วีดีโอ

Je n'ai aucune qualification d'instructeur "officielle" et je précise partout et toujours que je ne parle que du monde de l'aviation virtuelle. Mon ambition se limite dans cette série de tutos, à aider les débutants à prendre en main un avion ... virtuel. - Je n'aime pas du tout les formations proposées par MSFS. Je constate que ceux qui les suivent, souvent ne progressent pas, ou mal. - Les tutos TH-cam, nombreux et parfois excellents, ne sont pas conçus pour proposer une progression structurée. Mes priorités, ici, différent donc de celles d'un instructeur d'aéroclub, qui attachera entre autres et c'est heureux (!), une grande importance aux questions de sécurité et de réglementation.

@@haidf-pilotage-virtuel je suis d'accord, elle sont trop legeres, c'est dommage car je cherche un FI(A) pour des cours virtuels, je bosse le PPL mais en virtuel (cours théorique du PPL + 45H de formation vol en virtuel comme dans la vraie vie quand j'aurais trouvé un FI(A) qui fait aussi du virtuel) .

@@QuarkLaurent Vu. Attention, la simu est plutôt réaliste pour ce qui concerne la navigation (dérive, temps de vol , suivi de cap, manip des boutons ...). Mais pour le pilotage pur, les sensations que l'on a du comportement de l'avion diffère notablement. Pas de retour de force pour le manche, pas de vibrations, pas de sensations physiques dans les virages et les turbulences. Vue limitée avec "œillères" juste devant. Les heures de vol réel sont chères, mais je ne pense pas qu'on puisse s'en dispenser. Dans un contexte différent, les automatismes à acquérir ne sont pas les mêmes. La simu peut aider un peu, mais pas tant que ça.

😊Meric

Heu .. Je veux dire : Merci

Merci d'avoir pris le temps de faire ces remarques. C'est toujours un plaisir d'échanger. Cette vidéo a un certain succès et suscite des commentaires. A noter qu'elle clôture une série et ne doit pas être jugée isolément, moult précautions oratoires ayant été prises précédemment. 0) D'une façon générale : Il est difficile d'être très précis et de donner en même temps des indications générales, c'est pourquoi j'ai choisi un seul avion pour cette série de vidéos et je m'y tiens. D'autant qu'ici, il s'agit juste de donner des conseils élémentaires pour aider le pilote virtuel à finir sur la piste plutôt que dans le hangar à vélos. La question du réalisme est centrale en simulation de loisir. J'ai encore des disquettes de Flight Simulator 95 qui promettent "un réalisme époustouflant, jamais égalé jusqu'ici" ... !:o) C'est comme les lessives qui n'en finiront jamais de laver plus blanc. Donc, je n'irai pas jusqu'à dire qu'on s'en fout, simplement comme il y a toujours un arbitrage à faire, il faut rester bien conscient du domaine dans lequel on évolue. En maths, pour la théorie des ensembles le prof dessinait au tableau deux ronds qui se croisent. L'ensemble A et l'ensemble B avec une partie commune dite sous- ensemble C, intersection des ensembles A et B. A > Le monde réel de l'aviation B > Le monde de la simulation de vol C > La partie commune 1) "Amener le bout de piste en haut du tableau de bord et l'y maintenir" donne un repère au pilote pour qu'il maintienne l'avion en position légèrement cabrée à l'arrondi de façon à poser le train principal en premier. 2) Ici, dire au pilote de "Refuser le sol" l'incite à prolonger le palier de décélération. Le débutant, pressé de se poser, a tendance à trop rapidement jeter l'avion sur la piste et par conséquent à rebondir. Je ne dis pas que ce soit une règle générale pour tous types d'avions. Sur un appareil très sensible à l'effet de sol, l’arrondi peut en effet se révéler extrêmement délicat. Pilote réel sur SF25 C, j'en sais quelque chose ! Boum ! Boum ! Boum ! > Remise de gaz ! + Les copains à la terrasse du bar qui rigolent doucement ... 3) J'entends par "rendre la main", relâcher la pression à cabrer sur le manche, ce qui redonne à l'avion une assiette légèrement plus à piquer. En limite de décrochage, cela peut suffire à entraîner une perte soudaine de portance, dangereuse près du sol. Mes instructeurs étaient très à cheval là dessus, mais en fait sur le simu, je n'ai pas trop eu ce problème. De plus, en air calme programmé, on n'est pas à la merci d'une petite turbulence scélérate de basse couche, comme en réel. 4) Le POH du Cessna 152, trouvé sur Internet, que j'ai utilisé en référence dit à la SECTION 4 NORMAL PROCEDURES Section 4-9 BEFORE LANDING 1. Seats, Belts, Harnesses -- ADJUST and LOCK 2. Mixture -- RICH 3. Carburator Heat -- ON AFTER LANDING 1. Wing Flaps -- UP 2. Carburator Heat -- COLD J'ai dit comme dans le bouquin. Point à préciser, éventuellement ?

@@blbernardlegrandadmin4736 Merci pour ta réponse. Pour ce qui concerne la réchauffe carbu il y a différentes écoles et des avis divers justifiés par l'accidentologie c'est à dire des accidents causés par l'utilisation ou non de la réchauffe carbu au moment de se poser. L'utilisation de la réchauffe carbu peut tout aussi bien être la cause d'accidents que sa non utilisation. La couper un peu avant de se poser est sans doute la moins mauvaise solution, en fin de vent arrière par exemple. Pour ce qui est de la notion de simulateur pour moi il n'existe aucun simulateur sur PC mais des jeux vidéos sur le thème de l'aviation. Même avec un home cockpit ce ne sera jamais assez réaliste pour permettre autre chose qu'une formation très partielle des pilotes.

​@@darth_patzer Tout à fait d'accord, l'utilisation d'un simu pour la formation ne peut, bien entendu, n'être que partielle. Remplacer complètement ... absolument impossible, ... mais compléter, assister, oui. Il se trouve que j'ai travaillé, il y a quelques années, avec un instructeur d'aéroclub justement sur l'intérêt que pouvait offrir un simu en tant qu'outil pédagogique pour les briefings/debriefings des élèves pilotes préparant le PPL. Pouvoir gratter ne serait-ce qu'un peu de temps sur les heures de formation, c'est attractif pour un jeune à petit budget. A mon grand regret, ça n'a pas été très concluant. Problème de génération ... ! Les stagiaires étaient plus à l'aise avec l'outil que l'instructeur (!) et celui-ci, bien que motivé, ne le maîtrisait pas suffisamment pour en tirer le meilleur parti. Depuis, les ordinateurs ont progressé et les jeunes, instructeurs comme élèves, vivent au quotidien avec l'informatique. Utiliser un logiciel, des tutos ne leur pose aucun problème. Exemple : La FFVP, Fédération Française de Vol en Planeur a lancé avec succès pendant le COVID des compétitions en ligne avec "Condor", le simu spécial planeur. Depuis ils développent très sérieusement toute une activité autour du e-learning. Voir : www.ffvp.fr/espace-formations L'informatique est un outil, qui comme tous les outils, ne vaut que par l'inventivité et l'habileté de celui qui s'en sert.

🍷

Réponse un peu tardive. C'est les vacances. On garde bien la vitesse jusqu'à l'arrondi. Cela peut nécessiter un ajustement des gaz en courte finale. (Turbulences, rafales ...) A la hauteur de l'arrondi, on coupe les gaz et on gère le palier de décélération en "vol plané". NB : Ne pas prendre un point d'aboutissement trop près du seuil de piste. Si on est malencontreusement un peu court, ce serait vraiment ballot de toucher avant la piste et risquer de casser quelque chose !

@@blbernardlegrandadmin4736 merci c'est très clair

Merci. Bons vols.

Il existe un Baron 58 P. Avec un P pour "pressurisé"

Merci. L'Italie est un patchwork de ressources touristiques, la matière ne manque pas.

Prochaine étape vendredi en 15. Les îles Borromées, ce sera plus calme.

Merci pour ce premier retour positif. En simu, on a beaucoup moins de contraintes techniques qu'en vol réel, surtout en matière de sécurité. Alors l'idée est de donner suffisamment de boulot au pilote pour qu'il n'ait pas le temps de s'ennuyer ... !:o)

😊

Bonjour, j'ai cherché, je n'ai pas trouvé. De mémoire c'était "D" sur FSX, mais ici ça ne marche pas. C'est pourtant une fonction fort utile.

@@blbernardlegrandadmin4736 merci pour la recherche…

Bonjour, content d'avoir la réponse ... !:o) C'est Ctrl Suppr et Ctrl Inser

@@blbernardlegrandadmin4736 en fait ces touches concernent le rotatif du HDG. Ce que je cherche à assigner c’est le rotatif principal, celui qui permet par exemple d’entrer le nom d’un aéroport.

Le bouton rotatif « FMS »

Là, malheureusement je ne sais pas. Ce bouton est caractéristique des limites du sacro-saint "photoréalisme" qui émerveille tout le monde. Il ressemble au vrai, mais le vrai, lui, on peut le tourner à la main ! Il est très difficile à tourner avec la souris quand on pilote et que ce bouton soit très difficile à tourner n'est justement pas réaliste ! Qu'on puisse programmer facilement de le faire tourner autrement devrait être proposé comme une évidence.

Bonjour Gérard. Le local d'Orly va disparaître, mais nous sommes désormais présents à la maison de l'Environnement de l'aéroport d'Orly. Par ailleurs depuis le COVID, nous avons beaucoup développé nos activités en "distanciel". Cours en visioconférence, vols en réseau ..

C'est parfaitement exact. Je n'ai pas évoqué dans cette série la gestion de la réchauffe carbu, ni bien d'autres choses indispensables à faire (Ex : penser à resserrer sa ceinture ...) pour poser un avion en sécurité dans le monde réel. L'avantage de la simu est de pouvoir décortiquer les phases de vol dans un but pédagogique. L'objectif ici est de réussir à poser l'avion "sur la piste" ! Pour un débutant, il y a déjà là de quoi absorber la totalité de sa capacité de concentration. Dès que possible, bien entendu, il faudra pour être réaliste, inclure progressivement d'autres items de la check list. Laisser s'installer des habitudes contenant de graves lacunes de sécurité serait contreproductif. Tout est dans le dosage et le timing, en fonction de la progression de l'élève. C'est à ça que servent les (bons) instructeurs, pas juste à répéter ce qui est écrit dans le bouquin. Pour un tuto TH-cam, il n'y a pas de souplesse à ce niveau. D'où la nécessité de donner, si besoin, quelques explications complémentaires. Merci d'avoir pris le temps de faire une remarque. J'espère avoir donné une explication satisfaisante. Cordialement BL

Bonjour, la compensation se fait "à la demande". Un avion bien compensé est plus agréable à piloter et le pilotage n'en est que plus précis. Comme cela se fait toujours un peu par tâtonnement, ce n'est pas à faire au dernier moment. D'une façon générale, on compense en "vent arrière", ça fait partie de la préparation de l'atterrissage. On a un peu de temps pour le faire. En finale, c'et un peu tard. On se concentre sur le point d'aboutissement, le respect strict du plan de descente et de la vitesse. Il n'est plus temps de bidouiller le compensateur. Est-ce l'explication attendue ?

Merci. les compliments, ça fait toujours beaucoup de bien. En fait, on a surtout travaillé les vidéos TH-cam pendant le Covid. Depuis, on a levé le pied, principalement faute de temps, et je le déplore. Pour continuer à intéresser les internautes, il faudrait fournir des nouveautés régulièrent. En fait, cette chaîne est juste une vitrine pour notre association. La partie immergée de l'iceberg, ce sont les cours que nous donnons en distanciel associés à des vols en réseau d'application. Perso, avec la transition FSX > MSFS, ça m'occupe à plein temps. Cordialement BL

Bonjour, comme expliqué par ailleurs, ces vidéos sont des entraînements visant à permettre une prise en main de l'avion, pour un débutant en pilotage virtuel. Il ne s'agit pas ici de faire un "tour de piste", tel qu'on l'enseigne en aéroclub. En particulier les contraintes liées à la sécurité, extrêmement importantes dans le monde réel, sont délibérément laissées de côté. Faire un tour de piste vraiment "réaliste" demande de maîtriser de nombreuses notions. C'est totalement hors de portée d'un débutant à ce stade. Ces vidéos d'initiation suivent une progression bien précise. Les manœuvres à effectuer ici visent à mettre en pratique ce qui a été étudié précédemment. Ni plus ni moins. Une chose à la fois.

@@blbernardlegrandadmin4736 Bonjour, vous êtes instructeur IRL ou pilote ? Ce qui me surprend c'est la longueur du tour de piste. Si j'en crois la carte VAC le tour de piste est nettement plus court et on est en étape de base avant le lac Marion. Pas question en tout cas de survoler l'océan. D'ailleurs couper l'axe de circulation VFR TW1 entre SB et NP va poser un problème puisqu'il est donné pour une altitude minimale de 1000 ft et que le tour de piste est à 1200ft, avec donc un énorme risque de collision. En simulateur on peut s'en moquer sauf par exemple si on est sous IVAO où le contrôleur risque de couler un bielle ;) La vidéo est tronquée à plusieurs endroits ce qui donne l'impression d'un tour de piste de durée normale.

Merci de prendre la peine de faire des remarques, cela me donne l'opportunité d'expliquer la méthode HAIDF. Je vais essayer d'être bref. Précisions : Je ne suis pas pilote avion IRL, mais ex pilote planeur/moto planeur (1300 h de vol). Les cours HAIDF ont été conçus par un CdB Air France, qui fut président de la FNA (FFA aujourd'hui), donc avec aussi une très bonne connaissance de l'aviation légère. J'ai été son disciple pendant une vingtaine d'années pour faire de la formation virtuelle. Cette série de 18 vidéos (les précautions oratoires sont prises au début) s'adresse aux grands débutants qui ne parviennent pas à maîtriser le pilotage de leur avion virtuel. Objectifs principaux de la série : Décoller / Monter / Voler en palier / Se poser ... SUR LA PISTE ! J'ai choisi Biarritz car la piste a une orientation facile à mémoriser et une situation près de la côte qui diminue le risque de désorientation. Ici on présente simplement le principe du tour de piste : Vent arrière / Base / Finale / Hauteur d'évolution. Les particularités réglementaires concernant l'espace aérien sont volontairement ignorées. Elles sont impossibles à gérer tant que le pilotage élémentaire (respect du cap de l'altitude et de la vitesse) n'est pas maîtrisé. A chaque exercice, l'élève pilote doit réussir et comprendre pourquoi il réussit (ou quelle est la cause de son échec). Donc : Il ne faut pas lui en demander trop à la fois, il ne faut surtout pas brûler les étapes. IRL, l'instructeur voit bien comment se comporte l'élève, il adapte sa progression. Avec des tutos TH-cam, le risque est grand que le pilote comprenne "intellectuellement" les consignes, mais qu'il ne s'entraîne pas assez pour effectuer les manœuvres correctement. Souvent, quand il est livré à lui même, il commet de grosses erreurs dont il ne prend même pas conscience. (Ex : focalisé sur le seuil de piste en finale, il ne surveille plus du tout sa vitesse d'approche !). L'entraînement peut alors enkyster de mauvaises habitudes et devenir fortement contreproductif. L'allongement du tour de piste, pour cette séquence, vise à permettre au pilote d'avoir le temps de bien stabiliser son avion pour chaque phase de vol. (Comme un élève conducteur qui apprendrait tranquillement à tourner son volant et à changer les vitesses sur un parking désert, avant d'aller à 6 h du soir se risquer place de l'Etoile ...!:o) Cordialement BL

@@blbernardlegrandadmin4736 Je comprends mais je n'adhère pas en raison de la confusion entre 2 exercices que sont le tour de piste et la stabilisation du vol. Ca donne avant tout de mauvaises infos sur le tour de piste alors que la vidéo s'intitule "le circuit d'aérodrome. Je suis moi-même formateur (dans d'autres domaines) et je connais l'importance des premières informations qu'on donne aux élèves. Ce sont celles qui sont les mieux retenues.

La stabilisation du vol, c'est un peu le leitmotiv de l'ensemble de la série, pas que de la vidéo N° 13 A y regarder de près, effectivement les termes "circuit de piste", tour de piste", "circuit d'aérodrome", sont synonymes et font directement référence à une procédure codifiée. Tout à fait d'accord sur le soin qu'il faut apporter au choix des mots afin de ne pas susciter de confusion dans les esprits. Conclusion : Il manque dans mon commentaire une précaution oratoire pour préciser qu'ici on ne respecte pas rigoureusement les trajectoires réglementaires. > Le trajet est allongé de façon à permettre de bien stabiliser l'avion sur chaque branche. > Les points de virage ont été choisis pour correspondre à des repères sols bien visibles dans MSFS.

Bonjour, je précise que la tendance à cabrer que je mentionne est "un effet secondaire". Comme ça va dans le sens de ce que je veux montrer, ça m'arrange ... !:o) Tout à fait d'accord sur le principe, pour l'odre de actions à effectuer: assiette, puissance et non puissance, assiette C'est bien ce que j'indique à 3'10 pour prendre une assiette de montée. Pour la descente, je le laisse juste s'enfoncer doucement en réduisant la puissance. L'objectif est que le débutant, qui livré à lui même passe son temps à faire le yoyo, découvre qu'on peut voler de façon stable et, partant de cette situation, qu'on peut faire varier doucement un paramètre ou un autre et en observer la conséquence. Réussir à se stabiliser à une altitude cible précise en fin de montée, en utilisant une formule du type 10% du vario, c'est "niveau 2". Parvenir à passer de la montée au palier, sans faire, encore une fois du yoyo pendant 5 minutes, c'est déjà beaucoup pour un début.

Bonjour, je fais allusion à la Vs. Déjà en avion réel, il n'est pas évident d'apprécier la vitesse à laquelle on vole. En simu, c'est pire, aucunes vibrations, pas de bruits aérodynamiques. Je souhaite juste attirer l'attention sur la nécessité de surveiller le badin.

@@blbernardlegrandadmin4736 Bonjour, Oui je comprends ce que vous voulez dire. Mais la Vs est indiquée pour un décrochage en palier. C'est a dire que si vous voler a vs en lisse et que vous devez tenir le palier, vous augmentez tellement votre incidence que vous décrochez. Cette vs est indiquée car les avions ne possèdent pas d'instruments indiquant l'incidence. Je ne sais pas si je suis très clair... Dsl Amicalement

@@mcsim253 Dans la vidéo, je fais voler ... une balle de ping pong ... !:o) Certes, une analogie a ses limites. Principes pédagogiques : - Un élève ne peux assimiler confortablement une notion que si elle ne contient que 30 % de nouveauté pour 70 % de déjà connu. - Donner une explication complexe trop tôt passe au dessus de la tête de l'élève. La donner trop tard, alors qu'il est déjà passé à autre chose, au mieux l'ennuie, au pire le perturbe. Il y a toujours un arbitrage à faire dont on peut discuter. Quand on a une classe, c'est au feeling par rapport au ressenti du comportement du groupe. Sur TH-cam, forcément c'est à l'aveugle. Cette série de vidéo s'appuie sur la base de plus de vingt ans d'observation du comportement de pilotes virtuels autodidactes débutants. Vol réel et vol simulé présentent des différences, il est donc normal que l'approche proposée ici s'écarte parfois un peu de l'orthodoxie de l'enseignement dispensé en aéroclub. A noter que c'est pour une première approche. Dans le cursus HAIDF, il y a une suite où l'on voit comment faire voler un avion de façon plus réaliste.

@@blbernardlegrandadmin4736 Oui je comprends qu'en terme de pédagogie, on ne peut pas donner toutes les informations en une seule fois. Néanmoins, dire qu'un avion décroche selon une vitesse est juste faux.

Bonjour, ça fait toujours plaisir de savoir qu'on se rend un peu utile. Côté CV : - IRl j'ai 1300 heures de planeur. Une activité qui est réputée donner "le sens de l'air". - Pour le virtuel, j'ai tout appris avec un CdeB Air France, ex président de la FNA, maintenant FFA, qui s'intéressait à la simu et à l'aviation légère, ouvert, généreux et toujours prêt à partager ses connaissances et sa passion pour l'aviation. Côté TH-cam : J'ai choisi le C152, pour faire simple. Le modèle de vol est assez cohérent avec ce que j'en sais et ce qu'en dit le POH. Le problème de la chaîne TH-cam et qu'il était plus facile d'y consacrer du temps quand on était confinés (!) Ce ne sont pas les idées qui manquent pour faire des vidéos, c'est le temps ... La vidéo, c'est très chronophage. Côté HAIDF : Je donne toujours des cours (de pilotage virtuel) pour l'association HAIDF Une asso qui vise à faire de la simu avec sérieux, mais en restant dans le domaine du loisir. On ne se coud pas de barrettes sur les épaulettes ...!:o). Plus de détails sur le site. Pour les cours d'initiation au pilotage virtuel qui m'occupent actuellement, j'ai pris le C172 G1000. De plus en plus d'aéroclubs équipent leurs tableaux de bord avec des écrans. On n'arrête pas le progrès. Bons vols BL

@@blbernardlegrandadmin4736 merci Bernard pour toutes ces informations. De mon côté j'ai fais 1 vol d'initiation sur dr400 puis quelques vols d'initiation sur ulm multiaxe aile basse. J'envisage de faire un vol découverte sur planeur car je n'ai jamais pris place dans ce type d'aéronef. J ai effectivement vue qu'il existait des cours de simulation sérieux et j'aurai des questions à ce sujet. Pour l'heure j'ai pris un abonnement de 6 mois chez gligli pour monter en compétence sur l'aspect théorie et je m'entraîne au simulateur en suivant l'apprentissage progressif que vous avez mis en ligne . Bonne journée à vous.

@@ikarosjac3544 Le planeur c'est ludique et plutôt économique comparé à l'avion. Pur plaisir de pilotage. Bons vols

My pleasure ! comme disent les anglais. Content de savoir que les taupes virtuelles qui creusent leurs galeries au seuil de piste ne se feront plus écrabouillées ... !:o)

Bons vols 😊

En effet, dans cet exercice, je montre qu'une fois bien stabilisé en palier, en jouant doucement sur les gaz, on peut monter ou descendre à vitesse constante, sans modifier le réglage du compensateur. Mettre de la puissance crée un effet cabreur, car le moteur est placé plus bas que l'aile et inversement. C'est pratique pour ajuster tranquillement de niveau de vol en croisière.

Bonjour, pas de Daniel dans la tour, mais compliments reçus 5. Pour info, HAIDF est toujours sur le tarmac, avec de nombreuses nouveautés.

@@blbernardlegrandadmin4736 excuse moi Bernard mais c 'est bien à toi que je pensais 🤭

@@sacli17pg Y a pas d'offense ... !:o) Bonnes fêtes.

😊

Panne de kerosen. Vérifiez combien de kilos de combustible vous embarquez avant votre vol.

@@jauziontripoux2456 Bonjour l'ami je tenais à te dire que j'ai résolu mon problème de panne effectivement c'était un problème de carburant merci beaucoup pour ton aide 👍🏼

Bonjour, la stabilité de l'assiette de l'avion résulte du bon l'équilibre des forces en présence. Le pilote peut agir avec les gaz et la position du manche, à cabrer ou à piquer. Le compensateur est là pour "compenser", comme son nom l'indique, si nécessaire l'effort que le pilote doit faire sur le manche. Si le pilote n'éprouve pas le besoin de compenser, soit parce qu'il n'a pas beaucoup d'efforts à faire, soit parce qu'il "tient" son avion au manche en permanence, par exemple à cause des turbulences, une fois le compensateur réglé en position moyenne, il n'y touchera pas trop. En montagne, avec un petit avion léger, ça doit remuer ... Maintenant distinguons bien deux choses : - Le compensateur ne sert pas à "piloter". On pilote en agissant sur les gaz et le maintien de l'assiette avec le manche. - Le compensateur sert à maintenir la tenue de l'assiette, en vol stabilisé, jusqu'à pouvoir lâcher le manche. 1) On pilote 2) On compense ensuite, si nécessaire, en phase de vol stabilisé

@@blbernardlegrandadmin4736 Mais le compensateur n'a pas non plus été inventé pour rien et comme je n'ai aucune difficulté à stabiliser l'avion en jouant sur les gaz (plus besoin de tenir le manche) je me dis que quelque chose m'échappe. Quel intérêt de pousser les gaz et compenser la tendance de l'avion à monter ? L'inverse, c'est à dire manquer un peu de puissance et compenser en cabrant l'avion ne me semble pas une bonne idée non plus. Donc oui, quelque chose m'échappe.

Merci Eric.

Le compensateur du Cessna n'agit que sur la profondeur. Sur d'autres avions on peut avoir un compensateur sur chacun des trois axes (Tangage, mais aussi roulis et lacet). Par exemple sur un Baron 58, en cas de panne d'un des deux moteurs, il faut "compenser" fortement en lacet pour voler (... à peu près ...) en ligne droite car la traction est alors asymétrique. Attention, le vent c'est autre chose. Le vent, c'est toute une masse d'air qui se déplace par rapport au sol. Dans la masse d'air l'avion ne ressent pas de "vent". (On parlera seulement de turbulences, lorsque la masse d'air n'est pas homogène et qu'on la traverse à grande vitesse. Un peu comme une voiture qui roule sur un nid de poule) Si le pilote veut voler vers le Nord, mais qu'il y a du vent d'Ouest, il devra prendre un cap plus à gauche pour "contrer la dérive". En effet l'avion est emporté vers l'Est avec la mase d'air dans laquelle il évolue. Penser à une barque qui doit traverser la rivière et qui est déportée par le courant. Si on navigue perpendiculairement aux rives, on arrivera sur l'autre berge, en aval du point de départ. En espérant que ma réponse ne soit pas trop ... 🤪

@@blbernardlegrandadmin4736 oui merci c’est très clair.

Bonjour, merci pour votre impatience qui nous encourage. Nous ne sommes pas plus malins que les autres, nous sommes confrontés à une difficulté classique sur ces chaînes TH-cam, c'est de tenir le coup dans la durée. La suite est dans les tuyaux et on a quantité de projets en réserve, là n'est pas le problème. Mais la conception/réalisation de tutos en vidéo prend du temps. Surtout si on s'impose un degré minimum d'exigence pour que ce soit sympa à visionner et qu'on n'y raconte pas trop de bêtises ... Donc, à suivre ... !:o)

@@blbernardlegrandadmin4736 merci bien pour cette réponse qui suit la logique de vos vidéos, à savoir claire net et précise ;-) Je vais suivre avec assiduité ces nouveaux tutos Continuez sur cette lignée, vous êtes super

Merci pour ces compliments. Je suis toujours joignable (sauf vacances ... ou autre, bien entendu) via le formulaire de contact qui est sur le site HAIDF.

C'est un plaisir. On a beaucoup de projets dans nos cartons, mais ce qui manque le plus, c'est le temps !

Aucun rapport en effet, juste deux Bernard Legrand "Admin" sur la fréquence, je suppose ... !:o)

Piloter en regardant la carte sur l'écran de droite, sachant que les réglages ne sont pas faciles à faire avec la souris, est loin d'être évident. Ce n'est peut être pas une solution "puriste", mais un Little Navmap à côté, sur un deuxième écran, est quand même infiniment plus confortable pour la nav. Après tout, dans la vraie vie, les pilotes s'aident bien souvent d'une tablette posée sur la cuisse.

Ouaip ! Il y a du boulot, c'est sûr ! D'un autre coté, c'est pour ça qu'on est là ... !:o) . La simulation "réaliste" moderne nous ouvre un univers immense et passionnant. Pour la suite, le mieux est d'en discuter directement. Prenez contact avec nous via notre site : sites.google.com/haidf.asso.fr/haidf/accueil

HAIDF a 25 ans. Pour l'initiation au pilotage virtuel, on a quelques heures de vol ...!:o)