Je m'interroge sur le pardon à autrui lorsque celui-ci ne l'a ni demandé, ni n'en a eu le souhait. Est ce que dans ce cas, cela ne resterait-il pas un pardon a soit?
C'est une question profonde et nuancée que tu soulèves. Pardonner à quelqu'un qui ne l'a ni demandé ni souhaité, c'est effectivement un acte qui touche d'abord à soi-même. Dans ce cas, le pardon devient une libération personnelle. Il s'agit de se délester du poids émotionnel que l'offense a laissé, sans pour autant attendre de l'autre un quelconque changement ou une reconnaissance. Au fond, le pardon devient un acte d'amour pour soi, une forme de réconciliation avec sa propre sérénité. Elle n'est pas déterminé par la volonté ou du chemin de l'autre.
C’est difficile de pardonner. Encore plus de se pardonner.
Je m'interroge sur le pardon à autrui lorsque celui-ci ne l'a ni demandé, ni n'en a eu le souhait. Est ce que dans ce cas, cela ne resterait-il pas un pardon a soit?
C'est une question profonde et nuancée que tu soulèves. Pardonner à quelqu'un qui ne l'a ni demandé ni souhaité, c'est effectivement un acte qui touche d'abord à soi-même. Dans ce cas, le pardon devient une libération personnelle. Il s'agit de se délester du poids émotionnel que l'offense a laissé, sans pour autant attendre de l'autre un quelconque changement ou une reconnaissance. Au fond, le pardon devient un acte d'amour pour soi, une forme de réconciliation avec sa propre sérénité. Elle n'est pas déterminé par la volonté ou du chemin de l'autre.