Les christianismes au regard de la tradition juive

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  • เผยแพร่เมื่อ 12 พ.ค. 2019
  • Conférence de Julien Darmon du 12 mai 2019 dans le cadre du cycle "Pour un judaïsme en quête de sens" organisé par la Yechiva des Etudiants

ความคิดเห็น • 7

  • @lucrebout8899
    @lucrebout8899 5 ปีที่แล้ว +1

    Bien que ce soit discutable, très bonne vidéo, merci.

  • @sachavoronej5104
    @sachavoronej5104 5 ปีที่แล้ว +4

    Intéressant mais le son est vraiment trop faible...
    Un effort svp.
    Merci.

  • @lhorebdesprophetes9432
    @lhorebdesprophetes9432 ปีที่แล้ว

    Merci pour cette présentation non partisane qui questionne en effet la question de l'incarnation du Messie selon une position de l'Esprit (ruwach) qui vient à se répandre (ruwhott) pour se manifester à travers l'Adam. Il serait intéressant que vous puissiez développer l'évolution de la différence entre le Messie que vous attendiez politiquement au temps de Jésus avec le Messie que les Judéens attendent aujourd'hui depuis le rétablissement de l'Etat d'Israël. Ce nouveau Messie juif ne serait-il pas imprégné aujourd'hui de la figure, du principe christianisant ? Shalom

  • @jovicmbala873
    @jovicmbala873 8 หลายเดือนก่อน

    J'ai vraiment aimez la conférence c'était super !! Juste que vous n'avez pas parlez de Jésus en profondeur, vous avez parlez des doctrines de l'église, l'église est imparfaite ( pour l'instant) Jésus est parfait, et il rendra l'église parfaite lors de son avènement. Selon qu'il est écrit : >.

  • @manuellevert8191
    @manuellevert8191 2 ปีที่แล้ว +2

    La venue du messie a à voir avec une période de crise profonde qui fait que seule une surabondance de Bien, donc la venue sur terre de Dieu en personne, peut vaincre la grande abondance de mal qui submerge le monde et que l'humanité seule ne peut surmonter. Le messie juif est sensé vaincre réellement le mal là où le messie chrétien le vaincq principiellement puisqu'il meurt sur la croix et doit revenir... Sans doute, présente-t-il plus d'analogie avec le messie Ben Joseph du judaïsme. Il n'empêche que l'on peut se demander si le judaïsme n'est pas porteur de la notion d'incarnation puisque son messie humain se fait pur instrument de Dieu afin de faire rayonner la gloire de Celui-ci sur terre, comme la nature humaine de Jésus est subsuméé par sa nature divine et sa personne divine. Cette venue de Dieu en personne sur terre permet, dans un deuxième temps, une approche plus contemplative de Celui-ci quant à ce qu'Il est en Lui-même. On peut comparer la théologie catholique à une théologie transcendantale établissant les conditions de possibilité d'une relation de Dieu avec autre chose que Lui-même, à savoir sa créature. Le judaïsme apporte même la notion de tsim-tsoum pour rendre possible cette création elle-même, qui reste contingente de toute façon. Le christianisme ne dit pas autre chose que Dieu est déjà en relation d'amour avec Lui-même comme à un Autre que Lui-même, de part la surabondance de Bien qu'Il est par nature. Il ne saurait dépendre d'une créature contingente à aimer. Cette relation extérieure et contingente ne fait que refléter une relation intérieure éternelle à laquelle Dieu cherche à faire participer sa créature, là où le judaïsme cherche à parachever la création elle-même sur le plan éthique , ce qui n'est pas incompatible. Il y a uneTrinité immanente, qui doit supposer un tsim-tsoum intra-divin, que reflète ou révèle une Trinité économique, le Fils et l'Esprit-Saint n'étant pas de pures opérations ou des modes du divin dans le créé, auquel cas il serait contradictoire de les considérer comme incréés et éternels. C'est la venue du Fils comme telle qui permet de révéler le Père, qui reste à l'état d'Ein-sof inconnu dans le judaïsme. Le Fils est analogue au Dieu-pour-nous, donc particulier vers lequel penche le judaïsme, alors que le Père est analogue au Dieu-en-soi, donc universel vers lequel penche l'islam. C'est dans et par l'Esprit-Saint en personne que la Trinité devient pleinement concevable. De ce point de vue, le christianisme transcende la dualité entre une théologie apophatique, ou négative, et une théologie cataphatique, ou positive, par une théologie abnegative. De même qu'il transcende la dualité entre un ésotérisme et un exoterisme propre aux monothéismes prophétiques. Il ne s'agit donc pas de vouer un culte à Jésus-Christ ou à ses représentations, pour eux-mêmes, ce qui serait effectivement de l'idolâtrie, mais au contraire, parce qu'il est le modèle parfait de l'abnégation totale de soi vers plus grand que soi, de voir en lui, et ses représentations, le médium parfait qui permet de vaincre tout intéressement, même intime. C'est à cette condition qu'il a pu donner la révélation de l'Esprit-Saint en personne qui a fonder l'Église. Certes, il est question d'un pardon à priori d'initiative divine, mais la prise de conscience du péché, le repentir et la réparation sont sensées suivre. Quant à l'immaculée conception, les chrétiens orthodoxes sont peut être plus proches des juifs car si Marie n'a jamais péché, elle n'est protégée par l'EspritSaint que depuis l'Annonciation. Il doit y avoir effort de l'humanité vers Dieu afin que Dieu vienne vers elle. Dans le catholicisme, Marie est protégée depuis sa conception et devient une personnification parfaite de l'Esprit-Saint, co-redemptrice de l'humanité avec son Fils. Ce qui peut inciter à plus de passivité.

    • @lhorebdesprophetes9432
      @lhorebdesprophetes9432 ปีที่แล้ว

      Marie peut effectivement être vue dans la configuration d'une icone divine à la ressemblance de la déesse Astarté et d'un point de vue symbolique effectivement comme une figure d'Isha qui sort du côté de l'Homme (adamique) pour écraser la tête du serpent nahash, engendrant la vie de Jésus selon la perception de la mère d'une descendance qui fait paraître le messie sans descendance charnelle, mais pour autant visant un engendrement spirituel selon le principe corporel de l'agneau sacrifié pour la rémission des péchés depuis Abraham, incarnant la loi et la parole. Marie peut-être traduite symboliquement comme une figure de l'Esprit-Saint dans la forme symbolique de la "femme adamique", selon un symbolisme totalement construit intellectuellement et qui semble pour autant abusif, dès lors que lorsque le Christ annonce envoyer le consolateur et le manifeste à la Pentecôte, il parle alors de l'Esprit du ciel qui intercède à travers, non pas sa mère, mais bien le corps du Christ dans la valeur de la communion à l'Esprit. La manifestation de l'Esprit est donc bien l'image du Christ et ne peut pas être celle de Marie, auquel cas il y a substitution du ministère de Jésus-Christ, le Consolateur étant expression de la volonté du Père qui est Esprit à travers l'incarnation du Fils rédempteur. Marie prend donc cette place à Jésus dans les représentations catholiques et alors toute représentation "intercalaire" entre l'humanité et Dieu (y compris celle de déifier les apôtres (Les Saints) trouble effectivement la lecture et compréhension de la position du Christ qui est présenté dans les écritures comme le seul intercesseur auprès du Père. La figure de Marie altère donc la perception de la perfection de Dieu réalisé corporellement en Christ seul, pour définir le nouveau temple, l'assemblée de tous ceux qui croient que le Père est dans le Fils (Adam) et réciproquement selon la position de l'esprit. Simon Pierre figure distinctement le disciple missionné pour l'édification des membres d'un nouveau temple, visant simplement la dispenciation de l'évangile pour le rassemblement des élus à la tête (Dieu). Votre point de vue explicite est très intéressant. Shalom

  • @bbasaid6904
    @bbasaid6904 ปีที่แล้ว

    Selon le Coran, Jésus est Le Messie !!