Dans cet exercice prospectif qui veut s'appuyer sur la Science, pour voir où nos pas humains nous mènent, ça exige d'approcher plusieurs lectures et réussir à les relier, en l'état actuel de nos connaissances, notamment en Anthropologie, Physiques, Biologie, Psychiatrie, etc (vaste et long travail de lectures) ; - Sur l'évolution de nos civilisations, leurs cycles, cet ouvrage ''Au commencement était...une nouvelle histoire de l'Humanité'' (de David Graeber et David Wengrow) explose le narratif raconté jusqu'ici sur nos organisations/adaptations humaines. Elles n'étaient pas systématiquement hiérarchiques ou coopératives de façon séparées et linéaires. Elles se montraient beaucoup + souples, très adaptatives, même en politique. Et davantage qu'aujourd'hui d'après leurs recherches de par le monde entier. Sauf qu'elles n'ont pas toutes réussie à survivre au temps. Dans la globalisation actuelle, qui prône une culture humaine homogène, nombre de ces modèles disparaissent toujours + vite de notre mémoire. Le taux démographique s'est affolé depuis, comme l'état des lieux environnementaux. Soit autant de paramètres qui ne permettent plus de dégager la même marge de manœuvre passée pour imaginer notre futur. Et comme l'on a interprété le passé tel que ça arrangeait nos biais. La configuration classique pour continuer cet exercice de pensée a considérablement changé. Jusqu'ici, la vie humaine a pu expérimenter des directions d'abord parce que son cadre naturel le lui permettait. Il pouvait les vivre dans de moindres tensions qu'aujourd'hui. Ce n'est plus le cas si on analyse tous les paramètres qui indiquent des niveaux de toxicités, une extinction de la vie générale et une planète transformée qui a atteint un point critique inédit. Ce qui me pousse à penser qu'en l'état de la scène, de ses rétroactions à venir et qui arrivent à rebours, et aussi de la transformation massive des psychologies humaines que les techniques d'ingenieries sociales et les technologies ont fortement déséquilibrés même sur la génération suivante, l'humanité connaîtra certes une ''sobriété'' imposée de force mais elle entraînera probablement autant des coopérations conquérantes (type mafias) que des coopérations pacifiques. Dans les premiers temps, un drogué supporte très mal l'annonce d'une réduction drastique de ses doses. On le mesure déjà sur un plan géopolitique et social très inquiet et qui exprime plutôt une augmentation des concurrences et le spectre d'une 3ème guerre...en moins de 2 siècles. Du jamais vu, ni vécu sur Terre. - Sur la thermodynamique, sa 2ème loi (l'entropie) ou comment le rôle de l'espèce humaine s'y conforme (sans en prendre conscience malgré elle), c'est pas si simple à prévoir mais récemment, j'ai découvert l'hypothèse d'un jeune physicien très prometteur qui pousse plus loin le sujet : Jérémy Englund suppute que la matière animée et inanimée participent au même processus de dissipation de l'énergie mais en suivant 2 chemins différents. Il pousse la compréhension de Charles Darwin en déclarant notamment que '' le meilleur moyen de dissiper l'énergie est multiplier une copie de nous-mêmes''. Et je trouve ses réflexions plutôt très raccords avec les observations pratiques. La Nature relance sans cesse de nouveaux écosystèmes et de nouvelles espèces, en moyenne tous les 5 millions d'années pour se refaire quand elle détruite. C'est le labo par excellence et si elle nous a privilégié par X improbabilités et essais, c'est probablement parce que notre forme vivante se montre la plus aboutie sur la planète pour dissiper la chaleur. Cette faculté semble arriver à son terme si l'on en croit plusieurs indicateurs qui évoquent une notion de ''d'irréversibilité'' (comme les ressources minérales épuisées d'ici quelques décennies à quelques siècles. Sans parler de l'Eau douce et potable ou la fertilité des sols, premières conditions de vie aujourd'hui qui s'annoncent très mal garanties). Je suis pas certain que le prochain cycle d'effondrement, qui concernera cette fois notre globalité, permette notre résilience et une coopération tranquille puisque nous n'accordons pas, à la Terre, ces possibilités. Et si une I.A ameliorée devait gérer, identifier et eliminer efficacement le facteur commun à ces problèmes mortels, si elle devient vraiment intelligente avec une autonomie augmentée (comme les entreprises projettent de le faire), peu probable qu'elle nous épargne aussi puisqu'elle aussi cherchera à survivre. Elle relira encore mieux toutes les données du terrain. Des îlots d'organisations et de coopérations apparaîtront certainement sur un nombre d'humains moindre, mais les conditions actuelles et les projections indiquent suffisamment quelle probabilité d'avenir aura le + de chance de l'emporter. Aussi erratique qu'elle soit, la psychologie humaine (dérégulée comme le système à son image) obéit à des lois qui semblent bien programmées par la Nature mais celle-ci suit des logiques étrangères aux nôtres, notamment sur le plan temporel et spatial. Une seule tempête d'ampleur, une seule famine ou une seule épidémie peut nous balayer. Et aujourd'hui complètement si l'on pense aux interactions que l'on a rendu possibles pour ça. Les données mathématiques sont têtues à discuter et après moults lectures, conférences et interviews, à mon avis, l'Homo-sapiens-demens (qui se croit l'être le + sophistiqué de la création), est un passager parmi d'autres espèces en voyage (qui s'éteignent aujourd'hui). Lui aussi a atteint les limites de sa destination : non seulement son génie n'est plus autorisé à récidiver les erreurs qu'il a répété durant toute son histoire mais en +, ses facultés internes de régulation ne lui permettent pas de se modifier durablement. Un simple prisonnier biologique qui a toujours cherché à s'échapper dans le rêve mais la réalité est beaucoup plus forte et pragmatique que nos ambitions et définitions. En tout, cas les derniers temps de notre expérience promettent d'être intéressants pour un observateur lointain qui nous regarderait d'en haut à la loupe. Cette loi de la thermodynamique à travers la biologie poursuit de fasciner : vu tout ce que l'espèce humaine dissipe (et a dissipé) en si peu de temps géologiques, ça interroge vraiment sur le sens de la Nature et de l'Univers qui ne semble en avoir que pour tester une chose, l'éliminer puis passer à une autre meilleure encore.
L'avenir de l'humanité dans une société babylon1sée dirigée par un président enfant détourné (dont la mère était référente nationale sur les questions de transgenrisme (Françoise Nogues-Macron)) Courage !
Je pense que le sujet dépasse largement la présidence de Macron, qui dépasse même la France. La crise climatique se fiche des frontières et des petits chefaillons ici et là.
@pheolinebluemill3555 de quoi parlez-vous ? Je pense que si nous sommes dirigés par un président détourné lorsqu'il était mineur par une personne qui se trouve être un homme (et peut-être son père ? Mais là je vais loin) ça sera un sujet plus urgent à traiter que le réchauffement climatique.. C'est le sujet des sectes et des occultismes et pratiques dans certaines familles qui semblent être de plus en plus répandues.. Et il faudra se poser la question de comment et pourquoi ces personnes là montent aussi haut dans l'échelle du pouvoir (début de réponse : Franc-maçonnerie et autres réseaux qui semblent être hors de contrôle)
Dans cet exercice prospectif qui veut s'appuyer sur la Science, pour voir où nos pas humains nous mènent, ça exige d'approcher plusieurs lectures et réussir à les relier, en l'état actuel de nos connaissances, notamment en Anthropologie, Physiques, Biologie, Psychiatrie, etc (vaste et long travail de lectures) ;
- Sur l'évolution de nos civilisations, leurs cycles, cet ouvrage ''Au commencement était...une nouvelle histoire de l'Humanité'' (de David Graeber et David Wengrow) explose le narratif raconté jusqu'ici sur nos organisations/adaptations humaines.
Elles n'étaient pas systématiquement hiérarchiques ou coopératives de façon séparées et linéaires. Elles se montraient beaucoup + souples, très adaptatives, même en politique. Et davantage qu'aujourd'hui d'après leurs recherches de par le monde entier.
Sauf qu'elles n'ont pas toutes réussie à survivre au temps.
Dans la globalisation actuelle, qui prône une culture humaine homogène, nombre de ces modèles disparaissent toujours + vite de notre mémoire. Le taux démographique s'est affolé depuis, comme l'état des lieux environnementaux.
Soit autant de paramètres qui ne permettent plus de dégager la même marge de manœuvre passée pour imaginer notre futur. Et comme l'on a interprété le passé tel que ça arrangeait nos biais.
La configuration classique pour continuer cet exercice de pensée a considérablement changé.
Jusqu'ici, la vie humaine a pu expérimenter des directions d'abord parce que son cadre naturel le lui permettait. Il pouvait les vivre dans de moindres tensions qu'aujourd'hui. Ce n'est plus le cas si on analyse tous les paramètres qui indiquent des niveaux de toxicités, une extinction de la vie générale et une planète transformée qui a atteint un point critique inédit.
Ce qui me pousse à penser qu'en l'état de la scène, de ses rétroactions à venir et qui arrivent à rebours, et aussi de la transformation massive des psychologies humaines que les techniques d'ingenieries sociales et les technologies ont fortement déséquilibrés même sur la génération suivante, l'humanité connaîtra certes une ''sobriété'' imposée de force mais elle entraînera probablement autant des coopérations conquérantes (type mafias) que des coopérations pacifiques.
Dans les premiers temps, un drogué supporte très mal l'annonce d'une réduction drastique de ses doses. On le mesure déjà sur un plan géopolitique et social très inquiet et qui exprime plutôt une augmentation des concurrences et le spectre d'une 3ème guerre...en moins de 2 siècles. Du jamais vu, ni vécu sur Terre.
- Sur la thermodynamique, sa 2ème loi (l'entropie) ou comment le rôle de l'espèce humaine s'y conforme (sans en prendre conscience malgré elle), c'est pas si simple à prévoir mais récemment, j'ai découvert l'hypothèse d'un jeune physicien très prometteur qui pousse plus loin le sujet : Jérémy Englund suppute que la matière animée et inanimée participent au même processus de dissipation de l'énergie mais en suivant 2 chemins différents.
Il pousse la compréhension de Charles Darwin en déclarant notamment que '' le meilleur moyen de dissiper l'énergie est multiplier une copie de nous-mêmes''. Et je trouve ses réflexions plutôt très raccords avec les observations pratiques.
La Nature relance sans cesse de nouveaux écosystèmes et de nouvelles espèces, en moyenne tous les 5 millions d'années pour se refaire quand elle détruite.
C'est le labo par excellence et si elle nous a privilégié par X improbabilités et essais, c'est probablement parce que notre forme vivante se montre la plus aboutie sur la planète pour dissiper la chaleur.
Cette faculté semble arriver à son terme si l'on en croit plusieurs indicateurs qui évoquent une notion de ''d'irréversibilité'' (comme les ressources minérales épuisées d'ici quelques décennies à quelques siècles. Sans parler de l'Eau douce et potable ou la fertilité des sols, premières conditions de vie aujourd'hui qui s'annoncent très mal garanties).
Je suis pas certain que le prochain cycle d'effondrement, qui concernera cette fois notre globalité, permette notre résilience et une coopération tranquille puisque nous n'accordons pas, à la Terre, ces possibilités.
Et si une I.A ameliorée devait gérer, identifier et eliminer efficacement le facteur commun à ces problèmes mortels, si elle devient vraiment intelligente avec une autonomie augmentée (comme les entreprises projettent de le faire), peu probable qu'elle nous épargne aussi puisqu'elle aussi cherchera à survivre. Elle relira encore mieux toutes les données du terrain.
Des îlots d'organisations et de coopérations apparaîtront certainement sur un nombre d'humains moindre, mais les conditions actuelles et les projections indiquent suffisamment quelle probabilité d'avenir aura le + de chance de l'emporter.
Aussi erratique qu'elle soit, la psychologie humaine (dérégulée comme le système à son image) obéit à des lois qui semblent bien programmées par la Nature mais celle-ci suit des logiques étrangères aux nôtres, notamment sur le plan temporel et spatial. Une seule tempête d'ampleur, une seule famine ou une seule épidémie peut nous balayer. Et aujourd'hui complètement si l'on pense aux interactions que l'on a rendu possibles pour ça.
Les données mathématiques sont têtues à discuter et après moults lectures, conférences et interviews, à mon avis, l'Homo-sapiens-demens (qui se croit l'être le + sophistiqué de la création), est un passager parmi d'autres espèces en voyage (qui s'éteignent aujourd'hui).
Lui aussi a atteint les limites de sa destination : non seulement son génie n'est plus autorisé à récidiver les erreurs qu'il a répété durant toute son histoire mais en +, ses facultés internes de régulation ne lui permettent pas de se modifier durablement. Un simple prisonnier biologique qui a toujours cherché à s'échapper dans le rêve mais la réalité est beaucoup plus forte et pragmatique que nos ambitions et définitions.
En tout, cas les derniers temps de notre expérience promettent d'être intéressants pour un observateur lointain qui nous regarderait d'en haut à la loupe.
Cette loi de la thermodynamique à travers la biologie poursuit de fasciner : vu tout ce que l'espèce humaine dissipe (et a dissipé) en si peu de temps géologiques, ça interroge vraiment sur le sens de la Nature et de l'Univers qui ne semble en avoir que pour tester une chose, l'éliminer puis passer à une autre meilleure encore.
Un immense merci pour ce commentaire très enrichissant. Il y a là matière à méditer pendant un certain temps !
Interessant, merci 👍
L'avenir de l'humanité dans une société babylon1sée dirigée par un président enfant détourné (dont la mère était référente nationale sur les questions de transgenrisme (Françoise Nogues-Macron))
Courage !
Je pense que le sujet dépasse largement la présidence de Macron, qui dépasse même la France. La crise climatique se fiche des frontières et des petits chefaillons ici et là.
@pheolinebluemill3555 de quoi parlez-vous ? Je pense que si nous sommes dirigés par un président détourné lorsqu'il était mineur par une personne qui se trouve être un homme (et peut-être son père ? Mais là je vais loin) ça sera un sujet plus urgent à traiter que le réchauffement climatique..
C'est le sujet des sectes et des occultismes et pratiques dans certaines familles qui semblent être de plus en plus répandues..
Et il faudra se poser la question de comment et pourquoi ces personnes là montent aussi haut dans l'échelle du pouvoir (début de réponse : Franc-maçonnerie et autres réseaux qui semblent être hors de contrôle)