วีดีโอ

I understand your frustration but unfortunately the art world is like that. I can, of course, study your painting and tell you impartially what you have, date the materials used, the support, the preparation under the paint, the pigments etc. I can also describe the executive technique of the painting and do iconographic research with the chronology in the history of this kind of composition and representation. And since you think it's a work by Leonardo da Vinci I can make objective comparisons with the works I have in my database that I've digitised and studied, in particular the Mona Lisa. But you should know that I don't do attribution, which means that I would never write to you saying that this work is or isn't by Leonardo da Vinci, and that it all comes at a cost. You need to be convinced of the potential of your painting. You can write to me at info@lumiere-technology.com to find out more.

Yes The Mona Lisa Unveiled by science, the tower of Caprona in the landscape th-cam.com/video/M2sJ5MhwvD0/w-d-xo.html

Cher Thierry, Le but de cette interview est avant tout didactique et pédagogique. Expliquer aux étudiants que la science est le plus sûr moyen de s'assurer que l’on n’est pas face à un faux et que la science aide l'expert à l'authentification. Clairement en 24 minutes on ne peut pas tout dire. Vous avez raison, il est certain d'un faussaire peut tenter de déjouer la science, et sur certains critères connus, comme les images rayon X, infrarouge, fluorescence ou les datations C14 c'est même assez facile. Pour un faussaire, trouver un ancien support, faire des faux repentirs ou un faux dessin préparatoire est à la portée de beaucoup. Mais les outils scientifiques évoluent plus vite que les faussaires et on a toujours un coup d'avance (pour peu qu'on veuille bien nous laisser travailler !). Le faussaire est avant tout humain et ne peut pas ne pas faire d'erreur. Et puis il y a aussi les critères insaisissables, comme l'entropie par exemple (lire www.academia.edu/37483739/Pascal_Cotte_AUTHENTICATING_ARTSWORKS_THROUGH_STATISTICAL_METHODS). Le faussaire ne peut pas déjouer un critère qu'il ne connaît pas à l’avance et que l’on va inventer demain. A propos de la Belle Princesse j'ai fait l'imagerie multispectrale ; qui apporte les avantages de la spectrométrie et de la technique d'imagerie L.A.M. ; mais je n'ai malheureusement pas fait personnellement d'analyse chimique, elles ont été faites par d'autres laboratoires. Dans les rapports qui m'ont été transmis il n'y a pas d'élément chimique anachronique : une préparation à base de calcite et de terre naturelle, un blanc de plomb probablement extrait de la galène à cause de la présence de certaines impuretés, ce qui lui garantit une certaine authenticité, etc., mais aucune étude des liants, je suis d'accord avec vous ça serait mieux. A propos des autres avis il faut être prudent. La condition indéfectible d'une expertise sérieuse est d'avoir vu réellement l'œuvre, de l'avoir eu en main. Se baser sur une photo ou une image sur un écran d'ordinateur, surtout pour donner un avis subjectif, est une gageure qu'aucun expert ne devrait prendre. De plus, il est facile de dire aux journalistes sans argumenter et sans l'écrire. Les trois connaisseurs que je mentionne ont eu l'œuvre entre les mains, ont écrit et argumenté. Pietro Marani est un grand connaisseur de Léonard, il ne dit pas que l'œuvre n'est pas de Léonard, mais qu'il a des doutes, et dit surtout que les arguments contre ne sont pas convaincants. (Dossier de l'art n°195). Son avis est respectable, il est vrai que les restaurations troublent la lecture de l'œuvre et qu'il n'y a pas de référence sur parchemin. Carmen Bambach est une grande "connoisseur", c'est une généraliste des dessins de la Renaissance Italienne et Espagnol. Son opinion sur la Belle Princesse date 1998, rapportée par un journaliste, dit "qu'elle ne voit pas Léonard dans ce dessin", elle ne dit pas qu'il n'est pas de Léonard. Les mots ont leur importance. Son (unique ?) contribution sur Léonard est un petit chapitre de 20 pages dans Master Draftsman (plus tardif, 2003). La Belle Princesse est sur parchemin, unique chez Léonard, ce n'est pas réellement un dessin (sa spécialité), elle n'a donc pas d'élément de comparaison. Une motivation écrite de l'avis aurait été appréciée. Il est difficile de considérer Jacques Franck comme expert de Léonard, il n'a rien publié sur Léonard, sinon des articles de magazines, (voir son site web). C'est un artiste qui s'intéresse à la technique de Léonard pour tenter de l'imiter, mais surtout il n'a jamais eu la Belle Princesse entre les mains. C'est un grand admirateur de Carlo Pedretti qui, à propos de l'œil de la Belle Princesse, a écrit dans Leonardo infinito: « Ce portrait de profile est sublime, l’œil est dessiné exactement tel qu’il est dans beaucoup de dessins de cette période. » Un bel exemple d'avis, motivé celui là ! Quant à l'Albertina, l'avis n'est pas motivé, ils n'ont publié aucune analyse scientifique. Encore une fois l'œuvre est sur parchemin, ils ne possèdent que des dessins sur papier, c'est une difficulté que les historiens ont du mal à dépasser. Je le répète, je n'ai pas d'avis, mais tous les éléments scientifiques, techniques et historiques pointent vers Léonard de Vinci. Aux historiens, experts et connoisseurs de prendre leur responsabilité.

C'est une pratique habituelle dès qu'un expert a une position dominante. Il ne déclare le tableau authentique que s'il est intéressé à la vente. Et sinon il grille le tableau pour que vous ne puissiez plus le vendre à son prix réel. Ou mieux, il refuse d'authentifier le tableau et il se met à l'affût, laissant courir des bruits négatifs et attendant que le tableau passe quand même en vente. Il l'achète comme simple copie, change d'avis, rédige un superbe catalogue sur cette œuvre authentique récemment redécouverte grâce à sa sagacité, fait la promotion nécessaire et enfin le revend cent ou millle fois plus cher.

Récupérer du blanc de plomb (céruse) sur une œuvre de plus de 250 ans est un challenge intéressant 🧐 La plupart du temps le blanc de plomb est en mélange (et donc pas exploitable) mais il est à peu près stable (dans le sens qu'il reste un carbonate basique de plomb), mais en blanc pur sur une peinture, il est toujours en couche fine (car il est très couvrant) et perd son carbone en moins 100 - 150 ans, donc il n'est plus blanc mais redevient du plomb (gris) et le plus souvent transparent - donc encore une fois pas exploitable. Les exemples ne manquent pas de détails peint au blanc de plomb et qui ont disparus. Sur la Joconde, par exemple, la broderie blanche au bord du décolleté a disparu. Bonne année cher Abel.

@@pascalcotte merci !! je ne sais pas si c'est un challenge interessant, mais les faussaires sont capables de pire, justement parce qu'ils aiment le challenge 😉. si le blanc de plomb redevient du plomb, titien a du utiliser un autre blanc, parce que ses blancs sont encore tres blancs ! ceux de raphael aussi, pour ne citer que ces deux exemples. la broderie du decollete (comme celle du poignet droit, qu'on voit sur la copie du prado) a-t-elle disparu, ou leonard l'a-t-il volontairement efface ?

Le plus important n’est pas qu’un critère soit déjoué par un faussaire, et vous avez raison ils sont très doués, mais de déjouer 25 ou 30 ou 40 critères qui sont inconnus du faussaires. Certains critères sont connus, comme par exemple la datation C14, facile à déjouer en trouvant un support de l’époque du peintre mais comment déjouer un critère inconnu ? Impossible ! C’est donc bien la fin des faussaires car ils savent pas où la science va les piéger. La science a tellement progressé que les coûts de fabrication d’un faux devient rédhibitoire.

À propos de la broderie blanche sur le décolleté de la Joconde elle était encore visible il y a 2 siècles comme en témoigne la gravure de Luigi Calamatta. Léonard ne l’avait donc pas effacée.

@@pascalcotte la broderie est toujours visible sur votre photo, c'est donc qu'elle n'est pas totalement effacee; et je pense que leonard l'a peinte avec tres peu de matiere -comme les sourcils. grace a votre video, les faussaires savent quels sont ces criteres 😉. je plaisante, bien sur, parce qu'ils ne peuvent pas penser a tout; mais certains sont geniaux. et, s'ils sont aide par des commanditaires fortunes, ça n'est pas forcement redhibitoire. de toute façon, c'est une tres bonne nouvelle, surtout si ça permet de faire serieusement le tri dans les musees. c'est toujours un tres grand plaisir de parler peinture avec vous. merci

Certains musées savent qu’ils exposent des faux mais ne changent pas les cartels, d’autres un peu plus scrupuleux mettre « Attribué à »

Merci infiniment

Excellente question, j’aurais bien aimer trouver des éléments du paysage de Raphaël comme l’église par exemple, mais non. Il semble donc que Raphaël ait choisi de représenter un paysage plus réaliste.

Incroyable Merci

J ai une nouvelle question Votre caméra multispectrale va-t-elle être commercialisée? Parce que c est un outil exceptionnel qui pourrait nous en apprendre beaucoup par exemple sur les fresques pariétales Qui sait si on ne decouvrirait pas des couches et des couches de peintures sur des milliers de générations Bon je rêve, mais votre invention est une révolution 👏👏👏👏

@@patriciaberreby7386 malheureusement il n’y a qu’un seul exemplaire de ce prototype. Il est aujourd’hui dans le laboratoire d’analyse des Biens Culturels de l’université de Bologne, on l’a déplace sur demande. Le coût de fabrication est trop élevé pour la dupliquer.

Dommage

The auto captions do a great job. Rematch with them on :)

Pourquoi cette œuvre ? Elle se trouve à Washington, c’est un peu loin pour emmener 300kg de matériels. Mais pourquoi pas si un jour la National Gallery de Washington accepte que je numérise Ginevra de ´Benci de LDV. Je ferai alors peut-être le voyage.

Parce qu on doute de son attribution, qu elle est réalisée sur bois (rareté chez vermeer) qu elle a déjà été radiographiée et qu il y a un portrait a la rembrandt sous la jeune fille au chapeau rouge… et que Wheelock et blanckert deux grands spécialistes de vermeer se battent Quant a Daniel Arasse il avait des doute sur l authenticité de l oeuvre. Donc votre caméra est idéale pour aller enquêter, non?

Heureux que cela vous plaise. Ces 5 vidéos réalisées avec les images LAM étaient réservées jusqu’à présent à mes lecteurs par un QR code imprimé dans le livre. « La Joconde dévoilée » éditions Telemaque. Je viens de les mettre en tout public.

@@pascalcotte tres bien ! j'ai le livre, mais je n'ai pas de portable. alors, les qr codes... 😄

Oui il a repris le nez également, cela se voit sur la vidéo n 3 réalisée avec les images LAM. C’est d’ailleurs logique, la transformation du visage de Lisa Gherardini (orienté vers sa droite) en visage que nous connaissons aujourd’hui qui fait face au spectateur a réclamé une refonte globale.

Je ne vois pas où vous avez lu que Julien "somme" Léonard de reprendre la Joconde. Je pense qu'il ne l'a pas laissé au Vatican suite au décès de Julien en 1516. A propos du paysage, je dis surtout que c'est un paysage imaginaire. Léonard y a mis des éléments qui se trouvent en rapport avec son projet de canal. La tour de Caprona et le lit du fleuve asséché en sont deux points forts avec peut-être aussi le val di Chiana. Que Léonard ait ajouté dans son paysage imaginaire des éléments transposés qu'il a pu observer ailleurs, est tout à fait possible. Sur ce point je vous rejoins. Des internautes m'ont fait parvenir des photographies de montagnes dont certains détails (partiaux) sont d'une similitude tout à fait étonnante ; et elles viennent de toute l'Europe et au-delà !, situées dans des pays où Léonard n'est même jamais allé… Il faut donc se méfier des "ressemblances parfaites" ! Et c'est aussi valable pour moi, j'ai longtemps hésité à mettre le rocher de la Verruca, la citation de Carlo Pedretti m'a convaincu. La tour de Caprona se trouve sur ce que j'appelle une colline, pour dire cela je me fis surtout au dessin de Léonard "Vue des Montagnes de Pises" (qui est dans la vidéo). Cette colline a été une carrière exploitée au 18-19ème siècle et la tour se trouve maintenant au bord d'une falaise et, vous avez raison, cela ressemble plus maintenant à un piton rocheux. Ce n'est donc pas la même configuration que dans La Joconde. Que le pont ait 4 arches ou plus ne change pas le propos. Je pense que c'est une représentation de la main de l'homme qui façonne la nature. Pour ce qui est des villes et fortifications, j'y travaille … Cordialement

@@pascalcotte merci. tant que je n'ai pas bien compris et accepte une chose, je suis teigneux, vous le savez. mais vous savez aussi que c'est pour eclaircir les choses, et l'immense admiration que j'ai pour votre travail. c'est vrai que je me suis mal exprime : julien n'a jamais somme leonard de reprendre la joconde, mais lui aurait commande le portrait d'une mere pour son fils; de quoi leonard se serait acquitte en reprenant la joconde. ce qui est quand-meme etrange, connaissant la lenteur deja proverbiale de leonard, et alors que julien etait sur le point de se marier... je ne comprends pas ce que vous voulez dire par : "je ne pense pas qu'il l'ai laisse au vatican...". apparemment pas, puisqu'il l'avait avec lui a amboise !? dans ce cas, oui : un paysage imaginaire, dans lequel il traduit des preoccupations qu'il avait en cours. ce que je veux dire, c'est que, tant dans votre livre qu'ici, vous n'insistez pas assez sur ce point, que je trouve legitime de vous le faire dire, que le paysage semble avant tout imaginaire. parce qu'en fait, ces montagnes ont une allure plus alpine que toscane, n'est-ce pas ? quand vous parlez d'internautes, surement pensez-vous a des gens comme josep civil, qui est une personne tout a fait sympatique, avec laquelle je suis en contact -meme telephonique -depuis longtemps. mais, comme il prend des bancs de sable pour le soleil, et ce que nous interpretons comme des lacs pour des nuages, la communication reste difficile. il affirme aussi qu'isabelle d'aragon sforza se serait remariee a leonard, et en aurait eu deux enfants -et que ce sont ces personnages qu'on voit dans le carton de burlington house... comme si l'histoire n'avait retenu aucune trace de ce remariage ! bref : j'ai moi-meme vu des collines d'afrique du sud ressemblant trait pour trait au paysage de la joconde ! avez-vous remarque aussi qu'il y a -tout a droite -un autre rocher en suspension ? chouette, pour les villes et fortifications ! vous etes, de loin, celui qui a fait les decouvertes les plus decisives sur ce tableau. ça doit definitivement en agacer beaucoup. tres cordialement

@@abelroy Cela n'a rien d'étrange que Léonard reprenne le portrait de Lisa Gherardini pour le transformer en portrait d'une mère pour le fils de Julien. Bien au contraire, - et comme vous le dites "sa lenteur déjà proverbiale" - et c'est bien précisément parce qu'il est "lent" qu'il va au plus vite, se facilite la tâche, et fait une transformation qui lui prend beaucoup moins de temps que de recommencer une peinture depuis le début. Léonard avait trop de préoccupations à ce moment pour se consacrer entièrement à une peinture. Vous m'avez mal compris, je n'ai pas écrit "je ne pense pas qu'il l'ai laisse au vatican" mais "Je pense qu'il ne l'a pas laissé au Vatican suite au décès de Julien en 1516" c'est en effet une bonne raison, il ne peut pas arriver en France et voir le Roi de France les mains vides. Oui, je suis d'accord, certaines parties du paysage sont plus Alpines, mais aussi peuvent se retrouver ailleurs ou dans les Apennins. (voir la publication scientifique d'Olivia Nesci and Rosetta Borchia sur les montagnes d'Urbino). Je parle des "internautes" en général, personne en particulier. Je reçois "des preuves formelles et définitives que le paysage est dans tel ou tel endroit", voir même dans le Caucase en Russie…pour ne citer qu'un des moins pittoresques. Ils sont honnêtes dans leur démarche et sont réellement convaincus, Mona Lisa suscite tous les fantasmes. Malheureusement les éléments visuels sont insuffisants et ne constituent pas une preuve, même pour construire une hypothèse.

​@@pascalcotte je vous avais fait une reponse assez longue, mais il y a eu une microcoupure de courant chez moi avant que je finisse, et tout s'est envole... vraiment dommage. je vais faire beaucoup plus court cette fois. vous etes d'accord que, si leonard parle d'une "certaine dame florentine" encore a amboise, il est tout a fait possible que monna lisa, dont les traits auraient quelque peu change avec le temps, ait pose pour finir le portrait ? "a l'instigation" signifie peut-etre que julien l'a simplement encourage a le finir ? pour le "et" de melzi, il ne signifie toutefois pas grand-chose, car un portrait ne peut pas etre celui de quelqu'un ET de quelqu'un d'autre en meme temps ! monna lisa ET del giocondo est bien la meme personne, il me semble, a moins qu'il n'ait peint la belle-soeur de lisa. pour le reste, je jette l'eponge pour l'instant, parce que je sombre...

@@abelroy Difficile d'être d'accord avec votre postulat, 1/ parce que Lisa se trouve à Florence et Léonard, après 1507, est à Milan puis à Rome en 1513. La description de Vasari est basée sur des témoignages qui ont vu le portrait à Florence jusqu'en 1507, et il ne correspond en rien au portait actuel. 2/ Si elle a vieilli c'est qu'il s'est passé quelques 10 années au moins, mais alors Léonard est à Rome, Lisa à Florence. 3/ Pourquoi Julien demanderait-il à Léonard le portrait de la femme de son marchand de tissus et de draps ? Une bourgeoise, qui n'appartient même pas à la haute noblesse. A moins d'imaginer une romance, mais là on délire, sans preuve. 4/ J'ai déjà travaillé sur des portraits où le peintre vieillit le personnage, il conserve les vêtements et tous les attributs qui permettent de situer la ville, la période, la mode et surtout le statut social, très important, et qui permet au commanditaire de montrer son rang social. Avec la disparition de la robe de Lisa, ce portrait n'a plus rien, il devient une sorte d'allégorie. C'est bien le problème de ce portrait, c'est qu'il contient le portrait de Lisa recouvert d'un portrait indéfini. Le "et" à donc tout son sens et Melzi, témoin de la transformation, soit ne disait rien, soit le disait de cette façon, il n'avait d'autre choix. J'aime bien l'hypothèse de Zapperi, elle a du sens et ne présente aucune faute historique.

Quand Daniel Arasse écrit que Francesco Del Giocondo n’aurait jamais accepté ce portrait, c’est une façon subtile de dire que ce n’est pas le portrait de Lisa Gherardini. Il lui était très difficile d’aller contre l’avis du Musée du Louvre mais ne voulais pas renier ses convictions. Rien dans ce portrait ne montre que c’est une dame florentine des années 1503-1507. Mais nous savons maintenant que Francesco aurait probablement accepté le portrait caché en dessous. La découverte de la tour l’aurait probablement enchanté.

personne n'a dit autant de betises sur ce tableau que daniel arasse ! 😄

Bien entendu ! « Qui va être » bien sûr. Merci pour votre écoute attentive. J’espère que cette vidéo vous a plu.

@@pascalcotte merci pour votre réponse très" fair play" cette petite erreur est très courante 🙂. Je suis peintre amateur et votre vidéo m'a apporté des informations intéressantes Avec tous ces nouveaux outils on peut disséquer importe quelle peinture .

Je me demande comment réagirait le Maître en s'apercevant que sa peinture n'a plus de secret. Merci encore.

Je pense qu’il se prendrait au jeu et cacherait quelques mystères laissés à découvrir. Un grand historien italien m’a dit un jour que cette technique était pornographique. Il caricaturait bien évidemment. Il faut prendre ce qualificatif dans le sens « qui montre ce qui ne doit pas être vu »