1972 : Les enfants du pensionnat | Archive INA
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La parole aux enfants | ORTF | 15/12/1972
Sujet issu d'un reportage réalisé par Henri Toulout dans un pensionnat près de Paris. Laurent et Alain racontent leur quotidien dans leur internat où la vie y est rude. Levés à l'aube, lavés à l'eau froide, réprimandés pour le moindre bavardage, ils ne peuvent que rêver d'ailleurs en attendant qu'une seule chose : le week-end.
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"Il paraît qu'on est 240 pensionnaires ici, on est 240 à attendre le samedi. Mais le lundi ça recommence...." Mon cœur saigne
je sortais une fois par mois ...
@@michelejaume3170 oui, j'ai une pensée pour tout ceux qui devaient tester le WE au pensionnat alors que les autres rentraient chez eux.
j'ai subi (il n'y a pas d'autre mot ) le pensionnat on appelaient ça un centre de septembre 1972 a aout 1979 je pourrais écrire un livre d'horreur sur ce que j'ai subi la majorité des éducateurs était soit fêlés soit inaptes avec aussi des déviants ( pour resté correct ) les petits 10 ou 11 ans ce qui était mon cas a mon arrivé était des proies sans défenses jean ferrât chante nul ne guéris de son enfance moi je n'ai jamais guéris je n'ai pas pu regardez ce reportage jusqu'au bout merci de m'avoir lu …...
Je suis vraiment désolée, je ne sais pas ce qui vous est arrivé là-bas mais rien que d'essayer de l'imaginer j'en frémis d'horreur, aucun enfant ne devrait avoir à subir tout ça, d'autant plus de la part d'adultes qui sont sensés les protéger...Comment peut-on travailler avec des enfants dans ces conditions et comment les enfants peuvent-ils grandir et s'épanouir? Non vraiment il y a tellement de défaillances dans le système éducatif et dans le corps professoral et éducatif...
Je travaille en maternelle et école primaire en tant qu'auxiliaire de vie scolaire et même à mon niveau je peux être choquée de certaines choses que je vois ou entends, il y aurait tellement de choses à revoir, et déjà premièrement le respect mutuel enfant-éducateur-enseignant.
Courage, monsieur ! 😓
Je suis émue par votre témoignage. A travers vos lignes , on ressent votre souffrance .Courage à vous monsieur .
courage mon ami, je comprends car j'ai vécu le centre (DDASS et bonnes soeurs, même période que toi) mais ct pas ce bagne ,,, mais je vois tout à fait ce dont tu parles, fraternellement,
ouaih.............. je crois que je ne vais pas le regarder jusqu'au bout, déjà au début j'avais le coeur gros, les gamins, et les tortionnaires, TOUS là.... bise
Ce reportage est fou, c'est excellent on dirait un film par moment. Les gamins font beaucoup de peine (et s'expriment bien mieux que ma génération à leur âge, j'ai 21 ans) et ca fait vraiment réfléchir sur notre système éducatif. Ce reportage est d'une grande beauté et m'as touché.
Play tutorial Noob *m’a touché *
Oui enfin j'ai été choqué d'entendre "si ils nous laisseraient". Je pensais que la faute du "si -rais" était survenue un peu plus tard. Idem pour le "Moi "qu'est-ce que" j'aime bien c'est..".
tu as quel age en se moment ?
Je suis de leur génération et, en effet, nous parlions mieux à notre époque que les jeunes de maintenant.
Sérieusement? Vous n'entendez pas toutes les fautes de français à l'oral? J'enseigne en milieu populaire et mes élèves parlent bien mieux que ces enfants...Il faut arrêter avec le "c'était mieux avant", ils parlent devant une caméra (donc utilisent leur meilleur vocabulaire) et ils ont certainement choisi ceux qui s'exprimaient le mieux et malgré ça c'est bourré d'erreurs...Vu le système utilisé à l'époque (L'austérité des cours, ça fait peur...) ce n'est pas la faute des enfants mais ça reste un fait...
son rêve c est de manger avec papa et maman et de dormir chez lui , c est juste très touchant , merci à cette chaîne de nous faire partager ce genre de vidéo
Ça fait de la peine quand même ...
Qu'est ce qu'ils parlent bien ! Ces enfants m'ont profondément touché j'espère de tout coeur qu'ils ont une belle vie aujourd'hui.
Se construire seul on grandi plus vite que les autres mais ds quel état ! Beaucoup ne se sont jamais mariés pour ne pas reproduire les échecs de leurs parents
Nous sommes des handicapés de la vie !
2:39 "alors on a pas le droit de parler. Un mot, splaf! Ils sont durs quoi... Si ils nous laisseraient 5 minutes de bavardage [....] Mais tandis qu'là, splaf." Oh oui, quel français impeccable! Moi, ce que je vois, c'est qu'il y a comme partout des gens qui parlent très bien, d'autres qui parlent mal, selon les critères de leur époque. Et si pour avoir leur niveau de français il faut subir ce qu'ils ont subi, je pense qu'on sera vite d'accord pour dire que la situation actuelle est bien plus vivable!
J'ai été pensionnaire dans un pensionnat catholique, ça me donne la larme à l'oeil, c'est vrai que c'était très sévère. En fin d'après-midi, quand les externes rentraient chez eux, on nous mettait en étude, chacun à un bureau tout seul et pas le droit de parler, le surveillant était derrière nous pour pas qu'on le voit, il était assis sur une haute estrade. Après le repas du soir on avait le droit d'aller dans une grande pièce ou il y avait une vieille télé, ça durait une heure, on chahutait, on criait fort pour se défouler, ensuite au lit. Le matin, les douches, il y en avait une dizaine, on rentrait en même temps, le surveillant ouvrait l'eau pour tout le monde pour qu'on se mouille, ensuite il l'arrêtait pour qu'on se savonne puis il la remettait pour qu'on se rince, ensuite c'était les dix suivants etc. Une fois j'avais fais une bêtise et j'avais été privé de la sortie du dimanche pendant trois semaines, on était trois retenus, chacun enfermé dans une classe tout seul tout l'après-midi. En y repensant, c'était dur, mais on se fait à tout... Comme on peut le voir sur ce reportage, les enfants sont résignés et ils ne se plaignent pas.
La pension laisse une trace indélébile de tristesse et d'angoisse...le regard du petit "rêveur" résume à lui seul La solitude de ces enfants. Si les parents pouvaient un seul instant ressentir ce qu'éprouve leur enfant, ils seraient peut-être prêts à repenser leur choix de l'internat... J'ai 62 ans et je n'ai jamais guéri de cette période...
Tout à fait d'accord.
Le pensionnat c'est triste 😔
Je suis Michel, né à Brest. À l'âge de 3 ans, ma famille a déménagé en Corse, où j'ai grandi à Bastia. J'y ai suivi ma scolarité et ai ensuite été placé à Luri, dans un établissement pour enfants du Cap Corse, département 2B.
Malgré mon éloignement de ma famille, j'ai grandi de manière équilibrée sous l'influence d'une éducation solide imprégnée du catholicisme. J'ai eu la chance de bénéficier de l'encadrement bienveillant de mon éducateur, Jean-Paul Sermonte, que je crois aujourd'hui être poète à Paris.
Mon parcours a été marqué par différentes institutions pour enfants, ainsi que par des visites sporadiques chez mes parents en Corse. Malheureusement, ces visites étaient parfois entachées par la violence de notre père, qui n'hésitait pas à recourir à des moyens brutaux.
Mon expérience professionnelle s'est principalement construite de manière autodidacte. Le domaine du bâtiment et les métiers associés étaient incontournables dans notre famille. Pour ma part, j'ai trouvé ma voie dans la vente, devenant ainsi un expert en communication et en négociation.
Ma passion demeure dans les voyages et l'informatique, et mes enfants occupent une place centrale dans ma vie.
Voilà comment on brise un mome toute perte de joie et de créativité pour en faire un bon futur travailleur obéissant..
Esprit libre.
Je reconnais
C est ce que je suis
"Victime de mon éducation"
J'ai 50 ans bientôt et vécu en pension de 9 à 18 ans. Très dure la pension mais j'y ai rencontré une famille de substitution "des gamins" avec qui j'ai grandi et quelques educs à qui je dois beaucoup.
Maintenant je suis devenu educ depuis longtemps et je n'oublie par où je suis passé et m'attache à donner tout mon respect à chaque enfant que je croise.
Thierry
né en 1959 ,en pension en belique en 1966 ,bonnes soeurs et fréres ,j'ai été torturé exemple à genoux en slip dans un couloir froid et sur une régle en fer ,pain sec et eau chaude le soir si j'avais fait une connerie etc etc etc j'ai 60 ans et suis en psychothérapie .Quand j'ai vu ce reportage j'ai pleuré car cela m'a ramené à mon passé
C'est très triste😢 courage à vous🙏🏾🙂
J'ai fait Denfert Rochereau en 57
J'ai fait Denfert Rochereau en 57.
Le coup d'être a genou sur une règle , cela était courant à l'époque, malheureusement.... (je tenais pas plus d'une minute)
Bon courage
Ma grand mère pleure à chaque fois qu'elle en parle tellement c'etait dur, et il y a d'autres choses bien plus dur pour les filles (serviettes hygieniques qui n'existe pas), toilette devant les autres, pas de sorti autorisé, gouter seulement pour ceux qui ont des parents qui le peuvent etc...
Et pédophilie
Ma grand mère aussi ça l'a beaucoup marqué, c'est des récits brisants, surtout qu'elle c'était dans les années 50/60 donc c'était d'autant plus dur. Les jupes obligatoire, les sœurs violentes, ce que tu as cité et bien d'autres choses...c'est un marqueur psychologique lourd et ineffaçable.
@@HedlySnape
Pas moins pour les garçons
@@aaoo3053 Vous en parlez comme si c'était systématique. Vous exagérez, c'est loin d'être le menu quotidien des jeunes en pension! Il faut faire attention à ne pas normaliser la caricature.
@Alix Lillith j’veux bien
Mon pere et ma tante ont passé presque toute leur enfance en pension. Elle chez les soeurs et lui dans ce type d'endroit. Des que je lui en parle il me dit toujours qu'il etait tres malheureux là bas, qu'au début il pleurait tous les soirs dans son lit, et comme ca faisait du bruit il se faisait soit engueuler, soit taper. Et quand il fuguait pour retourner dans son village à son retour c'etait punition. Et apres le bac pensionnat militaire. Bon apres on se dit que dans tout malheur il y a du bon, ca lui a donné la rage de réussir dans les études, il est devenu médecin militaire et chercheur en neuroscience. Mais tout de meme ca reste une période sombre dans son esprit, caché au fond de sa mémoire, et son visage s'assombrit quand il en reparle. Autant dire qu'il n'a jamais été question pour nous d'aller dans de tels lieux.
Bonsoir.
Ce n'est pas pas facile le pensionnat.😔les pauvres enfants.
C'est cruelle la remise du courrier pour ceux qui n'en reçoivent pas et ça rajoute du malheur aux enfants dont les parents sont morts qui eux n'en recevrons jamais .
Je suis pas sûre que tu puisse mesurer à quel point tu te sent OUBLIÉ
fernand naudin tu est transparente tu ne compte pour personne
J'ai vécu exactement ça de 1959 à 1969. Une discipline de fer. Le froid la douche une fois par semaine les autres jours toilette au lavabo eau froide. Le petit déjeuner en silence . La sortie hebdomadaire le dimanche seulement. On venait nous chercher après la messe et retour au pensionnat pour 18h le dimanche soir. On restait donc quelques petites heures à la maison. Ce n'était pas un orphelinat mais la discipline était la même. Aucune chaleur humaine. Des moments de tristesse peu de joie dans cette enfance volée. J'en ai gardé beaucoup d'amertume.
"On es 240 à attendre le samedi... mais le lundi ça recommence"
😭😭😭
Antoine cette phrase est folle, il a 15 ans d’avance sur son âge !
"Il parait qu'on est 240 pensionnaires ici. On est 240 a attendre le samedi. Mais le lundi ca recommence" C'est limite le journaliste qui lui a glissé tellement c'est parfait ! Ce reportage est bourré de phrases mythiques, c'est clair, mais les trois dernières touchent au génie ! Et la voix qu'il prend pour dire ca... tous les ingrédients sont réunis.
Né en 1967, j’ai été envoyé en pension à l’âge de 11 ans. Nous étions 33 par dortoir. J’y ai passé 9 longues années. Lorsque j’en suis sorti, j’ai pleuré de joie. C’était à Baden-Baden en Allemagne.
Comment s’était en Allemagne ?
Comment ne pas briser définitivement ces pauvres petits bonhommes ?! Quelle contraste avec notre époque où tellement
d' enfants commandent à la maison !!
Tellement triste ..
Beaucoup ont été traumatisés de ces façons d'éduquer...alors oui ils parlent super bien et sont super sage... Mais a quel prix 😔
J'ai été en pension, dans les années 90 et j'en garde d'excellents souvenirs... C'était il y 25 ans et c'était déjà à des années lumière de ce que l'on voit dans ce reportage d'époque.Ces archives nous montrent le confort que l'on peut avoir malgré tout aujourd'hui...
Il n'en reste pas moins que pensionnaire à l'âge de 10 ans, c'est tôt...trop tôt !
oui, c'est plus récent et ça n'était pas chez les soeurs, avec je ne me rappelle pas le nombre mais minimum 8 prières par jour, c'était dur la pension en 74
Et même bien avant dix ans
Un monde terrifiant
1965 1970
Montsouris ds le 14e à paris puis d autres destinations ds les Pyrénées et en Charente
Envoyée en pension vers 1967 car avant avec des copines, le matin, on allait voir la mer (Dieppe), une pas dégourdie a pris la vague ;) ça s'est su, adultes épouvantés. En pension, je me suis bien marré lol
En 1968, en pension, je me rappelle avoir fait les avis à envoyer comme quoi ça fermait vu les événements
« On est 240 à attendre le samedi...mais le lundi ça recommence » 💔😭
le plus beau reportage que j'ai vue, mais tellement triste !
Je pige pas qu'on construise un monde aussi austere pour des enfants 🤦🤦🤦
Je n'y suis resté que 2 ans car j'ai fugué et ils ont refusé de me reprendre...
Je garde en mémoire les dortoirs froids et sinistres sous le combles, les dizaines de lits alignés, l'ombre du surveillant qui rodait... la peur, la solitude, le sentiment d'être abandonné. Les hauts murs sombres, les salles de classe grises, l'angoisse pour l'élève "moyen" d'être interrogé, humilié plus les coups de règle sur les doigts.
Le sentiment que l'avenir allait être gris à tout jamais, comment avoir des rêves?
Je me suis rendu compte bien plus tard des séquelles de ce temps là. Un gosse pour grandir à besoin de tendresse et même d'amour, je n'ai rien eut, les parents à cette époque ne pensaient pas à ça, eux meme avaient sûrement encore moins avoir été bien traité.
Alors arrêtez de dire c'était mieux avant!
Documentaire terriblement touchant 😢
Bravo 👏 à tt ces petits garçons devenus grands.. Vous m'avez émus.. Et vos moments de joie, vos sourires, vos yeux.. Me remplissent de larmes
Les pensions n'étaient pas forcément tristes. À Plappeville, chez les soeurs, en 1972, c'était très humain. J'en ai gardé de très bon souvenirs.
Ça me brise le cœur...
adorables ces p tits choux j les embrasserais bien tous !
Ça me fait beaucoup de peine de voir cette tristesse dans leurs yeux ! Pauvres petits ! 😢
Mon Dieu!!! comme tous cela est réellement vrai,,, un frisson d'angoisse me parcours le corp ,,, et je fais un saut de 55ans dans le passé, tous les pensionnats se ressemblais, et tous ces enfants aussi me rappel mes anciens camarades, j'étais interne avec mes 2 frères (1966 a 1977) une sortie en weekend tous les 15 jours (si tu n'étais pas collé) , turbulant!!! comme le disait les pions(surveillants), ou alors simplement un enfant vivant,,, aussi je n'est pas échappé aux brimades et punitions corporel,,, mais malgré cela la camaraderie étais un lien très fort, pour vivre dans se milieu carcéral pour enfants,,, une pensée fraternelle a tous ces enfants devenue ,comme moi un grand parent,,, ;)
ces enfants ont dû faire leurs services militaires avec le sourire.
Une simple formalités on connaissait déjà
je confirme
akhy_draulique
beaucoup on fini en prison avec une haine enorme y avai la mème pension a aix en provence c etait les pinchina
Honnêtement, le service militaire, c'était pas dur, on avait l'âge pour ça (j'ai été à la BSPP). Mais je rends grâce à Dieu de ne jamais avoir été en pensionnat. Celui de mon premier lycée technique était atroce. Et étonnement non en raison de la dureté du cadre que par la mollesse des encadrants qui laissaient les adolescents les plus endurcis régner en despote.
Trop mignon le petit :tu ne sait pas lire ? Tu veux que je la lise toi ? ❤️❤️❤️
La seule différence entre une prison et le pensionnat c'est d'avoir mérité d'y être
j ai connu ce genre de pensionnat..... mais en 1965,1966 . en 72 cela m étonnerait !
C'est très triste. Mais il est possible que beaucoup aient été envoyés là parce que la vie de famille était pire.
Mes années d'enfance 😢
Et oui ! Triste souvenir !! 💔...
On a envie de les prendre dans nos bras!!!
Très touchant!
très beau reportage et je l'ai vécu!!!!
♡Pauvres petits... ça fait de la peine, quelle tristesse !
♡Que sont-ils devenus ?
J'ai passé un an en pension, chez les soeurs catholiques à Plappeville. Ce fut pour moi une année merveilleuse.
Ils sont tellement émouvants, sensibles ... raisonnés.... tellement différents de ce qu'on voit maintenant.
Ils sont tous attendrissants...et le petit garçon qui parle du petit bavardage.... tellement mignon
Punaise j'ose même pas imaginée comment c'était avant 1968.
Ma grand mère était en pension de 1954 à 1960 et quand elle raconte ce qu'elle à vécue ca te remet en question
Ma mère m'a raconté et le moins qu'on puisse dire est que ça craignait méga grave +.
@@polosbd1995 bonjour pouvez vous me dire comment cela s'est passé ?
C'était les bonnes soeurs, mais elles ne pratiquaient pas les bonnes mœurs...
Imaginer.
2:21 4:30 Mais je comprends pas, pourquoi les gens font des gosses si c'est pour pas s'en occuper après ? Le gamin explique que ses parents travaillent tard, qu'ils ont pas le temps de le nourrir (ils ont même pas le temps de lui envoyer une lettre !). Il grandit sans voir ses parents à part le week-end... pourquoi faire un gosse ?!
car ils avaient une autre vision de l'enfant
comme pour toi ils ont pas fait gaffe
L'égoïsme tout simplement...! Comme les gens qui font un gosse à 1 an ou 2 de relations, puis après le gamin vie double vie
@@germainlamour6252 t'en n'ai une aussi ma biche
Faut bien se rappeler qu’en 72 l’IVG c’était pas encore légalisé... Même si certaines risquaient leurs vies en avortant clandestinement, y’en a toute une partie qui n’ont pas eu le choix que de garder les enfants
Je voudrais apporter un petit bémol. Je ne sais pas de quel type de pensionnat il s'agit mais personnellement j'ai été en pension dans les années 73/75 et franchement ça n'avait rien à voir. Bien sûr on passait par des périodes de cafard mais dans l'ensemble on y était heureux et on apprenait beaucoup de cette vie en collectivité.
Finalement est-ce que c'était si mieux avant. Beaucoup de gens qui ont connu les années 50-60-70 nous disent que c'était mieux avant tout en nous racomptant leurs souffrances, en nous disant pour certains qu'il n'avaient qu'une orange à Noël, qu'il avaient beaucoup de corvées en rentrant de l'école que les femmes devaient obéir aux hommes et n'avaient que très peu de liberté ( ce que beaucoup reprochent à la culture Musulmane aujourd'hui ) que le travail de la maison était difficile, que les hommes buvaient beaucoup à la campagne, que les gens travaillaient 60 heures par semaine...bref que la vie était très très difficile, ils se plaignent de ce qu'ils ont vécu tout en disant aujourd'hui "c'était mieux avant" .J'ai du mal à expliquer ce paradoxe.
Ya des mecs en prison qui vivent une meilleure vie que c'est jeunes cest abusé
Un reportage bien émouvant.
Eh bah c'est pas la joie...
J'ai détesté l'école et le collège. J'ai souffert en pension et Ironie du sort, j'ai été moniteur puis directeur de de colonies de vacances, surveillant d'internat, professeur d'anglais en lycée , puis directeur d'un grand collège de région parisienne. Et croyez le, j'ai adoré ! Allez comprendre !🤣
Les enfants de l'époque parle mieux que nous
J ai 14 ans et je le confirme👍👍👌👌👌
Ils sont touchants c'est enfant😢
Je suis choque
Un petite grand homme. 🙍🙏
C'est émouvant. Pas évident pour ces bouts de choux.
Personnellement j’ai fait 7 ans de pensionnat dans 2 pensionnats différends et j’ai adoré . Bon je revenais chez moi toutes les semaines . C’était les années 70.
Personnelles j'y suis allée a 10ans pendant 6ans sortie 2 fois par mois c'est vrai que c'est difficile mais en interne nous n'étions pas mal traités je reconnais a la France de l'époque d'avoir pris en charge tout ces enfants issus de mieux plus que défavorisés de les avoir nourris et instruits et éduquer se substituant a des parents démissionnaires de leur devoir
J'adore les reportages d'INA nous pouvons voir l'évolution de génération en génération. Les enfants étaient respectueux à l'époque malgré la dureté de la vie..
Désormais la tendance s'est inversée..
On dirait une prison...
Merci beaucoup 🙏 j'aime l'imision sa ma fait touché parsque mon n'enfan est aussi au pensionnat je n'est pas choix quar je suis malade 😭 brefs
Courage à vous madame
j'ai connu le pensionnat en 1966 en étant né en 1959 !!!! je me reconnais dans ce reportage mais rassurez vous Madame les temps ont changés .Bon courage et bonne guérison
1:30 on dirait qu'il parle d'une prison... ça a l'air très peu épanouissant comme endroit
Heureusement que les internats aujourd'hui ont changé, et sont plus prestigieux pour certains, avec parfois des pédagogies alternatives. D'expérience il faut que ca soit le choix de l'enfant pour la réussite, et non l'inverse !
😔
Comme beaucoup d’entre vous j’ai vécu cela……à partir de 4 ans jusqu’à 16 ans. 1 journée et demi par semaine c’était mon week end et ca recommençait le dimanche soir, raccompagné vite fait mal fait dans cette rue sombre de Vernouillet ……et puis il y a eu d’autres collèges, meme dortoirs immenses, même surveillants tarés et violents, même curés bornés et déviants pour certains ……..et ma,famille disait que j’avais de la chance ……!!!
Le langage de ces jeunes fais plaisir à entendre
😥 Quelle tristesse absolue dans ce reportage........
Ça rappelle des vieux films.
le petit garçon au début est formidable de maturité Ou est il maintenant.
'´qui a envahi la gaule pour la première fois et qui était leur chef" "Les Romains, Jules César "
Les historiens s'arrachent les cheveux.
Mdr, elle aurait du tenter "qu'elle est la difference entre un pigeon?"
Ou comment fabriquer un enfant en carence affective ... voyer le deuxième "splaff"..2:53 . terrible ce qu'il exprime par ses yeux à ce moment-là....
Ce que vous ne comprenez pas, c'est que si les mômes restaient avec leurs parents qui avaient le culot des envoyer là, ça ce serait pas mieux (je parle pour les parents enfoirés, il y avaient aussi malheureusement des familles avec un niveau de vie bien plus austère que ce qu'on voit là, et qui étaient incapable de mettre sur la table ce que les enfant peuvent manger dans cette vidéo).
@@TonyOneBlairoby cela peut être vrai malheureusement...
@@TonyOneBlairoby il y à un petit point qui me chiffonne quant même : si certains parents étaient trop pauvres pour payer des repas à leurs enfants, comment ont-ils payés le prix des pensions ?
@@jean-pierrecharpentier2546 mon pauvre les enfants doivent bien aller à l'école.
C'est un crève cœur 💔😥
oui c vrai je l'ai vécu ,mais ceci ma été bénéfice pour moi je suis parent avec 1 aine de 30 ans et 1 autre de 22 ans j'y ai apris beaucoup de chose le partage q'ont a plus maintenant nos jeune dérive gravement toute ses pensions ont été supprimer ,je sais quil y en a de pension plus rude mais en Bretagne était bien ont avait pas de prêtes pedofiles ,je suis un ancien militaire et cela ma servi pour avancer
Les enfants avaient l'air terrifiés et bien dociles. En plus, même leurs lits me font peur 🙁
Et aujourd'hui tout c enfant ont 50 ans ou 60 ans
Imaginez ce que ça devait être avant le XVIII e siècle !
Au siècle des Lumières on s'est enfin aperçu que l'éducation des enfants pouvait être beaucoup trop violente, et que les sévices tant physiques que psychologiques risquaient de corompre à jamais les esprits, ce d'autant que l'on était loin d'apprendre mieux de cette façon...
Je me demande si je n'ai pas élevé mes fils au pays des " Bisounours " en les surprotégeant et en les épargnant des difficultés de la vie , mais j'ai fais comme mes parents en pensant bien faire , nous n"'avons pas calculé leur l'évolution ,ces jeunes d'aujourd'hui et même de mon age qui ne savent pas aligner 2 mots ou qui restent sur le carreau , cela fais mal au cœur de voir ces jeunes gens brimés et réprimander mais quel est le juste milieu ?
Les pauvres gamins 😔
Les pauvres enfants 😔
Quand je vois la vie de ces gamins, je me dis : je vis au paradis !
Pauvre petits oiseaux
venturagabin go on leur a coupé les ailles
venturagabin go tomber du nid
c est quand même assez récent ! certain devrait regarder ...
Pauvres choux ! en plus de la pension séparés des parents ,c'est sévère
Sa ma tellement toucher quand le petit garçon a lue la lettre a sont copain parce que il ne sait pas lire
C'était sévère mais c'était pas le bagne quand même...
Moi j'aimais bien
Moi aussi. On était avec les copains du matin au soir.
😢 j’ai connue ça aussi de 1966a 1969 chez les nonnes à Nancy , elles me faisaient flipper 😅 ,je croyais que c’était des fantômes 😂 👋
Terrifiant. Comme si être enfant, c’était être coupable…
C’est pire que la prison le pensionnat
Bienvenue à la prison
Les souffrances d enfance sont irréparables , voir l avenir sans confiance dans l adulte. On avance avec le poids sourd et lourd du passé. Le doit de se taire, jamais , je t aime, le regard de la haine. L enfant est l objet. Le n non droit, on est rien Etc etc etc etc c'est la paix seulement pour dormir.
Moi je serai viré de la pension depuis le début
on est 240 à attendre le samedi, et le lundi ça recommence....
je n'ai pas l'impression que cela date de 72 , moi j'y étais en 63 66 , le décor me semble d'une autre époque???
mais qui donc a connu cette époque,? Moi! et c'était presque pire, c'était chez les bonnes soeurs, une prière au garde à vous le long du lit et pas réveillée au réveil, tirer les draps jusqu'au bout, direction la toilette comme ces enfants reprière, petit déjeuner, rentrée en classe re prière déjeuner e,ncore une prière bref je ne sais plus combien; on avait le courrier à table devant tout le monde et c'était silence à table pareil, pas le droit de parler sinon on n'avait pas notre courrier, je me retrouve tellement la dedans, je n'ai que 58 ans; ça fait drole!.......
Es tu devenue athée ??
Pour savoir si le bourrage de crâne marche..
J’étais aussi chez les sœurs c’était pas mieux les sœurs de St Vincent de Paule
en tout cas, pas du tout pratiquante,les soeurs étaient assez mauvaises donc pas un bon souvenir@@cosmos942
@@asiatike tu as du en baver aussi. Quel age as tu pour comparer?
j'ai connu le pain sec et l'eau chaude ,j'ai été mis à genoux sur une regle en fer pendant de longs moments et ceci en slip............................. .J'ai 60 ans et suis en psychotherapie
C'est incroyable et c'était il n'y a pas si longtemps... petit, à la maison (années 80), c'était encore une menace pour faire peur aux enfants : "Si tu n'es pas sage, tu iras en pension!"
Heureusement que les pensionnats ont bien changé...
J y suis passer pendant 5 ans sauf que les week-end n exister pas,
mon père y a été dans les années 60-70 : ca la brisait
Comme il parle bien
Ben j'aimais bien la pension perso
c'est une abomination la pension