Epicure a défendu l'idée suivant laquelle il n'y a pas de raison d'être troublé par la pensée de la mort. En effet, d'une part, elle n'est pas un état de souffrance ; d'autre part une vie éternelle ou illimitée ne serait pas plus plaisante qu'une vie limitée. Ces raisonnements sont présentés dans la Lettre à Ménécée et dans les Maximes Capitales. Par ailleurs, on les retrouve chez Lucrèce dans son ouvrage De rerum natura (De la nature).