression's "MAGIC", and, as time would pass, the never-ending Matu-
ration and surprising Evolution!!!!
All "Music Lovers" and all, "No-Music
Lovers"(!), must take heed of this:
Listen---- let yourself "relax into it"----
to Walter Gieseking's"Recreation in Sound" of the Composer's internal
"Mystical 'Magic' ". You would be
"treating yourself" to that unique
"Freshness" that has, unfortunately, become, "RARE", in today's "World"!
Thank you, Walter Gieseking!!!!
Thank you, to all involved in this Video's Production!!!!
Thank you, You Tube!!!!
Here is the complete works of the man who was, for many discophiles, the great initiator of Debussy's piano works: Walter Gieseking. It bears witness to a certain conception of the Debussy world that favoured "impressionism", one of the masterpieces in the catalogue, and at the same time a lesson in piano art. It is through the seduction of sound, through the infinite range of nuances and colours, that the magic first takes place. It is also through Gieseking's intelligence that we find an inner animation, chaste, very controlled, very measured, but intense. *Click to activate the English subtitles for the complete presentation* (00:00-04:20)
Geiseking is the King of Debussy. No question about that. Colors & Magic.
This is the gold standard.
You guys are unbelievable. Thank you!
The re-mastering is brilliant. Thanks for sharing this treasure box.
Gieseking was a remarkable pianist. This recording is a grand tribute to his talent. Gieseking's understanding of Debussy is nonpareil. No one else has ever conveyed the composers's touch with such clarity, subtlety and pure genius. Listen and fall in love. Once again I salute CMRR for releasing these tapes, and for their dynamic support of music, and of music performances that could otherwise be lost.
After Mozart now all the piano works of Debussy by Gieseking. Fantastic ! Thanks !!!
At LAST! My God you posted it. After you posted Gieseking's Mozart collection I thought "Might we get his Debussy cycle as well?" I remember posting a comment under your Mozart posting ABOUT this. The Holy Grail for Debussy Piano Music and the bar for all other pianists afterward. Thanks!
My top :
1. Clair de Lune (Suite Bergamesque 2:27:30)
2. Arabesque 1 (3:24:48)
3. Valse Romantique (3:37:01)
4. Dr Gradus ad Parnassum (3:00:19)
5. Rêverie (3:21:14)
6. La cathédrale engloutie (25:00)
Best Debussy interpreter.
Soooo beautiful!🌸💕 Thank you so much!👍👏❤
There are two sorts of pianists who play Debussy: Walter Gieseking....and everyone else. Gieseking makes the piano sound like a different instrument.
No musician can describe the aesthetics musically like Debussy
As I was beginning to listen to classical music in the 1950s, I ran across Gieseking's recording of Grieg's piano concerto. I've heard many versions of that concerto over the years. I've come to the conclusion that any basically competent orchestra and pianist can make beautiful music with that concerto -- it is almost bullet proof. However, the softer, more inquisitive interpretation by Gieseking still lingers in my memory. ** Also in the 1950s I ran across Mahler's 2nd symphony. That took me into music far away from Debussy. Over the years, I have heard Debussy on the car radio and I have been unimpressed. Sadly, I ascribed that to Debussy; but now I think the unimpressive performances were due more to male pianists brought up on Beethoven and they try to give Debussy a flavor of pseudo-serious ponderousness. ** Haven't you noticed that women pianists seem to do better than men with the middle movement of Chopin's 1st piano concerto? And haven't you noticed that some recent recordings of Bach's cello works are emphasizing the delightful dance-like character of some of Bach's pieces? ** In architecture, we have on the one hand, the Pentagon and the Sydney Opera House on the other. What might Bach's architectural organ works sound like with a bit of Gieseking's inquisitiveness? ** Lastly, I admit that I am in reverie as I near the end of my life. I thank you for your indulgence at reading this. My motivation for this comment has come from being bathed in the seductive magic of Gieseking through my better-than-average computer speakers. I have missed this over the years. And I am grateful that the recordings were made in the years when the technology was way better than what was available in the post-war years. ** Bon Voyage, everyone.
Bon voyage, Peter
Musical Travels Peter
I first heard Gieseking's recordings of Debussy at age 16 and fell in love. Now, 60 years later, as I listen to the Ballade, I find much to astonish me.
Thanks for expressing that and sharing.
One of your main points I think is the power of a musician to bring out the magic of a composer.
There are some musicians who it seems can even make something not perhaps so great sound interesting.
But regarding someone recorded relatively far back who utterly brings out the intended magic Marcelle Meyer's Bach renditions are just amazing.
All good things Peter. And bon voyage as you say.
This record is a new mastering of old record.
There seems to be an incomparable sensibility to the sound of digital record.
Thank you for your precious record. 😄👍
I love Gieseking's "secret" knowledge" of how to play the overtones on this pre-WWII Steinway! In this particular music, needless to add.
"La fille aux cheveux de lin" is one of the most beautiful little gems in the repertoire. Ahh....
Walter Gieseking holds an unchallenged position as an interpreter of Debussy
Also as a Nazi !
@@alighieroalighieri404
What is nazi❓
Great stuff. Thank you.
Wunderschöne und spannende Interpretation dieser hauptsächlich impressionistischen und ausnahmslos perfekt komponierten Klavierwerke im veränderlichen Tempo mit entschiedenem und klar artikuliertem Anschlag sowie mit sorgfältig kontrollierter und völlig effektiver Dynamik. Die verbesserte Tonqualität ist erstaunlich hoch als originale Aufnahmen von fünfundsechzig und mehr Jahre vor. Wunderbar und atemberaubend!
Una verdadera joya musical. Gracias por compartirlo.
4 horas de Claude Debussy, simplemente expectacular ❤❤❤🎶🎶🎶
What a marvel! The recordings sound better here than in the old original LPs by Angel which I admired so much. Gieseking is still the great master of Debussy and Ravel. His layers og dynamics are incredible. Thanks so much!
유튜브를 시작한 지 거의 5년만에 10만 구독자를 눈앞에 두고 있군요. 요즘같은 시대에 클래식 음악으로 이 정도 구독자를 확보하는 것은 보통의 열정과 노력으로는 안되는 것입니다. 좋은 음악과 앨범을 소개시켜 주셔서 정말로 감사드립니다.
Sounds amazing👌
Thanks 😊👏💃🍀🦋🐝🎼🎶🎵 good weekend sweetheart ♥️
🌷🌷💐🌷🌷 Love it, nice work.
Gieseking est un pianiste historique, l’un des très grands des années 1930 aux années 1950. Sa [ presque ] intégrale des sonates de Beethoven à fait date, tout comme ses enregistrements des partitas de J.S. Bach ou des concertos et sonates pour piano de Mozart. Mais il est à l’œuvre pour piano de Debussy ce que Nat était à celle de Schumann, ce que Meyer fut à l’œuvre pour clavier de Rameau, ou ce que Furtwangler fut aux symphonies de Beethoven et Hans Knappertsbusch aux opéras de Wagner : un indispensable, l’interprétation de référence, l’intégrale du siècle ( avec peut-être celle d’Arrau ).
G Chameyrat je suis désolé vous écrivez une mixture incomprehensible Gieseking-Nat Meyer Arrau etc vous citez tt les pianistes du siècle sans aucune connaissance du pianists qd on parle de Beethoven on ne pense pas Gieseking , Kempff passe apres Gueeking ds Beethoven j'arrête ces stupidités pour ne plus y revenir si ce genre de plaisanteries se renouvelle jai ma discothèque pas besoin de lire ce que je suis en train de faire
alain spiteri Je n’ai pas cité tous ces pianistes par hasard : j’ai juste dis - et c’est une opinion personnelle - que ce que représentait Gieseking pour l’œuvre pour piano de Debussy était du même niveau, incontestablement la référence historique, de ce que représente Furtwangler aux symphonies de Beethoven ou Kna à l’œuvre de Wagner. Ce n’est pas une comparaison, j’ai simplement voulu exprimer que Gieseking était un indispensable lorsque l’on parlait de Debussy ;-).
⚘
The summum,the top,the Everest!
Debussy! My favorite
Let's hookup.
I guess then that the next century recording would be the Gieseking's 'Pictures at an Exhibition' of Mussorgsky?
The performances are magnificent . It sounds like an LP with treble boosted . The noises and clicks are distracting .
Studio recordings from the 50s generally sound better than these. This is because Gieseking wanted the sound engineers to place the microphones far away from the piano, in order to get a hazy sound.
Extraordinaire pianiste, Gieseking est sans conteste le plus grand interprète de Debussy avec Claudio Arrau.
Sifronichrist : je pense que le mixage Gieseking-Arrau pour Debussy nest pas approprié . Du point de vue discographique G Bolet et Arrau sont les records de la dernière heure surtout " commerciale " par les Editeurs ; passons sur G Bollet pianiste passable du commerciale pour moi on en parle plus aujourd'hui ( jai pas tt à fait tort ) Arrau a une dimension Supérieur mais médiatisé dans les années 75 sorti de l'ombre par ( Philipps ? ) immense pianiste immense record avec les moyens du bord des années 70' le Top du vinyl , extra pour moi ses Beethoven ctos Dizbelli . .superbes où ça cloche cest qd vous faites entrer Arrau dans Debussy hai hai oui on se répète Arrau a partir de 70' âgé enregistra tous les compositeurs avec une boulimie frénétique Mozart Schumann etc etc et même Debussy ; on grand pianiste joue tt le répertoire mais la cest trop quant à le juxtaposer avec un Debussiste ( Gieseking) Mozart ( Haskik'Meyer ) Listz ( Cziffra Cziffra Clidat) Schubert ( Kempff) Chopin ( Rubinstein ) non ! Écoutons Arrau avec un immense piano grandiose ( je crois que tous les ctos de Beethoven sont des Empereurs avec Arrau ) immense pianiste que jai ds ma discothèque mais quant à le juxtaposer avec Gueseking dans Debyssy-Ravel je vous le dis de suite je préfère des Debussy disparates dans la discographie ils sont nombreux les pianistes à jouer Debussy Rubinstein avec son " Poisson d'Or " en bis , je crois que seul Samson François aurait pu jouer un Debyssy à sa manière mais parler de Gieseking Le Debussiste par excellence est une erreur même si sur F Musique jai pu entendre cette hérésie " aujourdhui on ne joue plus Debussy comme Gieseking " enfin passons sur certains mal-entendus Arrau ne peut-être évoquer dans Debussy quand on évoque Gieseking quon écoutera ds Debussy dans un siècle comme Cortot dans Chopin depuis 1930 , bcp de laïus de ma part
N'importe quoi ! Gieseking est plus allemand que français; ce grand collabo n'a jamais eu la sensibilité nécessaire pour jouer Debussy, il a toujours préféré jouer de la grosse claire teutonne !
@@alainspiteri502 100
Debussy has about 6 hours but this isn’t 6
music is like food---even if U R a perfect ignoramus, like me---U can tell what sounds or tastes best!!!
I know Walter Gieseking was a great pianist, especially in Debussy and Ravel, but he was also a very flawed individual. When it comes to a great composer like Wagner, it is easy to overlook his flaws, as the music is too good to ignore. No matter how great an instrumentalist or a conductor is, they are essentially replaceable. It is difficult for me to enjoy listening to Gieseking, knowing his history.
Odd that we still respect the Soviet artists who stayed put in the USSR under Stalin and after, but can never forgive those who worked for the Nazis. Very likely coddled in both countries, while millions were being murdered in both.
Benedetti Michelangeli has more soul, but that is my opinion.
The rebel kevin cytomorphologically signal because goal methodologically jail absent a sudden australian. obedient, happy fire
10-4, Commander.
Gieseking is more German than French; this well known admirer of the Nazi regime never been sensitive enough to play Debussy correctly and he has always preferred to play noisy German bass drum !
You, stupid !
if he was a nazi or not has nothing to do with this heavenly interpretation you moron!
You're right, but for the wrong reasons.
I was introduced to Gieseking by a Jewish friend who told me that such attacks on Gieseking are hateful and false lies. He knew Gieseking as a very loving nonpolitical soul.
@@alooshanotea2753 Being Jewish has never been a certificate of good manners ! you think in racialist terms as the Anglo-Saxons ; by the way your friend is perhaps a jüdischer Selbsthass ? we have testimonies enough to consider Gieseking as being on the dark side of the force !
Easily the most overrated Debussy on record. Gieseking never ceases to amaze. How he could play some of the loveliest piano music ever composed in such a crude and charmless way is beyond comprehension. Just listen to the two Arabesques. The first is slow and bland, not a piece of piano magic (as it should be) but a lazy finger warm-up. The second is much too fast, sloppy and, to say the least, unmusical. I've never heard a worse butchery of Debussy.
And whom do you think does the best on Debussy? (My favorite is Gieseking.)
this music is the worst it is just someone playing random notes on a untuned piano
lol
lol
Just checked your playlists............