Insupportable d'entendre dans le premier témoignage et a de multiples reprises ''cetait un père parfait''. NON ! un père parfait ne fait pas vivre la terreur a ses enfants. Ne frappe pas leur mère devant leurs yeux. Un père parfait ne leur laisse pas des traumatismes.
J'ai connu cela... Franchement, on ne s'en remet JAMAIS ! J'ai 76 ans, j'y pense toujours, ils ont gâché ma vie, j'ai dû être internée, voulant mettre fin à ma vie... Cette VIOLENCE, je ne peux oublier, j'ai préféré ne plus jamais les revoir... Ils sont en enfer aujourd'hui... Que le diable les emportent...
Je vous comprend parfaitement bien moi aussi réagis comme sa vie a vie de mes parents c'est vraiment très dur faut être solide comme un roc très courageuse mes pensées accompagnent bien fort ❤❤❤❤❤
il faut essayer de pardonner malgré les douleurs car si vous ne pardonnez pas il y aura toujours des liens 🔗 que dieu vous vienne en aide dans tous cela et dans votre cœur ✝️♥️
J'ai connu cela aussi, on n'oublie jamais même si on peux faire des pauses par intermittence et avoir quelques tranches de vie paisibles. C'est un boulet que l'on traine toute sa vie. J'ai traversé la vie de façon brinquebalante avec des hauts et des bas en me sentant toujours à la marge de la société, je n'en avais pas les codes. Dans un milieu ou règne la violence et l'alcool on est toujours sur le qui-vive et on ne peut apprendre la vie en société car on est très souvent coupée d'elle. Les personnes qui donnent des leçons de morale devraient savoir que la façon de vivre les violences ont différents niveaux, ils sont tous destructeurs et tout le monde n'a pas les mêmes ressources pour y faire face et en sortir. Tant mieux pour ceux qui ont pu construire leur vie d'adulte dans un milieu plus favorable mais tous n'ont pas cette chance et ce n'est pas une question de volonté. Qui choisirait de rester dans la douleur et le malheur volontairement ???
La première histoire démontre bien que cette femme a toujours démontré une grande intelligence émotionnelle, a toujours essayé de préserver tous ses proches. Au contraire d’eux qui l’ont jugé et tourné le dos pour ses choix, alors qu’elle a essayé d’aider tout le monde. Les gens oublient vite qui ont été là pour eux..La pauvre
Mon père frappait ma mère et mon frère aîné… on est 4… 22 ans de calvaire pour ma maman… et 17 pour mon frère … mon père ne buvait pas…le plus beau jour de notre vie, le jour où il nous a abandonné… aujourd’hui j’ai un vrai papa, le deuxième mari de ma mère… il est plus que formidable… je ne souviens de pas grand chose mais je me souvient de la peur et personne ne peut crier à côté de moi… je reste figée… il ne nous a jamais aimé… il est mort cette année… mais le trauma est resté…. Ma psychologue est géniale heureusement … j’ai 48 ans et je sens la blessure dans mes entrailles. On oublie jamais.
J’ai également vécu cela … J’ai était témoin de violence conjugale de mon beau-père envers ma mère et en plus il était maltraitant envers mes frères et moi . Aujourd’hui c’est encore un traumatisme. Force et courage à toute les personnes victimes/témoins de violences conjugales. ✊🏻💪🏼😘❤️
J'ai eu ce genre d'enfance aussi. Mon père a toujours violenté ma mère, je n'ai jamais eu une seule once d'amour envers mon père, j'ai même du mal à dire le mot "papa". J'ai toujours vécu avec ma mère et j'ai des souvenirs de petite fille que je n'oublierai malheureusement jamais ...
J'ai aussi vécu ça, par mon oncle envers les hommes de ma famille, maintenant j'ai un stress post traumatique face aux personne alcoolisées et à la moindre forme de violence. Je souhaite quand même dire à tout le monde, que vous avez le droit d'en vouloir aux personnes qui savaient et n'ont rien fait pour vous aider !! Un adulte doit TOUJOURS mettre en avant la sécurité d'un enfant !! Et ne culpabilisez jamais de détester les personnes coupables, que vous ayez un lien de sang ou pas !! Vous avez le droit de détester votre parent violent !!
Victime aussi de la violence de mon père et ma mère est restée beaucoup trop longtemps. J'ai coupé les ponts avec lui, après des décennies de thérapie et de tentatives de relation saine avec mon père. Ce dernier est atteint du trouble de la personnalité narcissique. Cela ne m'intéresse plus les malades mentaux. Ma mère n'est pas beaucoup mieux, peut-être aussi malade psy. Je lui en veux qu'elle ne l'ait pas quitté plus tôt, on aurait pu être très bien avec ma sœur. Nos grands-parents maternels nous ont sauvé, nous sommes saines et avons pu nous reconstruire. Mais c'est très long et coûteux dans tous les sens du terme. Ce qui m'a paradoxalement aussi aidé, c'est que mon père s'est très peu investi pour nous ses enfants et il habite très loin, donc l'emprise a été minimisée. Pour moi il faut couper les ponts, vivre sa vie et penser qu'à soi et ses enfants. De tels parents ne méritent pas leurs enfants. Mon père n'en a strictement rien à faire de moi. Sans pardon, rien du tout de ma part. Il y a assez d'être humains qui peuvent donner de l'amour et en recevoir. Ma sœur et moi allons refuser tout héritage. On veut juste enfin notre paix.
J'aurais dû être sur le plateau pour apporter mon histoire. Je suis victime d'une famille de violence et marié à un alcoolique violent. Je me reconnais bien dans les témoignages. J'espère vraiment pouvoir venir pour amener des compléments d'informations sur les sujets traités dans votre émission.
Les enfants sont les premières victimes des violences conjugales. De plus ils ne sont pas reconnus comme tels et les séquelles psychologiques sont bien réels. Certains juges aux affaires familiales suppriment systématiquement l’autorité parental au parent auteur de violences conjugales.
Je précise que ma sœur s'est pris régulièrement des coups de la part de notre père, car elle a un fort caractère. A 12ans j'ai aussi pris mon premier et dernier coup de la part de mon père, qui jusque là m'epargnait toujours, car j'étais très douce et en retrait. Ça je ne lui pardonnerai jamais, c'est une haute trahison. Jamais on a à accepter un coup, sans raison en plus, je voulais juste qu'il ne frappe pas ma mère, je me suis mise au milieu et il m'a frappé de façon intentionnelle. Pour moi, accepter et pardonner ce genre de geste, la violence quoi, c'est être complice de cette violence et ce n'est pas comme ça que les choses vont s'arranger. Aujourd'hui notre père est seul et isolé et c'est juste ainsi. Il est me seul responsable de son état de santé, il n'a jamais rien fait pour aller mieux et pour que nous allions bien. Si ma fille/fils rencontre qqn de violent, elle saura porter plainte, c'est ce que j'ai fait plus tard avec un compagnon. Et c'est ça qui peut contrer la violence. Moi aussi petite fille j'avais peur de revenir de we et que notre mère soit morte. Pas eu d'enfance.
Issue d'une mère alcoolique, à 41 ans j'ai beaucoup de colère en moi, émotion que je n'ai jamais pu exprimer sinon j'en prenais une. Aujourd'hui cette mère veut voir ma fille qu'elle a vu y a 4 ans où je n'ai pas accepté qu'elle m insulte devant ma fille. En pleine réflexion pour une rencontre en lieu neutre
Je me rends compte aujourd'hui, en écoutant ces témoignages, de la raison pour laquelle j'ai du mal aujourd'hui à voir et échanger avec mon père. J'ai des souvenirs de violences psychologiques de lui envers ma mère, de dénigrements, de critiques, de mépris. Je savais aussi qu'il fréquentait une autre femme à ce moment là. Je n'arrive pas à lui pardonner mais le plus difficile c'est aussi que mes petites soeurs, elles, ont réussi à fermer cette boite de souvenirs, et qu'elles voient mon père sans problème. C'est difficile d'avoir la sensation d'être la seule à porter cette histoire dans ma fratrie 😢
Pardonner à ses parents, ne veut pas dire cautionner et rester en lien. Je leur pardonne pour moi, car j'ai compris. Après je n'ai pas envie de leur dire, car pas envie de contact avec eux. Ils habitent trop loin et j'ai ma vie avec mes 4 enfants à mener. Aucune envie de me rappeler leur vie minable. J'ai réussi à m'en sortir, ils auraient pu aussi. C'est comme ça. Chacun sa vie.
J'ai connu un beau-père qui buvait... Et ma mère, pour me protéger, elle ne m'a jamais rien dit ce qu'elle subissait avec lui. Une fois, et c'est ce qui a donné le déclic à ma maman de partir ensemble, il lui serrait les poignets et je me suis mise entre eux et je l'ai poussé et je lui ai dit de ne pas toucher ma mère...
J'ai été très touchée par la 2eme intervenante. Alors oui, elle est moins funky que la première mais son discours sonne vrai, sans artifice et on reste sans voix (on a senti l'atmosphère changé sur le plateau) devant ce qu'elle a vécu. Et elle ne cherche pas à enjoliver, à dire qu'elle a pu reconstruire quelque chose avec ses parents. Les questions (quelle scène, le sens...) deviennent un peu ridicules devant ce terrible vécu. Je suis donc absolument admirative du parcours de cette femme, qui n'a peut-être pas pu faire de grande étude mais qui est partie de tellement loin, et qui a reussi à se construire, ne pas reproduire. Alors quand je verrais quelqu'un d'un peu froid, un peu discret... je me dirais que peut-être, je ne sais pas tout sur son vécu, mais que peut être, c'est un être remarquable. Bravo en tout cas aux 3 intervenants, J'espère que vous avez une jolie vie douce maintenant.
Pas la même histoire mais beaucoup de choses résonnent en moi, un frère violent et menaçant chaque jour pendant des années. De mes 8 à mes 23 ans.. 15 ans d' enfer...Vivre dans la peur, se cacher dans la cave, des cauchemars indescriptibles,peur pour moi ma sœur et ma mère....et se construire dans cet environnement extrêmement violent est très compliqué.. dépression profonde etc.. histoire très compliquée. On en vient à se construire dans la haine et la défensive, famille éclatée 😢 Très difficile à vivre pour les enfants
Un frère violent ? … justement un frère est sensé protéger la famille😢… pourquoi ?j’ai également vécu des violences à partir de mes 8 ans c’est dur… effectivement on oublie jamais mais on construit sa propre vie depuis que j’ai mon mari et mon fils de bientôt 4 mois je t’assure qu’on y pense moins on se concentre sur le présent🥰 beaucoup de courage !!!
Les cauchemars, merci d'en parler, même quand on finit par ne plus y penser on a quand même ces visions dans nos rêves et c'est épuisant car le seul moment où on peut se reposer, finalement on ne se repose pas. Bon courage !
Ayant vécu des choses comme ça le 1er témoignage me revulse’’’fâchée avec son frère.. avec sa mère victime et aider son père violent’’’la seconde me touche bcp....j attends le 3m cas
J'ai connu sa entend que jeune femme victime de violences conjugale pendant 3 ans j'avais 22 ans je l'ai quitter je suis parti j'avais 25 ans aujourd'hui à 33 ans sa fait 8 ans que j'arrive pas à me reconstruire
Ce n'est pas être faible, c'est être sous l'emprise d'un homme capable de tout. Les femmes étaient souvent au foyer, nous étions six, et donc dépendantes. Ma petite mère a été sa victime jusqu'à 82 ans, et même à la fin ce fût un calvaire. Cette terreur, je ne m'en remettrai jamais, ni mes soeurs. Famille éclatée. D'autant que nous étions misent à l'écart à l'école. Nos vies sont foutues. Il faudrait lui pardonner à lui, pourtant gentil avec nous, et à mon frère mais je n'y arrive pas. 🤲🧡
Oufff comme cela résonne en moi l histoire de Valérie, et j ai le même prénom 🥺pas tout à fait la même histoire mais bcp de similitude, la même loyauté… une dette.. courage et merci 🙏
Je n'ai pas connu mon géniteur,,, ma mère s'est mariée avec un homme violent,,,,,,,,, si il n'était pas parti je serais allé en prison,,,, j'avais caché un couteau,, parceque je ne pouvais plus supporter cette terreur 😮😮😮😮😮😮
J ai connu mon papa alcoolique mais pas violent ! M8n pere ivre que ses copains ramenaient a la maison ils le laissaient par terre et avec ma mere on le roulait sur une couverture et on le laissait dormir ils ont divorcé et jamais je n ai connu la violence conjugale ni de violence envers moi même
Vous êtes tous courageux et fort malgré certains doutes bravo continuez je vous ressemble un peu jai aussi protégé ma mère , mais je n'ai rien dit aujourd'hui je m'en veut de ne pas avoir dit maintenant il est trop tard .
Contrairement à ce que dit Marc Geiger, ce ne sont pas les services sociaux mais le juge pour enfants qui détermine si le lien est maintenu. Il évoque le cas d'un père incestueux. Or, en cas d'inceste, par exemple, ce ne sont pas les services sociaux qui gèrent le dossier, mais la PJJ (protection judiciaire de la jeunesse). Les travailleurs sociaux ne prennent aucune décision judiciaire. Un enfant enlevé à sa famille, c'est la décision d'un juge, pas d'un travailleur social.
J'ai essayé de porter plainte quand j'avais 15ans (j'en ai 35 maintenant) ils m'ont rit au nez!!! Je suis en pleine dépression à cause de tout ça, je dois me reconstruire !!!
je vis la même chose actuellement.... mon père alcoolique violant... et ma mère alcoolique et agressif.... je vous dit pas la joie de vivre que je ressens ... personne ne comprend que l'enfant souffre aussi des erreurs de leurs parents... je sais pas a qui en parler
Ma mère a subit part mon père ,dés coups à chaque foie qu’il buvait et je ne comprenais pas malgré mes 7 ans pourquoi puis le cancer la emporté en peu de temps mon père décéda et j’ai mangé et mangé les coups de ma mère sans raison elle a même essayé de me tirer dessus a la carabine je ne parle même pas de tous les pedophile qu’elle protégeait j’ai mis longtemps à comprendre pourquoi mon père la battais mais aujourd’hui sous mes 41 ans et ne voulant choquer personne les coups qu’elle prenait été la punition des coups qu’elle nous mettais sa mort a marqué le commencement de mon enfer et je regrette désolé de mes mots durs mais je regrette qu’elle n’en est pas pris plus je regrette qu’elle n’est pas tiré sur moi se jour là sur moi je la déteste ma vie n’est que douleur physique et morale elle est toujours vivante et dans le déni j’ai hâte que Dieu me pardonne qu’elle subisse les tourments de sa tombe .
Courage. Il faut trouver un psychologue pour vous aider à vous reconstruire. Beaucoup de gens s'en sont sortis. Faites le, vous ne le regretterez pas. Gros câlins pour vous ❤
Quelle histoire épouvantable😡😡d'autant plus que cette femme (Rachel) était déjà passée (avec un énorme courage!!) à l'émission "Dans les yeux d'Olivier" il y a quelques années?!
J'ai connue cette enfer car mon conjoint buvez tout les jours et il me frappe régulièrement un jour j'ai décidé de le quitter et je ne le regrette pas du tout 😢
Oui j'ai vécu ça mon père était agressif et violent verbalement jamais physiquement et ça m'a détruit complètement. Je vois un psy et je travaille la dessus.
La psychologue n'a pas à juger comment sa fille le perçoit ! Si pour elle c'était un père parfait tant mieux ! Personne ne peut imposer sa vision du "papa parfait" chacun voit les choses à sa façon. Pour elle petite fille son père était génial et c'est en tant qu'époux qu'il était mauvais. Elle a dissocié le père du mari c'est pour celà qu'elle a pu revenir vers lui et prendre soin de lui.
Elle n'a pas "jugé" elle lui a juste fait comprendre qu'il ne pouvait pas être parfait au vu de la souffrance et la terreur qu'il a infligé à ces pauvres enfants.
"heureusement il l'a pas violé, il ne l'a que violentée" Mais c'est exactement pareil ! le corps est un sanctuaire, un tout, au même titre qu'un organe génital . l'intimité ne commence pas avec les orifices et les organes reproducteurs .
Premier témoignage : raconter les horreurs commises par son père avec un petit sourire...Toute cette indulgence et cette gentillesse envers un père qui n'est même pas capable de reconnaître ses torts. C'est quand même un peu bizarre...C'est bizarre aussi de dire "papa", "maman" comme une enfant et jamais "mon père " ou "ma mère" comme si elle était restée coincée dans cette enfance dramatique qu'elle s'échine à repeindre en rose ; ceci fait partie d'un mécanisme de défense, c'est gros comme une maison, masqué par une soi-disant résilience qui est surtout le symptôme d'un déni. Idem pour la deuxième qui est plutôt souriante...très bizarre.
Je lai vécu mais c’est ma mère qui frappait mon père sur fond d’alcool J’ai 53 ans et pour moi c’est comme si c’était hier Ils sont morts depuis longtemps mais Ils m’ont détruite
Ce qui me crispe, c'est de l'entendre dire "mon père était parfait" 😅 Comme dit la psy, c'est incompatible avec la souffrance psychologique qu'il a fait endurer à tout le monde.
On se reconstruit comme on peut. Si elle trouve que sa mère était faible et son père parfait, c'est sûrement sa façon de se protéger. C'est difficile de juger quand un n'a pas vécu cet enfer et même si on l'a vécu, pas tout le monde réagi de la même manière. En tout cas je suis ravie qu'elle ait pu aller de l'avant malgré tout
@@cocolita9565 j'ai également été une enfant maltraitée, qui a vu sa mère être accusée d'être la véritable fautive par la société et les différents intervenants au cour de la procédure de divorce, là où mon géniteur violent était présumé innocent. Effectivement, on se reconstruit comme on le peut, surtout qu'on est souvent très seuls dans ce genre de situation. On bricole pour survivre. Je ne juge pas cette femme. Mais c'est douloureux à entendre. Si son père n'avait pas été violent, sa mère n'aurait pas eu à se défendre. On n'est pas censé se protéger de son conjoint.
Petite question pourquoi toujours quand vous mettez le numéro 3919 vous parlé des femmes ? il y a aussi des hommes qui sont victimes de violences conjugales. La violence n'a pas de sexe et mettre toujours les femmes en avant sur vos affiches n'aide pas les hommes victimes de violences. merci pour le témoignage. et désolé en avance pour mes fautes d'orthographes.
Tout d'abord l'islam n'interdit pas l'alcool mais le déconseille. Ensuite, Il y a des hommes musulmans qui n'ont pas besoin d'alcool pour violenter leur femme. Pour eux c'est normal. Ce n'est qu'une femme. 😡😈😡
un père qui frappe la mère est un mauvais père; très bien que la psychologue le rappelle
L'emprise est un mécanisme terrible, sur ces enfants. Un homme qui frappe la mère de ses enfants n'est pas un bon père, jamais.
Insupportable d'entendre dans le premier témoignage et a de multiples reprises ''cetait un père parfait''. NON ! un père parfait ne fait pas vivre la terreur a ses enfants. Ne frappe pas leur mère devant leurs yeux. Un père parfait ne leur laisse pas des traumatismes.
Il faut comprendre que c'est difficile pour certain.es ayant vécu ce genre de situations, de sortir de ce déni. Soyez compréhensive.
J'ai connu cela... Franchement, on ne s'en remet JAMAIS ! J'ai 76 ans, j'y pense toujours, ils ont gâché ma vie, j'ai dû être internée, voulant mettre fin à ma vie... Cette VIOLENCE, je ne peux oublier, j'ai préféré ne plus jamais les revoir... Ils sont en enfer aujourd'hui... Que le diable les emportent...
Je vous comprend parfaitement bien moi aussi réagis comme sa vie a vie de mes parents c'est vraiment très dur faut être solide comme un roc très courageuse mes pensées accompagnent bien fort ❤❤❤❤❤
@@filo1826Certain ne s'en remette pas, d'autres si mais ça laisse des impact, ce qu'elle a voulu dire c'est qu'on s'en remet pas complètement
il faut essayer de pardonner malgré les douleurs car si vous ne pardonnez pas il y aura toujours des liens 🔗
que dieu vous vienne en aide dans tous cela et dans votre cœur ✝️♥️
@@festonabajrami8009C est tout à fait ça pour rompre ces liens toxiques il faut se libérer en pardonnant à sn boureau sans oublier bien sûr.
J'ai connu cela aussi, on n'oublie jamais même si on peux faire des pauses par intermittence et avoir quelques tranches de vie paisibles. C'est un boulet que l'on traine toute sa vie. J'ai traversé la vie de façon brinquebalante avec des hauts et des bas en me sentant toujours à la marge de la société, je n'en avais pas les codes. Dans un milieu ou règne la violence et l'alcool on est toujours sur le qui-vive et on ne peut apprendre la vie en société car on est très souvent coupée d'elle. Les personnes qui donnent des leçons de morale devraient savoir que la façon de vivre les violences ont différents niveaux, ils sont tous destructeurs et tout le monde n'a pas les mêmes ressources pour y faire face et en sortir. Tant mieux pour ceux qui ont pu construire leur vie d'adulte dans un milieu plus favorable mais tous n'ont pas cette chance et ce n'est pas une question de volonté. Qui choisirait de rester dans la douleur et le malheur volontairement ???
La première histoire démontre bien que cette femme a toujours démontré une grande intelligence émotionnelle, a toujours essayé de préserver tous ses proches. Au contraire d’eux qui l’ont jugé et tourné le dos pour ses choix, alors qu’elle a essayé d’aider tout le monde. Les gens oublient vite qui ont été là pour eux..La pauvre
Faustine, délicate, respectueuse douce et gentille. Plaisant et important. Merci à vous et pour eux.😊
Mon père frappait ma mère et mon frère aîné… on est 4… 22 ans de calvaire pour ma maman… et 17 pour mon frère … mon père ne buvait pas…le plus beau jour de notre vie, le jour où il nous a abandonné… aujourd’hui j’ai un vrai papa, le deuxième mari de ma mère… il est plus que formidable… je ne souviens de pas grand chose mais je me souvient de la peur et personne ne peut crier à côté de moi… je reste figée… il ne nous a jamais aimé… il est mort cette année… mais le trauma est resté…. Ma psychologue est géniale heureusement … j’ai 48 ans et je sens la blessure dans mes entrailles. On oublie jamais.
Moi’ j en ai bcp voulu à ma mère de ne pas nous avoir protégés...triste mais g mis bcp de temps à pardonner aux deux
J’ai également vécu cela … J’ai était témoin de violence conjugale de mon beau-père envers ma mère et en plus il était maltraitant envers mes frères et moi . Aujourd’hui c’est encore un traumatisme. Force et courage à toute les personnes victimes/témoins de violences conjugales. ✊🏻💪🏼😘❤️
Bravo à toi pour ta force et ton courage !
@@nyxx3858 merci beaucoup ☺️
Je viens de voir votre émission et toute mon enfance et mon adolescence refont surface…
J'ai eu ce genre d'enfance aussi. Mon père a toujours violenté ma mère, je n'ai jamais eu une seule once d'amour envers mon père, j'ai même du mal à dire le mot "papa". J'ai toujours vécu avec ma mère et j'ai des souvenirs de petite fille que je n'oublierai malheureusement jamais ...
J'ai aussi vécu ça, par mon oncle envers les hommes de ma famille, maintenant j'ai un stress post traumatique face aux personne alcoolisées et à la moindre forme de violence. Je souhaite quand même dire à tout le monde, que vous avez le droit d'en vouloir aux personnes qui savaient et n'ont rien fait pour vous aider !! Un adulte doit TOUJOURS mettre en avant la sécurité d'un enfant !! Et ne culpabilisez jamais de détester les personnes coupables, que vous ayez un lien de sang ou pas !! Vous avez le droit de détester votre parent violent !!
Victime aussi de la violence de mon père et ma mère est restée beaucoup trop longtemps. J'ai coupé les ponts avec lui, après des décennies de thérapie et de tentatives de relation saine avec mon père. Ce dernier est atteint du trouble de la personnalité narcissique. Cela ne m'intéresse plus les malades mentaux.
Ma mère n'est pas beaucoup mieux, peut-être aussi malade psy. Je lui en veux qu'elle ne l'ait pas quitté plus tôt, on aurait pu être très bien avec ma sœur. Nos grands-parents maternels nous ont sauvé, nous sommes saines et avons pu nous reconstruire. Mais c'est très long et coûteux dans tous les sens du terme. Ce qui m'a paradoxalement aussi aidé, c'est que mon père s'est très peu investi pour nous ses enfants et il habite très loin, donc l'emprise a été minimisée.
Pour moi il faut couper les ponts, vivre sa vie et penser qu'à soi et ses enfants. De tels parents ne méritent pas leurs enfants. Mon père n'en a strictement rien à faire de moi. Sans pardon, rien du tout de ma part. Il y a assez d'être humains qui peuvent donner de l'amour et en recevoir. Ma sœur et moi allons refuser tout héritage. On veut juste enfin notre paix.
Violence, Violence ...Le dénominateur commun à ces témoignages si touchants,c'est l'alcool ! Qui contribue à détruire des familles entières !!!
J'aurais pu témoigner sur ce plateau...
On oubli jamais !!!!
J'aurais dû être sur le plateau pour apporter mon histoire. Je suis victime d'une famille de violence et marié à un alcoolique violent. Je me reconnais bien dans les témoignages. J'espère vraiment pouvoir venir pour amener des compléments d'informations sur les sujets traités dans votre émission.
Bonjour, êtes vous toujours en danger ?
pour les enfants adultes de parents adultes il ya une fraternité de 12 étapes eada , acoa ( dans le monde) , réunion
on line
Les enfants sont les premières victimes des violences conjugales. De plus ils ne sont pas reconnus comme tels et les séquelles psychologiques sont bien réels.
Certains juges aux affaires familiales suppriment systématiquement l’autorité parental au parent auteur de violences conjugales.
Je la trouve magnifique Natacha espié 🥰✨
Je précise que ma sœur s'est pris régulièrement des coups de la part de notre père, car elle a un fort caractère. A 12ans j'ai aussi pris mon premier et dernier coup de la part de mon père, qui jusque là m'epargnait toujours, car j'étais très douce et en retrait. Ça je ne lui pardonnerai jamais, c'est une haute trahison. Jamais on a à accepter un coup, sans raison en plus, je voulais juste qu'il ne frappe pas ma mère, je me suis mise au milieu et il m'a frappé de façon intentionnelle.
Pour moi, accepter et pardonner ce genre de geste, la violence quoi, c'est être complice de cette violence et ce n'est pas comme ça que les choses vont s'arranger.
Aujourd'hui notre père est seul et isolé et c'est juste ainsi. Il est me seul responsable de son état de santé, il n'a jamais rien fait pour aller mieux et pour que nous allions bien.
Si ma fille/fils rencontre qqn de violent, elle saura porter plainte, c'est ce que j'ai fait plus tard avec un compagnon. Et c'est ça qui peut contrer la violence. Moi aussi petite fille j'avais peur de revenir de we et que notre mère soit morte. Pas eu d'enfance.
Bravo. Vous n'avez pas accepté la violence en portant plainte.
Issue d'une mère alcoolique, à 41 ans j'ai beaucoup de colère en moi, émotion que je n'ai jamais pu exprimer sinon j'en prenais une. Aujourd'hui cette mère veut voir ma fille qu'elle a vu y a 4 ans où je n'ai pas accepté qu'elle m insulte devant ma fille. En pleine réflexion pour une rencontre en lieu neutre
Je me rends compte aujourd'hui, en écoutant ces témoignages, de la raison pour laquelle j'ai du mal aujourd'hui à voir et échanger avec mon père. J'ai des souvenirs de violences psychologiques de lui envers ma mère, de dénigrements, de critiques, de mépris. Je savais aussi qu'il fréquentait une autre femme à ce moment là. Je n'arrive pas à lui pardonner mais le plus difficile c'est aussi que mes petites soeurs, elles, ont réussi à fermer cette boite de souvenirs, et qu'elles voient mon père sans problème. C'est difficile d'avoir la sensation d'être la seule à porter cette histoire dans ma fratrie 😢
Pardonner à ses parents, ne veut pas dire cautionner et rester en lien. Je leur pardonne pour moi, car j'ai compris. Après je n'ai pas envie de leur dire, car pas envie de contact avec eux. Ils habitent trop loin et j'ai ma vie avec mes 4 enfants à mener. Aucune envie de me rappeler leur vie minable. J'ai réussi à m'en sortir, ils auraient pu aussi. C'est comme ça. Chacun sa vie.
Moi aussi , j’aurais pu témoigner…
J'ai connu un beau-père qui buvait... Et ma mère, pour me protéger, elle ne m'a jamais rien dit ce qu'elle subissait avec lui. Une fois, et c'est ce qui a donné le déclic à ma maman de partir ensemble, il lui serrait les poignets et je me suis mise entre eux et je l'ai poussé et je lui ai dit de ne pas toucher ma mère...
J'ai été très touchée par la 2eme intervenante. Alors oui, elle est moins funky que la première mais son discours sonne vrai, sans artifice et on reste sans voix (on a senti l'atmosphère changé sur le plateau) devant ce qu'elle a vécu. Et elle ne cherche pas à enjoliver, à dire qu'elle a pu reconstruire quelque chose avec ses parents. Les questions (quelle scène, le sens...) deviennent un peu ridicules devant ce terrible vécu.
Je suis donc absolument admirative du parcours de cette femme, qui n'a peut-être pas pu faire de grande étude mais qui est partie de tellement loin, et qui a reussi à se construire, ne pas reproduire.
Alors quand je verrais quelqu'un d'un peu froid, un peu discret... je me dirais que peut-être, je ne sais pas tout sur son vécu, mais que peut être, c'est un être remarquable.
Bravo en tout cas aux 3 intervenants, J'espère que vous avez une jolie vie douce maintenant.
Pas la même histoire mais beaucoup de choses résonnent en moi, un frère violent et menaçant chaque jour pendant des années. De mes 8 à mes 23 ans.. 15 ans d' enfer...Vivre dans la peur, se cacher dans la cave, des cauchemars indescriptibles,peur pour moi ma sœur et ma mère....et se construire dans cet environnement extrêmement violent est très compliqué.. dépression profonde etc.. histoire très compliquée. On en vient à se construire dans la haine et la défensive, famille éclatée 😢
Très difficile à vivre pour les enfants
Un frère violent ? … justement un frère est sensé protéger la famille😢… pourquoi ?j’ai également vécu des violences à partir de mes 8 ans c’est dur… effectivement on oublie jamais mais on construit sa propre vie depuis que j’ai mon mari et mon fils de bientôt 4 mois je t’assure qu’on y pense moins on se concentre sur le présent🥰 beaucoup de courage !!!
Les cauchemars, merci d'en parler, même quand on finit par ne plus y penser on a quand même ces visions dans nos rêves et c'est épuisant car le seul moment où on peut se reposer, finalement on ne se repose pas. Bon courage !
Ayant vécu des choses comme ça le 1er témoignage me revulse’’’fâchée avec son frère.. avec sa mère victime et aider son père violent’’’la seconde me touche bcp....j attends le 3m cas
J'ai connu sa entend que jeune femme victime de violences conjugale pendant 3 ans j'avais 22 ans je l'ai quitter je suis parti j'avais 25 ans aujourd'hui à 33 ans sa fait 8 ans que j'arrive pas à me reconstruire
Ce n'est pas être faible, c'est être sous l'emprise d'un homme capable de tout. Les femmes étaient souvent au foyer, nous étions six, et donc dépendantes. Ma petite mère a été sa victime jusqu'à 82 ans, et même à la fin ce fût un calvaire. Cette terreur, je ne m'en remettrai jamais, ni mes soeurs. Famille éclatée. D'autant que nous étions misent à l'écart à l'école. Nos vies sont foutues. Il faudrait lui pardonner à lui, pourtant gentil avec nous, et à mon frère mais je n'y arrive pas. 🤲🧡
Oufff comme cela résonne en moi l histoire de Valérie, et j ai le même prénom 🥺pas tout à fait la même histoire mais bcp de similitude, la même loyauté… une dette.. courage et merci 🙏
Je n'ai pas connu mon géniteur,,, ma mère s'est mariée avec un homme violent,,,,,,,,, si il n'était pas parti je serais allé en prison,,,, j'avais caché un couteau,, parceque je ne pouvais plus supporter cette terreur 😮😮😮😮😮😮
J ai connu mon papa alcoolique mais pas violent ! M8n pere ivre que ses copains ramenaient a la maison ils le laissaient par terre et avec ma mere on le roulait sur une couverture et on le laissait dormir ils ont divorcé et jamais je n ai connu la violence conjugale ni de violence envers moi même
Vous êtes tous courageux et fort malgré certains doutes bravo continuez je vous ressemble un peu jai aussi protégé ma mère , mais je n'ai rien dit aujourd'hui je m'en veut de ne pas avoir dit maintenant il est trop tard .
Contrairement à ce que dit Marc Geiger, ce ne sont pas les services sociaux mais le juge pour enfants qui détermine si le lien est maintenu. Il évoque le cas d'un père incestueux. Or, en cas d'inceste, par exemple, ce ne sont pas les services sociaux qui gèrent le dossier, mais la PJJ (protection judiciaire de la jeunesse). Les travailleurs sociaux ne prennent aucune décision judiciaire. Un enfant enlevé à sa famille, c'est la décision d'un juge, pas d'un travailleur social.
J'ai essayé de porter plainte quand j'avais 15ans (j'en ai 35 maintenant) ils m'ont rit au nez!!! Je suis en pleine dépression à cause de tout ça, je dois me reconstruire !!!
je vis la même chose actuellement.... mon père alcoolique violant... et ma mère alcoolique et agressif.... je vous dit pas la joie de vivre que je ressens ... personne ne comprend que l'enfant souffre aussi des erreurs de leurs parents... je sais pas a qui en parler
Ptn mais les troouble que tu dois avoir non diag
@@kelliaytb3692 surement oui que je dois en avoir mais bon
Si tu veux venir parler tu peut et force à toi
L alcool bousille u e famille a vie je trouve des vies brisées on pardonne mais on oublie jamais …
Ma mère a subit part mon père ,dés coups à chaque foie qu’il buvait et je ne comprenais pas malgré mes 7 ans pourquoi puis le cancer la emporté en peu de temps mon père décéda et j’ai mangé et mangé les coups de ma mère sans raison elle a même essayé de me tirer dessus a la carabine je ne parle même pas de tous les pedophile qu’elle protégeait j’ai mis longtemps à comprendre pourquoi mon père la battais mais aujourd’hui sous mes 41 ans et ne voulant choquer personne les coups qu’elle prenait été la punition des coups qu’elle nous mettais sa mort a marqué le commencement de mon enfer et je regrette désolé de mes mots durs mais je regrette qu’elle n’en est pas pris plus je regrette qu’elle n’est pas tiré sur moi se jour là sur moi je la déteste ma vie n’est que douleur physique et morale elle est toujours vivante et dans le déni j’ai hâte que Dieu me pardonne qu’elle subisse les tourments de sa tombe .
Je suis desolee de tout cela. Je vous souhaite de guerrir.
Courage. Il faut trouver un psychologue pour vous aider à vous reconstruire. Beaucoup de gens s'en sont sortis. Faites le, vous ne le regretterez pas. Gros câlins pour vous ❤
@@MyriamSeban merci beaucoup 😍😍😍😍
Ca a commencé j'étais déjà jeune adulte 18 ans pendant quelques annees mais ca marque quand même...
Quelle histoire épouvantable😡😡d'autant plus que cette femme (Rachel) était déjà passée (avec un énorme courage!!) à l'émission "Dans les yeux d'Olivier" il y a quelques années?!
J'ai connue cette enfer car mon conjoint buvez tout les jours et il me frappe régulièrement un jour j'ai décidé de le quitter et je ne le regrette pas du tout 😢
dommage, la vidéo bloque
Est que la violence verbale entre les parents peuvent impacter les enfants ?
Oui j'ai vécu ça mon père était agressif et violent verbalement jamais physiquement et ça m'a détruit complètement. Je vois un psy et je travaille la dessus.
Oui j'en ai été victime avec mon père et ma mère. Aujourd'hui ça me cause un grand stress.
Merci pour vos réponses
Oh que oui !! J'en sais quelque chose (entre autre)
La psychologue n'a pas à juger comment sa fille le perçoit ! Si pour elle c'était un père parfait tant mieux ! Personne ne peut imposer sa vision du "papa parfait" chacun voit les choses à sa façon. Pour elle petite fille son père était génial et c'est en tant qu'époux qu'il était mauvais. Elle a dissocié le père du mari c'est pour celà qu'elle a pu revenir vers lui et prendre soin de lui.
Elle n'a pas "jugé" elle lui a juste fait comprendre qu'il ne pouvait pas être parfait au vu de la souffrance et la terreur qu'il a infligé à ces pauvres enfants.
Il y.a pas un bon père qui batte sa femme, mauvais mari égal mauvais père
Troisième témoignage sonne très faux, je ne comprends pas pq
"heureusement il l'a pas violé, il ne l'a que violentée" Mais c'est exactement pareil ! le corps est un sanctuaire, un tout, au même titre qu'un organe génital . l'intimité
ne commence pas avec les orifices et les organes reproducteurs .
L alcool detruit tout..courage à tous
Premier témoignage : raconter les horreurs commises par son père avec un petit sourire...Toute cette indulgence et cette gentillesse envers un père qui n'est même pas capable de reconnaître ses torts. C'est quand même un peu bizarre...C'est bizarre aussi de dire "papa", "maman" comme une enfant et jamais "mon père " ou "ma mère" comme si elle était restée coincée dans cette enfance dramatique qu'elle s'échine à repeindre en rose ; ceci fait partie d'un mécanisme de défense, c'est gros comme une maison, masqué par une soi-disant résilience qui est surtout le symptôme d'un déni. Idem pour la deuxième qui est plutôt souriante...très bizarre.
Ne jugez pas, aucun intérêt ici. Vous allez trop loin et sans respect
4:08 Un papa parfait?! Non, un homme violent et jaloux qui a fait vivre l'enfer à sa famille.
Ah les mecs (pour beaucoup) complètement ravagés
c'est pas faux : c'est souvent eux qui tabassent ou qui violent...
mais heureusement, on est pas tous comme ça ☺
Il y a aussi des mamans alcooliques qui font souffrir et frappent leurs enfants aussi
Vous ressortez toutes les anciennes émissions, il n´y a que le générique qui change. Dommage
Je lai vécu mais c’est ma mère qui frappait mon père sur fond d’alcool
J’ai 53 ans et pour moi c’est comme si c’était hier
Ils sont morts depuis longtemps mais Ils m’ont détruite
Ça crispe d’entendre que la première femme considère que sa mère était faible …
Ce qui me crispe, c'est de l'entendre dire "mon père était parfait" 😅 Comme dit la psy, c'est incompatible avec la souffrance psychologique qu'il a fait endurer à tout le monde.
C'est plutôt un constat qu'un jugement, il faut une certaine force pour sortir de ce genre de relation
Ça, plus le fait qu'elle dise après de son père qu'il était parfait, aimant... drôle de raisonnement.
On se reconstruit comme on peut. Si elle trouve que sa mère était faible et son père parfait, c'est sûrement sa façon de se protéger. C'est difficile de juger quand un n'a pas vécu cet enfer et même si on l'a vécu, pas tout le monde réagi de la même manière. En tout cas je suis ravie qu'elle ait pu aller de l'avant malgré tout
@@cocolita9565 j'ai également été une enfant maltraitée, qui a vu sa mère être accusée d'être la véritable fautive par la société et les différents intervenants au cour de la procédure de divorce, là où mon géniteur violent était présumé innocent. Effectivement, on se reconstruit comme on le peut, surtout qu'on est souvent très seuls dans ce genre de situation. On bricole pour survivre. Je ne juge pas cette femme. Mais c'est douloureux à entendre. Si son père n'avait pas été violent, sa mère n'aurait pas eu à se défendre. On n'est pas censé se protéger de son conjoint.
Petite question pourquoi toujours quand vous mettez le numéro 3919 vous parlé des femmes ? il y a aussi des hommes qui sont victimes de violences conjugales. La violence n'a pas de sexe et mettre toujours les femmes en avant sur vos affiches n'aide pas les hommes victimes de violences. merci pour le témoignage. et désolé en avance pour mes fautes d'orthographes.
Tout-à-fait d'accord avec vous. J'ai une amie qui était violente avec son mari. Je l'ai quittée. Elle était colérique mais à un stade😮😮😮
C'est pour toutes ces raisons que l'islam interdit l'alcool.
La moitié des musulmans aujourd'hui boivent. Ils n'ont que leur nom musulman, et encore...
Oui mais pourtant certains hommes musulmans sont violents sans alcool.
Tout d'abord l'islam n'interdit pas l'alcool mais le déconseille. Ensuite, Il y a des hommes musulmans qui n'ont pas besoin d'alcool pour violenter leur femme. Pour eux c'est normal. Ce n'est qu'une femme. 😡😈😡
Mais ça les empêchent pas de tabasser leur femme
Ben tiens , aucun ne boit?😅
" Papa parfait ..". Il buvait.. ben non pas parfait du tout!!