Merci pour l'effort fourni. Dans le but de rendre plus parlant les explications, il serait opportun de joindre une photo de la réalité dont il est question car beaucoup peuvent ne pas la connaître. Dans le cas présent par exemple, celle d'une cours de deuil présentant le kankie.
Bonjour Tata loya Très belle initiative Si tu la cérémonie chez toi et tu n'est ni ni chef de quartier ni ni notable ni Toon , tu t'assoi où dans ta cour?
Chez nous les bamileké , la position du seuil ou l'entrée de la maison est très stratégique. Si tu n,est pas notable, tu dois ouvrir la porte de "ndá zémoon" de cōté (cachée de l'entrée de la maison) . Quand il y a deuil ou cérémonie où les notables sont présents tu t,assois à l, entrée de cette porte principale qui est côté
To'o donc tu parle vient d'où ? Il faut enseigner ce qui est vrai. S'il n'y a pas de notable dans une cour le "can kie" va rester vide? Prenez la paine de bien vous renseigner sur la tradition mon cher. C'est un lieu de noblesse et de respectabilité dans une cour publique. On y retrouve: - les notables et dignités traditionnelle, les patriarches, le chef de la famille de la cour et certains sages dans le village. - ce pendant c'est chacun qui sais sa place en fonction de sa notoriété et son rang social dans la contrée. C'est le " capté" qui est réservé exclusivement au chef et ses notables. J'ai un sérieux problème avec cette histoire de "fouo tuio" qui est rattaché aux chefs des villages qui constituent le groupement Bangang. Je trouve cet expression dégradante, ridicule et maladroite. Un chef traditionnel est un chef. Le Chef supérieur est d'autant plus puissant que les chefs des villages qui forment son groupement sont puissants, respectés et honorés. Les fragiliser avec ce que je vois ces derniers temps est très dangereux pour notre vivre-ensemble. Certe il y a des petits chefs financiers, les nouveaux riches, les sponsors et les pourvoyeurs qui se mêlent à tout, mais chacun connaît sa place. Je souhaite que Taa Loya se renseigne et nous enseigne sur l'avènement de ces nouveaux pouvoirs et les titres honorifiques donné aux grands hommes méritants dans le village où de passage.
@@emmafopa6241 Bonjour frère ! Oriente Toon Loya par où se renseigner . Chez toi ou ? Dans un village où il y a une sous/ chefferie le chef à ses notables pour le "Kankyè" au cas où les notables Bangang sont là, ils doivent s,équarter pour leur laisser la place . Ils ne doivent pas se mêler entre eux de peur d'être mal à l'aise même après.
Merci pour l'effort fourni. Dans le but de rendre plus parlant les explications, il serait opportun de joindre une photo de la réalité dont il est question car beaucoup peuvent ne pas la connaître. Dans le cas présent par exemple, celle d'une cours de deuil présentant le kankie.
Merci beaucoup pour cet éclairage.
Il me semble plus spécifique au village bangang. Qu'en est-il pour les autres villages Ngiemboon?
@@hippohippoable même chose !
Bonjour Tata loya
Très belle initiative
Si tu la cérémonie chez toi et tu n'est ni ni chef de quartier ni ni notable ni Toon , tu t'assoi où dans ta cour?
merci
@@LucasYimgue merci ! Tu ne peux ne pas être un notable et construire sur ce plan là.
Chez nous les bamileké , la position du seuil ou l'entrée de la maison est très stratégique. Si tu n,est pas notable, tu dois ouvrir la porte de "ndá zémoon" de cōté (cachée de l'entrée de la maison) . Quand il y a deuil ou cérémonie où les notables sont présents tu t,assois à l, entrée de cette porte principale qui est côté
To'o donc tu parle vient d'où ? Il faut enseigner ce qui est vrai. S'il n'y a pas de notable dans une cour le "can kie" va rester vide? Prenez la paine de bien vous renseigner sur la tradition mon cher.
C'est un lieu de noblesse et de respectabilité dans une cour publique. On y retrouve:
- les notables et dignités traditionnelle, les patriarches, le chef de la famille de la cour et certains sages dans le village.
- ce pendant c'est chacun qui sais sa place en fonction de sa notoriété et son rang social dans la contrée.
C'est le " capté" qui est réservé exclusivement au chef et ses notables.
J'ai un sérieux problème avec cette histoire de "fouo tuio" qui est rattaché aux chefs des villages qui constituent le groupement Bangang. Je trouve cet expression dégradante, ridicule et maladroite. Un chef traditionnel est un chef. Le Chef supérieur est d'autant plus puissant que les chefs des villages qui forment son groupement sont puissants, respectés et honorés. Les fragiliser avec ce que je vois ces derniers temps est très dangereux pour notre vivre-ensemble. Certe il y a des petits chefs financiers, les nouveaux riches, les sponsors et les pourvoyeurs qui se mêlent à tout, mais chacun connaît sa place.
Je souhaite que Taa Loya se renseigne et nous enseigne sur l'avènement de ces nouveaux pouvoirs et les titres honorifiques donné aux grands hommes méritants dans le village où de passage.
@@emmafopa6241 Bonjour frère ! Oriente Toon Loya par où se renseigner . Chez toi ou ?
Dans un village où il y a une sous/ chefferie le chef à ses notables pour le "Kankyè" au cas où les notables Bangang sont là, ils doivent s,équarter pour leur laisser la place . Ils ne doivent pas se mêler entre eux de peur d'être mal à l'aise même après.