Merci infiniment! Votre exposé est clair, inspirant et présenté tout en bienveillance et en douceur. Belle parenthèse Secure pour évoluer doucement, écouter, prendre le temps...
Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ), mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer. Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi? De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça? Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal), ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme), ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination? Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé? Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi? Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire. C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre. Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction. Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde.
Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
Mon garrot c’est mon père c’est un cauchemar une emprise , un harcèlement en continue…pour éviter que j’aille vers la vie. Et les parents doivent aussi respecter leurs enfants.
Mon message sous la vidéo peut peut-être vous intéresser: Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ), mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer. Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi? De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça? Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal), ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme), ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination? Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé? Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi? Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire. C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre. Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction. Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde. Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
Tellement inspirant comme toujours 🙏🙏😍❤️ Le garrot familial .. en qui nous devrions avoir une confiance absolue…. est pour moi une chaîne ⛓️💥 un garrot … culpabilité, etc .. - merci 🙏
Mon message sous la vidéo peut peut-être vous intéresser: Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ), mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer. Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi? De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça? Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal), ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme), ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination? Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé? Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi? Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire. C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre. Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction. Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde. Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
@@sylvianebarahona-magnin5142 Merci, amicalement aussi ! P.S: après je me suis aperçue qu'à d'autres moments, Fabrice M. (qui m'a absolument aidé!) a dit des choses qui vont dans ce même sens, comme dans cette vidéo entre autres, qu'on peut trouver en écrivant: "Le négatif est une porte à ouvrir - Comment rester serein#1 Reso"
@@MF-jn8pjFabrice , m’aide également depuis longtemps : ses livres , méditations, ses vidéos , 😊🤗- vs souhaite une belle semaine …. de trouver une certaine sérénité , ds ce monde ma fois plus que chaotique .. , heureuse d’avoir 70 ans … 🤗🤗 😘
Bonjour, Merci, vos propos m'aident à comprendre et agir. Toutefois je nuancerais une chose. La volonté est au contraire nécessaire. Par contre elle ne suffit pas. Par exemple, vous citez le cas d'un alcoolique, s'il n'a pas envie de se sortir de cette addiction, il ne se posera pas la question, comment je peux y arriver ? Me faire aider? Par qui ? Et agir
Mon message sous la vidéo peut peut-être vous intéresser: Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ), mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer. Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi? De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça? Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal), ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme), ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination? Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé? Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi? Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire. C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre. Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction. Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde. Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
@@charlottemeyer1283 les addictions sont des maladies … la volonté ne suffit plus … je dirai que l’humilité .. l’acceptation sont les maîtres mots , accepter de l’aide … (et là l’ego en prend un sacré coup !!) 😊
Comprendre ne change pas le goût de la purée et ne permet aucun changement . 10 ans d'analyse en cours et 15 ans de méditation ,plus une intuition fine héritée ont apporté des compréhensions vastes ,vérifiées par les pères du fonctionnement de ma psyché et du monde . Pour autant que peu de changements ,en tout cas pas à la " hauteur "de ces compréhensions,mais peut être un peu plus d'espace ... Pour en arriver à la question de la nécessité du besoin de changement. Est elle un besoin authentique ( vivant) ? Pas si sûr .. Avons-nous besoin de changer ou plus simplement d'être là ...( encore une manipulation me semble t'il ...il y àurait à dire ) Rien à changer , juste se laisser tomber dans cette chute qu'est la vie ( absurde ..Camus ) mais (sans Sol ..Trungpa). Sans le travail analytique sérieux qui ne cherche aucune solution et aucune guérison ,mais qui cherche à écouter pour entendre . Entendre que rien ne peut être dit totalement , il y a toujours quelque chose qui glisse entre les mains qui ne peu être saisie . c'est peut être le chant de la vie , à suivre ... ... tu tournes toujours autour de ces questions .. A la question il y a 15 ans ... -je ressent beaucoup de lutte . réponse ... -à oui laisse tomber cà !! c'était pas si mal en fait , peut être on aurait pu dire ... -laisse tomber Ça et tombes avec ! que la paix te suives .pauvre fou!! Qui écoute quoi ?
Accepter d être dans le déni dans un premier temps .Tant que vous le niez vous le nourrissez........puis plus tard ...vous pourrez passer à. Une autre étape..pour l.instant vous êtes bloquée.....en espérant vous avoir un petit peu ..,Valérie.
je pense qu il n a pas compris la question de la russe, elle ne dit pas qu il ne faut faire que penser, mais il faut comprendre un minimum ce qui se passe
Oui je suis entièrement d'accord avec vous, j'ai écris ça en dessous: Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ), mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer. Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi? De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça? Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal), ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme), ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination? Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé? Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi? Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire. C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre. Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction. Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde. Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
Comprendre n'apporte rien ? là dessus je ne suis pas d'accord.Comprendre c'est aussi prendre conscience que quelque chose ne fonctionne pas sans cette prise de conscience rien ne peut se passer puisqu'on est dans l'ignorance...ça m'a libéré de comprendre contrairement à ce que vous affirmez mais peut-être que votre définition du verbe "comprendre" n'est pas la même. Pour ma part je n'aime pas le verbe "guérir"... comprendre ne conduit pas forcément à la victimisation et au ressassement ou aux questions incessantes. Par ailleurs vous avez intitulé une vidéo "comprendre les vraies causes du découragement "
Oui moi aussi, je pense qu'il n'a pas compris la question... j'ai écris ça en dessous: Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ), mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer. Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi? De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça? Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal), ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme), ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination? Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé? Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi? Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire. C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre. Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction. Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde. Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
Fabrice , Merci , mais ce qui est chiant , c'est que toutes les 3 mn vous buvez comme une parisienne . Buvez un bon coup et basta . C'est comme vos gestes névrotiques en début d'émissions . Vous faites de beaux discours , mais c'est vous qui êtes garroté .
Merci infiniment! Votre exposé est clair, inspirant et présenté tout en bienveillance et en douceur. Belle parenthèse Secure pour évoluer doucement, écouter, prendre le temps...
Merciiii beaucoup j adoooooooore vos Dialogue et cet échange est formidable
Merci Fabrice, vos échanges sont toujours si enrichissants et votre vision des choses tellement dèculpabilisante!🙏✨️
Merci Fabrice, toujours si inspirant. La pratique de la Biodanza est aussi formidable pour sentir la vie en soi et en prendre soin.
Merci beaucoup ☺️ J’adore votre répartie ! ^^
Merci de nous rendre toujours plus vivant en vous écoutant
Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ),
mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer.
Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi?
De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça?
Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal),
ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme),
ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination?
Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé?
Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi?
Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire.
C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre.
Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction.
Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde.
Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
Mon garrot c’est mon père c’est un cauchemar une emprise , un harcèlement en continue…pour éviter que j’aille vers la vie. Et les parents doivent aussi respecter leurs enfants.
Mon message sous la vidéo peut peut-être vous intéresser:
Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ),
mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer.
Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi?
De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça?
Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal),
ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme),
ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination?
Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé?
Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi?
Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire.
C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre.
Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction.
Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde.
Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
Un chef-d'oeuvre de mise en mots. Merci pour ce partage.
Ça me parle et je vous écoute avec un grand intérêt merci 🙏🙏🙏
Vraiment génial la métaphore !😊
Vraiment génial ! ❤
Vraiment intéressant Merci Fabrice
Tellement inspirant comme toujours 🙏🙏😍❤️ Le garrot familial .. en qui nous devrions avoir une confiance absolue…. est pour moi une chaîne ⛓️💥 un garrot … culpabilité, etc .. - merci 🙏
Mon message sous la vidéo peut peut-être vous intéresser:
Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ),
mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer.
Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi?
De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça?
Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal),
ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme),
ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination?
Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé?
Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi?
Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire.
C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre.
Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction.
Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde.
Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
@@MF-jn8pjbravo et merci pr votre réflexion , juste et enrichissante.. travail de tte une vie .. 🙏 amicalement…
@@sylvianebarahona-magnin5142 Merci, amicalement aussi!
@@sylvianebarahona-magnin5142 Merci, amicalement aussi !
P.S: après je me suis aperçue qu'à d'autres moments, Fabrice M. (qui m'a absolument aidé!) a dit des choses qui vont dans ce même sens, comme dans cette vidéo entre autres, qu'on peut trouver en écrivant: "Le négatif est une porte à ouvrir - Comment rester serein#1 Reso"
@@MF-jn8pjFabrice , m’aide également depuis longtemps : ses livres , méditations, ses vidéos , 😊🤗- vs souhaite une belle semaine …. de trouver une certaine sérénité , ds ce monde ma fois plus que chaotique .. , heureuse d’avoir 70 ans … 🤗🤗 😘
Merci Fabrice ❤❤..j'ai retenue "Renouvellement"-jadooore !!!
Expérimenter par exemple 1:03:27 sophrologie pour ressentir notre corporalite nous rend plus vivant! Merci Fabrice
J'adore ! Merci😍
Merci 🙏
Merci pour la description de votre goût, que je partage, pour le "non jeu" d'acteur
❤ Merci ❤
Merci
Bonjour, Merci, vos propos m'aident à comprendre et agir. Toutefois je nuancerais une chose. La volonté est au contraire nécessaire. Par contre elle ne suffit pas. Par exemple, vous citez le cas d'un alcoolique, s'il n'a pas envie de se sortir de cette addiction, il ne se posera pas la question, comment je peux y arriver ? Me faire aider? Par qui ? Et agir
Mon message sous la vidéo peut peut-être vous intéresser:
Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ),
mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer.
Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi?
De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça?
Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal),
ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme),
ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination?
Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé?
Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi?
Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire.
C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre.
Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction.
Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde.
Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
@@charlottemeyer1283 les addictions sont des maladies … la volonté ne suffit plus … je dirai que l’humilité .. l’acceptation sont les maîtres mots , accepter de l’aide … (et là l’ego en prend un sacré coup !!) 😊
Comprendre ne change pas le goût de la purée et ne permet aucun changement .
10 ans d'analyse en cours et 15 ans de méditation ,plus une intuition fine héritée ont apporté des compréhensions vastes ,vérifiées par les pères du fonctionnement de ma psyché et du monde .
Pour autant que peu de changements ,en tout cas pas à la " hauteur "de ces compréhensions,mais peut être un peu plus d'espace ...
Pour en arriver à la question de la nécessité du besoin de changement.
Est elle un besoin authentique ( vivant) ? Pas si sûr ..
Avons-nous besoin de changer ou plus simplement d'être là ...( encore une manipulation me semble t'il ...il y àurait à dire )
Rien à changer , juste se laisser tomber dans cette chute qu'est la vie ( absurde ..Camus ) mais (sans Sol ..Trungpa).
Sans le travail analytique sérieux qui ne cherche aucune solution et aucune guérison ,mais qui cherche à écouter pour entendre .
Entendre que rien ne peut être dit totalement , il y a toujours quelque chose qui glisse entre les mains qui ne peu être saisie .
c'est peut être le chant de la vie , à suivre ...
...
tu tournes toujours autour de ces questions ..
A la question il y a 15 ans ...
-je ressent beaucoup de lutte .
réponse ...
-à oui laisse tomber cà !!
c'était pas si mal en fait , peut être on aurait pu dire ...
-laisse tomber Ça et tombes avec !
que la paix te suives .pauvre fou!!
Qui écoute quoi ?
10 ans d'analyse...tout est dit
Bonjour, comment faire pour distinguer un garrot dont je dois réussir à me séparer, et le déni d'une situation à travailler et à accepter ? Merci
Accepter d être dans le déni dans un premier temps .Tant que vous le niez vous le nourrissez........puis plus tard ...vous pourrez passer à. Une autre étape..pour l.instant vous êtes bloquée.....en espérant vous avoir un petit peu ..,Valérie.
je pense qu il n a pas compris la question de la russe, elle ne dit pas qu il ne faut faire que penser, mais il faut comprendre un minimum ce qui se passe
Oui je suis entièrement d'accord avec vous, j'ai écris ça en dessous:
Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ),
mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer.
Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi?
De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça?
Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal),
ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme),
ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination?
Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé?
Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi?
Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire.
C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre.
Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction.
Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde.
Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
Comprendre n'apporte rien ? là dessus je ne suis pas d'accord.Comprendre c'est aussi prendre conscience que quelque chose ne fonctionne pas sans cette prise de conscience rien ne peut se passer puisqu'on est dans l'ignorance...ça m'a libéré de comprendre contrairement à ce que vous affirmez mais peut-être que votre définition du verbe "comprendre" n'est pas la même. Pour ma part je n'aime pas le verbe "guérir"... comprendre ne conduit pas forcément à la victimisation et au ressassement ou aux questions incessantes. Par ailleurs vous avez intitulé une vidéo "comprendre les vraies causes du découragement "
Oui moi aussi, je pense qu'il n'a pas compris la question...
j'ai écris ça en dessous:
Merci mille fois, tout est très éclairant, enrichissant, toujours quelque chose à prendre (ou à apprendre, je préfère "prendre" que je trouve plus juste ici ),
mais juste une chose, vers la fin, un homme pose une question sur la culpabilité et Fabrice M. répond en parlant d'une fausse culpabilité qui doit se transformer en expérience d'apprentissage, puis il parle de la vrai culpabilité qui ne devrait selon lui, ne mener qu'à la responsabilité et de là uniquement à l'éthique de s'excuser, (excuse qui est bien sûr essentielle), mais je crois qu'il faut pouvoir aussi parvenir a déceler qu'il y a, là aussi, une expérience d'apprentissage très profonde, et comme le souligne Janina, pour ne pas se mettre à recommencer.
Je pense qu'il faut absolument se demander pourquoi on insulte, pourquoi on traite notre semblable ainsi?
De qui on est réellement en train de se défendre? Qu'est-ce qui nous fait réagir comme ça?
Est-ce quelqu'un ou quelque chose d'actuel qui nous maltraite ainsi (comme si cela était normal),
ou est-ce dans nos fondations, une blessure de la petite enfance (traumatisme),
ou une blessure moins ancienne... d'où vient cette contamination?
Est-ce nous-même, en nous instrumentalisant, qui dans notre vie nous a instrumentalisé?
Pourquoi est-ce que cela apparaît comme banale de nous maltraiter ainsi?
Des questions qui sont très importantes pour, comme le dit aussi Janina (autour de 1:10:00), cesser de reproduire.
C'est à dire pour uniquement voir le problème dans son entier, puis prendre soin de soi, restaurer ce qui a été blessé en nous. Ce qui n'a pas été entendu. Par la méditation, l'écoute tendre.
Et, puis, avec le temps, voir l'évidence de tout cela aussi chez cette personne qui nous a blessée, pour briser la chaîne de reproduction.
Véhiculée parfois de génération en génération, transformant la violence (verbale ou physique) en une véritable entité, bien que d'autres violences plus réelles, contextuelles et plus récentes ne manque pas de s'y ajouter... et que cela devient réel, présent, aussi par cette blessure en nous. Cette blessure de dédain que beaucoup semble avoir vécu, puisqu'il y a toute cette violence anormale, et intrinsèquement inexplicable, dans notre monde.
Et donc "je ne suis pas victime" puisque presque tout le monde, si ce n'est tout le monde l'est, le traumatisme est universel, nous le voyons par toute cette violence autour et contre soi-même.
Fabrice , Merci , mais ce qui est chiant , c'est que toutes les 3 mn vous buvez comme une parisienne . Buvez un bon coup et basta . C'est comme vos gestes névrotiques en début d'émissions .
Vous faites de beaux discours , mais c'est vous qui êtes garroté .
Oui c ouf de boire si souvent !
Heureusement que ce n’est pas du vin 😂
Mais merci pour le partage de toutes ces connaissances !
Merci 🙏