A hum à l’humanité manifeste en valsé Doucement tendu Quelque part à Paris sur la scène à minuit Quartier les bruits, troquet perdu Il y a des zigues dedans, bal à Paname Ça joue la java la dam’, Balajo manne Prolos, julots, marlous, gigolettes, apaches Et dactylos « Mimi Pinson »
Z’allument à hum, à l’heure improvisée Les météques leurs cibiches tendues Délicatement se pose et passe un air. Tu verras, Tu veri dique Et de Casi à Ferrero, d’Emile à Jo De Bouscatel à Peguri, cabr’accordéon d’alteritat.
Pas de miss terre à terre, du grand Nord au Gabon De Chine à Zanzibar Larguez amarres ! Il souffle universel, L’étranger, là k’a danse.
Titz’iles et t’Ré (d)’union, De Madagascar à saint Domingue Et du Cap Vert aux Antilles Allier la tromba, le sega, l’funana, l’mérengué tissé.
« Paisano » aux amériques, du Mexique au Brasil De Quebec en Louisana, en Colombia « Il » chamamé, charanga Forro, Zydeco, blues Hart d’Est en Ouest de Bayonne à l’Oural D’Italie via tsiganes bulgaroumovit’s « Il » trixi trixa tarentelles Et rachenitsas à la Jazz. J’allume à hum l’exode accordez-vous malheurs A l’ère industrielle La rurale en chemine, au vol d’oiseau turbine Cadence parfaite, une enfant d’elle. Il y a plus de gig davant, mal Panam’ Ça fait du fric à Madam’, le macadam’ Chez les specul’actors, les promo’cœurs Les polifricards, les marchands d’aiga.
Je hum à hum, mes universités Depuis tout p’tit, la société L’école est bruissonnière, agraire, à faire à l’art Chanson, faire une enfant phare Les vents courrent les rues L’air n’est plus du temps pillé Vach’maigre à vache folie N’achèv’ pas langage et rêve en libertat.
Avançatz suus camins de fremins, alucats Com las memòrias Escotatz los arrius d’aigas burladas A vos, los ainats, las vostes espatlas De langatge Amassats, ta l’escriut, Pluralitat madura.
A hum à l’humanitat manifeste, passé futur Dûments tendus En banlieue c’est la nuit, du vide après midi Les mots dansent un couplet perdu Ça tangue et phrase à la mer, pas d’état d’âme Java du rap à l’amour, bagarr’à l’âme Chez les loulous, marlous, les pommés, les émigr’ SDF, les sans papiers.
S’allume à hum, à l’heure improvisée Autour de minuit l’enfant d’âge Pour qu’une valse alizée, vienne à « l’utopin » Epanche à l’ouvre à la vie Et de Basie à « Buffalo », d’Homère à Pau D’occitanie, 3615, vogue à l’Océan d’identitat. La Valse a Hum Denis Tuveri / André Minvielle
autant j'aime la grosse teckno hardcore mais vos voix sont presque sublime ! merci pour le jazz ! bonjour a bernard lubat , juliette et lucie transperce mon corps
Bonjour, pouvez-vous m'aider, s'il vous plaît ? Je viens de Russie et je veux apprendre cette chanson. Dans les paroles de la chanson, que j'ai trouvées en ligne, il manque un fragment. On dirait que ce n'est pas en français, mais dans une autre langue. On dirait du portugais. Quelqu'un peut-il m'aider à obtenir le fragment manquant des paroles ?
Salut, c'est de l'occitan (langue régionale du sud de la France). En occitan : Avançatz suus camins de fremins, alucats Com las memòrias Escotatz los arrius d’aigas burladas A vos, los ainats, las vostes espatlas De langatge Amassats, ta l’escriut, Pluralitat madura. En français (outil de traduction approximatif) Vous avancez sur les chemins de frémissant, allumés Comme les mémoires Vous écoutez les rivières d'eaux burladas À vous, les aînés, les vostes tu épaules De langatge Amassés, ta l'écrit, Pluralité mûre.
Quelle belle langue. Moi qui suis chti, je suis un peu jaloux de la musicalité de la langue de Minvielle. On a d'autres sonorités. Mais pas aussi chantantes.
Bon sang, qu'est-ce que c'est beau ! Que dire de plus...
Ces deux là, qu'est ce que c'est bon. Merci.
C'est grandiose de joie et de beauté !
Extraordinaire. Cette valse est un style unique en soi.
André Minvielle c'est Les Double Six...à lui tout seul...
Bonjour from France !
Magnifique, plein d'élégance et de couleurs - Un plein de saudade... Merci à vous
c est vraiment magnifique
Une véritable performance!
Trop beau
formidables artistes . merci
A hum à l’humanité manifeste en valsé
Doucement tendu
Quelque part à Paris sur la scène à minuit
Quartier les bruits, troquet perdu
Il y a des zigues dedans, bal à Paname
Ça joue la java la dam’, Balajo manne
Prolos, julots, marlous, gigolettes, apaches
Et dactylos « Mimi Pinson »
Z’allument à hum, à l’heure improvisée
Les météques leurs cibiches tendues
Délicatement se pose et passe un air.
Tu verras, Tu veri dique
Et de Casi à Ferrero, d’Emile à Jo
De Bouscatel à Peguri, cabr’accordéon d’alteritat.
Pas de miss terre à terre, du grand Nord au Gabon
De Chine à Zanzibar
Larguez amarres !
Il souffle universel,
L’étranger, là k’a danse.
Titz’iles et t’Ré (d)’union,
De Madagascar à saint Domingue
Et du Cap Vert aux Antilles
Allier la tromba, le sega, l’funana, l’mérengué tissé.
« Paisano » aux amériques, du Mexique au Brasil
De Quebec en Louisana, en Colombia
« Il » chamamé, charanga Forro, Zydeco, blues
Hart d’Est en Ouest de Bayonne à l’Oural
D’Italie via tsiganes bulgaroumovit’s
« Il » trixi trixa tarentelles Et rachenitsas à la Jazz.
J’allume à hum l’exode accordez-vous malheurs
A l’ère industrielle
La rurale en chemine, au vol d’oiseau turbine
Cadence parfaite, une enfant d’elle.
Il y a plus de gig davant, mal Panam’
Ça fait du fric à Madam’, le macadam’
Chez les specul’actors, les promo’cœurs
Les polifricards, les marchands d’aiga.
Je hum à hum, mes universités
Depuis tout p’tit, la société
L’école est bruissonnière, agraire, à faire à l’art
Chanson, faire une enfant phare
Les vents courrent les rues
L’air n’est plus du temps pillé
Vach’maigre à vache folie
N’achèv’ pas langage et rêve en libertat.
Avançatz suus camins de fremins, alucats
Com las memòrias
Escotatz los arrius d’aigas burladas
A vos, los ainats, las vostes espatlas
De langatge
Amassats, ta l’escriut,
Pluralitat madura.
A hum à l’humanitat manifeste, passé futur
Dûments tendus
En banlieue c’est la nuit, du vide après midi
Les mots dansent un couplet perdu
Ça tangue et phrase à la mer, pas d’état d’âme
Java du rap à l’amour, bagarr’à l’âme
Chez les loulous, marlous, les pommés, les émigr’ SDF, les sans papiers.
S’allume à hum, à l’heure improvisée
Autour de minuit l’enfant d’âge
Pour qu’une valse alizée, vienne à « l’utopin »
Epanche à l’ouvre à la vie
Et de Basie à « Buffalo », d’Homère à Pau
D’occitanie, 3615, vogue à l’Océan d’identitat.
La Valse a Hum
Denis Tuveri / André Minvielle
Un géant !!!!!!!
autant j'aime la grosse teckno hardcore mais vos voix sont presque sublime ! merci pour le jazz ! bonjour a bernard lubat , juliette et lucie transperce mon corps
quelle merveille !!!
Superbe , bravo
Cette chanson sera diffusée sur Ondes-Bleues le 12 juin 2023 à 14 h
❤🎇
❤️
Bonjour, pouvez-vous m'aider, s'il vous plaît ? Je viens de Russie et je veux apprendre cette chanson. Dans les paroles de la chanson, que j'ai trouvées en ligne, il manque un fragment. On dirait que ce n'est pas en français, mais dans une autre langue. On dirait du portugais. Quelqu'un peut-il m'aider à obtenir le fragment manquant des paroles ?
Salut, c'est de l'occitan (langue régionale du sud de la France).
En occitan :
Avançatz suus camins de fremins, alucats
Com las memòrias
Escotatz los arrius d’aigas burladas
A vos, los ainats, las vostes espatlas
De langatge
Amassats, ta l’escriut,
Pluralitat madura.
En français (outil de traduction approximatif)
Vous avancez sur les chemins de frémissant, allumés
Comme les mémoires
Vous écoutez les rivières d'eaux burladas
À vous, les aînés, les vostes tu épaules
De langatge
Amassés, ta l'écrit,
Pluralité mûre.
Quelle belle langue. Moi qui suis chti, je suis un peu jaloux de la musicalité de la langue de Minvielle. On a d'autres sonorités. Mais pas aussi chantantes.
Qu'el
Bravo dédé et merci à vous deux.